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Voici le souvenir correspondant :AlicePrince a écrit : ↑sam. 17 juil., 2021 3:08 pm Je valide la consigne G1.15 : En hommage à l'inspecteur Derrick et son pouvoir soporifique, lisez un livre uniquement le soir avant d'aller vous coucher (souvenir 4) avec Les Tribulations d'Esther Parmentier, Tome 1 : Sorcière stagiaire, cadavre haché, vampire fâché de Maëlle Desard
Souvenir n°4 a écrit :Lola5405 s'est procurée moins de cinq livres.
Voici le souvenir correspondant :
Et si je ne me trompe pas, c'était ta dernière consigne (qui n'aura pas été super utile...) ? Alors, tes suppositions ?Souvenir n°5 a écrit :Aucun souvenir n'est revenu.
Voici le souvenir correspondant :Sherlocked_666 a écrit : ↑sam. 17 juil., 2021 5:22 pm Bonjour !
Je viens valider une nouvelle consigne.
Groupe 2 - n°9, une biographie (consigne n°7 dans mon récap')Diego et Frida de J. M. G. Le Clézio.
Souvenir n°7 a écrit :La personne qui a acquis trois livres ne les a pas empruntés à un ami.
Je n'ai pas compris l'intérêt de ce livre. C'est juste l'histoire d'une sage-femme qui a une meilleure amie, part en vacances puis tombe amoureuse. Voilà.
L'écriture est médiocre, avec quelques fautes grotesques (influanceuse avec un A !), l'histoire est remplie de clichés, il ne se passe pas grand-chose, l'un des personnages change de personnalité du tout au tout, d'autres personnages nous racontent des drames qui ne m'ont pas du tout touchée tellement ça tombe comme un cheveu sur la soupe et la fin est ultra prévisible.
L'humour ne m'a pas fait rire du tout, les situations comiques sont beaucoup trop forcées et quand je lis que les personnages se roulent par terre de rire ça me fait juste lever les yeux au ciel. Seule exception : un jeu de mots très bien placé qui m'a fait éclater de rire.
Bref, une lecture que je vais vite oublier.
La conclusion de cette trilogie est très intéressante (et à des années-lumière du jeu vidéo d'ailleurs, seuls quelques éléments de l'intrigue ont été repris).
On va de péripéties en rebondissements en passant par des révélations inattendues car dans le métro, tout ne se passe jamais comme prévu. Artyom, dans sa quête de vérité, attire les ennuis comme un aimant car personne ne veut qu'il découvre cette vérité ultime. Au final, le roman se présente comme une étude de la psychologie humaine et, de ce point de vue, la fin est parfaitement logique malgré son aspect très frustrant. J'ai également apprécié la réflexion sur l'écriture historique mise en abyme via le personnage d'Homère.
C'est un récit très dur, très cru, avec des scènes parfois horribles, qui reflète la noirceur de l'humanité. Le héros lui-même, malgré toutes ses bonnes intentions, est obligé de faire preuve de noirceur pour survivre dans cet univers. J'ai donc parfois eu envie de lui donner des baffes, en particulier dans son comportement envers Anna.
Cela se ressent aussi dans l'écriture. Elle n'est pas mauvaise, loin de là, avec de nombreuses images poignantes, un peu d'humour noir et de sarcasme, une personnification du métro qui se ressent à chaque instant et des passages où le rythme de l'écriture se cale sur la descente aux enfers du héros. Seulement, la froideur d'Artyom imprègne l'écriture, ce qui fait que j'ai eu du mal à me plonger dans la lecture et j'ai toujours gardé - involontairement - une certaine distance avec le récit.
Un autre obstacle, pour moi, a été le russe. Autant les noms de stations ne m'ont pas posé de problème, surtout avec les images au début de chaque chapitre qui montrent dans quelle station se trouve Artyom (je me suis d'ailleurs beaucoup amusée à me repérer sur la carte du métro en deuxième de couverture). Le problème, c'est déjà cette manie d'appeler les personnages par un surnom qui n'a rien à voir avec leur nom complet, plus d'une fois je n'ai pas reconnu le nom d'un personnage secondaire, ce qui m'a un peu perdue dans le récit. Par ailleurs, les différentes micro-sociétés présentées dans le métro se basent sur diverses périodes et idéologies de l'histoire russe. Or je n'y connais strictement rien donc j'ai parfois eu l'impression de passer à côté de certaines choses.
Malgré les défauts qui ont rendu la lecture un peu difficile, j'ai bien aimé le dénouement de cette trilogie et je reste fascinée par cet univers post-apocalyptique construit d'une main de maître par Dmitry Glukhovsky (même si ce tome manquait un peu de combats contre des créatures mutantes).
Mon récap icipour le coup vraiment pas très utile
.... le jury ne se prononce pas, je réfléchis encore 
(je confirme les casse-tête et moi on s'entend pas)
Tess d'Urberville de Thomas Hardy.Un classique qui traînait dans ma PÀL depuis fort longtemps et que j'ai enfin dépoussiéré à l'occasion d'une lecture commune. Je dois dire que j'apprécie toujours autant la plume de Thomas Hardy qui sait comment dépeindre les lieux et l'époque dans lesquels ses romans prennent place.
Tess a immédiatement su gagner toute ma compassion. C'est une jeune fille extrêmement touchante que certains et certaines trouveront sans doute assez passive face aux mésaventures qu'elle subit - le problème étant tout simplement qu'elle n'a pas vraiment le choix de ne pas l'être. Elle est le fruit des mœurs et des coutumes de son époque, elle a intégré un comportement que la plupart des femmes se devaient d'observer eu égard à leur pseudo rôle social prédéfini. Et n'oublions qu'elle est en position de victime du début à la fin. Comment lui reprocher d'être passive alors qu'elle garde la tête haute malgré tout ? Au contraire, si elle semble ne pas agir, elle fait pourtant preuve d'une volonté impressionnante qui se révèle au moment opportun. Si j'avais pu l'applaudir sans risquer de briser ma liseuse en deux ou de réveiller mes voisins, je l'aurais fait de bon cœur, vraiment. Tess est une femme forte, plus forte que les lâches qui gravitent autour d'elle et dont le cerveau se situe dans l'entrejambe. Parlons d'eux, tiens. Il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. Je veux bien concevoir qu'ils sont eux aussi plus ou moins conditionnés par la société dans laquelle ils évoluaient mais franchement... oui, non en fait. Pas d'excuses. Ces hommes sont d'une bêtise et d'une perversité incroyables, leur comportement autant que leurs propos sont à vomir. L'ego masculin mal placé fait des ravages et nous avons malheureusement bien des Tess encore aujourd'hui.
Quant à la conclusion... euh, bravo ? Je n'aurais jamais parié sur un tel dénouement et bon sang qu'est-ce que j'ai pris mon pied ! Le ressort tragique était absolument parfait, je suis resté pensif devant les derniers paragraphes tant ils m'ont déprimé. Et quand un roman me laisse dans cet état, c'est qu'il est bon, très bon.
Voici les souvenirs correspondants :CameronOBrien a écrit : ↑lun. 19 juil., 2021 3:19 pm Bonjour, j'ai retrouvé deux nouveaux souvenirs
[7] Groupe 2 - Consigne n°11
En référence au jeu de dames, lisez un livre dont le personnage principal est une femme
Du soleil sur ma vie - Claire Bertin
Le personnage principal est Anne, une sage-femme.
[8] Groupe 3 - Consigne n°6
En référence au Rummikub, lisez un livre dont le titre comporte un nombre
Metro 2035 - Dmitry Glukhovsky
Souvenir n°7 a écrit :Ce n'est pas Lola5405 qui a trouvé son ou ses livres à la librairie.
Souvenir n°8 a écrit :Pendergast a moins de cinq nouvelles lectures.
Voici le souvenir correspondant :Sherlocked_666 a écrit : ↑mar. 20 juil., 2021 7:36 pm Bonsoir !
Me revoici pour une nouvelle validation.
Groupe 1 - n°6, une romance (consigne n°1 dans mon récap) :
Souvenir n°1 a écrit :Ce n'est pas Lola5405 qui a trouvé son ou ses livres à la librairie.
A l'issue du tome 2, je m'étais dit "Pryan est un véritable enfer". Je termine le tome 3 en me disant "Abarrach est pire". Au final, si Arianus est en proie à de nombreux problèmes causés par la rareté des ressources, c'est finalement le monde créé par les Sartans le plus agréable à vivre !
Une fois encore, les thématiques abordées me touchent, elles deviennent de plus en plus approfondies au fil de tomes. On revient, comme sur Arianus, sur les guerres autour des ressources en eau et en énergie, mais cette fois-ci on va plus loin, et on aborde le thème de la vie et de la mort. Les réflexions de trois Sartans en particulier, que je ne nommerai pas pour conserver le suspens, sont particulièrement intéressantes et méritent d'être analysées. Le comportement d'Haplo, à la fin et à l'issue de son voyage sur Abarrach méritent également le détour, car le Haplo qui arrive sur Abarrach, et le Haplo qui quitte Abarrach, sont deux personnes bien différentes. Les révélations sur les origines des Sartans et des Patryns apportent également beaucoup, et sont confirmées certaines théories qu'on pouvait élaborer à la fin du tome 2. Je ne suis pas une grande analyste, et je ne prétends pas tout comprendre, mais j'aime les livres de fantasy avec de telles thématiques, qui poussent le lecteur à réfléchir et à se questionner sur ces concepts qui sont tout à fait d'actualité aujourd'hui. D'autant qu'ici, les choses sont amenées en douceur, puis prennent de l'ampleur au fur et à mesure.Spoiler
notamment grâce à Zifnab
Une fois de plus après Pryan, hormis les 2 protagonistes (3 avec le chien), je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages, sauf à un : le prince Edmund. La déchéance, et même l'aliénation, des Sartans d'Abarrach au fil des siècles est assez choquante : comme quoi, même un peuple de demi-dieux peut finir par s'autodétruire, malgré ses connaissances et ses pouvoirs.
Le mystère des Sartans, s'il commence à s'éclaircir très légèrement, reste toujours un mystère. On avait déjà appris dans le tome 2 que Pryan avait perdu le contact avec Abarrach : on sait désormais ce qui s'est passé sur le monde de pierre, mais cela n'explique pas pour autant pourquoi la communication ne s'est pas faite, ou pourquoi elle a été interrompue. Une question me turlupine toutefois :En bref, j'ai préféré les deux premiers tomes, mais La Mer de Feu est probablement celui qui soulève le plus de questions, sur des thématiques complexes.Spoiler
Les Sartans d'Abarrach, à force d'user de nécromancie, ont-ils condamné sans le savoir les Sartans d'Arianus et de Pryan ?
Petit plus, j'ai beaucoup apprécié d'avoir enfin une réponse à une interrogation concernant le tome 1, mais je n'en dirai pas plus ! Je rajoute également que le chien est toujours aussi étonnant !
Gros coup de cœur pour la couverture de l’édition 2006, qui est magnifique ! Pour le coup, la personne en charge a vraiment lu le livre.
Dis moi, est ce que tu veux que je spécifie le numéro du souvenir à chaque fois que je mets un recap pour que ce soit plus facile pour toi de retrouver le dit souvenir ?Fyerise a écrit : ↑jeu. 15 juil., 2021 1:12 pmVoici le souvenir correspondant :Souvenir n°12 a écrit :Le souvenir n°8 est incorrect, il faut l'inverser. (Si il vous avait fait cocher une case du logigramme, vous devez maintenant la barrer, et inversement).
(Le numéro du souvenir correspond à l'ordre dans lequel tu as rangé les consignes dans ton récap. Ici c'est ta douzième consigne.)
Mon Récap dispo iciMon avis :
Une plume addictive et des secrets de petits villages à profusion !
Je n'en demande pas plus sinon de me laisser entraver au cœur de l'hiver islandais.
Un hiver qui, je suppose, est censé être oppressant mais qui sur moi fait l'effet d'un cocon bien douillet. Je m'attendais donc à une ambiance dérangeante mais à mon enthousiasme, on aurait cru à du Agatha Raisin.
Nous suivons donc la toute première affectation du policier fraîchement diplômé Ari Thor. Ce dernier se retrouve coupé de tout dans une petite ville côtière à la frontière du cercle polaire arctique. Une petite ville où il ne se passe jamais rien... en surface ! Je suis persuadée de si j'avais pu me concentrer un peu plus durant ma lecture (c'est pas facile le babysitting), j'aurais pu raccorder plusieurs faits au lieu de me contenter de mes délicieuses conjectures.
Quoi qu'il en soit, je suis bien contente de posséder déjà les autres tomes dans ma PAL. Surtout que les rééditions aux couvertures nacrées figurant des bâtiments isolés sont magnifiques (oui, j'ai un côté pie/nifleur, j'assume).
"La muraille de lave" de Arnaldur Indridason
résolution de mon casse-têtetyka a écrit : ↑lun. 19 juil., 2021 6:50 pmpour le coup vraiment pas très utile
La Chronique des Bridgerton, Tome 4 : Colin de Julia QuinnVoici le souvenir correspondant :OctarineEtSonBagage a écrit : ↑mer. 21 juil., 2021 10:52 pm Bonjour à tous,
Je valide la consigne Groupe 1 - Consigne n°8 : En hommage à Tintin, lisez un livre dans lequel le personnage principal a un animal de compagnie avec La Mer de Feu (Les Portes de la Mort, tome 3) de Margaret Weis et Tracy Hickman.
Souvenir n°1 a écrit :Aucun souvenir n'est revenu.
Voici le souvenir correspondant :
Souvenir n°7 a écrit :Tify n'aime pas commander ses livres sur internet.
Ce serait en effet plus facile pour moi mais ça ne me prend pas trop de temps de vérifier par moi même dans ton récap, donc c'est comme tu veux.
Voici le souvenir correspondant :Mava-chan a écrit : ↑jeu. 22 juil., 2021 8:03 pm Je valide la Consigne n°4 : En hommage à Lisbeth Salander, lisez un polar venu du froid (l'auteur est originaire d'un pays nordique : Danemark, Finland, Islande, Norvège ou Suède)
avec
Snjor de Ragnar Jonasson
Souvenir n°4 a écrit :Ce n'est pas Lola5405 qui a trouvé son ou ses livres à la librairie.
Voici le souvenir correspondant :Hanayu a écrit : ↑jeu. 22 juil., 2021 11:07 pmConsigne n°4 : En hommage à Lisbeth Salander, lisez un polar venu du froid (l'auteur est originaire d'un pays nordique : Danemark, Finland, Islande, Norvège ou Suède)
Allez, normalement cette consigne débloque tout !Souvenir n°4 a écrit :Lola5405 n'emprunte pas de livres à la bibliothèque.
Voici le souvenir correspondant :
Souvenir n°3 a écrit :Le ou les livres empruntés à la bibliothèque ne l'ont pas été par Moridiin.
Voici le souvenir correspondant :AlicePrince a écrit : ↑ven. 23 juil., 2021 4:31 pm Je valide la consigne G2.3 : En référence au jeu de rôle, lisez un livre de fantasy (souvenir n°5) avec La Ville sans vent, Tome 1 d'Eleonore Devillepoix.
Souvenir n°5 a écrit :La ou les prochaines lectures de Hanayu viennent de la boîte à livres du bout de la rue.
Mais oui, c'est tout juste ! Bravo ! Tu vois tu es venu à bout du casse-tête finalement !tyka a écrit : ↑sam. 24 juil., 2021 10:23 am résolution de mon casse-tête
Hanayu s'est procurée 5 livres dans une boîte à livres
- qui : Hanayu, Lola5405, Moridiin, Pendergast ou Tify
- s'est procuré combien de livres : 1, 2, 3, 4 ou 5 livres
- et où : dans une librairie, à la bibliothèque, dans une boîte à livres, sur Internet ou emprunté à un ami.
Lola5405 s'est procurée 4 livresauprès d'un ami
Moridiin s'est procurée 3 livres sur internet
Pendergast s'est procurée 1 livre à la bibliothèque
Tify s'est procurée 2 livres à la librairie
Casse-tête sur Booknode
Voici le souvenir correspondant :
Souvenir n°6 a écrit :Hanayu préfère feuilleter ses livres avant de les choisir, elle n'en achète donc jamais sur internet.
Cette lecture a été très très très longue, pas interminable mais presque. Déjà parce que c'est un petit pavé de plus de 1000 pages (avec une édition poche pas très agréable à lire, notamment à cause des marges intérieures trop petites) et parce que l'histoire traîne beaucoup en longueur.
La première partie est plutôt intéressante, même si l'intrigue présentée est loin d'être originale (certes, Stephen King ne s'y était encore jamais frotté, mais le voyage dans le temps reste du vu et revu). J'ai trouvé la deuxième partie franchement géniale, j'adore la manie de l'auteur de réutiliser certaines de ses villes fictives et là c'était vraiment sympa de retourner à Derry quelque temps après le premier tome de Ça, et même d'y croiser deux des personnages principaux. Le côté maléfique de la ville imprègne toute cette partie, j'y ai retrouvé ce que j'aime tant chez l'écrivain.
Mais alors les troisième et quatrième parties, même la moitié de la cinquième, ont été d'une lenteur intersidérale pour moi. J'ai leu l'impression qu'il ne se passait presque rien, que ça n'avait quasiment aucun intérêt pour l'intrigue. Heureusement que les personnages sont attachants car sinon j'aurais abandonné ce livre à la moitié.
Le dénouement relève un peu le niveau avec de l'action et quelques passages touchants mais difficile d'être vraiment plongée dans une intrigue quand on voit venir la fin à des kilomètres (rien qu'en lisant la quatrième de couverture en fait). Peut-être que si je connaissais mieux l'histoire des États-Unis - ou si j'avais vécu à l'époque de ces événements - j'aurais davantage apprécié ce récit mais quoi qu'il en soit, ce fut un flop (et le prochain qui me parle d'harmoniques, je les lui fais bouffer).
Mon récap ici
