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[Filipe84]

"Brume" tome 01 "Paranoïa" de Stephen King

Chacune des nouvelles de ce recueil révèle l'envers hallucinant d'un décor qui nous est familier, à mi-chemin entre avant-goût d'apocalypse et délire schizophrénique.[/i]

La nouvelle Brume m'avait vraiment foutu les boules par son ascension en terreur psychologique (hors le bébêtes, mais plutôt par les réactions des gens à l'intérieur du supermarché) et son dénouement, très bien rendus par le film The Mist de Frank Darabont en 2007. Du très bon Stephen King, à mon avis.

[Superjaded]

Bonjour Filipe84, ta lecture t’ayant occupé plus longtemps que de coutume j’ai bien cru que tu avais péri d’ennui en lisant Elizabeth George qui a bien failli avoir raison de moi il y a de cela quelques années mais visiblement c’est une romancière que tu apprécies.

Merci pour le conseil cinéma je pense n’avoir jamais entendu parler de ce film. 1991 est aussi l’année des affranchis non? Période sombre certes mais passionnante. Il est aussi question des époux Rosenberg et des dix de Hollywood dans Mémoires d’un rouge.

Evelyn Waugh n’a en effet pas été visionnaire dans son trait d’esprit mais il est vrai qu’il est difficile de trouver de bons romans ou recueil de nouvelles écrits à quatre mains

Mon nouvel avatar est la pochette d’un album des années 80 du groupe punk américain Zero boys

[DeadlySin]

"Brume" tome 01 "Paranoïa" de Stephen King

Chacune des nouvelles de ce recueil révèle l'envers hallucinant d'un décor qui nous est familier, à mi-chemin entre avant-goût d'apocalypse et délire schizophrénique.[/i]

La nouvelle Brume m'avait vraiment foutu les boules par son ascension en terreur psychologique (hors le bébêtes, mais plutôt par les réactions des gens à l'intérieur du supermarché) et son dénouement, très bien rendus par le film The Mist de Frank Darabont en 2007. Du très bon Stephen King, à mon avis.

C'est bien une de mes nouvelles favorites de Stephen King justement pour tous les détails apportés aux comportements et aux diverses réactions suscitées chez les personnes enfermées dans le supermarché.
Le film, quant à lui, est un de mes traumatismes d'enfance.

[Chikita84]

"Brume" tome 01 "Paranoïa" de Stephen King

Chacune des nouvelles de ce recueil révèle l'envers hallucinant d'un décor qui nous est familier, à mi-chemin entre avant-goût d'apocalypse et délire schizophrénique.[/i]

La nouvelle Brume m'avait vraiment foutu les boules par son ascension en terreur psychologique (hors le bébêtes, mais plutôt par les réactions des gens à l'intérieur du supermarché) et son dénouement, très bien rendus par le film The Mist de Frank Darabont en 2007. Du très bon Stephen King, à mon avis.

C'est bien une de mes nouvelles favorites de Stephen King justement pour tous les détails apportés aux comportements et aux diverses réactions suscitées chez les personnes enfermées dans le supermarché.
Le film, quant à lui, est un de mes traumatismes d'enfance.

Je ne savais pas pour le film, merci pour l'information ^^
Pour la nouvelle "Brume" je suis en train de la lire (forcément puisque c'est la première lol) mais j'en suis aux premières pages, ils ne sont pas arrivés au supermarché... On verra bien si j'ai peur ou que l'angoisse monte mais normalement avec le maître King, ça devrait faire mouche ^^

[Gollum]

L'Enfer des rêves, de Théodore Roszak.

"Deirdre Vale, seule rescapée avec sa fille Laney, 12 ans, d'un drame épouvantable, travaille à la clinique psychiatrique du docteur Devane, spécialiste des enfants autistes.
La jeune femme possède un véritable don : celui d'entrer dans les rêves de ses semblables, de manipuler ainsi leurs désirs les plus inconscients, leurs peurs les plus secrètes. Le jour où une religieuse expulsée du Guatemala à cause de son activisme politique et social arrive à la clinique, Deirdre est loin de se douter de l'implacable mécanique qui va l'emporter."

[Filipe84]

La résurrection de Mozart de Nina Berberova (B)

Résumé : Imaginons une soirée d’été. Chaude et paisible. Dans la lumière du crépuscule, quelques amis finissent de dîner. Le ciel est pur mais à l’accalmie inquiétante de cette nuit de juin 40 succède, au loin, la rumeur des canons.

Un tout petit roman doux amer qui commence par une belle nuit d'été où des amis attablés savourent le calme et la quiétude du lieu et finit, une semaine plus tard, en pleine débâcle de l'exode de 1940, dans l'incertitude de l'avenir, la douleur du suicide de l'un des leurs, la perte de tous les repères familiers et sociaux. De la douceur à l'amertume en 120 pages. Percutant.

[Filipe84]

Bonjour Filipe84, ta lecture t’ayant occupé plus longtemps que de coutume j’ai bien cru que tu avais péri d’ennui en lisant Elizabeth George qui a bien failli avoir raison de moi il y a de cela quelques années mais visiblement c’est une romancière que tu apprécies.

Bonjour Superjaded

Comme je te le disais dans un précédent post, je suis assez bon public; aussi du moment qu'un auteur, un interprète ou un réalisateur me fait passer un bon moment en créant de belles images ou sensations, j'adhère même si je n'en deviens pas groupie pour autant et je n'ai pas l'impression d'avoir perdu mon temps. Si tu as la curiosité de jeter un œil dans ma bibliothèque, tu t'apercevras que je reste ouvert à tout et que mes aversions restent très ciblées. Pour moi, une porte définitivement fermée est un pan entier de possibilités mortes et ça réduit beaucoup trop ma vie. Ainsi d'Elizabeth George, elle me distrait et je lis environ un de ses romans par an, en retrouvant avec plaisir sans doute, ses personnages et son atmosphère particulière. Un seul de ses romans m'a vraiment remuè et je te le conseille vivement, je le citais dans mon post, c'est Anatomie d'un crime. Essaie, ça ne coûte rien que quelques heures.
Quant au temps que j'ai mis à le lire, d'abord c'est un pavé, ensuite j'ai eu pas mal de choses à faire pour pouvoir venir sur le site, du coup j'ai enchaîné sur Bienvenue à Egypt Farm de Rachel Cusk, enfin l'été arrivant je vais être amené à passer pas mal de temps avec des amis qui me font le plaisir de venir pour des soirées conviviales dans ma maison de campagne en Haute Loire et même si je suis insomniaque, ça va réduire mon train de lecture.

Quant aux groupes des années 80 : Zero Boys, je ne connais pas du tout; dans ces années là , je suis resté très fidèle aux groupes qui se sont formés dans les années 70 comme Genesis, Toto, Supertramp, U2, The Police, Queen Telephone, Van Halen, et sûrement bien d'autres que j'oublie, mais rien que du bien conventionnel.

Bon week-end. Cordialement. Philippe.

[Superjaded]

Bonjour Filipe84, après avoir lu ton commentaire sur Anatomie d’un crime j’ai fait une recherche et ne suis tombé que sur des avis très élogieux qui corroboraient le tien. A 20- 25 ans je me serais probablement précipité sur ledit roman mais j’avoue qu’aujourd’hui la perspective d’affronter 760 pages d’une histoire qui a l’air sordide me fait hésiter.
Pour ma part j’ai des préjugés négatifs à l’encontre de certains auteurs tels que Michel Bussi je préfère donc les bannir d’office et aller vers des écrivains vendant moins de livres.

De Genesis je connais un peu la période Phil Collins pas du tout celle de Peter Gabriel mais le rock progressif ce n’est pas du tout ma tasse de thé. Sans vouloir vexer les fans de U2 et The Police je ne supporte ni Bono ni Sting et John Lydon m’a bien fait rire quand il a qualifé les mecs de Police de vieilles carcasses molles . De cette époque je leur préfère des groupes comme The Jam ou The Descendents par exemple.

Merci bon week-end à toi aussi

[Mimori]

Je ne vais pas tarder à commencer Sacrées Sorcières ! J'ai récemment décidé de rattraper mon retard en ce qui concerne Roald Dahl.

[Superjaded]

Les rapaces de Frank Norris

A la fin du XIXe siècle, un ancien chercheur d'or s'établit à San Francisco comme dentiste puis épouse une jolie fille : l'ambition sociale et la passion de l'or causeront leur perte. Influencé par Zola et le darwinisme social, Norris signe ici une épopée romantique de l'innocence perdue. À l'heure de l'Amérique triomphante, où villes et chemins de fers ont colonisé les territoires vierges, rien n'apparaît impossible à l'homme. Au même moment, le pays subit sa première grande crise économique et sociale. Réaliste et fataliste, moraliste et politique, _Les Rapaces_ donne une vision dantesque de la civilisation capitaliste, où la cupidité se saisit même des plus pauvres et des innocents pour les conduire à la mort.

A l’aune de ce roman, l’affirmation de Romain Rolland selon laquelle la fatalité est l’excuse des âmes sans volonté ne s’avère que partiellement exacte. Si le héros Mcteague est effectivement handicapé par une compréhensions assez lente des choses en dépit de sa puissance physique, il n’en reste pas moins que ce sont aussi le destin et la corruption des âmes provoquée par l’argent qui vont faire de son existence une tragédie.Alors qu’il était fait pour mener une existence monotone entre son logis et son cabinet dentaire, l’attirance qu’il éprouve pour Trina et qu’il va confondre avec de l’Amour vont faire dérailler sa vie et cette erreur conjuguée à la présence d’un personnage qui lui voue une haine inextinguible et travaille à sa perte auront pour conséquence inéluctable un épilogue dramatique mais néanmoins surprenant.

[HarlineWatson]

Je suis en train de lire le tome 1 de L’épée de vérité de Terry Goodkind. Je l’avais déjà commencer dans le passé, mais j’avais perdu l’intérêt. Donc, je me reprend !

[Gollum]

Congo Requiem, de Jean-Christophe Grangé.

"On ne choisit pas sa famille mais le diable a choisi son clan.

Alors que Grégoire et Erwan traquent la vérité jusqu'à Lontano, au coeur des ténèbres africaines, Loïc et Gaëlle affrontent un nouveau tueur à Florence et à Paris.

Sans le savoir, ils ont tous rendez-vous avec le même ennemi. L'Homme-Clou.

Chez les Morvan, tous les chemins mènent en enfer."

[Or_l_lie_Hamham]

bonjour,

en ce moment j'essaie de liquider ma pal, du coup je lis "Onyx" de Jennifer L. ARMENTROUT

[Lauren59]

Charley Davidson, Tome 7 : Sept tombes et pas de corps de Darynda Jones

Douze. Douze des bêtes les plus sanguinaires jamais forgées dans les flammes de l'enfer se sont échappées sur notre dimension, et elles veulent par dessus tout arracher la jugulaire de Charley Davidson et servir son corps sans vie et mutilé à Satan au dîner. Voilà. Mais Charley a autre chose à penser qu'une bande de chiens de l'enfer irritables. D'un côté, son père a disparu, et plus elle suit ses dernières traces, plus elle apprend qu'il menait sa propre enquête, une qui amène Charley à remettre en question tout ce qu'elle savait à son sujet. Ajoutez à ça une ancienne meilleure amie qui la hante nuit et jour, une vague de suicides qui laisse les autorités médusées, et un fiancé beau à se damner qui a attiré l'attention d'une célébrité locale, et Charley ne passe pas vraiment la meilleure semaine de sa vie.

Un soupçon d'enfer, un saut, un bond puis une course au travers du royaume de l'éternité, voilà ce qu'est ce petit endroit appelé la Terre, et Charley Davidson, faucheuse extraordinaire, est déterminée à faire tout ce qui est en son pouvoir pour la sauver.

Nous sommes perdus.

[juliseuse]

Au niveau des mangas, je lis "Arte" et niveau roman, je me lance dans "Morte saison" de Jack Ketchum.

[Stephanie-563]

Je suis sur la sentence du Léman d'olivier Schneider

[Chikita84]

"Clair obscur" de Lily Haime

Une magnifique romance M/M, j'espère

Résumé :
Il a le regard vairon, des yeux qui m’ont poursuivi pendant des années. Si je l’aime… »

Gwenn a deux rêves, la danse et Sevan. Après avoir réussi ses auditions à la célèbre Julliard School, il prend sa voiture malgré les conseils de son meilleur ami et roule jusqu’à chez Sevan. Gwenn a l’arrogance de ses dix-sept ans, la prétention des sentiments. Sevan a vingt-quatre ans ; militaire de carrière, il est sur le point de quitter Portland pour se marier. Gwenn repart en cachant ses larmes, démarre trop vite, prend la fuite en faisant déraper les roues de sa Jeep.
Une seconde d’inattention et un chauffard ivre… Un arbre au bas d’une pente…
Sept ans plus tard, Gwenn est un jeune homme qui n’a plus rien à voir avec l’adolescent qu’il a été, ce rêveur aux grandes ambitions. Professeur de danse, propriétaire d’un bar en chantier, fils, frère, ami et tonton, il a appris à composer avec une vie différente de celle qu’il pensait mener. Si ses espoirs ont foutu le camp, s’il reste cabossé et rafistolé, il ne cache pas ses cicatrices.
Quand Sevan revient à Portland, Gwenn a appris à le haïr pour ne plus l’aimer.

« Une seconde chance, un souffle sur ses lèvres, une main au creux de son dos. Des riens qui changent tout… »

[Moonlightx]

bonjour,

en ce moment j'essaie de liquider ma pal, du coup je lis "Onyx" de Jennifer L. ARMENTROUT

J'aime beaucoup cette auteur, je suis entrain de lire le premier tome de la série Convenant.

[Gollum]

Le Passage, de Justin Cronin.

"Il y a un siècle, le monde a sombré dans le chaos. Une épidémie, dont l'origine ne fut jamais identifiée, a transformé l'homme en mutant et réduit la civilisation à néant. Les derniers représentants de l'humanité vivent en colonie, luttant jour après jour pour survivre. Surgie de nulle part, une jeune fille vient à leur rencontre. Elle semble avoir 14 ans.
Elle en a cent de plus.
Elle est venue sauver le monde."

[Superjaded]

Quand Sevan revient à Portland, Gwenn a appris à le haïr pour ne plus l’aimer.




« Bien connaître quelqu’un, c’est l’avoir tour à tour aimé et haï » disait Marcel Jouhandeau

[larmedesoleil]

Je me suis lancée dans l'Illiade, que je lis petit à petit et j'ai l'Odyssée qui m'attends après (je ne suis pas rendue loin...).

[Filipe84]

Les quatre filles du docteur March de Louisa May Alcott

Résumé : Dans une petite ville du Massachussetts, durant la guerre de Sécession, une famille modeste, quatre jeunes sœurs et leur mère, guette avec inquiétude chaque lettre du père parti au front. Mais rien ne peut arrêter la jeunesse, et la vie continue à façonner les destinées de Meg, l’aînée pragmatique et conformiste, Amy la frivole, Jo, la romancière en herbe et féministe avant l’heure, et la douce Beth, à la santé fragile. De l’enfance à l’âge adulte, confrontées à la découverte de soi, elles partagent une joie de vivre débordante apprenant la sororité, l’amitié mais aussi le sacrifice.

L’archétype du romantisme XIXe pour jeunes filles de bonnes familles, avec son vocabulaire sirupeux, ses sentences moralisatrices, ses happy ends à répétition et lénifiants ; entre La Comtesse de Ségur et Eugène Sue. J’avoue que j’ai bien souvent eu du mal mais lorsque je commence un livre, il faut vraiment que je le trouve archinul pour ne pas le finir. Alors, je suis allé au bout, Ouf ! C’est un classique après tout. Parfois, bien sûr, un petit frisson empathique, parce que c’est fait pour (la maladie de Beth, la tendresse bourrue de M. Laurence, l’innocence des enfants…). C’est comme quand on regarde Ma meilleure ennemie : on a beau savoir pertinemment que c’est un mélo hollywoodien presque caricatural, quel psychopathe ne va pas ressentir un minimum d’émotion lorsque les enfants demandent à leur mère (Formidable Susan Sarandon) si elle va mourir et que cette dernière ne peut que leur dire la vérité. Quel sociopathe peut écouter imperturbablement Les roses blanches par Berthe Sylva ou le Cadeau de Marie Laforêt (Maman, je t’aime très beaucoup) sans chialer comme un gosse ? Donc en résumé, très bien fait pour les passionnés du genre uniquement.

[Filipe84]

La maison atlantique de Philippe Besson (B +)

Résumé : Dans le registre implacable de la tragédie, Philippe Besson revisite la règle des trois unités : de lieu, de temps et d'action. Racontant la façon, à la fois désinvolte et rageuse, dont un jeune homme passe imperceptiblement de l'hostilité sourde à la haine pure et dangereuse envers son père, il nous offre un roman tout en nuances et en violence contenue.

En règle générale, je ne suis pas fan des romans sur les triangles amoureux. Ils sont souvent prévisibles et je ne ressens que peu d’intérêt à savoir qui couche avec qui et pourquoi ; d’ailleurs c’est souvent infantile et pathétique. L’intérêt de cette tragédie grecque, c’est qu’au-delà du triangle, il y a un quatrième point : une focale où se cristallise le drame. C’est bien imaginé, bien écrit, percutant par sa simplicité et sa concision comme toujours chez Philippe Besson dont je recommande chaleureusement les romans Son frère (TB +) ou La trahison de Thomas Spencer (B +). J’ai lu aussi L'arrière-saison (B), Les amants (B), Les jours fragiles (B), En l’absence des hommes (AB +) et pas du tout apprécié Se résoudre aux adieux dans lequel je n’ai pas réussi à entrer, à cause de style épistolaire, je pense ?.

[Filipe84]

Aujourd’hui la perspective d’affronter 760 pages d’une histoire qui a l’air sordide me fait hésiter.
Malheureusement, la vie décrite par George dans son roman est celle que vit la jeunesse de notre temps : sordide, bien d'accord avec toi. Est-ce qu'il faut l'occulter et se contenter de vivre dans le passé à travers des livres sur le XIXe que je lis aussi avec plaisir ? Je n'écoute que très peu les commentaires d'actualité parce que je les trouve navrants donc j'essaie de retrouver l'ambiance contemporaine (pas toujours euphorique, je l'avoue) dans des livres comme L'art de perdre d'Alice Zeniter, Leurs enfants après eux de Nicolas Mathieu ou les romans vraiment noirs de Jean-Claude Izzo (Total Khéops ou Chourmo). Rien à voir avec Les quatre filles du docteur March donc.

Pour ma part j’ai des préjugés négatifs à l’encontre de certains auteurs tels que Michel Bussi je préfère donc les bannir d’office et aller vers des écrivains vendant moins de livres.
J'ai aussi banni Lévy et Bussi de ma PAL mais uniquement après avoir lu Et si c'était vrai... et Le temps est assassin. J'aime bien savoir de quoi je parle.

De Genesis (...) De cette époque je leur préfère des groupes comme The Jam ou The Descendents par exemple.
Comme tu le dis si bien, cela date de cette époque. Bien que de temps en temps, je me repaie un petit tour du côté des années 70 ou 80, mais aussi des années 40, 50 ou 60 etc.. (Je cumule environ 3000 titres sur clés USB sans compter les musiques du monde, musiques de films, musique classique et opéras qui m'aident à supporter les innombrables heures que je passe en voiture), j'en suis plutôt aux groupes francophones avec chansons à texte qui me font plutôt rire ou réagir comme La maison qui tient chaud, Les Cowboys Fringants, As de trèfle, L'Homme parle, La rue Ketanou, Ministère des affaires populaires etc... Et je garde vraiment un faible pour le swing années 40-50, le jazz de Chet Baker et une véritable passion pour la musique classique (Beethoven, Mozart Rachmaninov, Haendel, Chopin, Vivaldi, Weber) et l'opéra (Verdi, Puccini, Gounod, Donizetti ou Wagner).

Bonne journée.

[Superjaded]

Bonjour Filipe84,

J’ai lu la trilogie de Jean-Claude Izzo il y a une vingtaine d’années c’est un livre qui m’a d’autant plus marqué qu’au même moment toute une polémique avait eu lieu autour du fait qu’Alain Delon très à droite politiquement allait interprété le héros d’un auteur de gauche. Je ne lis quasiment que des drames ainsi dernièrement ai-je lu Affronter l’orage un recueil de nouvelles de Larry Brown et relu La rue d’Anne Petry,Le vautour de Gil-Scott Heron ou en encore Juste être un homme de Craig Davidson mais la noirceur du roman dElizabeth George m’a l’air particulièrement exacerbée.Je vais tout de même me le procurer et le lire quand je serai d’attaque.
Pour ce qui est de la chanson français j’avoue que je suis resté un peu bloqué sur Serge Gainsbourg même si je reconnais que Vie d’artiste de Keny Arkana est une grande chanson mais je trouve l’écoute d’un album de hip-hop fastidieuse en dépit de la jolie plume dont sont dotés certains rappeurs. Parmi les groupes que tu cites je ne connais que les Cow-Boys fringants quant au jazz c’est une musique trop complexe pour moi idem pour la musique classique

Merci bonne journée à toi aussi

[Lauren59]

La tondue de Marie de Palet

1945, la France est libérée. Yvette Martin rentre au pays qu'elle a fui quinze ans plus tôt pour " monter " faire sa vie à Paris. Un foulard cache mal ses cheveux courts, beaucoup trop courts, portant encore " les marques des ciseaux de la honte ". Dans son village natal où elle vient se réfugier, Yvette espère se faire oublier, retrouver la paix. Mais elle retrouvera un village à jamais marqué par l'Occupation, rongé par la haine, les secrets qui engendrent des rumeurs et qui touchent sa famille de près, de bien trop près. Qui est donc cet inconnu aux yeux de velours noir, arrivé par le même train qu'elle ? Que cherche-t-il dans ce petit village de la région de Mende ? Qui était ce couple caché à l'écart du village pendant la guerre, mystérieusement disparu et que lui cachent ses parents ? Yvette sait qu'elle doit répondre à toutes ces questions pour pouvoir un jour vivre en paix, mais à quel prix ?

[John_Ross]

Bonjour à tous et à toutes,

J'ai terminé il y a quelques temps La Stratégie de Genève de Robert Ludlum, écris par Jamie Freveletti. Il s'agit d'un bon roman d'espionage, assez technique, le petit truc en plus, écris par une femme l'histoire est intéressante. Je posterai un commentaire plus détaillé prochainement. D'un premier abord je le trouvais sans saveur, mais finalement dépaysant.

A bientôt, John Ross.

[misslim]

Dynasties : Ilona Andrews

Résumé : Nevada Baylor s’apprête à affronter le challenge le plus ardu de sa carrière de détective. Missionnée par la famille d’un certain Adam Pierce, elle doit le retrouver et le leur ramener vivant. Mais Nevada se fait kidnapper en chemin par Mad Rogan, un séduisant milliardaire qui possède de grands pouvoirs. Entre le désir de fuir et celui de s’abandonner à son ténébreux ravisseur, Nevada hésite. Pourtant, les événements ne vont guère lui laisser le choix...

La couverture est trompeuse l'histoire est vraiment agréable.

[Filipe84]

Autre-Monde T2 : Malronce de Maxime Chattam (B)

Résumé : Imaginez un monde où la nature a repris le pouvoir, où les adultes sont redevenus sauvages et les enfants se sont assemblés en bandes pour survivre, où chaque promenade est une expédition, chaque jour passé, un exploit. Un monde recouvert par un océan de forêts, peuplé de créatures fabuleuses, traversé de courants étranges, d’énergies nouvelles. Un monde nouveau où trois adolescents tentent de déjouer les pièges d’une mystérieuse reine, acharnée à leur perte : Malronce.

Toujours un bon univers post-apocalypse, la saga s'organise, l'inventivité est au rendez-vous comme au bon vieux temps où je lisais les Jack Vance et les Asimov puis les Eddings (Les portes de la Mort ++); mais, il y a un mais... En effet, je reste avec une impression de malaise quant à l'écriture de Chattam sur cette série : c'est trop simple, voire simpliste ; la phrase en reste "plate" et toute la perception de ces mondes fantastiques qui pourrait être foisonnante de sensations, en souffre. On me rabat les oreilles avec la littérature "young adult"; ça veut dire quoi ? Qu'un adolescent ou un jeune adulte est affolé intellectuellement si on sort du sujet-verbe-complément ? Qu'il ne peut même pas envisager - je ne parle pas de Proust ou Balzac - d'ouvrir un Zola.
Merci messieurs les nouveaux auteurs de faire un peu plus confiance à notre jeunesse, de la tirer vers le haut en pondant un peu moins de commercial et un peu plus d'écrit de qualité littéraire supérieure.

[mcn89]

Je lis "quand le diable sortit de la salle de bains" de Sophie Divry.