Ma bien-aimée - Une Nouvelle (Le résultat final)
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (Besoin d'avis svp!!)
Princess Bride aussi pourrait te plaire ! Mais il n'a aucun rapport avec ton histoire... désolée...
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (Besoin d'avis svp!!)
Merci Elsa Tkt tout peux donner des idées
J'ai une amie de ma classe elle va faire la nouvelle à la SAW donc voila quoi ....
J'ai une amie de ma classe elle va faire la nouvelle à la SAW donc voila quoi ....
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (Besoin d'avis svp!!)
Ah mais oui ! C'est normal ! xD
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (Besoin d'avis svp!!)
Je vois pas une nouvelle du XXe s en Saw quoi --'
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (Besoin d'avis svp!!)
Je vois pas une nouvelle du XXe s en Saw quoi --'
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Donc voila enfin la fin de ma nouvelle ! Tout le reste a été corrigé et un grand merci à Daniel d'avoir corriger ma nouvelle entière sur les fautes de temps et d'orthographe.
Finalité :
Par une journée pluvieuse et très triste, Narcia se rendit de nouveau chez moi. Ce fut le lendemain de son irruption. J'avais eu le temps de réfléchir à ce qu'elle m'avait dit. Je l'aimais et j'aurais été capable de tout pour elle, mais ça, je ne sus qu'après toute une nuit de réflexion que je pouvais le lui offrir. Au départ, je m'y refusais, je pensais être incapable de le faire, comment arriver à tuer sa maîtresse, bon dieu ! Mais au fil des heures, je me rendis compte qu'en fait, j'en étais tout à fait capable car je savais qu'elle souffrait avec son mari et que si j'essayais quoi que ce soit contre lui, c'était ma vie qui serait mise en danger et elle qui serait toujours battue. Fuir, on serait retrouvés j'en étais sûr. La mort était donc la meilleure des solutions pour la soulager de ses blessures.
Lorsqu'elle fut devant moi, je lui dis mon avis sur sa demande. Mais je tins à lui avouer l'évènement qui suivrait si elle mourait : je mourais avec elle. Elle le comprit et accepta malgré tout. J'étais parvenu à lui faire entendre raison : si elle mettait fin à ses jours, je la suivrais. Et comme elle était sûre d'elle, je savais ce qu'il adviendrait de moi. Et ce n'était d'ailleurs pas plus mal.
Nous décidâmes donc d'en finir le jour même. Elle ne supporterait plus un seul coup de son mari, alors le plus tôt serait le mieux.
J'allai dérober du cyanure à une pharmacie voisine en petite quantité. Une petite dose suffirait pour mourir. Nous fîmes l'amour pour la dernière fois de notre vie, la plus belle des fois aussi. Lorsqu'elle exhala de plaisir, je trouvai le courage de lui en verser quelque goutte dans la gorge, les larmes débordant de mes yeux. Mais je ne trouvai pas le courage de me suicider. Cela me fut impossible. Tandis que je voyais ma belle Narcia prise de convulsions et rendant son dernier soupir, mon coeur se serra et je fus pris de vomissements. Le visage de mon ange avait l'air apaisé, détendu, enfin réellement heureux.
***
Je l'enveloppai dans un drap d'un blanc pur. Je la portai dans mes bras, elle me semblait si légère, je ne sentais même pas son poids. Je la transportai donc, serrée contre moi, jusqu'au bord de la Seine. Près de l'endroit où nous nous étions vus réellement pour la première fois, pas loin du marché. Je la déposai là, avec une infime délicatesse, comme si je ne voulais pas la casser. Et je repartis après avoir versé une infinité de larmes.
En revenant chez moi, je ne réfléchis à rien d'autre que de me mettre au lit. Je fourrai ma tête sous mon édredon et m'endormis en pleurant ma bien-aimée. La fraîcheur de la nuit me paraissait si triste et solitaire. Comme je l'étais.
Le lendemain en prenant le journal, je vis sur la première page, en gros titre « Découverte d'une femme sans vie » Et je sus immédiatement que c'était la mienne. J'ouvris donc le journal, en tournant chacune des pages jusqu'à arriver à l'article la concernant.
''Samedi 12 septembre 1858, le corps d'une femme sans vie a été découvert sur les berges de la Seine à Croisset. Détail étrange : elle tenait dans ses mains un exemplaire détrempé de Madame Bovary, dont la publication fit grand bruit l'année dernière. "
Vous allez me demander ce que faisait là ce roman. Très bien, je vais vous l'expliquer. Avant sa mort, Narcia m'avait fait une confidence, elle m'avait expliqué pourquoi avoir décidé de mourir. Tout simplement, elle s'était identifier au personnage d'Emma Bovary, elle se sentait comme elle, ayant un amant et subissant une énorme pression. Emma, elle, croulait sous les dettes, elle ne s'en sortait plus. Tandis que Narcia, croulait sous les coups de son mari. Deux charges de poids qui à tout moment risquaient d'éclater. Emma avait compris cela et elle avait décidé de mettre fin à ses jours pour enfin être libre, c'est pour cela que Narcia avait décrété qu'elle aussi devait arrêter de vivre. Ce qu'elle fit grâce à mon amour.
Elle m'avait demandé de placer ce roman entre ses mains lorsque son âme aurait quitté son corps en hommage à Emma, car c'était grâce à elle que désormais elle serait heureuse et libérée de son mari.
***
Mais ce que vous ignorez, vous lecteur, et ce que j'ignorais jusqu'à ce que je rencontre la confidente de Narcia, c'est que toute cette histoire n'était que foutaises. Cette jeune femme que je croyais amoureuse, était encore plus narcissique que je l'aurais cru. Elle se servait de sa beauté pour envouter et charmer les hommes. Elle voulait se sentir aimée, elle adorait ça. Qu'on la console, la chouchoute, et c'est en touchant les hommes par les émotions, les attendrissant de sa situation, qu'elle parvenait à cumuler des amants. Elle en avait eu plusieurs centaines. Et elle se servait de la carte de la pitié pour pouvoir les mettre dans son lit.
Car ces bleus qui lui parsemaient le corps n'avait pas été faits par son mari, elle se les était elle-même infligés pour attendrir les hommes qu'elle voulait posséder. Son narcissisme avait eu raison d'elle et de moi par la même occasion...
Ajout d'un extrait de journal à l'histoire :
''Dimanche 13 septembre 1858, le corps inanimé d'un jeune forgeron de Croisset a été trouvé les pieds baignant dans le fleuve. Il avait contre sa poitrine une feuille de papier avec l'inscription suivante : « Je l'aimais, elle jouait » tenue par son pouce et son index contre son cœur et maculée de traces de larmes que ce dernier venait de verser avant de cesser de vivre''
Désormais qu'elle est finie, des avis sur cette fin ?
Finalité :
Par une journée pluvieuse et très triste, Narcia se rendit de nouveau chez moi. Ce fut le lendemain de son irruption. J'avais eu le temps de réfléchir à ce qu'elle m'avait dit. Je l'aimais et j'aurais été capable de tout pour elle, mais ça, je ne sus qu'après toute une nuit de réflexion que je pouvais le lui offrir. Au départ, je m'y refusais, je pensais être incapable de le faire, comment arriver à tuer sa maîtresse, bon dieu ! Mais au fil des heures, je me rendis compte qu'en fait, j'en étais tout à fait capable car je savais qu'elle souffrait avec son mari et que si j'essayais quoi que ce soit contre lui, c'était ma vie qui serait mise en danger et elle qui serait toujours battue. Fuir, on serait retrouvés j'en étais sûr. La mort était donc la meilleure des solutions pour la soulager de ses blessures.
Lorsqu'elle fut devant moi, je lui dis mon avis sur sa demande. Mais je tins à lui avouer l'évènement qui suivrait si elle mourait : je mourais avec elle. Elle le comprit et accepta malgré tout. J'étais parvenu à lui faire entendre raison : si elle mettait fin à ses jours, je la suivrais. Et comme elle était sûre d'elle, je savais ce qu'il adviendrait de moi. Et ce n'était d'ailleurs pas plus mal.
Nous décidâmes donc d'en finir le jour même. Elle ne supporterait plus un seul coup de son mari, alors le plus tôt serait le mieux.
J'allai dérober du cyanure à une pharmacie voisine en petite quantité. Une petite dose suffirait pour mourir. Nous fîmes l'amour pour la dernière fois de notre vie, la plus belle des fois aussi. Lorsqu'elle exhala de plaisir, je trouvai le courage de lui en verser quelque goutte dans la gorge, les larmes débordant de mes yeux. Mais je ne trouvai pas le courage de me suicider. Cela me fut impossible. Tandis que je voyais ma belle Narcia prise de convulsions et rendant son dernier soupir, mon coeur se serra et je fus pris de vomissements. Le visage de mon ange avait l'air apaisé, détendu, enfin réellement heureux.
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Je l'enveloppai dans un drap d'un blanc pur. Je la portai dans mes bras, elle me semblait si légère, je ne sentais même pas son poids. Je la transportai donc, serrée contre moi, jusqu'au bord de la Seine. Près de l'endroit où nous nous étions vus réellement pour la première fois, pas loin du marché. Je la déposai là, avec une infime délicatesse, comme si je ne voulais pas la casser. Et je repartis après avoir versé une infinité de larmes.
En revenant chez moi, je ne réfléchis à rien d'autre que de me mettre au lit. Je fourrai ma tête sous mon édredon et m'endormis en pleurant ma bien-aimée. La fraîcheur de la nuit me paraissait si triste et solitaire. Comme je l'étais.
Le lendemain en prenant le journal, je vis sur la première page, en gros titre « Découverte d'une femme sans vie » Et je sus immédiatement que c'était la mienne. J'ouvris donc le journal, en tournant chacune des pages jusqu'à arriver à l'article la concernant.
''Samedi 12 septembre 1858, le corps d'une femme sans vie a été découvert sur les berges de la Seine à Croisset. Détail étrange : elle tenait dans ses mains un exemplaire détrempé de Madame Bovary, dont la publication fit grand bruit l'année dernière. "
Vous allez me demander ce que faisait là ce roman. Très bien, je vais vous l'expliquer. Avant sa mort, Narcia m'avait fait une confidence, elle m'avait expliqué pourquoi avoir décidé de mourir. Tout simplement, elle s'était identifier au personnage d'Emma Bovary, elle se sentait comme elle, ayant un amant et subissant une énorme pression. Emma, elle, croulait sous les dettes, elle ne s'en sortait plus. Tandis que Narcia, croulait sous les coups de son mari. Deux charges de poids qui à tout moment risquaient d'éclater. Emma avait compris cela et elle avait décidé de mettre fin à ses jours pour enfin être libre, c'est pour cela que Narcia avait décrété qu'elle aussi devait arrêter de vivre. Ce qu'elle fit grâce à mon amour.
Elle m'avait demandé de placer ce roman entre ses mains lorsque son âme aurait quitté son corps en hommage à Emma, car c'était grâce à elle que désormais elle serait heureuse et libérée de son mari.
***
Mais ce que vous ignorez, vous lecteur, et ce que j'ignorais jusqu'à ce que je rencontre la confidente de Narcia, c'est que toute cette histoire n'était que foutaises. Cette jeune femme que je croyais amoureuse, était encore plus narcissique que je l'aurais cru. Elle se servait de sa beauté pour envouter et charmer les hommes. Elle voulait se sentir aimée, elle adorait ça. Qu'on la console, la chouchoute, et c'est en touchant les hommes par les émotions, les attendrissant de sa situation, qu'elle parvenait à cumuler des amants. Elle en avait eu plusieurs centaines. Et elle se servait de la carte de la pitié pour pouvoir les mettre dans son lit.
Car ces bleus qui lui parsemaient le corps n'avait pas été faits par son mari, elle se les était elle-même infligés pour attendrir les hommes qu'elle voulait posséder. Son narcissisme avait eu raison d'elle et de moi par la même occasion...
Ajout d'un extrait de journal à l'histoire :
''Dimanche 13 septembre 1858, le corps inanimé d'un jeune forgeron de Croisset a été trouvé les pieds baignant dans le fleuve. Il avait contre sa poitrine une feuille de papier avec l'inscription suivante : « Je l'aimais, elle jouait » tenue par son pouce et son index contre son cœur et maculée de traces de larmes que ce dernier venait de verser avant de cesser de vivre''
Désormais qu'elle est finie, des avis sur cette fin ?
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
whaou !!!
alors là c'est super t'es vraiment doué pour le dramatique
j'adore cette fin elle est trop bien !!!
pauvre homme
alors là c'est super t'es vraiment doué pour le dramatique
j'adore cette fin elle est trop bien !!!
pauvre homme
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Euh... j'ai juste une question : pourquoi voulait-elle mourir si elle n'était pas sincère, que son mari ne la battait pas et qu'elle aimait jouer avec les hommes???
Et je trouve aussi très dommage qu'il se soit suicidé après avoir appris qu'elle ne l'aimait pas alors qu'il n'avait pas trouvé le courage lorsqu'il pensait qu'elle était sincère... Il aurait pu retrouver l'amour ou continuer à vivre en célibataire en refusant les contacts parce qu'il s'était déjà fait avoir. Bref, une vie gâchée, et ce pour une belle petite garce!
Voilà sinon j'ai beaucoup aimé ta nouvelle (même si je n'ai pas lu "Madame Bovary", j'ai un peu honte de l'avouer en fait!).
Et je trouve aussi très dommage qu'il se soit suicidé après avoir appris qu'elle ne l'aimait pas alors qu'il n'avait pas trouvé le courage lorsqu'il pensait qu'elle était sincère... Il aurait pu retrouver l'amour ou continuer à vivre en célibataire en refusant les contacts parce qu'il s'était déjà fait avoir. Bref, une vie gâchée, et ce pour une belle petite garce!
Voilà sinon j'ai beaucoup aimé ta nouvelle (même si je n'ai pas lu "Madame Bovary", j'ai un peu honte de l'avouer en fait!).
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
J'ai la même question que Rose, pourquoi s'est-elle suicidé? Et lui, comment a-t-il su pour son mensonge? A moins d'avoir mal lu, j'ai pas compris...
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
L'ensemble est encore un peu pataud, avec des lourdeurs mais je dirais que ce n'est pas là ce qui importe.
J'aime bien le 1er paragraphe où l'on sent l'homme pris dans la tourmante mais progressant, cheminant dans sa terrible réflexion.
La fin est sans contexte surprenante avec ce rebondissement inattendu où Narnia la douce jeune femme cache un être pervers qui trompe également le lecteur. C'est alors que son amant que l'on avait pu croire couard montre qu'il ne l'était pas en mettant fin à ses jours. Mais ATTENTION : cette fin n'est crédible que si Narcia ignore que son amant du jour va mettre à exécution son intention de la tuer. Une femme aussi Narcissique, croqueuse d'hommes (des centaines dans le lit cela fait un peu beaucoup... des dizaines serait amplement suffisant ! Trop d'exagération tue la crédibilité) prend son plaisir en torturant moralement ses amants et en les trompant eux aussi. Pour cela, elle doit rester en vie ! Son désir de se suicider est feint, elle ne veut que plonger son amant dans l'embarras, voire lui faire mettre fin à ses jours à lui, ce qui concrêtiserait sa réussite (en général, une telle femme, une fois qu'elle a couché avec un amant, considère qu'elle a gagné et se désinterresse du "vaincu" sauf si elle peut encore l'exploiter soit en lui soutirant de l'argent, soit en s'ouvrant des portes où alors en leur faisant commettre l'irréparable). Quand tu dit "elle voulait se sentir aimée, elle adorait ça" traduit bien qu'il faut que cela dure, elle n'a nulle intention de se suicider. Il faut donc retoucher ton texte pour aller en ce sens - je corrigerai "nous décidâmes d'en finir le jour même" - seul son amant doit prendre l'initiave et Narnia est alors victime de son propre jeu (cela lui apprendra !!!). D'ailleurs la surprendre au moment du plaisir extrême ("exhaler" ne convient pas) est une bonne idée, une juxtaposition riche de sens). Il aurait aussi pu l'étouffer avec un oreiller... le cyanure provoque des convulsions ( = Contraction involontaire, spasmodique et violente des muscles) je doute que l'on retrouve ensuite Narcia détendue et apaisée surtout si elle ne voulait pas mourir...
Quelques fautes graves à corriger :
- verser quelque(s) goutte(s) dans
- elle s'était identifier(iée)
- Car ces bleus qui lui parsemaient le corps n'avait(ent) - tu peux aussi remplacer "bleus" par "ecchymoses"
J'aime bien le 1er paragraphe où l'on sent l'homme pris dans la tourmante mais progressant, cheminant dans sa terrible réflexion.
La fin est sans contexte surprenante avec ce rebondissement inattendu où Narnia la douce jeune femme cache un être pervers qui trompe également le lecteur. C'est alors que son amant que l'on avait pu croire couard montre qu'il ne l'était pas en mettant fin à ses jours. Mais ATTENTION : cette fin n'est crédible que si Narcia ignore que son amant du jour va mettre à exécution son intention de la tuer. Une femme aussi Narcissique, croqueuse d'hommes (des centaines dans le lit cela fait un peu beaucoup... des dizaines serait amplement suffisant ! Trop d'exagération tue la crédibilité) prend son plaisir en torturant moralement ses amants et en les trompant eux aussi. Pour cela, elle doit rester en vie ! Son désir de se suicider est feint, elle ne veut que plonger son amant dans l'embarras, voire lui faire mettre fin à ses jours à lui, ce qui concrêtiserait sa réussite (en général, une telle femme, une fois qu'elle a couché avec un amant, considère qu'elle a gagné et se désinterresse du "vaincu" sauf si elle peut encore l'exploiter soit en lui soutirant de l'argent, soit en s'ouvrant des portes où alors en leur faisant commettre l'irréparable). Quand tu dit "elle voulait se sentir aimée, elle adorait ça" traduit bien qu'il faut que cela dure, elle n'a nulle intention de se suicider. Il faut donc retoucher ton texte pour aller en ce sens - je corrigerai "nous décidâmes d'en finir le jour même" - seul son amant doit prendre l'initiave et Narnia est alors victime de son propre jeu (cela lui apprendra !!!). D'ailleurs la surprendre au moment du plaisir extrême ("exhaler" ne convient pas) est une bonne idée, une juxtaposition riche de sens). Il aurait aussi pu l'étouffer avec un oreiller... le cyanure provoque des convulsions ( = Contraction involontaire, spasmodique et violente des muscles) je doute que l'on retrouve ensuite Narcia détendue et apaisée surtout si elle ne voulait pas mourir...
Quelques fautes graves à corriger :
- verser quelque(s) goutte(s) dans
- elle s'était identifier(iée)
- Car ces bleus qui lui parsemaient le corps n'avait(ent) - tu peux aussi remplacer "bleus" par "ecchymoses"
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
k&lly , et bien merci
J'adore le dramatique xD
Ravie que tu aimes
Rose et Elsa, pour réponse aux questions :
En fait, le narrateur, donc le forgeron, croyait au départ que c'était à cause de la maltraitance de son mari mais en fait il ne la battait pas. Donc du coup il va mourir en ignorant la vraie raison de la mort de Narcia. Personne ne saura pourquoi elle est morte, meme vous
Et il comment il l'a su, je l'ai écrit rapidement, c'est grace à des confidences de la confidente (meilleure amie) de Narcia, qui viendra lui dire
Et rose, la fin était obligatoirement Dramatique, j'aime pas les fins heureuses, ou ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant. Il fallait qu'il meure
J'adore le dramatique xD
Ravie que tu aimes
Rose et Elsa, pour réponse aux questions :
En fait, le narrateur, donc le forgeron, croyait au départ que c'était à cause de la maltraitance de son mari mais en fait il ne la battait pas. Donc du coup il va mourir en ignorant la vraie raison de la mort de Narcia. Personne ne saura pourquoi elle est morte, meme vous
Et il comment il l'a su, je l'ai écrit rapidement, c'est grace à des confidences de la confidente (meilleure amie) de Narcia, qui viendra lui dire
Et rose, la fin était obligatoirement Dramatique, j'aime pas les fins heureuses, ou ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant. Il fallait qu'il meure
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Merci Celtefan, mais je n'ai pas vraiment compris ce qu'il faudrait modifié et en quoi en fait ... Pourrais-tu rapidement résumer ce que tu as dit s'il te plait ?
Sinon merci pour les corrections
Sinon merci pour les corrections
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Rose a écrit :Euh... j'ai juste une question : pourquoi voulait-elle mourir si elle n'était pas sincère, que son mari ne la battait pas et qu'elle aimait jouer avec les hommes???
Et je trouve aussi très dommage qu'il se soit suicidé après avoir appris qu'elle ne l'aimait pas alors qu'il n'avait pas trouvé le courage lorsqu'il pensait qu'elle était sincère... Il aurait pu retrouver l'amour ou continuer à vivre en célibataire en refusant les contacts parce qu'il s'était déjà fait avoir. Bref, une vie gâchée, et ce pour une belle petite garce!
Voilà sinon j'ai beaucoup aimé ta nouvelle (même si je n'ai pas lu "Madame Bovary", j'ai un peu honte de l'avouer en fait!).
Regarde bien ce commentaire Maarloune. Il prouve que ton lecteur n'adhère pas à la volonté de suicide de Narcia. En revanche ton final la surprend au point d'éprouver de la pitié pour le pauvre garçon et de traiter Narcia de "petite garce" (pas commun venant d'une femme) parce qu'elle a réeellement cru que Narcia était une Sainte n'y touche à qui elle avait donnée le bon dieu en confession. Sa réaction traduit sa surprise mais aussi sa frustration d'avoir été elle même possédée ; et cela prouve que tu as réussi ton coup... à condition de trouver le moyen de répondre à l'incohérence qui subsiste quant à la volonté de mourir de Narcia !
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Retravaille ton histoire de manière à clairement montrer que Narcia n'a nullement l'intention de se suicider. Là aussi elle joue un jeu pour tromper encore davantage son amant et abuser de lui... mais, cette fois-ci, le jeu se retourne contre elle...maarloune a écrit :Merci Celtefan, mais je n'ai pas vraiment compris ce qu'il faudrait modifié et en quoi en fait ... Pourrais-tu rapidement résumer ce que tu as dit s'il te plait ?
Sinon merci pour les corrections
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Sauf que je vois VRAIMENT PAS comment faire ca ... (en plus mon cerveau n'arrive plus du tout à réfléchir XD)
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Ah d'accord j'ai enfin compris! Merci!
Ce qui aurait été super c'est qu'il découvre que c'était une menteuse et qu'il la tue pour se venger! Mouhahahahaha! (Bon d'accord là c'est moi la garce! )
Ce qui aurait été super c'est qu'il découvre que c'était une menteuse et qu'il la tue pour se venger! Mouhahahahaha! (Bon d'accord là c'est moi la garce! )
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Ouh ! t'es encore plus sadique que moi, toi XD !
Mais non t'es pas une garce t'es sadique comme moi
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Ben voyons, jeunesse ! Vous faudra-t-il toujours le secours des anciens ? Ma fille de ton âge et qui écrit à côté de moi a aussi un problème... que le soleil se couche à l'ouest... ne convient pas à son histoire... il y a des cas où je ne peux rien...maarloune a écrit :Sauf que je vois VRAIMENT PAS comment faire ca ... (en plus mon cerveau n'arrive plus du tout à réfléchir XD)
Mais pour le tien, si tu veux faire très vite et simple - change cela :
(Nous décidâmes/Je décidai) donc d'en finir le jour même. Elle ne supporterait plus un seul coup de son mari, alors le plus tôt serait le mieux. Mieux valait agir sans rien lui dire pour qu'elle n'ait pas le temps d'angoisser.
J'allai dérober du cyanure à une pharmacie voisine en petite quantité. Une petite dose suffirait pour mourir. Nous fîmes l'amour. Elle ignorait que c'était la dernière fois de notre vie...
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Cela suffit à changer tout le sens ? Pas besoin de rien ajouter ?
En tout cas merci de ton aide (j'ai du te remercier une centaine de fois au moins mais ca ne sera jamais assez !!)
En tout cas merci de ton aide (j'ai du te remercier une centaine de fois au moins mais ca ne sera jamais assez !!)
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Je crois que tu peux remercier Daniel pour ses corrections...Tu pars, j'en suis sûr, avec un gros avantage par rapport à tes camarades de classe!(en revanche, erreur sur "infime délicatesse", "infinie" serait plus adapté)
Celtefan a entièrement raison : si un seul lecteur ne comprend pas, c'est que ton effet est raté, donc que ta narration n'est pas assez limpide, ou que la psychologie des personnages n'est pas cohérente.
Pour moi, les deux derniers paragraphes sont totalement superflus : quel intérêt à dépeindre Narcia (quel prénom atroce, je ne m'y fais pas !) comme une perverse prise à son propre piège ? Je rouve que ta nouvelle serait plus "romanesque" si elle s'achevait avec la fin de l'extrait de journal. Le lecteur pourrait se faire sa propre opinion, et ton récit serait davantage dans l'esprit flaubertien. Et, techniquement, s'adresser directement au lecteur est un procédé bien lourd...
Celtefan a entièrement raison : si un seul lecteur ne comprend pas, c'est que ton effet est raté, donc que ta narration n'est pas assez limpide, ou que la psychologie des personnages n'est pas cohérente.
Pour moi, les deux derniers paragraphes sont totalement superflus : quel intérêt à dépeindre Narcia (quel prénom atroce, je ne m'y fais pas !) comme une perverse prise à son propre piège ? Je rouve que ta nouvelle serait plus "romanesque" si elle s'achevait avec la fin de l'extrait de journal. Le lecteur pourrait se faire sa propre opinion, et ton récit serait davantage dans l'esprit flaubertien. Et, techniquement, s'adresser directement au lecteur est un procédé bien lourd...
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Ok beh merci pour tout ca Serge. Mais c'est à dire que personnellement je n'aime pas les fins ''ouvertes'' je préfère qu'on sache exactement tout que chaque lecteur se fasse sa propre idée ...
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Tu fais comme tu veux. Mais c'est un exercice imposé, et plus tu colleras à un style "XIXème", mieux ce sera. De plus, a contrario, une "fin ouverte" stimulera mieux l'imaginaire de ton lecteur.
"Après du Mozart, le silence qui suit est encore du Mozart", si tu vois ce que je veux dire.
Je viens de voir ça : certaines veulent traiter l'affaire à la SAW...
Bientôt sur vos écrans, Fabrice Del Dongo contre Freddy ! Lol et MDR !
"Après du Mozart, le silence qui suit est encore du Mozart", si tu vois ce que je veux dire.
Je viens de voir ça : certaines veulent traiter l'affaire à la SAW...
Bientôt sur vos écrans, Fabrice Del Dongo contre Freddy ! Lol et MDR !
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Ouais merci
J'ai lu 2 ou 3 nouvelles des gens de ma classe et c'est sincèrement désespérant, je sais que la mienne est loin d'etre parfaite mais a coté de certaines j'ai l'impression que c'est un chef-d'oeuvre x')
Et la nouvelle en mode Saw , c'est horrible ...
J'ai lu 2 ou 3 nouvelles des gens de ma classe et c'est sincèrement désespérant, je sais que la mienne est loin d'etre parfaite mais a coté de certaines j'ai l'impression que c'est un chef-d'oeuvre x')
Et la nouvelle en mode Saw , c'est horrible ...
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
"Bouvard et Pécuchet contre Hannibal Lecter", ça aurait de la gueule aussi !
Bon, un dernier conseil et ensuite je te laisse gérer ton histoire toute seule. Mon père me disait, quand j'avais ton âge :
"Regarde toujours au-dessus de toi, jamais au dessous".
Je râlais.
Mais il avait raison !
Bon, un dernier conseil et ensuite je te laisse gérer ton histoire toute seule. Mon père me disait, quand j'avais ton âge :
"Regarde toujours au-dessus de toi, jamais au dessous".
Je râlais.
Mais il avait raison !
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Euh... J'ai pas compris...sergerollet a écrit :"Regarde toujours au-dessus de toi, jamais au dessous".
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Moi non plus j'ai pas compris x')
Mais regardez par exemple la nouvelle qu'une amie (Nolwenn) a fait sur les mêmes consignes que moi, ca, ca me désespère :
Elle se prénomme Scarlette elle venait d'avoir 22 ans. C'était une femme particulièrement belle, avec de long cheveux blond et des yeux d'un bleu turquoise. Elle étais amoureuse d'un homme très charmant lui aussi, il s'appelait Jean, ils se sont mariés ensemble depuis quelques années. Elle avait ce vilain défaut d'être excessivement jalouse, je dirais même très jalouse ce qui ne facilitais pas les choses quand elle a appris que son mari avait une maitresse. Elle aimait beaucoup un livre nommait « madame Bovary » écrit par Gustave Flaubert. Elle s'identifier beaucoup a cette femme elle rêvait d'une vie parfaite et romantique.
Un vendredi matin, comme tout les vendredi matin Scarlette allait au marché rejoindre Marie une amie de confiance pour faire les provisions de la semaine. Marie doutait de la sincérité de Jean envers Scarlette parce que depuis quelques temps elle le voyait souvent allait chez Mademoiselle Gomez une jeune femme espagnole quelque peu plus jeune que Scarlette qui venait à peine d'arriver dans le village. Marie a profiter ce jour là pour en parler à Scarlette, même connaissant la jalousie excessive de son amie. Scarlette l'écoutais attentivement sans protester. Scarlette ne croyais pas Marie. Le midi en rentrant du marché elle commença a couper les tomates qu'elle avait ramener du marché pour le repas tout en attendant son cher mari. Elle l'attendait avec une certaine appréhension. 14H30 Jean rentrais enfin, avec une heure de retard ce qui arrive très rarement ce n'étais pas de son habitude. Scarlette s'empressa de demandé où il étais, mais aucune réponse de sa part mais tenda son assiette pour qu'on lui serve son repas il semblait presser. Mais où repartait-il ?
Une question qui n'osai pas sortir de la bouche de Scarlette, elle semblait avoir surtout peur de la réponse.
Elle prit un grand souffle est dit : Que lui trouves-tu de plus que moi ? Cette question n'avait pas de sens mais ces la première question qui lui sorta de la bouche. Jean la regarda ne sachant pas quoi lui répondre, il eu un moment de silence et enfin quelques mots sortirent de sa bouche : Je l'aime et c'est ça toute la différence avec toi. La colère de Scarlette monta et d'un seul coup sans hésitation elle enfonça le couteau qu'elle avait dans les mains, dans le torse de Jean tout en criant : Moi je t'aimais ! Elle regarda son mari mourir avec énormément de haine. Mais elle compris par la suite qu'elle ne pourrait pas vivre sans Jean, que c'était son seul amour. Elle paniqua et pleura. Elle s'enfuit de sa maison les mains pleine de sang et avec un sac où étais précieusement garder son livre ' Madame Bovary ' comme si c'étais un trésor… Scarlette courait courait sans savoir où aller.
Samedi matin, Marie pris le journal est lu la première page
'' Samedi 12 septembre 1858,
Le corps d'une femme sans vie a été découvert sur les berges à Croisset. Détail étrange : elle tenait dans ses mains un exemplaire de Madame Bovary ''
Mais regardez par exemple la nouvelle qu'une amie (Nolwenn) a fait sur les mêmes consignes que moi, ca, ca me désespère :
Elle se prénomme Scarlette elle venait d'avoir 22 ans. C'était une femme particulièrement belle, avec de long cheveux blond et des yeux d'un bleu turquoise. Elle étais amoureuse d'un homme très charmant lui aussi, il s'appelait Jean, ils se sont mariés ensemble depuis quelques années. Elle avait ce vilain défaut d'être excessivement jalouse, je dirais même très jalouse ce qui ne facilitais pas les choses quand elle a appris que son mari avait une maitresse. Elle aimait beaucoup un livre nommait « madame Bovary » écrit par Gustave Flaubert. Elle s'identifier beaucoup a cette femme elle rêvait d'une vie parfaite et romantique.
Un vendredi matin, comme tout les vendredi matin Scarlette allait au marché rejoindre Marie une amie de confiance pour faire les provisions de la semaine. Marie doutait de la sincérité de Jean envers Scarlette parce que depuis quelques temps elle le voyait souvent allait chez Mademoiselle Gomez une jeune femme espagnole quelque peu plus jeune que Scarlette qui venait à peine d'arriver dans le village. Marie a profiter ce jour là pour en parler à Scarlette, même connaissant la jalousie excessive de son amie. Scarlette l'écoutais attentivement sans protester. Scarlette ne croyais pas Marie. Le midi en rentrant du marché elle commença a couper les tomates qu'elle avait ramener du marché pour le repas tout en attendant son cher mari. Elle l'attendait avec une certaine appréhension. 14H30 Jean rentrais enfin, avec une heure de retard ce qui arrive très rarement ce n'étais pas de son habitude. Scarlette s'empressa de demandé où il étais, mais aucune réponse de sa part mais tenda son assiette pour qu'on lui serve son repas il semblait presser. Mais où repartait-il ?
Une question qui n'osai pas sortir de la bouche de Scarlette, elle semblait avoir surtout peur de la réponse.
Elle prit un grand souffle est dit : Que lui trouves-tu de plus que moi ? Cette question n'avait pas de sens mais ces la première question qui lui sorta de la bouche. Jean la regarda ne sachant pas quoi lui répondre, il eu un moment de silence et enfin quelques mots sortirent de sa bouche : Je l'aime et c'est ça toute la différence avec toi. La colère de Scarlette monta et d'un seul coup sans hésitation elle enfonça le couteau qu'elle avait dans les mains, dans le torse de Jean tout en criant : Moi je t'aimais ! Elle regarda son mari mourir avec énormément de haine. Mais elle compris par la suite qu'elle ne pourrait pas vivre sans Jean, que c'était son seul amour. Elle paniqua et pleura. Elle s'enfuit de sa maison les mains pleine de sang et avec un sac où étais précieusement garder son livre ' Madame Bovary ' comme si c'étais un trésor… Scarlette courait courait sans savoir où aller.
Samedi matin, Marie pris le journal est lu la première page
'' Samedi 12 septembre 1858,
Le corps d'une femme sans vie a été découvert sur les berges à Croisset. Détail étrange : elle tenait dans ses mains un exemplaire de Madame Bovary ''
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
"Regarde toujours au-dessus de toi, jamais au dessous".
Euh... J'ai pas compris...
Tu te compares à quelqu'un qui sait à peine écrire sa langue maternelle. En dessous. Inutile, perte de temps.
Pour progresser, regarde ceux qui sont meilleurs que toi. Au-dessus.
Morale de l'effort, de l'ascèse et de la constante remise en question de soi-même. Pas très à la mode, je sais...
Euh... J'ai pas compris...
Tu te compares à quelqu'un qui sait à peine écrire sa langue maternelle. En dessous. Inutile, perte de temps.
Pour progresser, regarde ceux qui sont meilleurs que toi. Au-dessus.
Morale de l'effort, de l'ascèse et de la constante remise en question de soi-même. Pas très à la mode, je sais...
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Ahhh ! D'accord ! Merci ! *Repars à pas de loup*
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Ah *lumière* je viens de comprendre aussi
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Re: Ma bien-aimée - Une Nouvelle (LA FIN)
Haha, j'ai bien aimé ta fin, dramatique et triste mais très bonne.
C'est pourtant triste qu'il se suicide à la fin ...mais bon.
Bravo
C'est pourtant triste qu'il se suicide à la fin ...mais bon.
Bravo