@ Soah : les chats ont souvent des manies un peu étranges... Quand il était petit, le mien volait des chaussettes
@ Nanoue et
Tify : oui, je ne compte plus le nombre d'écouteurs que j'ai dû racheter à cause du lapin... sans parler des couvertures de livres arrachées et qu'il s'amuse à trimballer dans toute la maison quand j'ai le dos tourné... Par contre il ne touche pas aux rideaux et tant mieux, je préfère ne pas lui donner de mauvaises idées
@ Pendergast : papier peint, quel papier peint ?
@ CindySB : pas mal comme vue, surtout avec la neige ! (en vrai je suis presque jalouse, la neige est une espèce en voie d'extinction ici en Ile-de-France...)
@ seriallectrice : c'est tellement bon les mannele *-* (mais je ne savais pas qu'ils avaient un autre nom, tu m'apprends quelque chose ^^)
@ kymmy : je ne m'attendais pas à ta photo avec le masque, c'est bien trouvé
Et sympa l'origine de ton pseudo & de ton avatar ^^
@ Hanayu : je demanderai à Nesquick où il s'est fait bronzer parce qu'il n'est brun qu'en surface, en-dessous il est tout blanc... Gros mystère Oo
Sinon je vois qu'il y a une épidémie de sapins qui circule, ils sont tous très sympas !
Et je vous rejoins pour toutes les raisons qui font aimer l'hiver, qui à l'origine n'est pas du tout (mais alors pas du tout) ma saison préférée. Les décos de Noël, les fêtes de fin d'année, la Saint-Nicolas et, cette année tout particulièrement, le fait de pouvoir rester chez soi bien au chaud... Merci le confinement et les cours à distance
Je rajouterai aussi les calendriers de l'Avent histoire de valider la
consigne 27 : j'en ai un "classique" et un livresque cette année. C'est très motivant de découvrir chaque jour un nouveau livre ou un nouveau goodies. D'aillleurs, tant qu'à faire :
Et oui, comme d'hab, Nesquick s'est invité sur la photo... En tant que bon bibliophile, il a même goûté un ou deux livres avant de se faire bouter hors de ce paradis livresque
Je valide aussi de nouvelles consignes :
- La lettre
I avec
Isabella Bird, femme exploratrice de Sassa Taiga
(T1) J’ai beaucoup aimé faire la connaissance d’Isabella Bird, une exploratrice aussi spontanée qu’enthousiaste et curieuse de tout : on découvre avec elle les mœurs et les coutumes de ce pays qu’elle qualifie elle-même d’étrange, parfois avec amusement, parfois avec fascination. Même si on connaît d’ores et déjà le but ultime de son périple, on ne s’ennuie pas une seconde ; sans oublier les dessins très détaillés qui contribuent pour beaucoup à nous immerger dans cette aventure pas comme les autres.
(T2) J’ai autant aimé ce second tome que le premier. On fait de nouvelles rencontres et on découvre de nouveaux villages, pour certains marqués par la misère, ce qui change un peu du premier volume. Aucun de sentiment de redondance, donc, et toujours l’envie de voir où les pas d’Isabella et d’Ito les mèneront ensuite.
(T3) Comme d’hab, pas de déception. J’ai apprécié que de nouveaux enjeux (et pas des moindres) soient introduits, ce qui est un moyen efficace de donner un nouvel souffle à la série. La note de suspense à la fin me fait regretter de ne pas avoir la suite…
- La 5 :
Heure d'Hiver :
Nuit (roman sombre : histoire nocturne) avec
La mécanique du diable de Philip Pullman :
Oui, ce n’est pas qu’une impression, ce roman est court, très court : à peine 100 pages ! Et en plus, c’est écrit gros. Mais n’oubliez que Philip Pullman n’a rien d’amateur. Bien au contraire…
Du coup, le conte qu’il nous offre ici est remarquablement bien construit. Ce n’est ni trop rapide ni trop lent et on est vite plongé dans cet univers fantastique à l’ambiance assez sombre. Pas de vampires ou de goules, mais un horloger diabolique et un apprenti sans scrupules : le cocktail parfait pour que les choses dérapent rapidement ! Je n’oublie pas non plus les commentaires en off d’un narrateur cynique et à l’humour particulier, qui ne sont pas toujours d’une importance cruciale mais qui n’en restent pas moins plaisants à lire. Les illustrations jouent leur rôle à leur perfection, à savoir qu’elles sont parfaitement dans le ton du bouquin et apportent donc un vrai bonus. Est-ce que je le recommande ? J’ai envie de dire : foncez sans hésiter si le résumé vous parle !
- La 6 :
Fous ta cagoule ! (couverture avec des habits chauds) avec
Les vœux secrets des sœurs McBride de Sarah Morgan (écharpes, gros manteaux... La totale !) :
Le début m’a paru un peu long, mais c’est juste parce que je ne savais pas encore où l’autrice avait l’intention de nous emmener. Et puis il fallait aussi appréhender la personnalité de chacune de nos quatre narratrices, leurs secrets et leurs aspirations ; bref, tout ce qui va constituer le socle de l’intrigue.
J’ai adoré plusieurs choses dans ce roman qui sont justement liées à ce que je viens d’écrire, mais pas que. La psychologie de chaque personnage est minutieusement façonnée de manière à ce qu’ils ne sonnent pas (trop) caricaturaux : je suppose que chacun et chacune d’entre nous peut s’identifier sans trop de mal à l’une ou l’autre des sœurs McBride, ou même à toutes. Il est aussi possible que malgré l’affection que vous pourrez leur porter, il vous arrivera parfois d’avoir envie de coller des baffes à l’une d’entre elles : eh oui, les relations familiales sont parfois compliquées et on a vite tendance à prendre partie pour l’un des antagonistes. En ce qui me concerne, j’ai eu une préférence pour Posy, la plus jeune sœur : le miracle, c’est qu’elle ne m’a quasiment jamais déçue. J’ai adoré sa vitalité et son humour, qui tranchent pas mal avec le caractère plus réservé de Hannah, son aînée, et de Beth qui est sans doute celle avec qui j’ai eu le plus de mal pour pleins de raisons que je vous laisserai découvrir par vous-même.
Mais pas d’inquiétude : la bienveillance est le maître-mot de ce roman. C’est un vrai condensé de Noël, un livre feel good parfait pour vous remonter le moral, sans qu’il ne soit niais et dégoulinant de bons sentiments. Nos héroïnes traversent un certain nombre de difficultés, apprennent à s’écouter entre elles, à s’écouter elles-mêmes et à reprendre confiance en elles. Leurs péripéties, même si elles m’ont parfois tiré un sourire, ne m’ont jamais paru absurdes, ce qui est pour moi un point positif (oui, je suis parfois un peu beaucoup terre-à-terre).
En résumé, bienveillance et authenticité me semblent décrire le mieux ce roman : en somme, une lecture parfaite à l’approche des fêtes. Malgré quelques passages un peu redondants ou tirant en longueur, c’est un livre qui se lit tout seul. On se sent chez les McBride comme chez soi et c’est avec plaisir que l’on voit nos trois héroïnes prendre peu à peu confiance en elles jusqu’à finalement être en phase avec ce qu’elles souhaitaient devenir – et en franchissant quelques inévitables obstacles au passage. Avec tout ce que je viens d’écrire, je ne peux que vous recommander ce roman.
Mon récap
et le, soir de la St Nicolas on mange des manalas avec un bol de chocolat le chaud, quel que soit l'âge 
. Je préfère les acheter chez le boulanger 
..
trop chouette !
va savoir ce qu'
