L'apprenti braqueur
Publié : jeu. 11 juin, 2020 4:57 pm
Bonjour à tous !
Voici une petite histoire que j'ai fait en cours avec deux copines. Dites moi ce que vous en pensez pour que nous puissions nous améliorer !
Bonne suite de journée !
MissBlizz
L’apprenti braqueur
Quasimodo marchait dans la rue en re-pensant au plan qu’il élaborait depuis de si longs mois. Les raisons :
il avait 19 ans, il était poli et bon élève mais n’attirait pas beaucoup l’attention à son plus grand regret.
Du coup, pour ce faire connaître, il avait décidé de faire un gros coup. Braquer une banque.
Juste devant le bâtiment, il mit sa cagoule (qu’il avait préparé exprès pour l’occasion), sortit son arme (il s’était bien assuré qu’elle était chargée de fléchettes), empoigna son sac de sport et fit son apparition dans la banque en criant :
- Les mains en l’air ! On ne bouge plus !
Voyant que rien ne se produisit, il s’inquiéta :
« Pourquoi ne font-ils pas ce que je leur ai ordonné ? J’ai été clair pourtant ? »
- Je me répète, levez les mains en l’air…sil-vous-plaît ?
Tout le monde ricana.
- Non mais ! Vous n’êtes pas crédible mon jeune monsieur. lui dit un client.
- Ah…ah bon ? Pourquoi ?
- Il fallait que vous nous fassiez peur. Il fallait être méchant avec nous et plus agressif ! Recommencez !
Quasimodo refit son entrée en essayant de mettre dans sa prestation les conseils du client.
- Voilà ! C’est mieux ! lui dit il satisfait. Maintenant vous devriez tirer sur la jambe de…(il regarda autour de lui) ce monsieur là bas.
Le jeune homme ne se le fit pas répéter 2 fois. Il appuya sur la gâchette et tira. L’homme touché au tibias tomba à la renverse.
- Ahhhh ! ma jambe ! Au secours !
- Mais mon cher ami, vous n’avez rien, c’est une simple ventouse.
L’homme la regarda septique.
- Mais c’est pas possible ! Continuez ! Un braqueur ne se soucie pas de comment va sa victime ! Maintenant allez chercher les billets. continua son instructeur.
Quasimodo ouvrit son sac et menaça la banquière de son arme. Celle-ci lui donna tout de suite quelques billets ainsi qu’une petite pièce.
- Vous êtes au courant que cela fait 10 minutes que j’ai appuyé sur l’alarme et que la police va arriver d’un instant à l’autre ? demanda une autre banquière assise non loin de là.
« Police, sortez en lâchant votre arme ! » retentit une voix au dehors.
- Je…je fais quoi maintenant ? demanda Quasimodo.
- Il devrait plutôt prendre des otages, s’exclama une vieille femme, Mon petit fils et moi feront l’affaire. Nous sommes plus vulnérable.
Quasimodo sortit et cria :
- J’ai des otages, éloignez-vous ou je flingue la vieille !
Les policiers reculèrent de peur qu’il ne s’exécute.
Au bout de la rue, quand ils furent hors de vue, la vielle dame dit :
- Allez vous en maintenant ou il vont se mettre à vos trousses.
- Je ne pourrais jamais vous remerciez…
- Tais toi et pars, ils arrivent.
- Au revoir Monsieur le braqueur. lui dit l'enfant.
Quasimodo lui fit la bise et s’éloigna en courant.
Fin
Voici une petite histoire que j'ai fait en cours avec deux copines. Dites moi ce que vous en pensez pour que nous puissions nous améliorer !
Bonne suite de journée !
MissBlizz
L’apprenti braqueur
Quasimodo marchait dans la rue en re-pensant au plan qu’il élaborait depuis de si longs mois. Les raisons :
il avait 19 ans, il était poli et bon élève mais n’attirait pas beaucoup l’attention à son plus grand regret.
Du coup, pour ce faire connaître, il avait décidé de faire un gros coup. Braquer une banque.
Juste devant le bâtiment, il mit sa cagoule (qu’il avait préparé exprès pour l’occasion), sortit son arme (il s’était bien assuré qu’elle était chargée de fléchettes), empoigna son sac de sport et fit son apparition dans la banque en criant :
- Les mains en l’air ! On ne bouge plus !
Voyant que rien ne se produisit, il s’inquiéta :
« Pourquoi ne font-ils pas ce que je leur ai ordonné ? J’ai été clair pourtant ? »
- Je me répète, levez les mains en l’air…sil-vous-plaît ?
Tout le monde ricana.
- Non mais ! Vous n’êtes pas crédible mon jeune monsieur. lui dit un client.
- Ah…ah bon ? Pourquoi ?
- Il fallait que vous nous fassiez peur. Il fallait être méchant avec nous et plus agressif ! Recommencez !
Quasimodo refit son entrée en essayant de mettre dans sa prestation les conseils du client.
- Voilà ! C’est mieux ! lui dit il satisfait. Maintenant vous devriez tirer sur la jambe de…(il regarda autour de lui) ce monsieur là bas.
Le jeune homme ne se le fit pas répéter 2 fois. Il appuya sur la gâchette et tira. L’homme touché au tibias tomba à la renverse.
- Ahhhh ! ma jambe ! Au secours !
- Mais mon cher ami, vous n’avez rien, c’est une simple ventouse.
L’homme la regarda septique.
- Mais c’est pas possible ! Continuez ! Un braqueur ne se soucie pas de comment va sa victime ! Maintenant allez chercher les billets. continua son instructeur.
Quasimodo ouvrit son sac et menaça la banquière de son arme. Celle-ci lui donna tout de suite quelques billets ainsi qu’une petite pièce.
- Vous êtes au courant que cela fait 10 minutes que j’ai appuyé sur l’alarme et que la police va arriver d’un instant à l’autre ? demanda une autre banquière assise non loin de là.
« Police, sortez en lâchant votre arme ! » retentit une voix au dehors.
- Je…je fais quoi maintenant ? demanda Quasimodo.
- Il devrait plutôt prendre des otages, s’exclama une vieille femme, Mon petit fils et moi feront l’affaire. Nous sommes plus vulnérable.
Quasimodo sortit et cria :
- J’ai des otages, éloignez-vous ou je flingue la vieille !
Les policiers reculèrent de peur qu’il ne s’exécute.
Au bout de la rue, quand ils furent hors de vue, la vielle dame dit :
- Allez vous en maintenant ou il vont se mettre à vos trousses.
- Je ne pourrais jamais vous remerciez…
- Tais toi et pars, ils arrivent.
- Au revoir Monsieur le braqueur. lui dit l'enfant.
Quasimodo lui fit la bise et s’éloigna en courant.
Fin