Souvenir d'une nuit d'été

[Sidalg]

Je me souviens le bruit du vent murmurant d’innombrable secret au épines des pins majestueux environnant et au plantes varier bordants les étroits chemins nous faisant nous engouffrer dans la forêt. Je me souviens des bourdonnements silencieux des ruches, comblés d’abeilles endormies; de la senteur des goûtes d’eau perlant sur les herbes, vague reste de la pluie de l’après-midi. Je me souviens de la couleur des fleurs refermés sur elles même comme si, craignant d’avoir froid durant leurs sommeil, se recroquevillaient sur afin d’avoir plus chaud. Je me souviens aussi d'elles. Je me souviens de les avoir observées mainte et mainte fois, d’avoir tenté de les compter, de les reconnaître, assise dans l’herbe la plupart du temps mais aussi de cette nuit de montagne, allongé dans un hamac accroché entre deux arbres situé devant la chalet. Je me souviens de leurs lueur tamisés, de leurs clartés nous aillant guidé de tout temps par delà les mers et dans les vastes landes de nos pays. Je ne saurait dire tout leurs noms ou même les différencier, elles sont si nombreuses ! Je me souviens de la brise fraîche, m’aillant obligé à aller chercher un pull et de la Lune. Cette bille ronde, tournant autours de la terre et réfléchissant la lumière du soleil pour nous éclairer un peu dans la nuit d’encre. Elle était si belle, si lumineuse et le ciel si dégagé qu’on pouvait y distinguer grand nombre de ces cratères. Elle n’était pas seule, elle n’est jamais seule. Elle était entouré de ces amies comme à son habitude, elle était entouré de sa parure. Parure que je n’ai jamais cessé d’admirer: sa parure d’étoiles.