Début, milieu, fin

[BlueScylla]

D'accord merci. ^^ En effet je ne connais pas trop l'univers de Sherlock désolée. ^^

[lecture-folle]

J'avais aussi oublié de te demander si tu connaissais la BD Les 4 de Baker Street car l'idée des gros titres dans les journaux correspond au début du T. 4 !
M'ayant répondu que tu ne connais pas très bien Sherlock, je suppose que non ...?

[Olinea]

une jeune fille rencontre son meilleur ami d'enfance, qu'elle n'a pas revu depuis 10 ans.
elle apprend quelque chose de grave à son propos.
les deux amis se quittent, tristes et heureux à la fois de s'être revus.

Elena se promène dans la rue comme tous les dimanche après-midi. Après tout c'est dans ses habitudes depuis qu'elle est petite. Elle passe devant toute une série de maisons,longe le mur qui sépare la rue de l'hôpital. Elle n'aime pas trop cette endroit,elle a toujours eu des frissons en y passant. Un hôpital c'est un peu sinistre,c'est blanc,c'est rempli de malades,d'infirmiers débordés et de chirurgiens stressés Mais bon ce lieu est aussi synonyme de guérison et de vie alors Elena n'y pense pas et se contente de marcher. Selon sa routine elle devrait ensuite tourner à gauche,traverser le passage piéton,faire quelques mètres et arriver dans le centre-ville. Là-bas elle flâne et retrouve des amis de temps à autres. Ce dimanche là elle comptait juste jeter un coup d’œil à une ou deux boutiques et rentrer chez elle par la grande promenade qui passe près du lac artificiel. Mais son programme est chamboulé. Pas par grand chose,un simple regard au coin de la rue,au moment où elle s'apprêtait à tourner. Un jeune homme vient juste de sortir de l'hôpital. Il la regarde,elle le regarde. Il lui rappelle vraiment quelqu'un,elle ne semble pas lui être inconnu. Puis tout d'un coup le destin donne un coup de pouce à sa mémoire. Comment oublier cette touffe brune et ces yeux espiègles ? Un peu aminci peut être,un peu fatigué ou stressé,des cernes sous les yeux mais un sourire heureux. Car lui aussi l'a reconnue
"-Elena,dit-il en premier,après tout ça a toujours été lui qui faisait le premier pas
-Baptiste ! s'écrie-t-elle,heureuse de retrouver son ami d'enfance"
Ils se jettent dans les bras l'un de l'autre comme le font les enfants. Et ils rient. Enfin surtout la jeune fille,malgré le fait qu'elle ne puisse que constater que sous son blouson en cuir celui qui avait été son meilleur ami avait perdu encore plus de poids qu'il ne lui semblait. Ils se lâchent et se jaugent un instant sans vraiment savoir quoi se dire. Cela fait quoi,7 ans qu'ils ne se sont pas vus,au moins. Une fois encore Baptiste brise le silence
"-Si je m'attendais à te voir.
-Pourtant tu connais,j'habite par ici. Ce passage fait partie de mon chemin habituel tu te souviens ?
-Ah oui....le rituel du dimanche ! fait-il en s'esclaffant . Mais je ne pensais pas que tu serais encore ici,avec tes parents et ta sœur . Comment va la petite Rose d'ailleurs ?
-Bien bien,elle est dans sa période rebelle et elle se bat un peu avec mes parents qui lui mettent la pression au sujet de son orientation mais elle va bien.
-Son orientation ? La dernière fois que je l'ai vu elle voulait devenir une grande chanteuse internationale,ça tient toujours ?
-Ah oui ça me revient. Non elle a des choix un peu plus réalisables maintenant. Et toi ? Ta famille
-Je ne sais pas trop. J'ai quelques nouvelles de mes deux frères,ils ont une vraie famille maintenant ça va pour eux mais je suis un peu brouillé avec mes parents.
-Ah mince,désolée pour toi.
-Non non c'est un peu ma faute aussi.
-Pourquoi ? Il me semblait que tu étais très proche de ta mère en plus.
-Et bien..ce n'est pas facile à dire.. Elle m'a proposée de l'aide pour quelque chose mais j'ai refusé et depuis on ne se parle plus vraiment..Ce n'est pas facile à dire comme ça surtout qu'on vient de se revoir
-Écoutes tu peux tout me raconter,je sais que ça fait vraiment un petit bout de temps mais je suis là et je me rappelle encore qu'on se disait tout quand on était petit. En souvenir de cette époque.
-Et bien,je ne veux vraiment pas que tu penses qu'il faut me prendre en pitié,que je te le dis pour que tu t'apitoies sur moi et tout ce qui va avec
-Je te crois,répondit-elle avec un petit sourire
-Et bien,Baptiste mit ses mains dans ses poches,j'ai un cancer,quelque chose à voir avec la thyroïde
-Oh mon dieu,ne put s'empêcher de faire Elena,ça va ? Est-ce que ça se guérit ? C'est grave ? De puis co...
-Je ne le sais pas depuis longtemps mais ça va ça va...On essaye un traitement et il y a un bon pronostic
-Mais si j'avais su !
-Elena,tu sais,moi même je suis au courant depuis peu et mes frères ne le savent pas. Ma mère en a fait des caisses,elle m'a proposée de l'argent mais je veux me débrouiller tout seul. Comme je l'ai dit il y a un bon pronostic,je ne m'inquiète pas. Je suis juste un peu...fatigué...et là j'ai rendez-vous avec mon ancien médecin de famille qui veux que je le tienne au courant ,comme si il n'y avait pas assez de monde qui s'inquiète assez
-Je comprend,excuse-moi je ne veux pas remuer le couteau dans la plaie. Tu n'as pas changé,tu déteste toujours autant la pitié alors je me tais. Je ne dirais plus rien à ce sujet. Voilà je vais même te laisser,voilà mon numéro,si tu as besoin de n'importe quoi ou même si tu n'as besoin de rien,appelles-moi je suis toujours disponible,enfin normalement. Tu m'as manqué tu sais
-Si tu veux mais je pense n'avoir besoin de rien,je me gère,tout va bien. Tu m'as manquée aussi Elena et j'espère qu'on se reverra. J'ai souvent pensé à toi depuis mon déménagement,je n'ai jamais rencontré d'amie comme toi avec qui je m'entende aussi bien."
Et il partit,le petit bout de papier contenant le numéro de son ancienne meilleure amie,qu'il n'avait jamais oublié et qui ne l'avait jamais oublié. Sa journée s'était révélée plus intéressante que prévue et malgré le poids qu'il semblait porter chaque jour sur ses épaules il était content que sa visite à l'hôpital lui ait au mois permis de revoir Elena. Celle-ci de son côté le regarda partir avec un petit signe de main. Leur rencontre lui avait semblé irréelle,incroyablement rapide mais malgré la petite touche noir qui assombrissait le tableau,elle avait été vraiment heureuse de le retrouver. Un petit coup de pouce du destin peut être ? Elle rentra chez elle, le cerveau un peu retourné par ces incroyables retrouvailles et ne parvint plus à penser à autre chose pendant une semaine.

Voilà désolée pour le cliché du cancer mais je n'avais pas trop trop d'idées.

Un petite fille sort du magasin où ses parents l'ont emmenée
Elle rencontre un extraordinaire personnage
Elle retrouve toute seule ses parents,garde le secret de son incroyable rencontre mais en garde un souvenir qu'elle n'oubliera jamais

Contrainte (si le suivant veux) : alterner le point de vue parents/petite fille

[Nobody-book]

Il y a des jours comme ça que l'on oubliera jamais. Des jours, tellement magiques qu'ils en deviennent inoubliables. Pour Emilie, le plus beau jour de sa vie fut celui de ses cinq ans, où ses parents l'avaient emmenés au parc d'attraction avec ses trois meilleures copines. Elle ne l'oublierait jamais ce jours là !
Puis il y a eu ce jours du 16 décembre. C'était bientôt Noël et Emilie hésitait. Elle voulait tant de choses. Cet ours en peluche, par exemple. Il avait la particularité d'être aussi gros que la jeune fille. Et cette poupée qui portait une si jolie robe ! Et ce vélo dont elle rêvait tant ! Emilie ne savait que choisir. Elle ne voulait pas avoir les trois jouets en même temps. Noël c'était exceptionnel ! Non, elle n'allait pas avoir cet ours que Lise possédait déjà, des poupées, elle en avait déjà plein et le vélo, n'en parlons pas ! Elle pouvait attendre sont anniversaire pour en avoir un autre, le siens, bien que vieux et un peu "bébé" faisait déjà très bien l'affaire. Non, à jour d'exception, cadeau d'exception. Elle demanderait au Père Noël un cadeau que personne n'aura jamais, un cadeau unique !
Ses parents ne savaient que dire. Un cadeau unique ? Comment feront-ils pour trouver cela ? Ils eurent beau feuilleter tous les magazines de jouets qu’Emilie avait reçue, ils ne trouvèrent rien qui puisse faire l'affaire. Puis la mère d'Emilie eut une idée. Il y avait ce magasin au coin de la rue qui vendait des jouets. Ils y emmèneraient Emile, là, ils observeront ses coups de coeur et choisiront son cadeau en conséquence. Oui, cela leur paraissait une bonne idée. Emilie fut ravi.
Ils partirent l'après-midi même dans cet étrange magasin, gardé par un vieillard à l'épaisse moustache et aux yeux qui semblaient avoir tout vu. Son échoppe était remplie de vieux jouets, le genre simple mais qui faisaient le bonheur des enfants au XXème siècle. Emilie aurait aimé avoir mille yeux pour pouvoir voir tous les jouets entreposés. Il y en avait tellement !
Alors qu'elle était en admiration devant un jeux étrange, "o..ce...let", lut-elle, le vieillard vint a sa rencontre en souriant, sous l'oeil méfiants de ses parents.
"Viens", dit-il.
La fillette le suivit sans broncher jusque devant une vieille porte abîmée ou était inscrit..."ne...pas...ent...rer...ne pas entrer !" Vivement qu'elle maîtrise mieux la lecture !
Le vieux gérant ouvra la porte laissant apparaître une salle obscure, simplement éclairé par une minuscule ampoule, suspendue au plafond. Il pria Emilie de l'attendre au pied de la porte, disparu dans la noirceur de la pièce quelques instants pour finalement revenir, un livre vieux, gros et poussiéreux dans les mains.
"- Voilà pour toi, dit-il d'un air bienveillant.
- Mais je ne sais pas encore bien lire ! objecta la jeune fille."
Il lui sourit pour toute réponse et fourra le livre sous le nez d'Emilie. Elle n'insista pas plus longtemps et l'accepta. Elle le regarda un moment en fronçant les sourcils et en plissant le nez puis se résigna à l'ouvrir. Des mots ! Une pluie de mots ! Elle ne comprenait pas tout mais qu'est-ce que c'était beau ! Elle resta là, planté face au vieux monsieur à tourner et retourner les pages du livre. Puis enfin, elle leva la tête. Elle sourit alors chaleureusement au vieillard qui le lui rendit très volontiers. Et, le surprenant, elle se mit sur la pointe des pieds et l'embrassa timidement sur la joue. De surprise il se caressa la joue de la main puis lui dit:
" Garde-le. Puis tu l'offrira à quelqu'un, quelqu'un comme toi qui le mérite vraiment."
La petite hocha gravement la tête et couru rejoindre ses parents.
" - Alors ? demanda son père.
- J'ai trouvé mon cadeau de Noël", répondit-elle malicieusement.

Bon, voilà, je ne sais pas trop si j'ai correctement respecté la consigne.

Un professeur
accueille un nouvelle élève
le professeur découvre qu'il est son père

contrainte: l'élève est en difficulté scolaire

[BlueScylla]

Les deux extraits du dessus sont trop bien! J'adore! Nan en effet je ne connaît pas cette BD. ^^

[lecture-folle]

Les deux extraits du dessus sont trop bien! J'adore! Nan en effet je ne connaît pas cette BD. ^^

Ok !

[layla]

Un professeur
accueille un nouvelle élève
le professeur découvre qu'il est son père

contrainte: l'élève est en difficulté scolaire


Maëlle vient prendre des cours de soutien depuis une semaine à présent.J'essaye d'aider cette petite nouvelle s'intégrer mais ce n'est pas facile, et il y a ses difficultés scolaires.C'est une très gentille fille mais elle à perdu ses parents jeune.Ce n'est pas facile à vivre.Ca me rapelle ma fille.Elle s'est perdue dans les bois, on ne l'a jamais retrouvé.Maëlle ...Maëlle !Maëlle !Ma fille !Ma fille !Oh mon dieu, c'est elle j'en suis sûr !


un indien
se retrouve dans une ville
ne comprend rien aux technologies

contraintes :montrer le caractère absurdes de ses actions dans une ville de notre époque

[Chandrama_257]

Je relance le jeu !

Jeune-ours-friangant, dont le nom se traduit dans notre langue par Geoffroy, sortit, furieux de la maison familiale. Il marmonait entre ses dents des paroles incompréhensibles. Dans son coeur, c'était le chaos. Sa mère refusait qu'il parte faire des études de droits à Chicago. Elle préférait qu'il reprenne le haras que sa famille tenait depuis des générations. Mais qu'est ce qu'il en avait à faire des chevaux ? Il n'avait jamais su monter de toute façon ! Son rêve à lui était de défendre la cause indienne trop souvent oublié aux États-Unis. Mais sa mère, ni son père d'ailleurs, ne comprenaient son rêve. Geoffroy pressa la pas en direction de la rivière. Faire une dizaine de longueurs l'aiderait à y voir plus clair.
Le lendemain matin, la mère découvrit la chambre de son fils vide. Plus de vêtements. Plus de livres. Et surtout, plus de Geoffroy ! Le jeune homme avait décidé de braver l'interdit familial et de partir à Chicago s'inscrire à l'Université tant désirée. Prendre le train n'avait pas été une mince affaire. Mais se retrouver en plein Chicago, c'était une autre histoire ! Geoffroy était paumé. Perdu. Paniqué. Tant de voiture... Le bruit était assourdissant, l'air irrespirable. Il n'avait jamais imaginé qu'une ville pouvait être si grande ! Ou pouvait bien se situer l'Université ? Le jeune homme se décida à aborder un homme qui tenait une petite boite noire contre son oreille. Il se lança timidement :
" - Bonjour monsieur, où se trouve l'Université de droit s'il vous plait ?
L'homme leva les yeux au ciel :
- Vous ne voyez pas que je suis au tel ?
Voyant que le jeune indien ne réagissait pas, il daigna continuer :
- Qu'est ce que vous voulez ?
- L'Université de droit je vous prie.
Le jeune homme lui rit au nez :
- Tu crois que j'ai que ça a faire ? M'occuper des étrangers ? Achète un GPS mon vieux !
Geoffroy n'eut pas le temps de poser une question, l'inconnu s'en allait déjà d'un pas pressé, en parlant tout seul. Un gépéesse ? Qu'est ce que ça pouvait bien être ? Il haussa les épaules puis continua sa route au hasard. Arrivé à un café, il s'installa en terrasse. Quasi immédiatement, une charmante rousse vient s'assoir avec lui.
- Eh beau gosse tu permets que je te tienne compagnie ?
La fille lui servit ensuite un bavardage auquel il ne comprenait rien. Elle parler de tablette, de You tube, de Facebook. Il compris vaguement qu'elle était archéologue puisqu'elle avait trouvé une tablette antique ? À moins qu'elle fasse de l'élevage de bouc ? Ou alors elle travaillait dans un chantier ce qui expliquait les tubes ? La jeune fille se leva finalement et le salua avec ses mots :
- Merci de m'avoir écouter beau brun ! Tu me passera ton twitter pour que je te follow ! Et ton snap aussi je ne veux rater aucune de tes stories ! Au fait t'as un num ? Attend je sors mon IPhone... Alors 06 ou 07 ? "

Début : Une jeune fille qui part à un rendez-vous galant avec un inconnu.
Milieu : Sa robe se déchire et elle se casse un talon.
Fin : L'homme, furieux, quitte la fille, sans vouloir la revoir.
Contrainte : L'homme doit être charmant et poli tout au long du rendez-vous.