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[Filipe84]

L'ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche T1 de Miguel de Cervantès (AB)

Résumé : Cervantes y raconte les aventures du pauvre hidalgo Alonso Quichano, vivant dans la Manche et obsédé par les livres de chevalerie. Alors que l'époque des chevaliers est déjà révolue, il prend la décision de devenir le chevalier errant Don Quichotte, et de parcourir l’Espagne pour combattre le mal et protéger les opprimés. Il rencontre de nombreux êtres restés célèbres, Sancho Panza, paysan naïf devenu écuyer ; Rossinante son cheval famélique ; Dulcinée du Toboso, l'élue de son cœur à qui Don Quichotte jure amour et fidélité. Les auberges deviennent des châteaux, les paysannes des princesses, et les moulins à vent des géants.

Quelle déception. Désolé d'être iconoclaste mais vraiment quoi ! Les 200 premières pages sont un fatras d'aventures dépareillées, extravagantes et peu crédibles d'un halluciné pathétique qui se prend pour un chevalier et d'un crétin goitreux intéressé qui lui sert d'écuyer. Il faut attendre les alentours de la 250e page et le dialogue entre le chanoine et Don Quichotte pour comprendre que pour l'instant on a affaire à une critique acerbe des dangereuses illusions du Moyen-Age avec ses idéologies chevaleresques et d'amour courtois (véhiculés par le roman de chevalerie opposé en tout point aux écrits sérieux de la religion catholique), prônant l'amour libre (Dulcinée), la liberté (Don Quichotte se démarque de la loi par son idéal chevaleresque), la défense des opprimés (Berger, galériens,...) contre les oppresseurs (maitres, représentants de l'ordre, ...). Critique exercée par le truchement de la religion (chanoine et curé) aux prises avec la Réforme et en plein dans la Contre Réforme. J'attends le second tome pour voir apparaître le fameux nouveau roman avec sa critique sociale qui a fait la renommée de l'auteur à en croire la 4e de couverture. Dubitatif.

[Filipe84]

En alternance la troisième partie de l'excellent Mythes et Mythologies de Félix Guirand et Joël Schmidt (TB)

Après la première partie (2019) traitant des mythologies préhistorique, égyptienne, assyro-babylonienne et phénicienne, la seconde partie (2020) avec les mythologies grecque et romaine, je viens de terminer la troisième partie : mythologies celtique, germanique, slave et ougro-finnoise. Toujours aussi délectable. On y suit depuis le début, une ligne ininterrompue de mythes et légendes aux parentés évidentes qui les font toutes découler d'une religion primitive centrée sur le principe féminin de la Déesse-Mère et du versant masculin solaire et du Feu. Bien entendu, les différentes civilisations qui se succèdent les accommodent à leur sauce en tenant compte de leurs impératifs politiques et besoins sociétaux, mais jusqu'à l'expression de nos religions actuelles, on ne manque pas de retrouver le pot commun et l'évidence de quête existentielle voire manipulatrice.

[clocloee]

Comme promis, je viens parler de "Culture pédocriminelle et prostitutionnelle" de Maïté Lonne que j'ai terminé.
Voici mon avis :
C’est un livre coup de poing qui nous bouscule littéralement. L’autrice nous relate l’envers du décor de la prostitution des femmes, des hommes, des mineurs et des enfants et donc de la pédophilie, en Belgique, en France et en Europe. A travers son expérience mais aussi avec des témoignages difficiles, elle dénonce et accuse énormément de choses, de personnes (les gouvernements, les lois, les proxénètes, les clients, etc.) mais en nous expliquant ces arguments. Ce livre fait réfléchir, il dérange même parfois mais il est utile et vrai. Il est un peu dur à lire à certains passages mais il faut le lire, il est intéressant.

Merci pour ton avis ! Ça a l'air d'un livre très intéressant en effet.

La romance te changera les idées après un livre dur !

[clocloee]

L'ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche T1 de Miguel de Cervantès (AB)

Résumé : Cervantes y raconte les aventures du pauvre hidalgo Alonso Quichano, vivant dans la Manche et obsédé par les livres de chevalerie. Alors que l'époque des chevaliers est déjà révolue, il prend la décision de devenir le chevalier errant Don Quichotte, et de parcourir l’Espagne pour combattre le mal et protéger les opprimés. Il rencontre de nombreux êtres restés célèbres, Sancho Panza, paysan naïf devenu écuyer ; Rossinante son cheval famélique ; Dulcinée du Toboso, l'élue de son cœur à qui Don Quichotte jure amour et fidélité. Les auberges deviennent des châteaux, les paysannes des princesses, et les moulins à vent des géants.

Quelle déception. Désolé d'être iconoclaste mais vraiment quoi ! Les 200 premières pages sont un fatras d'aventures dépareillées, extravagantes et peu crédibles d'un halluciné pathétique qui se prend pour un chevalier et d'un crétin goitreux intéressé qui lui sert d'écuyer. Il faut attendre les alentours de la 250e page et le dialogue entre le chanoine et Don Quichotte pour comprendre que pour l'instant on a affaire à une critique acerbe des dangereuses illusions du Moyen-Age avec ses idéologies chevaleresques et d'amour courtois (véhiculés par le roman de chevalerie opposé en tout point aux écrits sérieux de la religion catholique), prônant l'amour libre (Dulcinée), la liberté (Don Quichotte se démarque de la loi par son idéal chevaleresque), la défense des opprimés (Berger, galériens,...) contre les oppresseurs (maitres, représentants de l'ordre, ...). Critique exercée par le truchement de la religion (chanoine et curé) aux prises avec la Réforme et en plein dans la Contre Réforme. J'attends le second tome pour voir apparaître le fameux nouveau roman avec sa critique sociale qui a fait la renommée de l'auteur à en croire la 4e de couverture. Dubitatif.

Ah mince et merci pour ton avis. J'espère que le deuxième tome te conviendra plus. En même temps je me dis que certains livres sont importants parce qu'ils ont amené des idées nouvelles à l'époque mais que depuis ils ont vieilli, que les idées sont moins révolutionnaires aujourd'hui (et que c'est tant mieux en général) et que du coup ces livres ont moins d'intérêt à part pour des spécialistes de l'histoire de la littérature.

[Chikita84]

Comme promis, je viens parler de "Culture pédocriminelle et prostitutionnelle" de Maïté Lonne que j'ai terminé.
Voici mon avis :
C’est un livre coup de poing qui nous bouscule littéralement. L’autrice nous relate l’envers du décor de la prostitution des femmes, des hommes, des mineurs et des enfants et donc de la pédophilie, en Belgique, en France et en Europe. A travers son expérience mais aussi avec des témoignages difficiles, elle dénonce et accuse énormément de choses, de personnes (les gouvernements, les lois, les proxénètes, les clients, etc.) mais en nous expliquant ces arguments. Ce livre fait réfléchir, il dérange même parfois mais il est utile et vrai. Il est un peu dur à lire à certains passages mais il faut le lire, il est intéressant.

Merci pour ton avis ! Ça a l'air d'un livre très intéressant en effet.

La romance te changera les idées après un livre dur !

Oui ça fait du bien, un peu de "légèreté"

[Daya22]

j'ai commencé le voleur de mort mais je pense que je vais interrompre ma lecture ce n'est pas mon style en fin de compte

[Lauren59]

Une vie meilleure de Rachel Rhys

Juillet 1939, Lilian Shepherd, vingt-cinq ans, embarque sur un paquebot à destination de l’Australie, laissant derrière elle un pays sur lequel plane l’ombre de la guerre. Le navire est rempli de passagers venus d’horizons les plus divers, mais tous partagent un désir commun : repartir de zéro sur ce nouveau continent.

Pour une jeune femme à l’existence plutôt terne jusqu’alors, c’est un voyage magique. Il y a un orchestre à bord, des bals costumés pour tous, et Lily n’a de comptes à rendre à personne. Elle découvre à chaque escale des lieux qui n’étaient pour elle que des noms mythiques – Naples, Le Caire, Ceylan – et se lie avec des passagers qui, d'ordinaire, n’auraient pas daigné la regarder. Des amitiés se tissent, des amours naissent…

Mais les paillettes peuvent cacher de lourds secrets, et Lily s’aperçoit peu à peu qu’elle n’est pas la seule à fuir son passé. Dans ce microcosme où les normes sociales sont bouleversées et où l’imminence de la guerre renforce les préjugés, tous les éléments sont réunis pour que le rêve tourne au drame… Une chose est sûre, la vie de Lily s’en trouvera changée à jamais.

[Gollum]

Frontière barbare, de Serge Brussolo.

"En tant qu’exovétérinaire, David Sarella parcourt l’univers de monde en monde, pour le compte de l’Organisation des planètes unies. Sa mission : pacifier et réhabiliter les exomorphes belliqueux, une fois les conflits terminés. Il est aidé par sa femme, Ula, qui possède elle-même des gènes extraterrestres. Leur nouvelle mission les entraîne sur la planète Mémoriana, où un cessez-le-feu semble sur le point d’être négocié. Sur place, toutefois, les exomorphes ne s’en laissent pas conter et la situation s’avère plus dangereuse que prévu. Pour son grand retour à la science-fiction, Serge Brussolo nous offre une aventure palpitante au cœur d’un monde inconnu, tout en continuant à explorer, avec l’imagination débordante qui lui est propre, les profondeurs de la psyché humaine."

Fog, de James Herbert.

"Cela commença par un tremblement de terre. Dans la confusion, au milieu des cris des victimes, personne ne prêta vraiment attention à ce brouillard jaunâtre qui s’échappait de la terre éventrée et que le vent eut tôt fait d’emporter vers la campagne anglaise. Puis des massacres inexplicables, déments, furent signalés sur le passage de la nappe de brouillard. Elle se mit à croître, progressant inexorablement vers les zones les plus peuplées d’Angleterre…
Alors qu’il revient d’une mission d’inspection clandestine d’un site militaire, John Holman est victime d’un tremblement de terre dans un village de la plaine de Salisbury. Avec sa voiture, il tombe dans une grande faille dont il essaie de s’extraire, tout en venant en aide à une fillette.
Un étrange brouillard jaunâtre monte des profondeurs mais, dans la panique, personne n’y prend garde.
Peu après son sauvetage, Holman est pris de folie et des évènements mystérieux secouent la région."

[clocloee]

Je lis The bards of Bone Plain de Patricia A. McKillip. C'est un livre de fantasy dans lequel les savants essaient de trouver le lien entre les mots, la musique et la magie, en faisant des recherches dans l'histoire et les mythes.
L'histoire alterne entre deux époques différentes, et je trouve que McKillip arrive vraiment bien à avoir deux styles différents pour ces deux époques, l'une censée être contemporaine et l'autre qui est le lointain passé légendaire.

C'est le premier livre que je lis de cette autrice dont je n'avais jamais entendu parler avant de tomber sur ce livre et je suis enthousiasmée !

[Filipe84]

Les aventuriers de la mer T7 : Le Seigneur des trois règnes (B+) de Robin Hobb

Résumé : A la suite du tremblement de terre qui a détruit la cité des Anciens, Malta, le Gouverneur et sa compagne dérivent sur le fleuve du Désert des Pluies jusqu'à ce qu'ils soient recueillis par une galère chalcédienne qui les emmène vers une destination inconnue. Pendant ce temps, à Terrilville, la situation demeure très confuse : les navires chalcédiens font le blocus du port, la guerre civile réduit à néant l'unité de la cité, l'interruption du commerce, les incendies et les pillages ruinent la ville. La Compagne Sérille, sous l'emprise de l'inquiétant Roed Caern, devient une menace pour Ronica Vestrit, qui se voit contrainte de chercher asile auprès d'une famille de pêcheurs. A bord de la Vivacia, puis sur l'île des Autres, Hiémain se remet lentement de ses épreuves et finit par dévoiler à Kennit le terrible secret des vivenefs. Aux prises avec des destins contrariés, les héros de Robin Hobb continuent de lutter de toute leur énergie.


Les aventures de nos héros se poursuivent mais la multiplicité des protagonistes et l'éparpillement de leurs destinées forcent à un maximum de concentration et parfois à un minimum de frustration tant on voudrait tous les suivre de plus près. Il ne reste que deux tomes et on se demande comment tout pourra se résoudre sans queue de poisson. Dans l'attente, on espère beaucoup du professionnalisme et de l'imagination de l'auteur.
Pour ma part j'ai du mal à lire toute une série d'un seul tenant en particulier lorsqu’elle dépassent 3 tomes (ici il y en a 9, et je ne parle même pas de Fortune de France de Robert Merle qui en comporte 13 ou encore du cycle monumental de La Roue du Temps avec ses 23 volumes - pour l'instant que j'ai commencé en 2005 et pas encore terminée parce que je me suis arrêté au tome 17 en 2013-). Pourtant très souvent la curiosité me dévore, mais j'ai peur d'éprouver de la lassitude à rester longtemps dans le même univers et donc de moins apprécier ce que je suis hyper heureux de retrouver après quelques mois de break.

[Filipe84]

Ah mince et merci pour ton avis. J'espère que le deuxième tome te conviendra plus. En même temps je me dis que certains livres sont importants parce qu'ils ont amené des idées nouvelles à l'époque mais que depuis ils ont vieilli, que les idées sont moins révolutionnaires aujourd'hui (et que c'est tant mieux en général) et que du coup ces livres ont moins d'intérêt à part pour des spécialistes de l'histoire de la littérature.

J'avoue que ce que tu dis est très vrai en ce qui concerne les essais comme par exemple L'Histoire naturelle de Buffon ou Les Provinciales de Blaise Pascal parce qu'ils expriment des concepts ou des batailles d'idées qui sont complètement dépassées de nos jours. Mais pour les romans, ou c’est bien écrit ou c'est ennuyeux et fastidieux à lire quelle que soient les idées qu'ils défendent. Par exemple sur le même genre que Don Quichotte, c'est à dire des pérégrinations aventureuses avec satire sociale, Histoire de Gil Blas de Santillane d'Alain-René Lesage est beaucoup plus plaisant. Même si les auteurs du XIXe ont un style romantique qu'on peut considérer parfois comme mièvre, Les mystères de Paris d'Eugène Sue ou Sans famille d'Hector Malot réservent de belles surprises d'émotions. Pour l'instant Don Quichotte m'a vraiment laissé froid voire agacé, comme m'avaient lassé La Divine Comédie de Dante (alors là pour le coup si l'on est pas du siècle d'écriture, on y comprend rien vu les références constantes faites aux contemporains de l'auteur), ou Les liaisons dangereuses de Pierre Choderclos de Laclos (beaucoup trop précieux à mon goût).

[Mimori]

Je lis Les Révoltés de Bohen, le second tome d'une saga fantasy par Estelle Faye (cocorico.)
Le premier volume m'a fait l'effet d'un vrai vent de fraîcheur ; la suite se passe quinze ans après les faits et si l'Histoire de Bohen a parcouru son bonhomme de chemin, les personnages sont toujours aussi fébriles et vulnérables. C'est un grand plaisir de retrouver l'écriture quasi-poétique d'Estelle Faye et sa narration à toute épreuve.

[YLY06]

La communauté du sud, tome 3 mortel corps à corps de Charlaine Harris. Ça permet de se détendre après une bonne journée de télétravail devant un ordinateur et finalement je trouve ça plus sympa que la série True Blood.

[clocloee]

Mais pour les romans, ou c’est bien écrit ou c'est ennuyeux et fastidieux à lire quelle que soient les idées qu'ils défendent.

Oui je vois ce que tu veux dire, même si je pense que le goût pour un certain style peut évoluer au fil des époques et donc un livre peut globalement sembler moins bien écrit aujourd'hui qu'à l'époque où il a été écrit.

Bref avec tout ça on se demande pourquoi Don Quichotte est un tel monument !

[Filipe84]

La petite fille de monsieur Linh de Philippe Claudel (B)

Résumé : C’est un vieil homme debout à l’arrière d’un bateau. Il serre dans ses bras une valise légère et un nouveau-né, plus léger encore que la valise.Le vieil homme se nomme Monsieur Linh. Il est seul désormais à savoir qu’il s’appelle ainsi. Debout à la poupe du bateau, il voit s’éloigner son pays, celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que dans ses bras l’enfant dort.

L'histoire d'une amitié entre un vieil immigré vietnamien en plein déni après les horreurs qu'il a vécues avant de quitter son petit village natal et un veuf américain sans enfant qui n'a pas encore pu faire le deuil de sa femme et qui souffre de solitude. Amitié malgré les barrières de la langue (ils ne se comprennent absolument pas), malgré les quiproquos culturels, malgré la froideur bureaucratique des services sociaux. Tout est là pour faire un superbe roman empathique mais je ne sais pas ce qui m'a manqué car je suis resté en dehors de cette histoire. Ça tient peut-être au style ou au moment où je l'ai lu. Je ne sais pas bien. Il m'est arrivé la même chose avec Eldorado de Laurent Gaudé dont on m'avait pourtant dit beaucoup de bien.
Cela reste un bon petit roman bien que sans spoiler, on se doute un peu de la ficelle qui sert de fil rouge et que la chute est éventée bien avant la fin.

[Filipe84]

Bref avec tout ça on se demande pourquoi Don Quichotte est un tel monument !

Je ne prétends pas être une sommité en matière de critique littéraire (le roman a quand même traversé les siècles comme un chef d’œuvre) mais ne parlant que pour moi même et avec mon ressenti, j'en suis encore tout ébaubi Laissons une chance au second tome que j'attaquerai bientôt.

[Lauren59]

Charley Davidson, Tome 4 : Quatrième tombe au fond de Darynda Jones

VOUS SAVEZ, CES MAUVAISES CHOSES QUI ARRIVENT AUX GENS BIEN ? C'EST MOI.

Être Faucheuse, c'est glauque. Et détective privée, dangereux. ON peut dire que je cumule. C'est pour ça que j'ai décidé de prendre un peu de temps pour moi. Rien de tel que passer quelques commandes au télé-achat pour reprendre du poil de la bête. Je ne comprends pas pourquoi Cookie en fait tout un plat! Ce n'est pas comme si on manquait d'argent : Reyes Farrow, le très chaud fils de Satan, m'en doit plein. Cela dit, pour lui demander de régler sa dette, il faudrait que je sorte de chez moi... Mais avec un pyromane qui met le feu, littéralement, à Albuquerque, et cette femme qui a besoin de mes services parce qu'on cherche à l'assassiner, je préférerais rester en pyjama.

[clocloee]

La petite fille de monsieur Linh de Philippe Claudel (B)

Ah dommage que ça ne t'ait pas plu moi j'avais adoré ce livre ! Il faut dire que je suis peut-être plus naïve que toi parce que je n'avais pas vu venir la fin. :p

Eldorado ne m'avait pas enchantée non plus par contre.

[lila11]

"Là où chantent les écrevisses" de Delia Owens

[lila11]

La petite fille de monsieur Linh de Philippe Claudel (B)

Ah dommage que ça ne t'ait pas plu moi j'avais adoré ce livre ! Il faut dire que je suis peut-être plus naïve que toi parce que je n'avais pas vu venir la fin. :p

Eldorado ne m'avait pas enchantée non plus par contre.

Pareil que toi pour "La petite fille de monsieur Linh" : j'ai adoré ce livre et je suis tombée des nues en lisant la dernière page.

[Marjorie2251]

Miss Peregrine et les enfants particuliers tome 2

[Gollum]

Le Monde des A, de A. E. Van Vogt.

"XXVIe siècle. Difficile de se faire une identité dans l'immensité anonyme de l'empire galactique... surtout quand on est amnésique.
Car en prenant part aux jeux de la machine — qui permettent aux gagnants de rejoindre la caste des nantis sur Venus — , Gilbert Gosseyn découvre qu'il n'est pas l'homme qu'il a toujours cru être. Ses souvenirs ne sont pas les siens, sa femme qu'il croyait décédée n'est pas morte, d'autant qu'il n'a jamais été marié ! Il peut même ressusciter lorsqu'on attente à sa vie...
Mais malgré cette aptitude : à se réincarner, il comprend vite qu'il n'est qu'un pion au sein d'un vaste complot dont la finalité lui échappe. Un pion ou... la pièce maîtresse ?"

La Tour sombre : Le Pistolero, de Stephen King.

"Un désert calciné, cruel et aveuglant. Immense. Un lieu réfractaire à la vie. C'est à peine si quelques masures, quelques hameaux subsistent çà et là, écrasés sous ce ciel inerte. Un enfer, implacable.
C'est là, pourtant, que marchent les deux solitaires ; obstinés, portés par un destin qui les dépasse. L'homme en noir d'abord, mystérieux, qui laisse dans son sillage une légende de faiseur de miracles. Et puis le pistolero, économe, laconique, dont lui-même ne sait plus s'il est encore humain. Le premier fuit, le second le poursuit. Il y a si longtemps qu'elle s'est engagée, cette chasse à l'homme, plus de vingt ans certainement. Sans que ni l'un ni l'autre ne sache réellement qui détient les clés de ce jeu mortel. Et si le gibier n'était pas celui qu'on croit ?..."

[Chikita84]

Je vais commencer "Salem" de Stephen King En espérant ne pas avoir trop de difficultés à m'endormir

Résumé :
Le Maine, 1970. Ben Mears revient à Salem et s'installe à Marsten House, inhabitée depuis la mort tragique de ses propriétaires, vingt-cinq ans auparavant. Mais, très vite, il doit se rendre à l'évidence : il se passe des choses étranges dans cette petite bourgade. Un chien est immolé, un enfant disparaît, et l'horreur s'infiltre, se répand, aussi inéluctable que la nuit qui descend sur Salem.

[clocloee]

En espérant ne pas avoir trop de difficultés à m'endormir

Effectivement ça a l'air bien anxiogène ! Peut-être garder un livre léger à lire en parallèle pour les moments avant de t'endormir ? :p

[Liline620]

Je finis « Le dieu caché » de J-F Dubeau

[Lauren59]

Linnea, tome 1 : Entre Dieu et moi, c'est fini de Katarina Mazetti

Linnea a seize ans, plein de complexes, et pas mal de questions qui lui trottent dans la tête. La seule qui la comprenait, c’était Pia. Sa meilleure amie, son amie pour la vie. Enfin, pour cent vingt jours, « sans compter les week-ends », Linnea a fait le calcul une fois. Puisque Pia est morte. Avec Pia, elle pouvait parler de tout : de l’amour, de la mode, de Markus, le beau gosse dont toutes les filles rêvent, du prof de bio qui devait se faire interner mais qui au lieu de ça harcèle la classe entière, de son père qu’elle voit deux fois par an, de sa mère qui a une liaison tumultueuse. Et de Dieu. Qu’est-ce que ça signifie « croire en Dieu »? Car ce n’est pas exactement la même chose que le père Noël. Comment le trouver ? C’est-à-dire où le chercher et comment le reconnaître ? Une chose est sûre, ce n’est pas la peine de compter sur Dieu pour résoudre les équations du second degré. Alors est-ce que ça vaut vraiment la peine d’en parler ? Un jour pourtant, Pia se jette sous un train. Évidemment Linnea se demande comment elle s’est débrouillée pour ne s’apercevoir de rien. Mais bon, c’est aussi un peu la faute de Pia, elle aurait peut-être pu commencer par se confier à elle, non ? Elles étaient amies quand même. Heureusement, il y a le mur du dressing de sa grand-mère. Avec une tapisserie orange et kaki pleine de motifs géométriques. On y trouve toujours quelque chose de nouveau quand on le fixe un moment en pensant à autre chose. L’avantage d’un mur, c’est qu’on peut tout lui confier. Il a le temps, il recueille les plaintes, les accès de colère, et ne hoche pas la tête en faisant semblant de comprendre. C’est parfait pour oublier. Puisque comme dit la grand-mère de Linnea, « pour pouvoir oublier quelque chose, il faut d’abord bien s’en souvenir ». Alors Linnea se souvient, de Pia, de leur rencontre, de leur amitié. Et elle raconte tout ça à son mur, avec une bonne dose d’humour et d’auto-dérision.

[Chikita84]

En espérant ne pas avoir trop de difficultés à m'endormir

Effectivement ça a l'air bien anxiogène ! Peut-être garder un livre léger à lire en parallèle pour les moments avant de t'endormir ? :p

Merci c'est une bonne idée
Mais je vais relever le défi Et puis je n' arrive pas à lire plusieurs livres en même temps

Linnea, tome 1 : Entre Dieu et moi, c'est fini de Katarina Mazetti

Linnea a seize ans, plein de complexes, et pas mal de questions qui lui trottent dans la tête. La seule qui la comprenait, c’était Pia. Sa meilleure amie, son amie pour la vie. Enfin, pour cent vingt jours, « sans compter les week-ends », Linnea a fait le calcul une fois. Puisque Pia est morte. Avec Pia, elle pouvait parler de tout : de l’amour, de la mode, de Markus, le beau gosse dont toutes les filles rêvent, du prof de bio qui devait se faire interner mais qui au lieu de ça harcèle la classe entière, de son père qu’elle voit deux fois par an, de sa mère qui a une liaison tumultueuse. Et de Dieu. Qu’est-ce que ça signifie « croire en Dieu »? Car ce n’est pas exactement la même chose que le père Noël. Comment le trouver ? C’est-à-dire où le chercher et comment le reconnaître ? Une chose est sûre, ce n’est pas la peine de compter sur Dieu pour résoudre les équations du second degré. Alors est-ce que ça vaut vraiment la peine d’en parler ? Un jour pourtant, Pia se jette sous un train. Évidemment Linnea se demande comment elle s’est débrouillée pour ne s’apercevoir de rien. Mais bon, c’est aussi un peu la faute de Pia, elle aurait peut-être pu commencer par se confier à elle, non ? Elles étaient amies quand même. Heureusement, il y a le mur du dressing de sa grand-mère. Avec une tapisserie orange et kaki pleine de motifs géométriques. On y trouve toujours quelque chose de nouveau quand on le fixe un moment en pensant à autre chose. L’avantage d’un mur, c’est qu’on peut tout lui confier. Il a le temps, il recueille les plaintes, les accès de colère, et ne hoche pas la tête en faisant semblant de comprendre. C’est parfait pour oublier. Puisque comme dit la grand-mère de Linnea, « pour pouvoir oublier quelque chose, il faut d’abord bien s’en souvenir ». Alors Linnea se souvient, de Pia, de leur rencontre, de leur amitié. Et elle raconte tout ça à son mur, avec une bonne dose d’humour et d’auto-dérision.

Il a l'air dur ce livre, beau mais dur... Les émotions doivent être au rendez-vous ^^

[Gollum]

Les Joueurs du A, de A.E. Van Vogt.

"Gilbert Gosseyn n'est plus une victime. Grâce à sa maîtrise du A, il a appris à se servir de son cerveau second et est bien décidé à démasquer les acteurs obscurs d'un complot dont les ramifications ne cessent de s'étendre. Une partie d'échecs cosmique dont l’enjeu n'est autre que la survie du système solaire...
Se révèlent ainsi deux des participants de ce jeu mortel qui se trame aux quatre coins de la galaxie : Enro le rouge, dictateur arriviste du plus grand empire, et le disciple, ombre fantomatique sans scrupules.
Mais le troisième joueur, lui, reste un mystère un mystère d'autant plus difficile à percer que Gosseyn occupe désormais le corps du faible et pusillanime prince ASHARGIN !"

[Filipe84]

Je vais commencer "Salem" de Stephen King En espérant ne pas avoir trop de difficultés à m'endormir

J'avoue que Stephen King avant d'aller se coucher, ça peut créer des nuits agitées. Dans le genre de Salem que j'avais beaucoup aimé, on a Ça, Cujo, Peur bleue, Shining bien sûr, et Désolation pour en citer quelques-uns. Avis aux amateurs.

[Filipe84]

La Tour sombre : Le Pistolero, de Stephen King.

"Un désert calciné, cruel et aveuglant. Immense. Un lieu réfractaire à la vie. C'est à peine si quelques masures, quelques hameaux subsistent çà et là, écrasés sous ce ciel inerte. Un enfer, implacable.
C'est là, pourtant, que marchent les deux solitaires ; obstinés, portés par un destin qui les dépasse. L'homme en noir d'abord, mystérieux, qui laisse dans son sillage une légende de faiseur de miracles. Et puis le pistolero, économe, laconique, dont lui-même ne sait plus s'il est encore humain. Le premier fuit, le second le poursuit. Il y a si longtemps qu'elle s'est engagée, cette chasse à l'homme, plus de vingt ans certainement. Sans que ni l'un ni l'autre ne sache réellement qui détient les clés de ce jeu mortel. Et si le gibier n'était pas celui qu'on croit ?..."

J'avais dévoré avec beaucoup de plaisir tout le cycle de La Tour sombre. Parfois déroutant mais très inventif.