Callie│Américaine│17 ans│175 cm │Elfe │ Chambre ǀ Valente
Texte à caractère explicite
Je ne suis pas tolérante à la douleur et encore moins quand il s'agit de relations intimes. Je ne dis pas que j'apprécie seulement la douceur car cela dépend de ce dont j'ai envie à ce moment là, de mon humeur. J'aime parfois quand cela devient un peu plus brutal mais tout est relatif. Dès le moment où cela devient douloureux, je n'apprécie pas, je n'y prends aucun plaisir. Je peux aimer un peu de force comme lorsque tout est dans la langueur. Lorsque c'est lent et profond, quand je sens chaque frottement avec une acuité accrue, quand je prends mon temps, tout doucement, quand le désir grimpe tout doucement jusqu'à atteindre le plaisir. Avec Valente, cela n'a pas été doux, ni lent, ni languissant. Cela a plutôt été fort, presque intense où ses mouvements étaient vifs et profonds. J'ai aussi remarqué qu'il aime marquer ses partenaires et je ne pense pas être une exception à la règle. Je n'oublie pas non plus la générosité dans la nature l'a doté. Cela pourrait rendre jaloux quelques membres de la gente masculine. Et heureusement pour moi, cela a fini par devenir agréable assez rapidement grâce à lui qui a pris à cœur mon plaisir. Tous les garçons ne sont pas comme cela. Et jusqu'ici, j'ai plutôt été chanceuse. Il faut dire, si cela ne va pas, je le dis, je ne suis pas du genre à me taire.
L'avantage d'avoir des partenaires d'espèces différentes, c'est de ne pas m'inquiéter de beaucoup de choses. Aucun risque de tomber enceinte et ma nature elfique me permet d'échapper à tout type de maladie humaine. Donc je n'attraperai aucune infection sexuellement transmissible. Je n'ai donc aucun souci à me faire, rien à penser. Il n'y a qu'avec les elfes où je dois faire plus attention car c'est la seule espèce avec laquelle je suis compatible biologiquement parlant. Et il y a bien une chose dont je ne veux absolument pas, c'est tomber enceinte et avoir un bébé. J'ai dix-sept ans et je ne veux pas me retrouver avec une contrainte sur les bras. Je ne veux même pas avoir d'enfants plus tard, fonder une famille. Tout cela ne me fait pas rêver. Je veux être libre et indépendante, sans dépendre de personne, être égoïste, ne penser qu'à moi. Je veux m'amuser si j'en ai envie. Réaliser les projets qui m'importent. Etre la meilleure dans les domaines qui me plaisent. Et pour le moment, gagner mon pari face à Tadji. J'ai déjà deux longueurs d'avance sur lui, et je ne suis pas loin de remporter la victoire. Il me reste juste une chose à faire : séduire Elias.
Allongée à côté de Valente tout aussi nu que moi et dont sa main me caresse, il a envie de parler ou plutôt de m'interroger. En premier lieu, sur le fait de sécher les cours. Pour moi, c'est la première fois, et même si je ne lui dis pas, la dernière également. Il pourrait donc se sentir doublement chanceux, un bien bel honneur. Sa réponse me fait sourire autant que la mienne, semble-t-il. De son côté, il sèche et cela semble être assez régulier à en croire ses mots. Je n'ai jamais eu un parcours scolaire chaotique bien au contraire à part un petit écart à la fin de l'année scolaire qui m'a coûté un au revoir à New York et un aller simple dans cette école. Je ne vais pas répondre à Valente que l'honneur vaut un pari avec un prince mais une vérité tout de même. Disons que je vais taire la conséquence mais parler de la cause. Il me semble que les loups tout comme les vampires et les dhampirs perçoivent les mensonges.
-
Je t'avais remarqué au cours de sport et j'avais envie de faire plus amples connaissances avec toi, fis-je avec un sourire.
Un peu chaotique ? S'agit-il d'un doux euphémisme ?
Et puisque nous en sommes à discuter, à échanger quelques confidences ce qui ne me ressemblent pas trop. Enfin, plutôt de rester allongée sur le lit en compagnie d'un partenaire. Je ne suis pas du genre à m'attarder longtemps. Et il m'étonnerait que mes habitudes changent. Lorsque je le questionne sur ses yeux, ils changent de couleur, prenant une autre teinte. Une teinte plus brillante. Je suis surprise un bref instant puis un sourire étire mes lèvres. Il semble amusé par la situation et je ne sais vraiment pourquoi. Il m'avoue lui arriver souvent surtout quand il ressent des émotions fortes.
-
Et cela fait quoi de vivre avec son loup ?
✿ Cassiopée ✿ Néo-zélandaise✿ 16 ans ✿ 165 cm ✿ Fée ✿ Chambre✿ Tadji
Texte à caractère explicite
Ce matin, j'aurais dû me rendre en cours de magie mais je me suis perdue en chemin. J'errai dans un couloir à la recherche de la salle de cours mais je ne l'ai pas trouvé. A la place, j'ai trouvé Prince Tadji. Il a voulu m'aider mais je ne sais trop comment, en discutant, on est arrivé jusqu'à sa chambre. Au début, il m'a donné de nombreux conseils pour m'orienter dans l'école mais j'ai de plus en plus de mal à m'en souvenir comme s'ils disparaissaient petit à petit. Il y a eu un baiser, une caresse et je crois que c'est parti de là. Cela a été le point de départ. Pourtant, j'aime le cours de magie, cela me plait bien. J'apprends beaucoup de choses différentes et je ne les oublie pas. Cela me soulage à vrai dire. Et j'aime la magie, j'aime la sentir autour de moi, en moi. C'est un peu comme la nature. J'aime la sentir dans l'air, dans l'eau, dans la terre, dans le feu. J'aime la sentir à chaque instant comme j'aime être étreinte, comme j'aime être câlinée. Et à cet instant, Prince Tadji m'apporte tout cela. Il me caresse avec douceur, ses mains sur ma peau et je me détends puis me tends lorsqu'il touche des endroits où je suis sensible, où l'envie de lui devient plus forte. Et elle le devient de plus en plus. Elle ne s'arrête jamais d'augmenter. Je le caresse aussi, je sens la douceur de sa peau chaude sous mes doigts. Mais je ne peux plus le caresser comme je le voudrais lorsque son corps s'éloigne de mes mains. Sa tête se retrouve entre mes jambes, me laissant accès à ses cheveux dont les mains s'enfouissent dedans. Je sens leur texture sous mes doigts. Et je sens aussi une toute autre chose, une chose dont l'envie augmente, dont la température de mon corps grimpe aussi. Il me donne chaud. Mes jambes se resserrent autour de sa tête quand je sens sa langue me caresser. J'en gémis de plaisir, la sensation est exquise. C'est bon... si bon... j'en ferme les yeux de plaisir et j'halète de plus en plus, je me tends de plus en plus. Mais tout cela s'arrête et je rouvre les yeux voilés par le désir, presque déçue. J'aimais ce qu'il me faisait. J'aimais beaucoup cela. Mon regard se baisse en direction de Prince Tadji, l'observant remonter vers moi, m'écartant un peu plus les jambes et glissant son corps entre elles. Il a retiré son pantalon et je le vois faire de même avec son dernier vêtement. Il est à présent tout aussi nu que moi et je le regarde avec attention. Il est au dessus de moi, mes mains se positionnent de part et d'autre de son visage alors que je le sens petit à petit en moi, lâchant un soupir d'aise à cette sensation.
Bastian│Américain│17 ans│188 cm│ Elfe│Cours de magie│Jaime
Je me pose beaucoup moins de questions que Jaime concernant l'argent provenant de cette école. Il faut dire que je suis moins intéressé que lui par les fonds de Ravenswood. Je sais simplement que les frais d'inscription sont gratuits sinon je ne pense pas que mes parents m'auraient inscrits ici, ni mes frères même pour une année. Bien trop cher. Même si on vit confortablement, même si le bar de mes parents rapportent pas mal d'argent, mon oncle ne s'appelle pas Picsou. Je ne m'appelle pas non plus Donald Duck, j'ai quand même un peu plus de chance. Pas autant que Gontran Bonheur mais je ne suis pas à plaindre. En attendant, je suis sûr qu'il va trouver les réponses à ses questions sans problème en allant voir les bonnes sources et cela ne manque sûrement pas ici. Mais une chose est sûre, l'argent ne manque pas ici et cela se voit. Même si j'aurais adoré passer ma scolarité à Poudlard ou plutôt Ilvermorny puisque je suis américain. Bon par contre, je n'en connais pas beaucoup plus à ce sujet et ce n'est pas dans les livres de la bibliothèque que je trouverais mes réponses. C'est pas grave, je sais où trouver quelques réponses même si ça sera pour ma culture personnelle. Quoiqu'ici, il y a peut-être des férus et des inconditionnelles de l'univers d'Harry Potter à rencontrer. A l'évocation de mon ancien lycée, Jaime me questionne à ce sujet et je lui rends son sourire.
-
Oui, j'ai fait toute ma scolarité dans des écoles humaines publiques. J'ai obtenu mon bac l'été dernier mais mes parents ont une tradition, mes frères et moi maintenant, on refait une dernière année ici. Et pas plus que ça en réalité, ici, c'est un peu mon exception. Enfin, il y a eu peut-être quelques accidents quand j'étais petit mais je ne m'en rappelle pas. Et je peux te dire qu'en grandissant, j'évitais de faire trop de conneries à l'école sinon ma mère m'aurait tué, fis-je en blaguant à moitié.
Et toi, tu étudiais où avant ton inscription ici ?
Je n'ai jamais eu l'impression que cela a été une contrainte de ne pas utiliser la magie peut-être parce que je ne l'utilise pas tout le temps, seulement quand j'en ai envie. Je n'ai jamais eu besoin de me canaliser et mes parents m'on appris très tôt à faire attention. Il faut dire qu'ils ont eu une scolarité semblable à la mienne. Eux aussi ont passé leur scolarité dans des écoles publiques mais ils ne sont jamais venus étudier ici même une année. Et puis contrairement à beaucoup d'endroits, il y a une grosse communauté de Surnaturels à la Nouvelle Orléans. Il y a beaucoup de sorciers, d'elfes et aussi des loups-garous. Moins nombreux mais assez présents. Il y en avait donc dans mon lycée, quelques-uns dans ma classe mais ça se mélangeait assez. Je trainais principalement avec des humains.
Je suis peut-être super talentueux avec mon sourire ravageur et mon humour à toute épreuve, je ne pense pas faire le poids face à Mlle Winstood. Déjà, je peux dire, ils ont fonctionné avec mon colocataire et ce n'était pas gagné d'avance. Il m'a fait une belle frayeur le jour où je me suis décidé à lui parler. Bon depuis, ça se passe bien et c'est tout ce qui compte. Du coup, je me fais désormais appeler, le
faiseur de presque miracle. Comme on dit, courageux mais pas téméraire. Je vais m'abstenir car je tiens à la vie, je ne suis pas assez fou pour essayer un truc pareil. Il concède que tester mes talents sur Mlle Winstood, c'est du suicide. Je ne dirais pas le contraire. Là encore, je tiens à la vie.
-
Tant pis, j'aurais essayé... fis-je faussement déçu.
Mais j'en suis fier, tu peux en être sûr. Bon si tu n'abandonnes pas, tu veux tester l'idée sur qui ? Je suis tout ouïe. Tu m'étonnes et si tu ne le sais pas encore, je t'assure, je tiens à la vie, plaisanté-je.
Lawrence│Anglais│29 ans│180 cm│Sorcier│Professeur│John
John me fait assez rire je dois dire et le pire, il ne le fait pas exprès. Je l'ai toujours trouvé très décalé et excentrique par certains côtés et c'est ce qui fait son charme. Le jour où il ne le sera plus, là je m'inquiéterais pour lui. Du coup, quand je l'imagine partir en vacances, à l'aventure, je l'imagine lui arriver plein de trucs plus loufoques les unes que les autres et raconter plein d'anecdotes de ses voyages. Mais je me fais sûrement des films et il ne lui arrive pas tant de mésaventures que ça. Enfin, c'est ce que je lui souhaite même s'il semble se sortir de beaucoup de situations facilement. Mais je le vois plutôt comme quelqu'un d'inconscient plutôt que conscient du danger. Et encore une fois, je le trouve drôle quand il me répond. Oui, prévoyant à toujours prendre une trousse de secours. Là, je ne le suis pas. Je ne prends pas de trousses de secours avec moi, jamais. Bon, j'ai bien des pansements, du désinfectant, quelques médicaments au cas où mais ça s'arrête là. Et j'ai quelques rudiments de magie de guérison pour soigner les petits bobos.
-
Je dirais, tu es du genre prévoyant. Et je suis sûr que tu feras tout pour, on voit que tu tiens à cette sortie au Colisée.
Je le crois quand il dit que la sortie sera mieux organisée, il y tient beaucoup et ça sera la première donc ça compte. Je vois son enthousiasme. Bon, il est toujours enthousiaste mais là, encore plus que d'habitude. On dirait l'homme le plus heureux de l'univers. Je fais partie de l'organisation, puisque je vais être accompagnateur pendant la sortie scolaire. Enfin, surtout ce qui me plait, c'est de découvrir le Colisée et de pouvoir le visiter de nuit. Cela va me plaire, j'en suis sûr. En gros, j'aurais juste besoin de surveiller les élèves et veiller à ce que tout se passe bien.
Franchement, ça serait tomber de malchance qu'un élève se blesse pendant la visite et il y a peu de chances que cela arrive selon moi. Les quelques visites faites avec mes anciens élèves, il n'y avait aucun personnel médical accompagnateur et je n'ai jamais eu de souci. Aucune blessure à signaler. Je ne doute pas que les accompagnateurs seront nombreux, la visite devrait plaire à beaucoup même s'ils vont devoir surveiller les élèves tout comme moi. C'est comme ça que je vois les choses et je ne pense pas être le seul à penser de cette façon.
-
Je n'en doute pas non plus. Tu sais que plus ça va, plus tu me mets la pression là ? fis-je en plaisantant à moitié.
Mais j'essaierai, je te le promets.
Je ne sais pas si ça marchera mais je lui en parlerai comme je viens de le lui dire.