Concours "Un jour à..." Premier mois : Juin 2011

Règles du forum
Vous pouvez d'ors et déjà poster des nouvelles, vous recevrez un email vous indiquant si votre nouvelle a été acceptée ou non pour participer au concours.

Pour rappel pour que le texte soit accepté il doit être correctement écrit en français et correspondre au thème "Un jour à...".

Pour pouvoir poster sur ce forum pour participer au concours allez avant à la page du concours pour valider votre participation.
Rose-Rouge

Profil sur Booknode

Messages : 7
http://tworzymyatmosfere.pl/poszewki-jedwabne-na-poduszki/
Inscription : ven. 03 juin, 2011 9:30 pm

Re: Concours "Un jour à..." Premier mois : Juin 2011

Message par Rose-Rouge »

Un jour à Yesterday.

Yesterday c’est comme cela que cette irréel et étrange ville se prénomme, Yesterday, hier car ce n’est pas aujourd’hui, hier où tout a basculé, où tout a changer, où tout c’est arrêté.Ne chercher pas une définition ou une traduction pour ce mot car il peut signifier beaucoup comme peu, Yesterday, c’est comme cela.En ce jour je retrace, son funeste destin.Cette ville parsemée de ruine et d’insouciance où tout ses habitants créent une haine sans limite qui ne cesse de s’acharner sur cette ville.La pâleur de l’ombre des immeuble faisait faiblir l’humeur du soleil qui a depuis longtemps préféré ne plus jamais apparaître sur cette lugubre tache grise.Tant de mépris et de haine on projeté cette ville et ses habitant au plus profond désarroi qui soit, et chacun a, comme le soleil préféré ne plus jamais apparaître.Cette ville, triste et déserte abrite des ombres fantomatiques qui ne se dessinent que lorsque l’on aperçois la lueur de la lune apparaitre a l’intérieur d’une de ces maison insalubre. Ne me demander pas comment ces personnes font pour vivre dans la terreur qui comble leur journée ni comment il font pour entretenir le peu d’humanité qui leur reste, bien cacher au fond de leur cœur, je peut bien tant que mal vous dire combien il est difficile pour eux de voir la vie autrement, combien cette ville délabré tremble et ne cesse de s’écroulé mais ne se reconstruit jamais. Dans cette terreur constante, personne ne parle jamais de cette lueur d’espoir qui traîne dans les rues sombres, personne n’en parle jamais car personne ne la voit, tous l’ont oubliés, elle virevolte parmis les cendres et les débris qui jonchent les routes défoncer de la ville. Cette petite lueur d’espoir qu’on pourrait jugée egoiste par ses propos tenue sur sa personne, c’est moi. Ombre déplaisante de la rue, je suis l’espoir que les gens entretienne dans leur cœur et qui ne cesse de disparaître de plus en plus chaque jour. Je n’ose même plus les observer ces temps si tellement ces gens m’effrayent, je doit pourtant les aider a combattre cette tragique mélancolie qui s’abat sur Yesterday qui autrefois m’avait accueillit a bras ouvert et qui avait offert au monde sa douce mélodie de bonheur ou les gens riaient, dansaient et se sentait libre grâce a moi. Le doux chant de l’amour et de la paix venait caresser l’espoir d’un monde meilleur. Puis un jour, les gens m’on chasser, ne désirant plus que le silence terrifiant qu’ils semblaient apprécier, par la suite ils m’ont regretté, ils ont essayer de me ramener mais ils n’ont pas réussi, ne produisant que de la médiocrité qui tenait le rôle de ma rivale. Ils ont laisser tomber, pourtant cela leur suffisait, mais j’était morte, ils ne pouvait plus me recrée. Leurs enfants qui avait été élever dans ce silence, et qui du coup ne pouvait plus me ramener car il ne m’avait jamais connus était devenu le présent de cette ville. Ils ne savais que trop peu a quoi je pouvait ressembler pour pouvoir me distinguer, et puis un jour ils ont cesser de raconter mon existence et tout a disparu, sauf moi, je suis rester cacher, très loin, bien loin pour qu’on ne puisse pas me trouver, car je ne voulais plus subir le même sort bien que j’ai été oublié. Alors depuis ce jour a Yesterday plus personne n’a jamais chanté, rit ou souri, je suis rester la a les observé de loin, a les regarder mourir l’un après l’autre dans ce silence et dans le malheur que de toute leur vit ils ont hérité. En ce jour, je me rend compte que je ne peut rien faire pour eux, je ne peut pas réapparaître pour eux, ils m’on anéanti, il m’ont détruis, il ont besoin de me reconstruire pour vivre, car sans moi, sans musique, j’en est la preuve, personne ne peut vivre.


Année 1970
Répondre

Revenir à « Un jour à... »