Bonsoir,
Impressionnée par le nombre d'extraits du livre de Rufin,
Le grand Cœur, j'ai repéré quelques doublons :
"L'argent est du songe pur. Le contempler, c'est faire défiler devant soi l'interminable procession des choses de ce monde." est présent en page 1 et en page 2
"J'ai la conviction - mais qui la partage ? - qu'un lien supérieur unit tous les hommes. Le commerce, cette chose triviale, est l'expression de ce lien commun qui grâce à l'échange, la circulation unit tous les êtres humains. Par-delà la naissance, l'honneur, la noblesse, la foi, toutes choses qui sont inventées par l'homme, il y a ces humbles nécessités que sont la nourriture, la vêture, le couvert, qui sont obligations de la nature et devant lesquelles les humains sont égaux"
est en page 6 et en bas de page 2
"L'argent est du songe pur. Le contempler, c'est faire défiler devant soi l'interminable procession des choses de ce monde. "
en page 7 et page 1
Page 1, il manque un espace entre les deux phrases de cet extrait (et avant le point d'interrogation final) :
"Une étonnante jalousie me piqua soudain.Avait-elle avec lui la même intimité? "
En haut de page 8, le texte qui commence par
"Au soir de sa vie, réfugié sur une île grecque avec sa compagne du moment, un homme traqué se souvient, se raconte. Natif de Bourges, fils de pelletier, il aura un destin romanesque à souhait au côté de Charles VII, passant de la fortune à aux geôles, et au profond dénuement. "
est en fait une description, non un extrait.
Il faudrait corriger cet extrait en page 8:
"A certains moments de la vieface à l' énigme du monde et de l' avenir , tout
être humain peut se sentir partagé entre une cause et son contraire .Le pas
de l' une à l' autre est si court qu' on peut sauter d' un côté à son opposé avec
la même facilité que l' enfant qui traverse un ruisseau "
en
"A certains moments de la vie face à l' énigme du monde et de l'avenir, tout être humain peut se sentir partagé entre une cause et son contraire. Le pas de l'une à l'autre est si court qu'on peut sauter d'un côté à son opposé avec la même facilité que l'enfant qui traverse un ruisseau." (typographie)
Page 8:
L'extrait qui commence par "C'était par nature un rebelle." a besoin de corrections :
" (...) ouverte dans l'enfance par la violence d'un proch
e"
il manque là un espace: "La violence qu'ils pratiquentn'est en rien " et un point à la fin.
L'extrait qui commence avec "Je rentrai de ce voyage avec le sentiment de m'être rapproché du roi." a besoin d'une correction : "(...) et qu'il est
à la merci de dangers d'autant plus redoutables qu'ils sont imprévisibles et inconnus. "
Il manque un point final à l'extrait qui commence par : "La France, en particulier dans le Nord et le Centre..."
"là-bas, je fréquentai beaucoup les peintres.En les observant, je perçus clairement la limite entre la technique et la création." => il manque la majuscule initiale et un espace entre les deux phrases.
"Je peux mourir, car j'ai vécu. Et j'ai connu la liberté" => il manque le point final
Enfin, tous les extraits de page 10 commencent par un "nouvel" qu'il faudrait supprimer.
D'avance, merci !