Petit jeu d'écriture

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lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Sa mâchoire se crispa presque imperceptiblement. Presque. Je l'avais touché. Tant mieux. Il m'agaçait ces dernier temps. Il me fixa un instant, pensant surement que j'allais m'excuser. Il comprit rapidement que je n'en ferait rien. J'en avais assez de devoir supporter sa mauvaise humeur à tout moment. De dépit, il donna un coup de pied dans l'air. Je pris le temps de vraiment le regarder. De vraiment le regarder. Je le sondais du regard, il ne le remarqua pas trop occupé à jouer du bout du pied avec un caillou en grommelant. Il était pathétique. Ce n'étais plus celui avec qui j'avais rigoler pendant des après-midi entier. Pas celui dont j'étais amoureuse, ce n'était pas le même. Il avait changé, peut-être un peu trop à mon goût. Son regard bleu froid était presque étranger.
- Je te dis au revoir, je crois qu'on a tout les deux besoin d'arrêter de se voir.
Il tourna son visage d'enfant gâté ver moi. Celui-ci fut traversé d'un éclair tristesse qu'il s'efforça de masquer. Il acquiesça avec difficulté tandis que je lui tournais le dos.
- Tu reviendras, tu verras ! ricana-t-il tristement.
Je me tournais lentement pour le regarder encore, et, en le fixant dans les yeux, je secouais la tête en signe de négation. C'était fini, il devait pouvoir le comprendre, il était loin d'être idiot. Je le laissais planté là.


Phrase suivante: la colère lui serra la gorge.
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

La colère lui serra la gorge, son regard s'aventura sur le déluge de sa soeur. Du sang, du sang, encore et encore, du sang partout, du sang sur les murs, sur le sol, sur la lampe de chevet, sur l'armoire, le rouge était imprégnait dans la pièce. Pourquoi ? Pourquoi sa soeur s'en était t'elle prit à sa copine ? Qu'avait elle dans cette histoire ? Quel rapport entre l'engueulade d'hier soir et sa fiancée ? C'était lui qui aurait dû subir sa vengeance cruel... 
Il éprouva un élan de tristesse intense. Il s'en prit à tous ce qui lui passait sous la main, ce fut un ticket de tram, ensuite son portable, vint après les draps du lit et en suivant tout les meubles de la salle. En plus du sang qui luisait partout, la pièce était maintenant sans dessus dessous. 
Il décida d'aller plus loin, un simple changement de décor ne changeait rien à cette envie de meurtre, il lui fallait quelque chose de plus... Vivant... 
Sa petite amie était morte par la faute de sa soeur, sa petite amie, l'amour de sa vie, celle avec qui il allait se marier dans moins d'une semaine, celle qu'il aimait plus que toute les choses de l'univers... Sa soeur l'avait réduit en un tas de peau sans vie... C'est elle la fautive, c'est à elle qu'il faut s'en prendre, pas à ces pauvres objets. Il devait allait plus loin, il devait lui faire comprendre toute la haine qu'il éprouvait... 
Il marcha rapidement vers l'endroit infecte remplie d'odeur plus ignoble et incroyable que possible ou sa soeur se rendait toujours pour snifer son héroïne. Il marcha d'un pas décider, presque impatient. 
Enfin arriver il retroussa ses manches pour laisser voir les muscles irréprochable qui recouvrait ses bras, c'était un vrai dur a cuire. Il s'approcha de la cachette de sa soeur et la vit étendu à terre, son corps vidait d'énergie, sans la moindre trace de vie. Ses larmes coulèrent, elle était en surdose de drogue. Elle avait fait une overdose... Il saisit le pantin qui, quelque jour plus tôt, lui servait de soeur. Il la prit dans ses bras. Il lui dit les mots qu'il n'avait jamais pus lui dire, il lui dit qu'il regrettait pour hier. Que sa copine était certes morte à cause d'elle, mais qu'elle restait sa soeur. 
Il alla à l'hôpital en espérant à tout prit qu'il n'est pas encore trop tard.
Les médecins sortirent pour expliquer la situation. Le meurtre avait était estimer à 10h ce matin, dans l'hôtel ou il logeaient lui et sa copine depuis bientôt 2 mois. Sa soeur avait dû y allait pour se démanger sur son amie, et ensuite, ronger par le regret, ingurgiter plusieurs dose de drogues inconnus. 
-Il y a un problème, intervint un médecin tout juste arriver. La drogué à faut son attaque hier soir...

Phrase suivante:
"elle est étendue dur le sofa, le regard perdu dans le vide"
Malau-book

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Malau-book »

Elle est étendue sur le sofa, le regard perdu dans le vide. Pourquoi est-ce qu'il avait fallu qu'elle fasse ça ? Elle n'en n'avait pas eue envie. Mais c'est maintenant, qu'elle regrette. Elle allait s'excuser envers Luka. Elle allait lui dire qu'elle l'aimait et qu'elle n'aurait pas du refuser son invitation. Elle était tourmentée. Luka était son meilleur ami, mais lui en voulait un peu plus. Inna s'en doutait. Soudain, son téléphone sonna et elle en tombât du sofa.
-A... Allo? Dit-elle en se tenant douloureusement le dos, qu'elle s'était cogné dans sa chute, contre la table basse.
-Inna, c'est moi. C'est Luka.
-Luka, ah oui. Qu'est-ce qui a ?
-Comme tu as refusé mon invitation, hier, je voulais te demander si tu voulais bien y venir vendredi ? Vendredi ça va, non ?
-Vendredi ? Non, c'est pas possible. Je... je suis avec Léanne. Désolée, Luka.
-Mais tu avais dis que on pour...
Et elle raccrocha. Elle ne s'était pas excusée. Elle ne lui avait encore moins dis qu'elle l'aimait. Elle l'avait tout simplement détruit. Elle se releva à l'aide de son coude et se jeta sur le sofa. Elle avait fait n'importe quoi ! Inna était surement la fille la plus timide du monde. Elle hurla dans le coussin.

:arrow: "C'est impossible, on ne peut pas mourir de cette façon."
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

malau-book j'adore ton texte !!!!!!

C'est impossible, on ne peut pas mourir de cette façon. Non, on ne peut pas abandonner quelqu'un dans cette situation, elle ne peut pas... Elle n'a pas encore découvert Madagascar ni le Mississippi... Elle ne peut pas mourir avec une lame sur le bras, c'est incohérent. Elle souffrait. Elle c'est tué. C'est une des choses qui méritent de finir bien, mieux qu'avec un semblant de douleur sur le visage. Elle devait remonter la pente. Elle devait de relever dans le trou béant qu'elle avait elle même fait. Je l'aimais à la folie. Je l'aimais comme un fou. Mais elle n'a pas pensé à moi. Elle ne s'est même pas demander si sa mort pouvait me faire souffrir. Oui je souffre. Je souffre comme je n'ai jamais souffert. Elle était ma raison de vivre. Mais à cause de son égoïsme centriste, je suis moi même en train de tomber dans le caniveau... Mais je sais qu'aujourd'hui je mérite de vivre. J'ai la chance de pouvoir faire des choses que certaines personnes ne pourront jamais faire. Et je compte bien en profiter jusqu'au bout. Je pense aux autres, je réfléchi avec les actes imprudent. Et je sais que des gens m'aime alors je vais lui donner ma force. La force qui m'a permis d'être la. Et elle va vivre comme moi j'ai vécu, elle va passer des moments inoubliable, elle va faire le tour du monde à dromadaire, elle va manger du crocodile, elle va voir des aurore boréale. Elle va vivre. 


Phrase : " Elle fit un pas dans le vide"
Malau-book

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Malau-book »

Suzie321, le tien est génial aussi ! J'adore.

Elle fit un pas dans le vide. C'est finit. Tout es terminé. Enfin. Ce sentiment de soulagement. Sa vie doit s'arrêter. Maintenant. Et pour toujours. Violine à toujours pensé qu'elle aurait une autre vie, au paradis, qu'elle serait heureuse. Peut-être. Elle se répété sans arrêt "Je dois mourir avant mes quinze ans". Une vie désastreuse qui ne mérite pas de continuer encore. De toute façon elle n'avait personne. Son frère, Marc, ne l'avait jamais aimé. Il souhaitait sa mort, alors sur ce point là, il allait être satisfait. Elle aura fait le bonheur d'une personne, dans ce Monde ! Elle n'a personne d'autre, mis à part Cathy, sa mère d'accueil... Elle sera la seule qui manquera à Violine. Elle n'a plus de parents, elle n'a pas d'amis. Alors il est mieux pour elle qu'elle en finisse. Elle allait ressentir le vent sur son visage en tombant dans les ténèbres. Elle ne ressentira aucune douleur, rien. Elle sera apaisée, et morte. Tout ce dont elle rêvé.
Elle sourit à présent et elle se jette dans le vide.

:arrow: "Où est ma soeur?"
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

Où est ma soeur? Ou est elle ? Je regarde sous le placard où elle a l'habitude de se cacher mais ne voit rien d'autre qu'un petit tas de poussière. Je pousse un long soupire cherchant à lui faire comprendre qu'elle a gagner, son jeu a pris une tournure complètement différente, je crois que maintenant, ce n'est plus par plaisir qu'elle le fait, mais par obligation, elle essaye de se cacher de quelque chose, ou plutôt de quelqu'un. J'entends de bruit de pas. Bientôt les pas devienne une sorte de course effrénée. Il n'y personne dans cette maison à part elle moi et ma mère. Je n'entend qu'une personne courir. Je sais que c'est ma sœur. Je sais qu'elle ne court pas pour moi mais pour quelqu'un d'autre. Je l'intercepte au bout du couloir. Elle est paniquée, à bout de souffle, son pouls est hystérique, ou peut être est-ce elle. Elle me dit quelque chose d'incompréhensible. Elle se répète plusieurs fois et je finis par comprendre: "elle me suit, elle est là !" son ton saccadé me fait peur. Que cherche t'elle, il n'y a personne elle se retourne et pousse un crie de terreur. Elle ouvre grand les yeux. Je me tourne pour voir, mais ne vois riens de plus qu'un couloir vide avec quelque photo cliché de nous. Elle me regarde abasourdi. Sans comprendre je la serre contre moi lui soufflant de ne pas paniqué, lui disant qu'ici elle n'a rien à craindre, que je suis là. Elle ne semble pas convaincu et je sens sa respiration s'accélérer. Elle se retourne encore une fois et je sens une sorte de douleur. Comme si quelque chose l'avait piégé, anéanti. Son corps pèse sur moi. On dirait que toute énergie a disparu de ses entrailles, que toute trace de vie ne fait plus partie d'elle. Je la soulève sans vraiment comprendre. Elle a l'air apaisé. Endormi. Je la prend dans mes bras. Dubitative, j'hésite entre le fait qu'elle se soit endormie ou qu'elle soit juste assommé. Tout d'un coup je sens comme un violent coup de poing dans le ventre, comme si on m'avait enlever une partie de moi. Je regarde ma sœur, inerte. Je prend son pouls mais n'obtient aucun battement. J'essaye de voir si elle respire mais ne sens aucun souffle. La mort la prise avec elle.

Phrase-> Elle le regarde évasivement.
lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Super texte ! Franchement tu écris vraiment SUPER bien.

Elle le regarde évasivement. L'idiot continuait de lui faire de grand signe de l'autre côté de la route. Comment pouvais croire qu'elle aillait monter dans la voiture d'un pure inconnu. Elle continua à avancer sur le bord de la route. Une mèche brune lui tombant sur le front la démangeait.
Un bruit de moteur. Il avait fait demi-tour et roulait à côté d'elle. La vitre était ouverte sur un homme à la peau rougie par le soleil, un lion était gravé dans son brase droit.
" Monte chérie, je t’emmènerais là où tu voudras."
Tout en prononçant ces il fixait la poitrine de la jeune femme comme un chat surveille une souris. Elle ne lui adressa même pas un regard.
"Laissez-moi tranquille monsieur. Je n'ai jamais demander d'aide."
Les yeux opale de l'homme se durcirent.
"Je ne crois pas avoir posé une question."
Elle s'arrêta de marcher.
"Et je pense que vous ne m'avez pas compris. Laissez-moi tranquille !" cria-t-elle.
Il accéléra et partit en trombe. La jeune femme poussa un soupir de soulagement et pensa durant un court instant que c'était un véritable malade. Le principal était qu'il avait arrêté de la suivre.
La route était déserte. Elle marcha seule jusqu'à un petit parking où quelque voiture était garé dont... une voiture qu'elle avait déjà vu quelque part.
Elle se pencha au niveau d'une fontaine pour boire une gorgée d'eau. Elle ne se relava pas. Un bras tenant une barre de fer vint la frapper de toutes ses forces et l'entraina dans le coffre de la voiture. L'homme referma le coffre satisfait. Sur sa peau, un lion reluisait sous la lueur du soleil.

Pas très inspirée, désolée :?
Phrase suivante: C'était la première et la dernière fois qu'elle faisait ça.
kaitlineverdeen

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par kaitlineverdeen »

C'était la première et la dernière fois qu'elle faisait ça.
Tuer quelqu'un. Elle en pleurait, mais le devait sinon c'était elle qui mourrait.
Elle cauchemardait. Elle aurait du mourir.
Elle voulait mourir. Elle allait voir ses parents une dernière fois.
Sur le chemin du retour quelqu'un l'interpella. Elle ne s'arrêta pas. Mais on la rattrapa.
C'était un homme . C'était le même que la dernière fois. I allait la tuer a présent.
Mais elle était consentante.
L'homme la prit par les deux épaules. Il allait parler, mais elle le coupa.
"Tue-moi maintenant, je ne veux pas souffrir. De toute façon je veux mourir."
Mais l'homme n'était pas d'accord. Il répliqua:
"Tu ne mourras pas. Je t'ai infligé cette douleur mais je n'avait pas le choix "
"Je t'aimait pourquoi tu m'as infligée ça?" Sur ce elle se mit une balle dans la tete .

Phrase : une larme versée
Suzie321

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MRCci beaucoup lecetit jeux d'écriture.Mercu

Message par Suzie321 »

merci beaucoup lectrice en herbe toi aussi tu fais de très beau texte celui la n'est pas le meilleur de tout ceux que tu as fait mais il est très beau quand même !!!!

Une larme versée. Un problème de plus. Une vie dévastée... Elle ne sait plus. Elle ne sait pas. Elle n'a plus envie de se cacher, plus envie de se dérobé. Elle a trop souffert. Elle est trop longtemps rester seule. Elle veut bouger, se réinventer, être de nouveau elle, elle et pas cette fille qu'elle prétend être chaque jour depuis l'accident. Elle veut se montrer au grand jour, elle veut que tout le monde la regarde, elle veut avoir les yeux qui brillent, les cheveux qui ondulent, elle veut être belle, comme elle l'était. Les jours sont passés sans qu'elle ne réagisse, mais maintenant, elle va ouvrir les yeux, et montrer qu'elle peut être forte, qu'elle peut endurer des épreuves, passer à autre chose. Elle ouvre la porte du salon et ce glisse à l'arrêt de bus. Ce matin, elle a décidé de se lever, de manger, de s'habiller , de se maquiller, de se laver, et elle compte maintenant aller à l'école. On est en novembre, cela fait 1 moi qu'elle n'est pas réapparue. Son bus arrive et elle devine les yeux des élèves assis. Ils sont tous étrangement surpris. Pourquoi ? Elle ne peut plus être normale ? Elle ne peut plus être elle ? Elle monte une a une les marche qui sépare le trottoir du véhicule. Elle s'assoit à coté de cette amie qu'elle aimait tant, mais qui semble l'avoir oublié. Elle la regarde éberluée, sans comprendre la raison de sa venue. Tous semble penser qu'elle ne reviendrait jamais, bien la voila, elle est la. Son regard passe de son amie à tous ces élèves qui la regardent. Elle attendait un pincement d'admiration, de compassion en travers de ce qu'elle a vécu. Mais rien, juste de la surprise. Elle soupire et attend patiemment son arrivé. Le car avance et commence à tanguer, son pouls s'accélère, sa respiration devient difficile. Le car tombe et elle de retrouve coincé dans une marre d'élèves qui n'ont pas la moindre envie de l'effleuré. Et pour la première fois, elle se relève.

Phrase: La porte s'entrouvrit
lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Merci, c'est très gentil ! :D

La porte s'entrouvrit dans un grincement qui aurait parut sinistre à toute personne normalement constituée. Pas moi; je me tournais vers la porte ouverte sur le couloir.
- Tomy, c'est pas drole, arrête d'ouvrir ma porte.
Je l'entendis pouffer de rire et la porte se referma comme elle s'était ouverte. Toute seule. Je me retournais vers mon ordinateur, mis mon casque sur mes oreilles et montait le volume de la musique. Au bout de quelques minutes, je levais les yeux de mon ordinateur. Ma porte était grande ouverte. Encore. Je retirais mon casque violemment. J'en avais assez ! Il savait que je ne voulais plus qu'il joue à ça ! J'allais jusqu'à l'embrasure de la porte de ma chambre.
- Toommmyyy !!!!!! Si je t'attrape tu vas passer un mauvais quart d'heure !!!!!
Une porte s'ouvrit à l'autre bout du couloir. Il se cachait surement là-bas. Je sortis de ma chambre et allais pousser la porte menant à la cuisine. Dans ma colère, je dû claquer ma porte... à moins qu'elle ne se soit fermer toute seule...
La porte beige à poignée doré qui menait à la cuisine refusait de s'ouvrir. Je poussais de toute mes forces. Rien.
- Ouvre-moi cette porte ! A quoi est-ce que tu joues, bon sang ?
Toujours pas de réponses, étrange, mon frère avait beau prendre un malin plaisir à me faire tourner en rond, ce n'était pas son style de faire ce genre de blague.
Je me plaquais contre la porte et poussais de tout mon poids et... m'écroulais. La porte venait de s'ouvrir dans un grincement caractéristique aux porte de notre maison. J’atterris sur le carrelage rouge de la cuisine. Le nez dans un liquide...Mais... Le carrelage de la cuisine n'a jamais été rouge... Je regardais autour de moi avec affolement. Le sol blanc avait viré à un rouge, le mur avait rosie, l'eau qui gouttait de l'évier ressemblait à du sang... Je me relevais et avançais. Il y avait quelque choses sur le sol. Un... un c... Un corps... Je reconnus celui de mon frère, baignant dans une flaque rouge. Soudain, un ombre traversa mon champ de vision, un homme dont je ne pouvais distinguer les traits tenant un couteau à la main. Je reculais. La porte s'était fermée derrière moi. J'essayais de forcer les poignées. Rien à faire. Je me retournais vers le tueur. Je remarquais que mes manches étaient tachées de sang. Puis ce fut le grand noir .................................................................................................................................................................................................................................................................................................. Je me réveillais en sursaut. Je n'aurais peut-être pas dû regarder se film hier soir. Je poussais un soupir. Quel rêve ! Je sortit de ma chambre sans un regard en arrière et partit prendre mon frère dans mes bras. Je ne remarqua pas mon tee-shirt mis en boule sur le sol dont les manches étaient ensanglantées...


Phrase suivante:Une vague déferlante
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

Lectrice en herbe: ton texte est... Vraiment je sais pas quoi dire il est si... Réaliste j'étais vraiment dans la peau du personnage et cette phrase à la fin, vraiment je suis impressionnée très beau texte !!

Une vague déferlante s'abattit sur nous, je n'eus pas le temps de regarder mon père, la canne à pêche avait fait un drôle de bruit et sans qu'on n'ait pus rien faire, avait emmener violemment le bateau au beau milieu de l'océan à un vitesse incroyable, un poisson avait mordu à l'hameçon, un poisson énorme, pas une baleine, la vitesse ou il allait dépasser bien plus les 50km/h. Non ce n'était pas un poisson comme les autres. La vague transperça la coque du bateau, le poisson était toujours à l'autre bout du fil mais semblait prendre une pose, son hystérie l'avait perdu. L'eau se mît à noyer le bateau ainsi que tout les objets présents dessus. Un noeud se forma dans mon ventre. L'eau nous inonda et nous sombrâmes bientôt dans la mer. Le gros poisson sortit de l'eau, son titre d'inconnu semblait l'avoir lassé. Je regarda pour une dernière fois mon père et mon petit frère. Le poisson était aussi gros qu'un requin mais ça n'en était pas un. Il avait de nombreuses nageoires toutes différentes et bien repartit sur son corps. Il avait des écailles, verte et rouge, mais le rouge fondit et on pût apercevoir le vert qui remplaçait le sang luisant. Ses yeux était d'un gris perçant et sur son front ou pouvait voir une antenne d'une dizaine de centimètres. Il ouvrit sa gigantesque gueule qui devait faire au moins le tiers du reste de son corps, nous pûmes observer ses longues dents pointu, j'entend par la, pas trois mais des milliers de dents, toutes plus impressionnantes. Je prit le canif que je gardais toujours sur moi, avec l'eau, il allait rouiller, mais peu importe, il en va de notre survit... Je prit mon courage à de main et mon pouls eu une soudaine montait d'adrénaline, il se déchaîna dans ma poitrine. Ma respiration devint plaintive et vite je sombrais dans une crise d'angoisse. L'eau m'arriva bientôt en haut de la bouche. Je respirais difficilement. Mon nez suivit le mouvement ainsi que mes yeux qui refusais de se fermer. Mon couteau transperça ma chaire. Je sombrais lentement dans l'abime qui m'avait appris à vivre, l'eau était ma passion et elle me noie tout entier. Je sentis mon corps se paralysé. Et d'un coup, tout ce détendit, je fermai les yeux, relâcha l'étreinte de mon couteau et laissa retomber mes bras sur mes hanches. Et tout me parut blanc, je n'eus pas besoin de respirer, l'eau encombrer trop mes poumon, tout devint cendre, et moi aussi.

Phrase: l'elephant fonça
lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Merci Beaucoup !!! :D J'ai juste un élan d'inspiration :oops: :D

L'éléphant fonça. Il n'y avait rien à faire. Pourtant le touriste que j'accompagnais, partit en courant. Je l'observais découragé, il n'avais fait que ce cacher depuis le début de notre voyage. Qu'attendait-il donc de ce safari ? Il m'avait pourtant forcé la main pour entrer dans cette réserve. Tant pis pour lui.
Les pattes de l'éléphant frappant le sol avec force me ramenèrent à la réalité. Il n'était pas très loin, pas suffisamment pour me laisser le temps de la fuite.
Je repensais à Anya, la femme que j'aimais plus que tout qui m'avait bien défendu de faire cette expédition. Son odeur épicé et douce à la fois, tellement... Enivrante. Oui, c'était le mot. Pourquoi ne l'avais-je pas écouter ? Elle l'avais toujours trouver le moyen d'avoir raison. Je revoyais son petit sourire victorieux à chaque fois que je finissais par lui donner raison. Un sourire qui découvrait ses dents de devant d'une blancheur immaculées. Et puis il y avait ma petite déesse que j'avais abandonné. Un élan de tristesse me serra le coeur, je n'allais peut-être plus jamais la revoir. Je me revis, la tenant par sa petite main d'enfant de cinq ans au bord du lac. Le rire cristallin qu'elle avait hérité de sa mère. La douceur au fond de ses magnifiques yeux vert lorsqu'elle me racontait ses journée, l'émerveillement lorsque je lui racontais une histoire. Et dire que j'allais tout perdre pour une simple somme d'argent. Je repensais au dernière parole que j'avais échangé avec la femme que j'aimais tant. Elle s'opposait à ce safari, en connaissait les risques autant que moi, et avait menacé de mettre fin à notre relation. Bien sûr, elle ne pensait pas un mot de ce qu'elle disait, c'était des principalement des paroles de désespoirs. Je le savais pour l'avoir lu au fond de ses yeux qui me fixait, ils était alors empli de larmes. Comment avait-je pus lui en vouloir ? Comment avais-je pus penser du mal d'elle ?
Je méritais le sort qui m'attendait. J'ouvris les bras en direction de l'éléphant qui accourrait en ma direction, ses défenses en ivoire bien dressé. Une larme roula sur ma joue.
-Je suis désolé, murmurais-je.
C'est à ce moment là que le choc survenue. Je me sentis soudainement écrasé.
- Mais vous êtes malade ! Vous faisiez quoi là ? Vous vous suicidiez, je ne me trompe pas !
Cet homme avait beau être un parfait abruti et un peureux confirmé, il m'avait sauvé la vie. Je poussais un soupir et, sous son regard ébahi, le serrais dans mes bras.


Phrase suivante: Hey, miss, relâches-moi !
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

-Hey miss relâches moi !
Je le tenais pas la manche, son pull gris claire émit un "crac". Mais je n'en fit rien, cette homme était l'homme qui avait, sans même se poser de question, assassiné mon père à coup de hache, et il voulait que je le relâche. Qu'il aille se faire voir si ça lui chante, mais jamais je ne le laisserais partir, pas après tant d'année, pas après tant de souffrance. Mon père était un dealer très renommé et cet homme, un client, Joe Mystère, c'était ainsi que mon père l'appelait, par ce qu'il ne montrait jamais son visage. Joe n'avait pas eu sa dose de crac, il s'en était pris à mon père, et quoi qu'il puisse faire, c'est à lui que je m'en prendrait. Il allait payer son addiction. Il allait payer sa violence.
 Je le Tira violemment vers moi, son visage était toujours camouflé, mais je pus deviner qu'il n'était plus tout jeune. On pouvait remarquer Une taches blanche sur le dos de sa main, une tache de naissance sans doute, mais bizarrement elle ne m'était pas inconnue. Je le pris à part et lui mît mon revolver sur la tempe. Je me sentis soudainement d'une grande puissance, plus que toute celle qu'il a emmagasiné dans toute sa vie. Je savourai ce moment, cette joie installé en moi, mais il y avait autre chose... Sa cagoule. Je la tirai délicatement. Je ne savais pas qui il était, et instinctivement, sa chevelure m'avait l'air familière, je lui tournai la tête pour le voir. 
Non. Non. Non. Ça ne pouvait pas. Il était mort. Il était mort. Il était mort ! 
Mes larmes montèrent, ma gorge rougit, Je déglutis lentement, le temps d'avaler ce que je venais de voir. Sans même comprendre, mon doigt appuya dur la détente. Je vis du sang, du rouge intensément flasque et luisant. Mon père cria sans comprendre ce qui c'était passé, sans comprendre qu'à cause de lui, je m'étais tuée.

Phrase: Tout devint blanc
lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Wahou ! Super texte !

Tout devint blanc. Blanc nacré. Éblouissant. Je plissais les yeux, aveuglée par la blancheur trop vive à mon goût. Je devais être en plein rêve. Mais quel rêve ! Un espace semblant infini, d'une blancheur immaculé. Au loin, une lumière passait de temps en temps, un phare peut-être. J'essayais d'avancer mais mes membres étaient engourdis. Je m'aperçus que je ne respirais pas. Je n'en avais tout simplement pas besoin. Soudain, je sentis le sol sous moi. Je devais être allongé. L'herbe s'enfonçait doucement sous moi. De l'herbe ? Je ne savais pas. Tout ce que j'aurais pu dire aurait concerné la douceur de l'endroit où j'étais allongée. Un lit ? Peut-être mais qu'aurait fait un meuble dans un lieu telle que celui-ci.
Soudain, j'ouvris la bouche, cherchant ma respiration comme un poisson hors de l'eau. Je suffoquais pendant quelque secondes et une image me revint. C'était moi. Je venais de me disputer avec ma meilleure amie. Je traversais la route d'un pas furieux et attristé sans regarder à ma droite ni à ma gauche. Puis... Choc. Douleur.
Je parvins à prendre une grande respiration et fus comme... expulsée de l'endroit où je me trouvais.

-Elle s'est réveillée !
- Oh ma chérie, est-ce que tu vas bien ? J'ai eu tellement peur.
- Écartez-vous nous devons l'examiner.
- Je peux rester, c'est ma fille tout de même ! s'exclama une voix indignée
- Vous reviendrez après. Nous n'en avons pas pour très longtemps.
- C'est n'importe quoi !
Un bruit de pas s'éloigna de moi, une porte claqua, j'étais de retour.


Phrase suivante: le monstre se trouvais devant elle, souriant de toute ses dents, un filet gluant dépassant d'entre la multitude de croc.
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

Merci !!!!

 le monstre se trouvais devant moi, souriant de toutes ses dents, un filet gluant dépassant entre la multitude de croc. Je lui jetais un regard dégouté, pourquoi étais-je venus ici ? Peut être par curiosité, mais j'admet que c'était franchement stupide. Le parc est remplis d'animaux ou plutôt, de monstres complètement dévisageaient. Certains sont violets avec des canine taillées en pointe, des jambes longues, même très longues et des yeux qui sortent de leur orbites. "le premier zoo entièrement consacré aux monstres préhistorique" disait la pub dans le journal. Mais tous ce que je vois c'est des animaux tristes, enfermés dans un cage bien trop petite pour leur corps gigantesque. Mais qu'est ce qu'ils avaient en tête ? Qu'une multitude de gens aussi insensés comme moi viennent admirés ses pauvres créatures ? Je continue mon ascension espérant trouvé une espèce isolée intéressante, je marche pour au final trouvé un bébé monstre, minuscule, tout bleu, les poils hérissé et une petite touffe sur la tête. Ses yeux vert font pitié et sa bouche en cœur donne tout de suite chaud au mien. Le pauvre. Je lance un regard autour de moi, cherchant quelqu'un mais ne voit personne, je regarde alors en direction des endroits ou une camera serait la bienvenu, mais le parc semble trop ressent pour que des personnes s'en intéressent. Je prend mon courage à deux mains et cherche l'entrée de la cage. Quelques minutes plus tard, j'aperçois une petite porte qu'utilise les soignants pour entrer dans le box. Je m'y glisse tel un lynx et trouve le petit bébé allongé dans une flaque de feuilles. Je m'avance doucement pour ne pas lui faire peur. J'arrive enfin à son niveau et le vois me dévisageais. Je lui lance un regard amusé, mais il ne me rend pas la pareil et s'écarte. Je le prend délicatement dans mes mains, il n'oppose aucune résistance ce qui me facilite la tache. Je me retourne, l'animal en mains et me jette dehors. Je referme la porte et court en direction de la sortie. Par chance, personne ne vois le spécimen. Je me rue dehors et à ce moment. Le bébé que je pensais inoffensif ouvre son énorme gueule pour me laisser entrevoir le nombre de festin qu'il à engloutis. Je me rappelle alors ce que le gardien du zoo m'avait dit "faites attention, ne vous laissez pas berner, certains animaux dont un plus précisément, on des têtes adorables, mais quand on voit ce qu'il mange en une journée, on arrive presque à les redouter." ces mots tournent dans ma tête. Et puis je me souviens du nom de l'animal qu'il avait prononcé à la fin de son discours le même que celui que je tiens dans les bras "le prince aux yeux rouge".

Phrase: "Il pris les deux paquets."
lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Il prit les deux paquets, en glissa un sous son bras et l'autre dans sa sacoche. Bien sûr, ce petit garçon âgé de 11 ans tout au plus ne pouvait pas se douter de ce qu'il trimballait avec lui. Il enfourcha son vélo rouge, tint le premier paquet dans ses mains quelques secondes puis l'ajouta avec mille précaution dans sa sacoche de cuir clair. Inconsciemment, il caressa le cuir de bout des doigts. Il commença à pédaler férocement. Il voulait gagner l'argent qu'on lui avait promis. 50 euros très exactement. Tout ce qu'on lui demandait c'était de ne pas poser de question et de faire ce qu'on lui avait demandé. Cinquante euros c'était une véritable affaire, pensait-il, il s'imaginait entrer dans le magasin de jeux vidéo et acheter le jeux qui le faisait rêver depuis si longtemps. Il voyait déjà le regard éberlué du vendeur qui ne voyait en lui qu'un pauvre gamin sans un sou en poche. Il sourit perdu dans ses pensées et sa roue dévia un peu sur la route. Il se concentra, il fallait tout d'abord qu'il les gagne.
Bien sûr, jamais ce petit garçon ne se serait douter des ennuis dans lesquels il venait de se fourrer. Jamais il n'aurait chercher à savoir ce qu'il y avait dans ses paquets. Ni ce qui produisait un si étrange bruit à chaque virage dans sa sacoche. Jamais il n'aurait pu se douter de l'utilité de ces deux paquets. On lui avait demander de les récupérer et de les emmener dans un lieu sûr.
Pour cela, il fallait tout d'abord qu'il prenne le tramway. Le petit garçon, cacha son petit vélo à la planque habituelle, jamais personne ne l'avais trouvé jusque là. Puis sa sacoche toujours bien calée contre sa côte gauche, il descendit la multitude d'escalier, emprunta les divers couloir souterrain qui menait à la tram 4. Il y monta. A l'intérieur, il s'assit sur un siège miteux au rebord inconfortable. Un homme passa à côté de lui, le regardant avec insistance. Le garçon préféra l'ignorer, fixant droit devant lui, il pressait la sacoche contre sa poitrine. Un étrange tic tac s'en élevait. Le passant l'avait très bien entendu. Il interpella le petit garçon qui fit mine de ne rien avoir entendu. Il l'attrapa par le bras. Le garçon se leva avec brusquerie et s'éloigna d'un pas.
- Mon garçon, tu as un bien beau sac, tu pourrais me le montrer ? l'interrogea l'homme avec méfiance
- Ce n'est pas un sac mais une sacoche, maugréa le petit garçon.
Il sursauta en s'apercevant qu'il avait parlé à voix haute.
- Excusez-mon monsieur, mais il me semble que je n'ai pas à vous montrer ce qui ne vous appartient pas.
L'homme fronça les sourcils. Que pouvait bien garder un petit garçon comme celui-ci de si précieux ? Surtout un garçon comme lui. Avait-il volé quelque chose ? Pour savoir, il se jeta sur la sacoche et l'ouvrit déversant le contenue sur le sol du wagon. Pris de surprise, le petit garçon ne réagit pas tout de suite, laissant le temps à l'homme de récupérer l'un des paquets tomber sur le sol. Il déchira l'emballage sans se soucier du gamin qui tentait de lui reprendre le paquet. A l'intérieur, un assemblage étrange d'un réveil et d'une multitude de fil. Il ouvrit grand les yeux, jeta la "chose" loin de lui. Les bombes explosèrent.
Personne ne sut pour qui le malheureux garçonnet avait agit. Personne ne sut ce qui l'avait poussé à agir ainsi. L'explosion prit par surprise, au moment où les porte s'ouvrait afin de laisser entrer des centaine de personne dans le wagon. Je vous laisse deviner le nombre de mort suite à cet attentat.


Phrase suivante: La faible lumière qui suivit s'éteignit brusquement.
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

Youuuu super !!!


La faible lumière qui suivit s'éteignit brusquement. Un bourdonnement insistant s'immisça dans l'air. Une multitude de clignotement se firent voir dans la pièce. L'homme à la capuche verte reversa un vase, il ne s'attendait pas à être à ce point surpris en fouillant cette vieille maison délabré. 
-Aaaaaaaar !
La voix retentit dans la maison, une fillette venait d'entrée dans la salle, provoquant la peur du voleur. Elle avait du sang sur le visage, et mystérieusement, son corps avait de nombreux hématomes et coupures. 
-Je... Merci. Murmura t-elle d'une voix qu'on aurait dit inaudible. 
-Que... Qu'est-c'tu fais la petite ! Tu devrais être tranquille dans ton lit à compter les moutons !
-Monsieur... Ça fait 3 mois que je n'ai pas été dans un lit. Ça fait 3 mois que j'attends que quelqu'un entre, il m'a enfermé, il m'a torturé, violé, il m'a rendu folle. 
-Il ? 
-Oui... Il va bientôt venir. 
L'homme était complètement abasourdi, la fille était maigre, un vraie squelette, et elle arrivait à parler normalement. 
-Écoute petite, j'ai une idée, tu vas retourner chez toi tranquillement et tout sera terminé ok ? Aller, vas y, tu as juste fais un cauchemar, tu es sans doute une petite somnambule, aller part !
Elle resta sans bouger, une petite robe bleu imprégnait de boue lui couvrait la moitié du corps, elle devait avoir 10 ans tout au plus. Son imaginations devait lui jouer des tours. L'homme s'approcha doucement, avec précautions. Il lui couva les bras avec son foulard et le pris dans ses bras. La sortie de cette immense demeure abandonnée ne devait pas être loin. Il parcourut quelque mètre et entendit un craquement derrière lui. Il se retourna et aperçus l'inimaginable. Des dizaines d'enfants se trouvaient dans le même état que la fillette, tous était maigre, recouvert de blessures, le corps sale et boueux. Il émit un grincement de dent. Cet homme, un voleur depuis plus de 10 ans, se retrouvait dans un sauvetage d'enfant. Le type qui les avait enlever devait être un sacré malade. 
-Bon alors, vous allez tous vous mettre en file indienne et marcher sur la pointe des pieds, je veux rien entendre, chuchota t-il.
Ils s'installèrent comme l'avait dit l'homme et commencèrent leur ascension. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent devant une immense porte, l'homme l'ouvrit délicatement et laissa passer un par un chaque enfant. Le dernier franchit la porte à la vitesse de l'éclaire. 
Un bruit de moteur se fit entendre à l'arrière de la maison et le voleur décida d'accélérer le pas tout en prévenant la police de trafique d'enfant et du lieu. Ils se glissèrent tous sur le trottoir tel une petite colonie sur le chemin des vacances. Une fois arrivé dans un lieu civilisé. L'homme ne pus s'empêcher de sortir un long soupire de soulagement. Enfin. 


Phrase suivante- Le score était de 1 à 25
lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Le score était de 1 à 25. Les joueurs des deux équipes se regroupèrent sur le côté du terrain. Le capitaine leur hurla une suite d'ordre, une main tendu vers le stade. Mes coéquipiers attrapèrent chacun une épée ou un coutelas sur le bord du terrain et nous nous élançâmes sur celui-ci.
Le terrain, un ancien stade de foot dont La moindre parcelle d'herbe et remplacé par un sable qui s'infiltrait dans le moindre recoins, était seulement occupé par notre équipe. Très peu de personne regrettait les anciens sports comme le basketball ou le football (qui étaient considéré comme démodés), je fais partis de ceux-là. Je tirais nerveusement de ma main de libre sur mon tee-shirt rouge bien trop grand pour ma frêle ossature. Jamais je n'avais voulu me retrouver là à jouer au "Hitball" mais ce sport était devenu obligatoire.
Le principe de ce jeu ? C'est très simple, un ballon était placé au centre du terrain, surélevé 5 mètres et nous avions l'obligation de le récupérer et de le ramener de notre camp. Un jeu qui aurait pu être amusant si on y avait pas ajouté l'obligation de tué. Et cela va peut-être vous étonné mais certain se prennent au jeu et y prennent même un certain plaisir.
Dans ma main, le poignard semblait lourd et menaçant. Je serrais le manche incurvé entre mes doigts et remarquais qu'il était taché de sang. Je frémis en l'imaginant fiché dans la chair d'un personne. J'étais incapable de tuer, mais j'allais y être obligé. Je m'explique, lors des premiers jeux précédent la loi l'obligeant au homme de dix-huit ans, certain se sont rebellé ont refusé de se prêté au jeu, ils sont tous mort. Depuis, chaque participants doit tué au minimum une personne ou mourir.
L'équipe adverse prit place. Je me sentis soudain très petit, à quelques exceptions près, ils avaient tous une carrure colossale. Les tee-shirts bleu qu'ils avaient dû enfiler, n'étaient pas trop grand. C'était L'équipe. Fondé par ceux qui aimait ce sport. Il gagnait à tous les coups.
Je marmonnais une injure entre mes dents étroitement serrées lorsque le sifflet strident retentit. Les monstres face à nous se mirent en marche tel une immense arme mortelle. En moins de deux ils étaient sur nous. Les épées se fracassaient les unes contre les autres. J'essayais de reculer, profitant de capharnaüm pour m'esquiver. Un homme particulièrement grand au tee-shirt bleu enfonça son épée dans le ventre de son adversaire dans un affreux bruit de chair déchiré. Celui-ci s'effondra, les mains plaqué sur le bas de son ventre. Je me mis à courir. La seule solution, c'était le ballon. Un bruit de pas derrière moi. Une respiration. Une dague siffla dans l'air près de mon oreille, je l'esquivais de justesse. Une deuxième derrière mon crâne, je plongeais dans une roulade dangereuse pour quelqu'un poursuivis comme moi, me redressais le souffle court. J'étais encore en vie pour l'instant. L'homme derrière moi était proche. je raffermis ma prise sur mon poignard, me retournais et lui plantais dans le cœur. Après avoir murmuré des excuse que personne n'entendis je repris ma course. J'y étais presque. Le ballon s'élevait loin au-dessus de moi. Je commençais à escalader, plus rien n'importait que le ballon. Je ne voyais que lui. Mon pied glissa mais étrangement, je retrouvais une prise. Je ne fis même pas attention à ce détail et attrapais l'objet à présent à ma porté. Je le calais sous mon bras, fis demi-tour pour sauter et... me retrouvais face à l'un des rares homme de l'équipe bleu dont l'ossature n'avait rien de particulièrement impressionnante. Un sourire carnassier s'étendit sur son visage. Je lui donnais un coup de tête. Il s'effondra à mes pieds, je fus pris d'un léger vertige. Non pas maintenant. Je secouais la tête pour me ramener les deux pieds sur terre et couru. Mes coéquipiers étaient tous étendu sur le sol, dans des positions parfois effroyable. Je détournais le regard et accélérait. J'avais le souffle court lorsque une main agrippa ma cheville. Je m'effondrais. Au-dessus de moi, un bleu s'éleva. Je vis à peine l'arme se lever que soudain une douleur brulant me parcouru la poitrine. J'y jetais un coup d’œil, un poignard y était planté jusqu'à la garde. C'était fini. Le tee-shirt azuré récupéra le ballon toujours coincé sous mon bras. Ma vision devint flou tandis que ma respiration n'était plus qu'un râle. A présent le score était de 1 à 26.

Je suis désolé si j'en ai trop mis :oops:
Phrase suivant: La goutte transperça ce qu'elle toucha.
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

Punaise mais nan, c'est super, j'étais trop dans le truc dans la tête c'était "aller vas y, vas au bout" franchement c'était hyper bien ! Félicitation xD

La goutte transperça ce qu'elle toucha, c'est à dire, moi. Jamais je n'avais autant souffert. Un pas s'approcha, ça faisait au moins vingt heures que des gouttes d'acides me rentraient dans le corps, ou plus précisément, le ventre. Les pas se rapprochèrent encore mais ma faiblesse m'empêcha de me retourner pour voir son visage. Mon cou était meurtri par la chaîne qui avait pour but de me pendre si je faisais un pas devant moi, mes mains était enchainées ainsi que mes pieds et la seule vue que je pouvais avoir autre que mon corps en sang, c'était d'autre corps en sang, mais eux, étaient mort. A ce moment, je ferais tout pour être à leur place, c'est bien mieux que de se faire torturer dans une salle rempli de cadavres. Les pas s'arrêtèrent au niveau de mon dos et je sentis un souffle chaud effleurer mon crâne sans cheveux. 
-Qui... Qui êtes vous ?... 
Ma voix était aussi faible que mon énergie, et pour l'entendre, il aurait fallut plus d'un micro.
-Je suis la, tout va bien, on va sortir de la. 
La voix m'était vaguement familière, c'était une voix grave, masculine, dans le tons on aurait pus penser à un dur à cuire se penchant sur sa victime, mais ses mots n'avaient rien de menaçants.
-Je... C'est... Pas possible. 
Il prit la corde qui me tiraillait le cou et la passa sur ma tête pour au final, la laisser pendre dans mon dos. Il détacha les liens aux jambes et aux bras. Sans même le savoir, un filet de larmes me glaça le visage. Je me touchai les poignets, enfin libre et puis les chevilles. Tous avait une marque rougeâtre mélangée à du bleu qui formait un cercle autour de mes articulations, je garderais pour toujours un souvenir monstrueux de ces heures passaient dans une salle infestée de cadavres et d'insectes infectes. Je me levai, mais retombai aussitôt sur le sol froid. Mes jambes étaient trop frêles pour marcher. Je me mis à quatre pattes et commençai à marcher. L'homme me pris dans ses bras, son buste laissait penser qu'il avait passé plus d'une heure dans les salles de musculations. Son corps d'athlète n'en était pas pour le moins vide d'énergie. Son souffle se faisait irrégulier et haletant. Une cagoule m'empêchait de voir distinctement son visage, seule ses yeux était visible, des yeux noir, remplis de haine et de souffrance. Cet homme avait dû être martyrisé, il avait dû être comme moi torturé, je remarquai plusieurs marques de fouet sur son cou et des hématomes horriblement violet. Il m'emmena dans une salle vide, les murs étaient gris, Il n'y avait que ça, des murs gris.
-Vous m'avez sauvé la vie. Pourquoi encore vous cacher...? 
-Par ce que.
J'émit un grognement et me cala sur son épaule. 
-Écoute Nick, je... Je suis ton assassin, on m'a obligeait, ne m'en veut pas s'il te plait, j'ai été torturé comme toi, et c'est le seul moyen pour qu'on puisse tout les deux retrouver notre liberté. 
Ses mots me frappèrent violemment. Pourquoi ? 
Il enleva sa cagoule et je vis son visage blafard, presque dévisageait par les coups qu'il avait dû enduraient. Mon frère. Non. Non. Non... 

Désolé c'est un ou répétitif ^^
phrase: Des yeux noir luisaient dans le noir
lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Des yeux noires luisaient dans le noir. Je reculais effrayer. On me bouscula et je tombais sur le matelas de mon lit. Un rire. Evidemment, j'aurais dû m'en douter. J'attrapais une lampe sur ma table de chevet et l'allumais dans les yeux de mon meilleur ami. Un large sourire étirait ses lèvres.
- Et tu trouves ça drôle ! J'ai eu peur ! C'était tout sauf amusant.
Il explosa de rire. Son visage était rendu blanc par la faible lumière de ma lampe.
- SI c'était très drôle et tu le sais très bien. murmura-t-il.
Je ne pus m’empêcher de rire avec lui, il avait toujours eu un rire contagieux.
- Excuse-toi, lui ordonnais-je d'un ton qui se voulait impérieux mais qui fut surtout amusé.
- Certainement pas Mademoiselle.
Je me jetais sur lui et le chatouillais jusqu'à ce qu'il me demande grâce. Il levais les main et agita son tee-shirt en l'air comme un drapeau blanc
- D'accord, je suis désolé de t'avoir fait une si bonne blague (je ris et lui donnais un coup de coude)... Ben quoi, je me suis excusé, non ?
- Mouais si on veut...
Je m'assis à côté de lui. La lampe l'éclairait toujours, ses yeux marrons brillaient à la lueur de la torche, et ses cheveux blond comme les blés était en bataille. Il était appuyé sur les coudes. Lorsqu'il s'aperçut que je le regardait, un sourire vint faire trembler ses lèvres.
- Dit, il faut que je te dise quelque chose. murmura-t-il
Il était redevenu sérieux, ce devait être important.
- Je suis toute à ton écoute, m:on cher. dis-je en espérant le faire sourire.
Je réussis... à moitié. Il eut une ébauche de sourire mais s'en tint là.
- On est ami depuis combien de temps ? me questionna-t-il
-Oula, je ne sais pas..... quatre ou cinq ans, peut être plus... Pourquoi ça ?
Il était beau, le regard perdu dans les vagues. En y réfléchissant, je crois que je l'ai toujours trouvé beau. Mais jamais je lui en aurais parlé.
- Il faut que je te dise... Je crois que...
C'était ce que je croyais ? Il allait me dire qu'il m'aimait ? Je sentis mon coeur se gonfler de joie.
- Oui ?
Je dû prendre un ton un peu trop enjoué, car il me regarda de travers.
- Je crois que... J'airencontréunefille.
Non, j'avais dû mal comprendre. "J'ai rencontré une fille" " J'ai rencontré une fille" "Jai rencontré une fille" " J'ai rencontré une fille"
Ces mots tournaient dans ma tête, dans mon coeur, détruisant tous sur leur passage.
J'essayais d'être heureuse pour lui mais je n'y arrivais pas.
- Elle le sait ? osais-je demander
- Pas encore. Mais cela ne saurait tarder.
- Je le connais ?
- Plus que tu ne le crois.
Je le regardais sans comprendre.
- Bon alors, crache le morceau ! C'est qui ?
Il me fixa une seconde, m'attrapa par les épaules comme il le faisait souvent lorsqu'il avait besoin de soutient, et m'embrassa.


Phrase suivante: Elle rigolait au éclat juste avant de mourir.
Vava21

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Vava21 »

Elle rigolait au éclat avant de mourir. Il y a quelques instants, ses yeux bleus brillaient dans le noir. Elle me disait encore son avis sur le film que l'on venait de regarder. C'était bien la troisième fois, alors je ne l'écoutais plus mais je la dévorais du regard. Je sentais son corps appuié contre le mien. j'avais l'impression que ce moment était passé depuisdes années même si je me souviens encore de ses lèvres sur les miens. Tout cela me parraissait lointain. Maintenant, elle se tenait toujours contre moi mais son corps était mou et lourd car je la soutenais. Plus aucun son ne sortait de sa bouche en pétale de rose, j'aurais préférer qu'elle continue à parler, à donner son avis. Ses joues perdaient peu à peu leur couleur rosé. J'étais figé, impossible de bougé. La seul chose qui semblait grandir a vu d'oeil était la tache de sang dans le dos de ma petite amie. J'avais essayé de la réanimé, de la ramenné vers moi, je lui parlais. Malgré tous mes efforts, elle était partie.
Quelques minutes avant, on sortait du cinéma, quand une ombre est passé juste derrière mon amie. Je n'ai pas eu le temps de voir quoi que ce soit que ma petite amie s'effondrait avec un grand cri. je n'avais rien vu venir, juste une lame qui brillait dans le noir, c'est tout. On sortait juste du collège, on était parti au cinéma, une sorti prévu depuis longtemps, mais maintenant, il n'y en aura plus.
Mes larmes coulaient toujours sur mes joues. Pourquoi ? La cause de cet assassinat, car c'en était bien un, m'étais inconnu. Je sortais avec cette fille depuis tout juste 1 an, quand mon bonheur est parti d'un seul coup. Tout avait été prévu car le meurtier savait qu'elle serait ici, il savait ou taper. Je serais contre moi le corps de mon amie, puis je l'alongeais sue le sol, a l'entré du cinéma. La rue était vide a cette heure-ci. Je sorti de mon sac ma trousse ou je trouvais ma paire de ciseaux. dés l'instant ou la vie avait quitter son corps, je voulais l'accompagner. Je m'allongeais près d'elle, m'ouvris les veines de mes deux poignets. Le sang coulait a flot et allait se mélanger avec celui de mon amie.Je posais alors mes lèvres sue les siens. puis dans un dernier soupir je parti la rejoindre.


phrase suivante : La pluie tombait dehors, en un bruit rassurant.
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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

Le mec est vraiment émotif dans ton truc xD

La pluie tombait dehors, en un bruit rassurant. Mon sommeil se mélangea à toutes les pensées qui m’empêchaient de dormir.
Cette mélodie me donna des frissons tout en me berçant dans cette nuit qui semblait pourtant interminable. Je sentis mes paupières se fermer et mes rêves approcher.

Un bruit strident retentis soudain. Une bouteille claqua sur le bitume devant ma rue. Un homme hurla des mots incompréhensible.
Des pas s'approchèrent et une voix féminine, sereine et douce intervint dans les cris de l'homme.
Je me logeais devant ma fenêtre afin de saisir les informations que celle-ci dévoilaient, mais n'obtint que des paroles inaudibles.
L'homme commença à poussait des gémissements s'en suivit par des pleurs. Un silence s'installa soudain dans la ruelle.
La femme poussa un cri de surprise. Qu'avait fait l'homme ? Je ne le saurais sans doute jamais, ma peur d'ouvrir les volets se confondis à celle d'être surprise en train de les écouter. Il ne semblait y avoir personne dans cette rue à part eux.
Elle lui parla plus distinctement cette fois et je réussis à entendre une partie de son discours: "Lâche-ça, Dis t-elle entre deux reniflements, la voix angoissée et désorientée. Je t'en supplie, ne fais pas ça, je... Écoute moi, tu vas t'en sortir OK ? Tu vas te remettre de tout ça, mais je t'en conjure, lâche ce flingue !" L'homme poussa un cri effroyable et j'entendis des débris de luttes, la femme se mit à courir, ses pas résonnaient sur le sol, elle devait sans doute portait des talons. Un bruit de chute me parvenu.
Pendant quelques minutes, je n'entendis rien d'autre que des pas lents et effrayants. La femme sanglotait, elle n'arrivait pas à se remettre debout.
"Je... Je t'en supplie..." Sa voix fut lasse, désespérée, elle murmurait presque l'homme se rapprocha encore d'elle. "Tu m'as mentis, dis t-il d'un ton décidé. Tu mérites que je tire." Un son retentis, un son sourd.
Sans même le voir, je sus que le sang de la femme dégouliné sur le sol, je sus que le revolver était sur le point de tomber des mains moites du malade qui se tenait bien droit, en larme devant un corps livide.

Phrase suivante: La chenille grimpa lentement.
lectrice-en-herbe

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

La chenille grimpa lentement. En une seconde, elle avait déplacé son corps de quelque millimètres seulement.
Cette même seconde, un homme tomba à terre pris d'une crise cardiaque, les mains plaquées contre sa poitrine, un expression d'agonie sur ses traits.
Ailleurs, un bébé est né et ses cris se répercutent dans la chambre d'hôpital tandis que l'infirmière tient à bout de ce petit bout d'homme encore ensanglanté. " C'est un garçon " cri-t-elle au heureux parents.
Plus loin encore, une femme se marie. Souriante, accrochée au bras de son futur époux, sous les regards de ses invités. En une seconde, elle a le temps de faire un pas dans sa longue robe blanche. Elle a l'air heureuse.
Si on changeait encore de lieu, on pourrait voir dans cette même seconde, un homme attraper un couteau. Un plan machiavélique en tête. Chez elle son amante, ne sait pas encore ce qui va lui arriver. La malheureuse.
Un homme quitte sa femme, qui s'éloigne de lui des larmes remplissant ses yeux. Lui, ne sait pas non plus, ce qu'elle fera par la suite, ayant perdu toute raison de vivre. Il s'en mordra les doigts et la rejoindra. Mais ça... il ne le sait pas encore.
Un papillon sort de sa chrysalide, déployant ses ailes majestueuses. Déclenchant ainsi, l'émerveillement d'une petit fille.
Et puis, il y a moi, assise derrière mon ordinateur à vous relatez les fait et gestes de différentes personnes. Mes cheveux blond remonté en une couette bien serré. Mes doigts frappant le claviers en une musique monotone et froide. Mes yeux rivé sur l'écran.
Une seconde. Une seconde pour des milliers de chose. Une seconde pour passer de l'agonis, à la joie, au bonheur pur et simple, à la mort, la tristesse, l'émerveillement...
Quand à notre chenille, sa seconde est passé depuis longtemps, quand un oiseau passe, l'a récupérant au passage pour nourrir ses petits. Une vie se termine, d'autres commence.
Une seconde.


Désolé, c'est pas génial...
phrase suivante: Le soleil descendait lentement pour aller se cacher derrière le bosquet d'arbre.
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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Vava21 »

Le soleil descendait lentement pour aller se cacher derrière le bosquet d'arbre. La nuit commençait a tomber. La maison était sombre, toute la famille dormait. Le chien gémi dans son sommeil tandis que les oiseaux se mettaient à l'aise dans leur nid. Malgré tout, une ombre bougeait dans le jardin. Elle se mouvait tranquillement pendant que le soleil disparaissait complétement. Un buisson, dans le bosquet, s'écarta tandis que l'ombre se glissait vers la maison. Elle repéra la porte d'entrée et elle s'en approcha. Les cailloux, dans l'allée grissaient sous ses pas, alors, elle décida de traverser par la pelouse, un chemin plus long mais plus discret. Elle vérifia qu'elle n'était pas suivi et força la porte. Elle devait connaitre cette technique depuis longtemps car la porte n'insista pas et s'ouvrit sans un bruit. L'ombre regarda une dernière fois derrière-elle avant de s'engager dans le domicile. Pendant une dizaine de minutes elle resta dans celle-ci avnt de resortir avec une clef. La clef d'un secret bien gardé que seul elle et la famille endormi connaissait.
Le lendemain matin, quand la famille se réveilla, elle remarqua que la clef avait disparu. Un orage éclata alors juste au dessus de la maison, comme par magie...

Désoler je n'ai pas d'inspiration...
Phrase suivante : Elle chantait sous la douche.
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

Elle chantait sous la douche. Sa voix de déesse retentit dans tout l'appartement. Ses paroles étaient fluides et parfaitement bien chanté, aucune fausse notes n'avait été faite et les aigus passaient aussi bien que les graves. La mélodie sembla en inspirer plus d'un car très vite, la porte de la salle de bain s'ouvrit dans un grincement laissant apparaître la magnifique tête de son fiancé. Il se déshabilla rapidement, passa un coup d'oeil rapide dans le couloir et rejoignit sa copine sous le jet. Demain ils allaient se marier. Tout était prévu, la robe, le costard, les invités, tout. Ils allaient fêter ça dans un endroit particulièrement beau. Un petit bois humide et ouvert bordé par une magnifique cascade juste assez grande pour ne pas faire un vacarme pas possible. La rivière était fine mais très belle. Les arbres était mousseux, vieux mais parfaitement structurés pour les accueillir, il n'y en avait pas trop, juste comme il fallait. Tout était parfait. Le gâteau était une gigantesque pièce montée à la framboise et au chocolat, leur parfum préféré. La musique était celle qu'ils chantaient en ce moment même, dans leur douche: Not over You. Oui, tout était parfait, tout, sauf peut être leur amour démesuré et bien plus qu'imparfait

---> -Ceci est un Old-Up.
Vava21

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Vava21 »

Ceci est un hold-up. Enfin, persque. C'est comme si on m'agressait en pleine rue. J'avais mal. Je ne pouvais plus respirer tant ma gorge était serrée. J'avais l'impression qu'on était en train de m'agresser. Alors que j'étais toujours assise sur ma chaise grinçante devant mon pupitre. Mes paritions dançaient devant mes yeux. Il venait juste de dire que l'année prochaine, il arretait de jouer. De jouer de son si bel instrument. Moi, je veux qu'il reste ! Je veux continuer de le voir !!! Déja que je change d'école, je ne le verrais plus jamais. Pourtant, c'est bien lui qui fais battre mon coeur a cent a l'heure quand je le vois. Quand il doit recommencer à jouer, que les notes sortent de son instrument, je le regarde, je l'observe. Puis, quand il arrête, il me regarde parfois, il me sourit et soupir car il en a marre de recommencer tout le temps la même partie. En retour, je rigole et lui sourie de toutees mes dents. J'aimerais que cet instant demeure, reste, et ne parte pas. Pourtant quelques secondes seulement après, il faut recommencer a jouer. Et je le quitte des yeux. Je continue de le dévorer du regard pendant toute la séance.
Puis, il faut rentrer. Je le vois tout les jours, à l'école, mais ce n'ai pas pareil. Alors, je range mon instrument et je pars pour rejoindre la voiture de mon père. Pendant le trajet, je rêve. Je repense au moment ou je suis arrivée pour le cours ; "il était assis sur le banc en train de pianoté sur son portable. Près de lui, sur le même banc, s'était installé mon amie. Je profitais de celle-ci pour dire lui dire bonjours ainsi qu'a l'homme que j'aime au plus profond de mon être. Je ne pouvais pas ne pas lui dire bonjour. Cela aurais été impoli. Je murmurais un "salut" tellement petit que je pense qu'il n'a même pas entendu. Sa peau était douce contre la mienne malgré sa barbe naissante. Puis, comme je sentais que je rougissais, j'ai reporté mon intention sur mon amie qui faisait que de parler. Malgré tout je jetais des petits coups d'oeil fréquent vers LUI."
J'étais rendu à la voiture, mais je continuais de penser à lui. J'avais hatte d'être le lendemain pour le revoir. Plusieurs heures plus tard, dans mon lit, je ne trouvais pas le sommeil et mon espris dériva vers le matin, quand je rentrais à l'école. " Ma mère me déposa, au même endroit que d'habitude. Mais rien était pareil. Pourquoi ? Car IL était devant moi. Il passa la grille, je le suivi. Je ne pu m'empeché de le regarder. Il avait la tête baissée, du coup je voyais sa nuque. Son meilleur ami l'accompagnait. Soudain, comme s'il avait senti mon regard sur lui, il se retourna. Je détournais le regard juste à temps. Il regarda enfin devant lui et murmura quelques mots a son ami, qui, lui aussi, se retourna pour me regarder. Je continuais à marcher sans laisser l'impression d'être géné. J'allai ensuite attendre ma meilleur amie, qui elle ne savais rien de se qui occupait mon coeur,et je remarquai enfin que j'avais retenu ma respiration."
Finalement, je m'endormie. Pour rêvé encore de lui.

Un peu éloigner de la phrase du début désolé.

Phrase suivante : Je sursautais d'un seul coup, j'étais en sueur quand je me rendi compte que ce n'était qu'un rêve, ou plutôt un cauchemard.
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Re: petit jeux d'écriture.

Message par lectrice-en-herbe »

Super texte Vava21 ! Franchement... quasiment rien à redire

Je sursautais d'un seul coup, j'étais en sueur quand je me rendi compte que ce n'était qu'un rêve, ou plutôt un cauchemars. Encore cet éternel et même cauchemars. Je me redressais dans mon lit en me massant les tempes. Mon cauchemar me défilant encore sous les yeux.
Une femme. Allongée sur le sol non loin de moi. Elle est morte. Je le sais, ne me demandez pas comment. Sa chemise bleu azur se tache petit à petit de pourpre. Malgré moi, un sourire s'esquisse sur mes lèvres. Je m'avance. Ses cheveux roux forment une couronne au-dessus de sa tête. Sa bouche entrouverte laisse apparaître ses dents d'une blancheur éclatante. Je passe à côté de son corps qui perd petit à petit ses couleurs. La maison dans laquelle je suis est immense. Je tourne dans un couloir, puis dans un autre. C'est un vrai labyrinthe. Soudain, je croise un miroir. Un grand miroir, qui va jusqu'au plafond. Je contemple mon reflet, cet autre moi qui copie mes moindres fait et gestes. Seulement quelque chose cloche dans cette image qui m'est renvoyée. La chemise blanche intacte et immaculée est déchirée et tachée de sang. Je devine rapidement que celui-ci n'est pas le miens. Mon visage me fait un clin d'oeil dans le miroir tandis qu'un affreux sourire ouvre mes lèvres. Sous lesquelles se trouvent un liquide rouge. Du sang. Instinctivement, je passe ma main sur mes lèvres. Rien.
Mon image déformés me fait signe de m'approcher, je le fais. C'est là que je remarque un poignard ensanglanté dans sa main gauche. Elle me fixe de ses yeux et s'anime d'elle même, m'envoyant sa dague dans le bas du ventre. Je m'effondre en soufflant et rentre... dans le miroir. Le traverse complètement et en suis... prisonnière. Mon double prend ma place un sourire machiavélique sur le visage tandis que je frappe de toute mes forces sur la paroi légèrement trouble du miroir.


Phrase suivante: Il était décidé que cela se passerait ainsi et pas autrement.
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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Vava21 »

Merci beaucoup, c'était un élan d'inspiration ? Pas vraiment :oops: ;)

Il était décidé que cela se passerait ainsi et pas autrement. C'est que que notre chef avait dit. La révolution était en marche. Le plan avait été échaffaudé de manière sistématique. On ne pouvait plus reculer. Moi je ne savais pas dans quel camp me mettre. Celui des révolutionnaires ou l'autre ? Je n'avais pas encore choisi, et je n'avais plus beaucoup de temps. Si je n'allais pas dans le camp des révolutionnaires, mes parents, ma famille, mes amis, seraient contre moi. Mais si à l'inverse, je le prennais, je devrai me battre contre mon âme soeur, la personne que j'aime le plus au monde. Comment faire, lequel choisir ?
Je ne pouvais me resoudre à mes battre contre lui ni contre ma famille. Pourtant tous les plans étaient prêts, les combats allaient commencer.
Le lendemain, dans ma couchette, j'endendis un bruit, je me retournais et je me retrouvais face à face avec une personne. Son visage était si proche du mien, que je ne pu retenir un cri. Mais celui-ci fut étouffé par des lèvres qui se collèrent aux miennes. Je reconnu alors la personne qui compte le plus pour moi. Mon petit ami. Ses traits étaient tirés, comme s'il n'avait pas dormi. Ses yeux marron brillaient d'un éclat comme à chaque fois que je le voyais. Ses lèvres étaient douces, tout comme sa peau. Je callai ma main sur sa nuque pour lui rendre son baiser. Mais, il me repoussa.
- Viens avec moi. chuchota t-il dans mon oreille.
Sa voix était ferme et froide. Bizzare. Je le suivi sans hesiter, pour savoir pourquoi il pernait le risque de venir me voir, en plein dans le camp des révolutionnaires. Cela devait être très important. On sorti dehors, la lune éclairait cette campagne perdu. Lui seul connaissait l'emplacement de notre base. Il alla s'accroupir derrière un rocher, je le rejoignis.
- Pourquoi tu es la ?
- Je voulais absolument savoir dans quel camp tu es. Je ne pourrais pas me battre contre toi.
- Moi non plus, c'est pour cela que je ne te verai plus jamais. Et c'est pareil pour ma famille.
Je voyais qu'il essayait de saisir ce que je voulais dire mais qu'il n'y arrivait pas. Soudain, ses traits furent transformé par la tristesse.
- Tu pars ?
- Oui et non, je vais mourrir. Comme ça, je n'aurai pas besoin de choisir de camp.
- Tu veux te suici...
Sa voix s'étrangla et il ne pu terminer sa phrase.
- Oui exactement, je vais me suicidé.
- Je t'accompagne, je ne pourrais pas vivre sans toi de toute façon. En plus, notre amour était voué a l'échec. Cela m'enpêchera de devoir choisir un camp comme toi.
C'est ainsi qu'au petit matin, les combats éclatèrent, on venait de retrouver nos corps entremélé. Chaque camp pensait qu'un de nous deux avait tuer l'autre. C'est n'était pas vrai, on s'était tiré une balle dans la poitrine, pile au niveau du coeur. C'était bien mieux pour nous, nous n'avions plus à choisir un camp, nous en avions pris un tout autre.

--> Je venais de passer une super journée, je sortais enfin avec lui.
Suzie321

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par Suzie321 »

Je venais de passer une super journée, je venais enfin de sortir avec lui. Le gars le plus beau du lycée, le plus populaire, le plus musclé était enfin à moi. Je suis sortie avec plusieurs de ses copains, on peut pas dire que ce soit le moins beau, mais il sortait toujours avec cette Lily, je la déteste tellement. Je m'appelle Lola, chef des pompon girl du lycée, petite amie de Jordan, quaterback de son équipe. Bref j'ai la belle vie. Je sais ce que vous allez me dire, que je suis pathétique, une pouf qui se la joue. Mais moi au moins, j'ai pas à me plaindre, mon père gagne 50.000 dollars par moi, et moi, j'ai la garde robe la plus grande de tout le pays. J'ai un corps de rêve, aucun centimètre de graisse, aucune imperfection, je suis comme qui dirait, parfaite quoi.
Et la tout de suite, je vais à un rendez-vous pour avoir ma dose de cocaïne, oui, mon seul défaut. Je suis dépendante. Bien sur personne ne le sait, je paie même le dealer pour qu'il ne révèle rien. Oui, je suis sans doute la fille la plus pathétique de tout le lycée, je méprise tout le monde, je regarde de haut. Et ce soir, je suis une des filles les plus vulnérables qu'il peut y avoir.
Je me rend au rendez-vous comme prévus, je gare ma lamborghini dans le parking désert de l’hôtel du coin, je fais les cent pas, mes yeux sont rouges, mes cheveux sont ternes, je me gratte de partout, je suis en manque.
Une voiture passe et un homme sort avec sa capuche qui lui recouvre la moitié du visage et son habituel jean noir. Cet homme m'a sauvé la mise à plusieurs reprise, quand j'étais petite, c'était le garçon dont j'étais amoureuse, il a le même âge que moi, 16ans, lui m'ignorais, il a toujours été très discret, personne ne le remarquait, sauf moi, je le contemplait. A l'âge de douze ans, je l'ai surpris en train de dealer du crac, et puis je me suis dit que le meilleur moyen pour m'approcher de lui était de moi même devenir dépendante, je crois que j'ai toujours été amoureuse de lui, généralement, on ne se parle pas quand il me donne la drogue, mais tout mes problèmes disparaissent quand il me regarde avec ses yeux d'un bleu perçant. Il s'approche de moi, nos pieds se touchent, il met du temps avant d'ouvrir son sac, et j'aperçois une poche minuscule, je ne vois aucune drogue dedans, il se rapproche encore et tout mon manque disparait, son corps est à une tel distance qu'il me suffit de lever mon doigt pour toucher sa ceinture. Il me prend dans ses bras. Mes yeux reprennent de leur couleur, mes cheveux brillent, il m’emmène dans sa voiture. Sans un mot nous roulons pendant quelques heures, la nuit arrive et je peux voir la lumière des lampadaires se refléter sur le sol. Il s’arrête devant un hôpital. Je ne comprend pas tout de suite, mon regard passe de lui à cette antenne lumineuse qui m'indique que je vais devoir vivre l'enfer. Je me débat mais ses bras son trop puissants. je m'évanouis, mes sens me laissent seule dans cet endroit inconnu, la dernière phrase que j’entends est celle de celui que j'aime, celui qui a pris la peine de toujours m'aider, et qui une fois de plus, me sauve d'une horreur qui aurait pus me tuer: "je le fais par ce que je t'aime."

sorry, comme toi vava21, ça sort un peu du contexte ^^
Phrase_ Il s'accroupit, mes larmes décuplèrent
fashion-girl

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Re: petit jeux d'écriture.

Message par fashion-girl »

Il s'accroupit, mes larmes décuplèrent il leva lentement ses yeux bleus dans les miens. J'y vis la douleur qu'il contenait au profond de lui. La douleur qui lui dévorait son âme aussi lentement possible prolongeant sa souffrance. Je reculai d'un pas je savais ce qui était en train de se passer. La malédiction qui rongeait son être entier depuis maintenant cinq hivers était arrivé à son terme. Il baissa les yeux et cria sa souffrance au moment où tous ces membres se contracter. Je voulus courir vers lui pour le réconforter mais je me rappelais de ma promesse faite il y a seulement deux nuits. Celle où je lui avais dit que j'allais continuer à vivre pour nous deux et que je me bâterais pour survivre. Pour tenir cette promesse je devais l'empêcher de me mordre car une fois transformé il ne pensera plus qu'a une seule chose : la chair humaine. Et pour réussir à l'en empêcher je devais le tuer avant qu'il soit complètement transformé. Il cria de nouveau et ses cheveux noirs commençaient à perdre de leur couleur. Son corps lui était en train de ce difformer et des poils bruns apparaissaient partout sur sa chair. Je refermais mes mains sur l'épée en argent qui appartenait à mon grand-père qui avait été il y a longtemps chasseur de loup-garou et ce soir encore cette lame allait trancher le cœur d'une de ces créatures. Je tremblais et je n'arrivais pas à lever l'épée je ne pouvais que penser à nos baisers si tendres sous le soleil couchant et à ces mots qui me rassuraient à moindre problème. Comme allais-je vivre sans lui. Je sortis de mes pensées en entendant un énième craquement. Je le vis se tordre en poussant des cris qui commençaient à ressembler à des grognements. Mais il réussit une dernière fois à lever ses yeux vers moi et je pus cette fois y voir l'amour qu'il avait pour moi. D'une voix que je ne lui reconnais pas il murmura :

-Fais-le.

Je prie une grande respiration leva la lame et la dirigea vers son cœur et au même moment je lui murmurai un dernier je t'aime.


La prochaine phrase : son cœur battait entre mes mains
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