Bonjour !
Je viens updater
mes lectures du mois précédent et de ce mois-ci Pour le mois de mai, j'avais déjà justifié celles-ci
dans un post précédent. Un peu déçue de moi-même, car j'ai peu lu de romans... mais en même temps, j'en avais beaucoup à finir du mois précédent (ça contrebalance leur quasi absence ce mois-ci...). Pour le mois de juin, toutes les BD et mangas sont de séries de plus de 5 tomes (
Natacha, Marsupilami, Les Schtroumpfs, Bob et Bobette, Les 4As, Cupidon / L'attaque des titans, Les brigades immunitaires black, Au-delà des apparences) - Le
One Piece magazine est à plus de 10 tomes, les livres de la
Communauté du Sud aussi, et finalement,
Le train bleu d'Agatha Christie, fait partie d'une série de plus de 40 tomes, celle des Hercule Poirot.

Fais ce qui te plaît 
Inventez votre propre consigne et suivez-la
ou
Lire des livres présents dans la bibliothèque d’un autre participant du challenge
- Le cercle des poètes disparus de N.H. Kleinbaum (roman plus de 100 pages) (30/05/25 – 24/06/25)
Chouette lecture, mais sans doute pas aussi exceptionnelle que de voir le film. Je dois avouer que je ne suis pas vraiment cinéphile, je n’ai souvent pas la patience de regarder un film, car ça m’oblige à suivre un rythme différent du mien. Donc, pour celui-ci je ferai un effort pour le regarder. Car même si j’avais quelques références (Capitaine, Ô mon Capitaine), je ne les avais pas toutes – et les extraits de poésie et les poèmes inventer, donne envie d’en lire et d’en créer, tout en regrettant de ne pas avoir eu un prof comme ça, ou bêtement, en tant que prof, de me remettre en question.
- La tresse de Laetitia Colombani (roman plus de 100 pages) (30/05/25 – 26/06/25)
Magnifique lecture dont j’imagine tout le monde a déjà souligné la métaphore filée du livre (pun intented) sur la tresse et les trois brins qui la constituent et qui sont représentées par les trois femmes dont on partage un temps la vie, leurs espérances, leur désespoir… Je dois dire que la vie de Smita était plus difficile à lire, tellement je me sentais oppressée par les souffrances décrites, les humiliations subies… C’était très beau malgré la hideur de certaines choses du monde.
- La Petite boulangerie t°II : Une saison à la petite boulangerie de Jenny Colgan (roman plus de 100 pages) (30/05/25 – 29/06/25)
Pas mécontente de retrouver Polly, Neil et Huckle ; surtout l’humour de ce dernier. Nous avons droit à de nouveaux personnages (ou plus approfondis) comme Flora, Jayden, Selina et Malcolm. Et même si j’ai bien aimé les péripéties, j’étais tellement frustrée de Polly qui a tendance à tout pardonner, à ne rien dire… Comme une carpette. Selina et Malcolm auraient bien pu être remis à leur place, mais non, on préfère faire de la première une amie, va savoir pourquoi… (alors qu’elle est une hypocrite dégueulasse) et du deuxième, au vu de son comportement, il mériterait bien pire. Enfin, ce n’est pas que Polly qui se laisse traiter de tous les noms, Huckle, par son frère aussi, que malheureusement on rencontre aussi – et je dois dire que cela m’agace complètement
qu’est-ce que c’est que tous ces gens qui trompent sans conséquence ?
– il faudrait au moins une répercussion – eh bien non, que dalle.
- Croc-Blanc de Jack London (roman plus de 100 pages) (31/05/25 – 27/06/25)
Belle lecture d’un auteur que je découvre – j’ai vraiment aimé suivre pas à pas les aventures de Croc-Blanc, et très heureuse de la fin. Je dois dire que je m’attendais à ce qu’il retourne dans le Wild. Ses relations avec le monde, avec les autres animaux, ses découvertes louveteau, ses premiers conflits avec les chiens, ses rapports avec les hommes – les indiens, puis les blancs m’ont vraiment intéressée. Un point du récit était difficile à lire, mais cela n’a rendu que plus réjouissant ce qui arrive après.
- Le Dahlia noir de James Ellroy (roman plus de 100 pages) (31/05/25 – 28/06/25)
Je dois dire que j’ai été bouleversée à la lecture de ce livre. Je ne pense pas lire la « suite », car je ne sais dire si le bouleversement que j’ai eu était positif ou non. D’abord, ma lecture m’a semblée ardue – à cause de tout le vocabulaire argotique et d’un autre siècle sur la boxe et le monde policier. Mais je me suis attachée à Dwight, qui malgré ses erreurs et ses manquements, donne envie de croire en lui et en la triade. Ce tout début, avec Lee, Kay et lui était le calme avant la tempête. Une fois l’enquête commencée autour du Dahlia noir, tout est devenu bien plus sombre, l’humanité bien moins belle et les personnages bien plus tordus. Il y avait beaucoup de longueurs, cassé par des twists, en veux-tu, en voilà. J’ai été très surprise quatre à cinq fois… et rien pour ne m’y préparer, car je ne m’attendais pas (je ne sais pourquoi) à pouvoir recoller les morceaux d’indice (trop subtile). Bref, le plus difficile
était pour moi, la mort de Lee
et puis, en apprendre plus sur lui et sur qui il était vraiment, était très choquant. J’ai eu l’impression d’être trop naïve, et il n’y a pas que ça
la famille incestueuse, l’obsession sexuelle sur le Dahlia et la jalousie que celle-ci provoquait après sa mort
– honnêtement, tellement malsain tout ça que ça n’est plus réaliste. Malheureusement, je n’ai pas apprécié le final, car je n’aime pas l’injustice
Le vrai coupable qui ne paye en rien ?! Et ta promesse Dwight !? Nooooooooon, on ne le punit pas le coupable… malgré ce qu’il a fait… Je dis « le », mais c’est « la » coupable. Ramona.
Et là, l’auteur m’a perdue car je ne peux pas croire que ce soit un coupable pareil. C’est RI-DI-CU-LE. J’ai eu l’impression qu’il essayait de faire un truc du genre : tu te crois au bout de tes surprises ? Eh ben non !
et il décide de faire d’un crime sexuel et de haine, un crime de femme… Je n’ai pas de mot poli pour dire ce que j’en pense
Déjà que toute l’ambiance du livre devient vite glauque et haineuse… sans parler du racisme, de l’homophobie et du sexisme. Alors, je sais l’auteur essaie de retranscrire une autre époque – et malgré tout, je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il force tellement le trait qu’on finirait par penser que l’auteur n’est pas loin de penser pareil. Du coup, lecture achevée, je veux faire une recherche sur l’auteur pour voir un peu sa vie (qui n’est pas jojo, je dois avouer) et c’est là que je tombe sur une info qui achève de me retourner le cerveau. L’histoire est inspirée de faits réels : sur le meurtre non élucidé d’Elizabeth Short en 1947. La femme magnifique de la couverture de mon édition, c’était elle qui me fixait… J’en sors donc abattue.

On fête les papas et on profite des plus longues journées 
Lire des livres dont le personnage principal est un homme
ou
Lire des livres faisant partie d'une série comptant plus de 5 tomes
- One Piece magazine t°5 d’Eiichiro Oda (livre illustré)
Plein de choses qui m’ont plu dans ce livre, mais comme il est centré sur le film
Stampede, qui lui-même ne m’a pas fait une grande impression… Enfin, peu importe, je suis contente de voir qu’ils ont mis l’accent sur plus de jeux (ça parle à mon âme d’enfant apparemment^^), mais aussi, j’ai bien aimé avoir la suite de l’histoire de Law.
- Cupidon t°4 : Souffle au cœur de Cauvin et Malik (BD)
Chouette petite BD, mais sans plus. J’aime bien le dessin de la série, qui fait très innocent et qui ne l’est pas toujours. On a aussi beaucoup de petites histoires autour de la mort puisqu’un des personnages est Saint-Pierre qui accueille les gens au Paradis, je ne me souvenais pas que ce soit aussi présent dans les autres tomes que j’ai lus.
- Bob et Bobette n°350 : La nuit du narval de Willy Vandersteen (BD)
BD, qui pour une fois n’est pas coutume, tourne autour de Bob. On le retrouve pareil à lui-même, toujours prêt à accorder sa confiance à autrui. Contrairement à ses amis qui sont plus méfiants. J’aime bien que Bobette soit moins jalouse qu’avant, mais qui ne perd pas d’humour au change. Ce qui m’a marqué aussi, c’est que malgré que les deux femmes de notre groupe aient pris des formes, c’est assez ironique que le dessin rend le tout plus anguleux. J’aimais bien aussi le petit flashback sur le passé de Bob, qu’on connaît finalement sans plus
- Les Schtroumpfs t°2 : Le Schtroumpfissime de Peyo (BD)
C’est drôle comme les vieux tomes m’ont laissé une impression de déjà lu, alors que ce n’est pas le cas. Ce tome-ci, je ne l’ai jamais connu qu’en dessin animé. Je trouve qu’il est très bien fait, et montre même aux plus jeunes que le pouvoir corrompt. C’est dingue, je me souviens petite, de n’avoir pas compris pourquoi tout partait en vrille si vite. Pourquoi une fois au pouvoir, le Schtroumpfissime ne voulait pas juste le bien pour son peuple… Maintenant, je comprends mieux, mais je n’ai pas perdu mon impression enfantine et me demande pourquoi le monde ne pourrait pas être comme ça. La deuxième histoire est remplie de gag, comme quoi un seul Schtroumpf peut déjouer les plans de Gargamel, malgré sa naïveté.
- Les Schtroumpfs t°5 : Les Schtroumpfs et le Cracoucass de Peyo (BD)
Encore un livre que je n’avais jamais lu, mais parce que j’avais vu le dessin animé petite, j’en avais l’impression. Je me souvenais du final, mais pas comment ce pauvre oiseau est devenu le Cracoucass de la faute des Schtroumpfs fainéants. Comme quoi, c’est aussi une bonne leçon : ne jamais bâcler une tâche pour aller plus vite, on ne sait jamais, ça pourrait très bien se retourner contre soi.
- Les Schtroumpfs t°32 : Les Schtroumpfs et l’Amour Sorcier de Peyo (BD)
BD beaucoup plus récente, pour le coup, et je dois dire qu’elle n’était pas trop mal. Le plan des Schtroumpfs est de faire tomber amoureux Gargamel pour changer le vieux sorcier et qu’il les laisse vivre en paix. Et ils y arrivent, ou du moins, Gargamel l’est malgré leur ingérence. Mais voilà, ça ne suffit pas, un amour à sens unique ne suffit pas, et pour faire tomber amoureuse de lui, l’élue de son cœur, sans potion d’amour, il y aura bien besoin de tous les Schtroumpfs au complet et de leur aide dans chacune de leur spécialité, ce qui est adorable et drôle en même temps.
- Marsupilami t°28 : Biba de Batem et Colman (BD)
BD un peu mignonne, simplement parce que les bébés marsupilamis sont adorables, mais sans plus. Heureusement, le méchant Mondrone et ses complices essayant de se doubler, ainsi que notre chasseur roux anglais, ont ajouté beaucoup de piment à l’histoire.
- Marsupilami t°9 : Le papillon des cimes de Franquin, Batem et Yann (BD)
Cette BD-ci du Marsu m’a beaucoup plus, car il y avait en plus de la chasse aux papillons, et des rivaux sur une espèce rare, une enquête sur des sabotages qui vont en s’amplifiant dans l’équipe scientifique. Tout le monde se suspecte. Marsupilami était presque spectateur pendant que nous réfléchissons également au coupable possible – spectateur, mais pas passif non plus.
- Les 4As et la vache sacrée de Chaulet et Craenhals (BD)
Petite BD pas mal, où nos 4 amis doivent sauver une vache très importante pour un Rajah en Inde – les péripéties font qu’on tourne un peu en rond, avec des répétitions comme celle de la voiture qui tombe en panne, je ne comptais plus combien de fois, c’est arrivé… J’ai bien aimé quand ils passaient des « vacances » chez le Père Campaville – eh oui, on trime dans une ferme, y a toujours à faire. Y a aussi un petit clin d’œil tout mignon à Tintin^^
- Les 4As et le visiteur de minuit de Chaulet et Craenhals (BD)
Nos amis doivent reconstruire leur chez-eux, après un accident signé Lastic (et Doc, pour une fois). Ils trouvent des petits boulots. J’aime beaucoup le moment où on se rend compte que ce qu’ils ont choisi correspondrait beaucoup mieux à quelqu’un d’autre du groupe, heureusement, ils s’en rendent compte aussi x) C’est par hasard, qu’ils rencontrent deux sœurs jumelles qui ont un problème de fantôme et décident de les aider. Vraiment sympathique. Il y a aussi un clin d’œil sur les deux policiers au tome précédent assez drôle.
- Marsupilami t°17 : L’orchidée des Chahutas de Franquin, Batem et Dugomier (BD)
Cette BD est un peu dans la même veine que le tome 9, mais ici, ce n’est pas une chasse aux papillons, mais à l’orchidée rarissime. Et les rivaux sont multiples, mais il y a aussi les aborigènes qui sont de la partie car le chef offre la main de sa fille en mariage à celui qui lui ramènera l’orchidée également. Cette fois-ci, les Masupilamis aident directement l’un d’entre eux. Donc on sait que le jeu est truqué d’avance. On sait ce qui va se passer, mais ça reste une BD divertissante.
- Les brigades immunitaires black t°1 de Shigemitsu Harada et Issei Hatsuyoshiya (manga)
Je croyais avoir déjà lu les 2 premiers tomes, mais ce n’était pas le cas, je confondais avec la série originale des
Brigades immunitaires – d’ailleurs, je croyais que c’était du même auteur mais non apparemment pas. Je crois que j’aime moins que la série « blanche », qui est plus tout public. Alors que celle-ci, la « noire » explore des thèmes plus adultes (et bonjour, la sexualisation de nos cellules…) – adulte, donc ecchi est permis ? Je vois pas trop l’intérêt, mais bon, j’ai acheté les premiers tomes, alors je ferai avec. L’originale me faisait beaucoup penser au dessin animé « La vie » que je regardais quand j’étais petite et que j’adorais. L’idée est identique, mais encore plus humanisé en quelque sorte. Sauf que dans la série « noire », on ne regarde pas juste ce que ça fait le sucre sur les dents, ou une blessure externe, ou un éternuement. Non, non, on se trouve dans le corps d’un homme décrépi : il boit, il fume, il a du cholestérol, il a des problèmes érectiles, il a des soucis avec une MST et des problèmes d’alopécie… Cela pourrait être pas mal sans tout l’érotisme autour du corps féminin des globules blancs.
- Natacha t°20 : Atoll 66 de Walthéry, Di Sano et d’Artet (BD)
Cela faisait bien longtemps que je n’avais plus lu un Natacha, et ça m’a bien plu. Je ne sais pourquoi je redoutais tant et procrastinais. Notre héroïne est sympathique, et même si la BD est un peu bavarde, l’action ne manque pas, avec plusieurs enjeux. J’aime bien les clins d’œil aux tomes précédents (et du coup, je devrais les lire également, en tout cas ça m’en donne envie), mais aussi à d’autres livres : à Victor Hugo et sa poésie, à Gaston Lagaffe, à des personnes réelles… c’est chouette quand on les repère (avec aide ou sans).
- L’attaque des Titans t°1 de Hajime Isayama (manga)
Vraiment eu dur à m’y remettre dans cette série - qui à la base n’est pas trop mon genre. Je me suis arrêtée en cours de route et j’aimerais lire la fin avant d’être spoilée – car mes amis sont en ordre, eux. Evidemment, je me souviens d’images marquantes et de twists plus loin, mais c’est tout – je ne me souviens plus du comment ou du pourquoi. Donc je recommence en espérant la finir cette année. Et je dois dire, que bien que prévenue, j’ai été à nouveau choquée, émue, bouleversée. Les héros me plaisent bien : Eren est un battant qui a la rage de vivre au cœur, Mikasa et Armin, ses amis le suivent partout et on sent déjà leur importance à venir, sa force et son intelligence. Il y a des moments terribles :
La mère d’Eren, héroïne à sa façon, quand elle dit « ne me laissez pas seule », c’est sa terreur qui parle, mais elle, ne le crie pas, de peur qu’ils reviennent vers elle. Il y a aussi, les morts des amis, des camarades directement, alors que c’est leur première sortie… et le façon horrible dont ils partent… Quel cauchemar. Le sacrifice d’Eren pour Armin, qui n’a pas hésité une seconde avec sa jambe en moins et le choc de le voir mourir en fin de tome…
. Ces moments sont poignants, choquants et tellement tristes. On en redemanderait – on comprend la rage de vivre d’Eren, mais aussi celle d’éradiquer tous les titans.
- Au-delà des apparences t°9 de Fumie Akuta (manga)
Voilà, typiquement, ce que je ne dois plus faire. Me laisser un tome à lire dans une série lue il y a un bout de temps. Je me souvenais du couple, vaguement, et de l’école d’art. Donc, je dois dire que je n’étais guère investie pour ce dernier tome, et tant mieux, parce qu’il n’y avait pas beaucoup pour faire avec non plus… Le final d’une série de shojo risque souvent d’être bien plat : plus d’enjeux par rapport au couple, on sait qu’ils sont solides, on a plus peur pour eux. Et ici, l’héroïne en plus pleure vite et très émotive, pour rien… Alors, moi, ça me coupe l’herbe sous le pied et je ne ressens pas grand-chose. J’imagine que ça aurait été un final correct si j’avais tout lu d’un coup. Peut-être relirais-je le tout, pour changer d’avis… ou alors non, peut-être que je ne suis juste plus touchée par de simples shojos…
- L’attaque des Titans t°2 de Hajime Isayama (manga)
Dans ce tome, on fait la part belle à Mikasa et à son passé. On comprend mieux pourquoi elle est telle qu’elle est, et sa relation vis-à-vis d’Eren. On continue dans la veine du précédent : les morts se succèdent, et le désespoir s’installe – nos héros fraîchement sortis de l’école n’étaient pas prêts. Ce que j’aime, c’est qu’on voit illustrer l’intelligence de Mikasa et le courage d’Armin, chacun normalement brille par l’autre compétence. C’est juste que leurs intelligences et leurs courages ne sont pas similaires. Le moment choquant et jouissif, est l’arrivée du Titan déviant
qui est en fait Eren
– ceci, je m’en souvenais de ma première lecture, mais je ne sais plus si j’avais été surprise à l’époque. Mais peu importe, son arrivée n’est pas un deux ex machina. On passe d’une situation complètement désespérée à une situation désespérée mais plus impossible. J’aime bien que Mikasa remarque sa rage envers les autres titans, ce qui lui rappelle quelqu’un. La fin est très touchante, on comprend que sa solidité, son mental ne tenait qu’à un fil.
- L’attaque des Titans t°3 de Hajime Isayama (manga)
Je dois dire que le dessin de l’auteur ne me plaît pas, mais il faut avouer que les mauvaises proportions des corps, ajoutent à l’horreur. Les Titans n’en sont que plus monstrueux et glauque. Ce qui m’ennuie c’est le dessin un peu bâclé, fouillis des êtres humains, fait qu’il est difficile de les différencier, et ça, c’est un bémol, puisque l’empathie baisse si on ne reconnaît pas d’un seul coup d’œil qui vient de se faire charcuter. Le passage qui m’a marqué, est le moment, où on a le point de vue d’Eren
dans le ventre d’un Titan
– c’est traumatisant. Son réveil bien entouré, est une des scènes les plus marquantes de la série. Je pense que ce passage est mené avec beaucoup de justesse, la réaction des soldats, la loyauté de Mikasa et les négociations d’Armin – tout fait sens. Le sens du sacrifice et de protection d’Eren. Une fois qu’on est sorti de cette impasse, la décision est prise, on utilise
la forme titanesque d’
Eren pour résoudre un problème urgent : la brèche dans la muraille. J’aime bien que cela ne fonctionne pas directement. Ceux qui les entourent sont obligés de miser sur lui, on les voit confronter à un choix – très bien fait.
- L’attaque des Titans t°4 de Hajime Isayama (manga)
Armin a à nouveau fait preuve de beaucoup de courage dans ce tome-ci, et il arrive à parler à Eren, perdu. Le plan fonctionne cahin-caha. Nous avons droit aussi à de longs flashbacks sur les entraînements pour devenir soldats – et nous voyons Eren, Mikasa et Armin, mais aussi tous les camarades, cela nous rend les personnages beaucoup humains, les individualisent, l’empathie est possible - ce qui évidemment rend leur mort terrible. Nous les voyons remplis d’espoir et de rêve, ensuite, on sait comment ils meurent, souvent sans avoir pu rien réaliser, d’une mort tragique, horrible et… inutile. On se rend compte aussi, au réveil d’Eren, qu’il pourrait ne pas être le seul, avec un pouvoir identique. Il est enfin accepté chez les explorateurs grâce à Livaï, qu’on a rencontré au tome précédent et qui semble avoir un sacré caractère.
- La communauté du Sud t°X : Une mort certaine de Charlaine Harris (roman plus de 100 pages) (en cours - 28/06/25 – …)
- One Piece magazine t°6 d’Eiichiro Oda (livre illustré) (en cours - 28/06/25 – …)
- Le train bleu d’Agatha Christie (roman plus de 100 pages) (en cours - 29/06/25 – …)