lacrystal a écrit : ↑sam. 21 août, 2021 10:43 am
Bonjour à tous.tes !
Je tenais avant de publier le chapitre à vous remercier pour tous vos beaux messages sur mes chapitres, ils me touchent énormément <3 *-*
Donc merci du fond du cœur vous êtes géniaux <3
Bon allez avant de me mettre à pleurer d'émotion voici le chapitre 23, avant-dernier chapitre de cette deuxième partie !
Bonne lecture !
Chapitre 23 : Moral of the story
La morale de l'histoire
♪ :
https://www.youtube.com/watch?v=b2A5w-1faqI
Je sors de la bibliothèque universitaire et rejoins le troisième bâtiment de sciences, le plus éloigné.
Oui... qui vas tu voir ? Hein ?!!! Adrein j'espère Le Collège de Sciences se trouve juste en face de celui des Lettres, séparé seulement par une route et un restaurant universitaire.
Repond ! Qui vas tu voir Ana ?
Je prends le premier couloir à droite de l’entrée. Puis, à la troisième porte, j’entre. C’est une salle remplie d’ordinateurs. J’ai cours ici, en sciences, une fois par semaine pour le cours de culture numérique. Nos salles informatiques en lettres sont trop petites pour notre groupe de travaux dirigés, on est obligé d’aller dans un autre Collège.
Je m’installe et allume l’écran puis la tour. Julia ne tarde pas à entrer à son tour et s’assoit à côté de moi.
Julia ?! On avait dit Adri' J’avais cours de lettres modernes ce matin, alors qu’elle a choisi l’option communication et journalisme.
— Alors, ce cours ? lui demandé-je.
— Super et toi ? répond-elle sans conviction.
— Super.
Le silence s’installe entre nous et on se regarde avant de dire en même temps :
— Vivement les vacances.
On éclate de rire. La professeure arrive et nous intime le silence. Nous pianotons sur nos ordinateurs pendant presque une heure et demie. Lorsqu’elle nous libère il est près de treize heures. Je m’étire en sortant de la salle.
tu vas voir adrien maintenant ?
— Qu’est-ce que je déteste ce cours, marmonne Julia.
moi aussi
Je baille à m’en décrocher la mâchoire.
— Tout ce qu’on fait, c’est apprendre à se servir d’un traitement de texte. Un traitement de texte !
— Je sais, soupiré-je. Je meurs de faim.
— Panini poulet ?
— Toi, je t’adore, dis-je en la prenant par l’épaule.
— Je sais, je suis irrésistible, me répond-elle avec un clin d’œil.
mouais mouais
Bras-dessus, bras-dessous, on se dirige en discutant vers le restaurant universitaire. Nous sortons du bâtiment et traversons la petite cour entre les trois bâtiments de sciences. Puis, enfin, nous arrivons au restaurant universitaire.
Nous faisons la queue lorsqu’une main se pose sur mon épaule. Je me tourne. Et me décompose en voyant Joshua se tenir devant moi, un grand sourire aux lèvres.
Josh u a ? QUOI ?
— Ana.
Je déglutis. Julia ma tapote l’épaule en fronçant les sourcils.
— Je…
— Je peux te parler ? me coupe Joshua.
Nan elle est occuppée elle va aller voir Adrien !
— Ana ? m’interpelle Julia en regardant Joshua avec des yeux noirs.
— Tout va bien, tu peux prendre mon panini ? Je reviens.
Je lui donne ma carte étudiante avant d’être entraînée plus loin par Joshua. L’angoisse me serre la gorge. Je me répète les paroles de Julia.
Tu es belle, tu es belle, tu es belle. Evidemment !
— Qu’est-ce que tu me veux ? l’attaqué-je.
Il lève les mains, comme en signe de paix avant de les remettre dans ses poches, un sourire aux lèvres.
— Je voulais te parler. Te voir ici, dans cette fac, j’ai vu ça comme un signe.
Mon rythme cardiaque s’accélère. Et ce n’est clairement pas parce que je suis heureuse ou qu’il me fait de l’effet. J’ouvre la bouche pour mieux respirer après avoir déglutis.
— Je voulais m’excuser.
Hein ?
Je trésaille. Lui ? S’excuser ? J’ai atterri dans une réalité alternative, ce n’est pas possible. Il fait un pas de plus vers moi. Je suis pétrifiée. Je suis en seconde de nouveau, face au garçon que j’aime et qui me demande de sortir avec lui. Il fait un autre pas, me jaugeant d’un air supérieur. Il laisse le coin de ses lèvres frémir pour former le début d’un sourire en coin. Il sait exactement quoi faire pour mettre une fille dans la poche, mais je ne compte pas retomber dans le panneau une seconde fois. La première m’a déjà tout couté. Il est tout près, si près que le bout de nos chaussures se touchent. On respire le même air. Et celui qu’il rejette est encore plus toxique que ce qu’il n’est.
Bouah tu respires le même air que cet abruti je te pleins ! tiens bon Ana ! tiens un masque chigurgicale !
Il sort la main de sa poche et remet une mèche de cheveux derrière mon oreille. Son contact me brûle comme si sa peau était faite d’acide. Je tressaille, alors qu’une bouffée d’angoisse m’envahit.
— J’ai eu tort de te traiter comme je l’ai fait. Je le vois à présent. Je te trouve tellement belle.
Je t’aime.
Tu es belle.
Tu es tout pour moi.
Je suis prêt à remuer ciel et terre pour toi.
Il me ressert les mêmes paroles qui m’ont fait tomber pour lui lorsque nous étions en seconde. Je lui offre mon plus beau sourire. Si bien que ses yeux pétillent. Avant d’articuler :
— Retire tes doigts de ma joue avant que je ne les brise.
Je n’ai pas besoin de me répéter. Il récupère sa main et fait un pas en arrière, comme si je l’avais giflé.
— Pardon ? Tu me repousses ?
Ohlàlà quel abruti, je me répète mais quand même
— Josh, tu m’as tout pris. Ma confiance. Ma meilleure amie. Ma vie. Je n’ai plus rien par ta faute.
Oui, ne te laisse pas démonter Ana !
Je n’ai même plus l’amour, ni Adrien. ne dit pas ça tu vas me faire pleurer
— Tu n’as plus rien à me prendre, tu ne peux plus me briser. Je ne sais pas quel est ton plan dans ta tête de malade, mais peu importe, rien de ce que tu peux faire ne peux m’atteindre. Tu sais pourquoi ? Parce que l’ancienne Athéna est brisée. Et la nouvelle a envie de t’envoyer son genou dans ce qui te sert de couilles, bien que je ne sois pas sûre que le terme soit approprié pour ce que tu as entre les jambes.
HIHIHIHAHAHAHAHAHA BIEN DIT
Il s’éloigne et lâche un seul rire.
Pff
— Tu regretteras de ne pas m’avoir dit oui.
Je le suis des yeux. J’ai les mains qui tremblent, j’ai l’impression que je pourrais tomber à n’importe quel moment. Julia apparaît à mes côtés.
— Tout va bien ?
Je ne réponds pas. Je fais volte-face et cours vers le restaurant universitaire. Je m’enferme dans les toilettes tandis que des hauts-le-cœurs me secouent, m’arrachant des larmes. Mon estomac se contracte mais je réussis à reprendre lentement ma respiration. Finalement, je m’essuie les joues. Mon rythme cardiaque calmé, je sors et m’asperge le visage d’eau. J’ai réussi. Je n’arrive pas à y croire. Je me fais un grand sourire et éclate de rire, tout en pleurant. La porte s’ouvre et Julia entre, l’air inquiet.
— Ana ?
Je la prends aussitôt dans mes bras et la serre contre moi.
— Tu… m’étouffes… un peu.
Je la relâche en m’excusant.
une si belle personne qui a une vie si dure
— Je n’arrive pas à savoir si tu pleures ou si tu ris.
— J’ai réussi !
— À quoi ?
— C’était Josh.
— Quoi ? Le Josh ?
l'abruti ouais
— Oui et… je l’ai envoyé promener. Je… je l’ai même menacé de le frapper.
J’éclate de rire à nouveau. Je ris tellement que je suis obligée de me tenir les côtes. Julia me regarde avec un grand sourire avant de poser son bras sur mon épaule.
— J’aurais aimé savoir que c’était Josh. J’aurais mis la menace à exécution. Je le tiens, tu frappes !
On éclate de rire avant de sortir des toilettes. On s’installe à une table. Je meurs de faim, la montée d’adrénaline à cause de mon altercation avec Josh m’a creusé l’estomac.
Mon portable vibre. Mon cœur bondit dans ma poitrine lorsque je vois la lettre « A » s’afficher.
Yes !!!!
A : Tout va bien ? Je t’ai vu partir en courant, tu n’avais pas l’air bien. ça va mieux depuis que t'es arrivé dans le chapitre tkt
Ana : Oui, tout va bien. Je vais, mieux à présent.
A : Je suis ravi de l’entendre. Je t’embrasse.
Je souris et reçois un nouveau message.
A : Et n’oublie pas, je suis là si tu as besoin.
~
Il fait beau aujourd’hui. Accompagnée d’Émilie et Julia, je déambule sur la pelouse de l’université. Plusieurs stands ont été installés. La plupart pour présenter les différentes associations universitaires. Chacune des associations avait la possibilité d’installer aussi un stand de jeu. Ainsi, plusieurs étudiants se promènent en riant, se déplaçant avec gaieté de stand en stand.
Lorsqu’Émilie repère les garçons, elle leur fait de grand signe et je dois l’empêcher de se mettre à courir pour rejoindre Lukas. Ils s’embrassent aussitôt. Hugo est là, lui aussi. Il se penche vers moi pour me faire la bise avant d’en faire de même avec Julia.
je t'ai à l'oeil !
— Vous voulez faire quoi ? demande Hugo.
— On pensait aller voir le stand de journalisme, commence Julia. Mais vous savez quoi ? Allez de votre côté, je dois rejoindre une amie là-bas.
? tiens tiens
J’essaie de lancer des signaux à Julia pour qu’elle ne me laisse pas seule avec le couple et le gars qui semble vouloir se mettre en couple avec moi, mais elle les ignore, un grand sourire sur les lèvres.
— Tu es sûre ? On peut venir, j’avais dit que je t’accompagnerai.
— T’inquiète Ana, la fille qui tient le stand est vraiment mignonne donc je gère.
Ah ok ! bonne chance Julia !
J’essaie de la retenir mais elle m’esquive et s’éloigne en riant. Embarrassée, je me tourne vers Hugo. Je me racle la gorge. Émilie et Lukas sont déjà dans leur bulle, il ne reste plus que lui et moi. Je me gratte la tête, ne sachant quoi faire.
va voir Adri' !
— Ça te dit de faire un tour des stands ?
— D’accord, pourquoi pas.
Je lui souris, essayant d’être la plus agréable possible. Nous marchons côte à côte, en silence. Nos bras se frôlent. Ce n’est pas comme avec Adrien. Ce n’est pas désagréable mais… différent.
mais heu pourquoi lui
— Alors, ta semaine ? me demande-t-il.
— M’en parle pas. J’ai eu des journées… intéressantes.
Je repense à ma rencontre avec Josh la veille. Je n’arrive pas à croire que ça a vraiment eu lieu.
— Et toi la tienne ?
— C’était pas mal, j’ai hâte d’être en vacances par contre. D’ailleurs tu restes ici pour les vacs ?
— Je partirai sûrement un week-end voire ma sœur. Et toi ?
— Je pense rester ici. Un ami prévoit une fête énorme pour Halloween, il faut absolument que tu viennes. C’est dingue les efforts que les gens font pour leurs costumes !
— Ça pourrait être sympa, en effet, dis-je sans enthousiasme.
bon hugo n'est pas si mal mais adrien c'est vraiment la crème ! j'avoue que hugo est sympa et plutôt cool
Il me regarde et s’arrête soudainement de marcher. Je me tourne vers lui, les sourcils froncés en signe d’interrogation.
— Quelque chose ne va pas, Ana ?
— Non. Enfin, c’est juste que… je ne sais pas comment le dire.
moi je sais : tu es en manque de adrien !
Je pousse un long soupir.
— Désolée, je ne suis pas d’excellente compagnie en ce moment.
— Tu veux en parler ?
— J’ai… tout le monde a une histoire, des épreuves par lesquelles on doit passer, un vécu. Et le mien… est plutôt compliqué, expliqué-je en me grattant la tête. C’est… douloureux, je n’en parle avec personne.
Sauf avec Adrien et Julia, à qui j’ai tout raconté.
— Je comprends.
— Et… j’ai du mal avec toutes ces interactions sociales.
Nous reprenons notre marche. J’ai la sensation que rien n’est naturel entre nous deux, contrairement avec Adrien.
— Parfois, tout ce qu’il faut faire, c’est se lancer.
—… je sais.
J’ai envie de rentrer chez moi en cet instant, mais je continue de marcher avec lui. On fait le tour des stands. En chemin, je croise Julia, en train de parler à la fille du stand de journalisme. Lorsqu’elle me repère, elle chuchote quelque chose à la fille avant de s’approcher de nous, un immense sourire aux lèvres. Arrivée à notre niveau, elle sort un papier de sa poche où est inscrit dix chiffres.
elle est trop forte
— Et voilà ! me lance-t-elle avec un sourire radieux. Bon, on rejoint Émilie et on va chez toi ?
— Vous ne restez pas ? nous demande Hugo.
— On mange à notre appart’, entre filles et on te rejoindra avec Lukas ce soir pour la fête.
Il me fait un grand sourire.
— Super à tout à l’heure alors !
Je lui fais un signe de la main avant de m’éloigner, en compagnie de Julia.
— Alors ? me demande-t-elle.
— Alors quoi ?
— Avec Hugo, comment ça se passe ?
mal
— C’est… différent. Il est gentil, mais… mais je sais pas quelque chose me dérange chez lui.
— Tu penses peut-être ça juste parce que tu t’accroches à Adrien.
— Peut-être, soupiré-je.
— Et… avec Émilie ? Ça va ?
nan
— Je crois oui. J’y pense encore mais je voulais enterrer le passer.
— Voulais ?
— Oui, j’avais Adrien. Je me disais que je pouvais oublier le passé. Mais maintenant, je suis perdue. La seule raison pour laquelle je voulais enterrer le passé, c’était pour oublier qui j’étais. Mais Adrien a raison, je ne peux pas tout simplement tirer un trait dessus, elle reste là quoi qu’il se passe.
Elle reste silencieuse, réfléchissant sur mes paroles.
— Tu ne lui as pas pardonné, c’est ça ?
— Si. Enfin, je crois. Mais je n’ai pas envie de retourner à l’amitié qu’on avait, avoué-je.
— Tu n’es obligée de rien, Ana. Tu ne dois rien à personne, tu as le droit de refuser de retourner à cette amitié avec elle.
elle est trop de bon conseil franchement
Je jette un œil vers elle et réalise à quel point elle a raison. J’enroule mon bras autour de son épaule et l’approche de moi.
— Toi, tu deviens trop raisonnable !
Elle éclate de rire. On met une dizaine de minutes avant de réussir à mettre la main sur Émilie et on en met probablement autant à la détacher de « son » Lukas.
~
— Merci ! dis-je au livreur en lui tendant quelques billets.
Je referme la porte derrière lui et pose notre repas sur la table. Julia se dandine sur sa chaise, comme une gamine et je ne peux m’empêcher de rire. Je distribue nos repas et Julia ouvre sa boîte, sort son hamburger et lui dit :
c'est pas de la pizza ?
— Je t’ai attendue toute ma vie. Je suis heureuse de t’avoir enfin trouvé.
— Quelle Drama Queen, se moque Émilie.
— Dit-elle « Madame j’ai fusionné avec mon amoureux ».
Les joues d’Émilie se teinte d’une couleur rosée.
— Alors, c’est le grand amour ? demandé-je, ce qui l’embarrasse encore plus.
— Assez parlé de moi ! Et toi alors, Julia, tu crois que je t’ai pas vue avec la fille du stand ?
— Figure toi qu’on se retrouve ce soir à la fête, dit-elle avec un clin d’œil.
Émilie lâche un « ouuuh » puérile alors que je ris.
— Et toi, Ana ? Avec Hugo ?
ça se passe mal j'ai dit
— Oh, tu sais Em’… je ne suis pas sûre que ça va coller entre nous.
— Pourquoi ?! Il est mordu de toi, si tu veux mon avis.
très mal
Je baisse la tête, embarrassée. Émilie regarde Julia, qui esquive son regard, puis moi.
— Hum. Bizarrement je sens qu’on me cache un truc.
— C’est compliqué, soupiré-je. Je ne suis pas prête à me lancer dans une relation.
— Mais Hugo…
assez parlé de lui je veux mon adrien
— Je ne peux pas faire ça, la coupé-je. Je ne peux pas me mettre avec quelqu’un alors que jamais je ne ressentirai de l’amour ou un quelconque sentiment pour lui. Ce serait égoïste.
Un silence pesant tombe sur nous. Puis, finalement, Julia nous parle de Cindy, la jeune femme qu’elle a rencontrée au stand de journalisme. L’atmosphère se détend petit à petit et Émilie embraye sur le seul sujet sur lequel elle reste intarissable à savoir Lukas.
ok d'acc
— Arg, on dirait une ode à Lukas ce que tu nous fais.
On éclate de rire. Émilie l’ignore et continue, tandis que Julia fait mine de l’écouter me lançant par moment des regards désespérés. De mon côté, j’essaie de cacher le fait que mes mains tremblent. Je réalise l’étendue des paroles que j’ai prononcé à Émilie et j’en suis sûre à présent. Émilie et moi, jamais nous ne pourrons être à nouveau proches. En plus de sa trahison, de l’avoir trouvée avec Josh… elle n’a rien fait après ça. J’ai dû m’enfuir de la fête. Elle n’a pas tenté de m’arrêter, de s’expliquer, elle était aveuglée par son attachement à Josh.
quelle horrible amie quand mêmeJe me suis retrouvée seule, du jour au lendemain. Elle a même cessé de me défendre aux yeux des autres, au lycée. Elle ne voyait que Josh. Mon sentiment de colère à son égard s’est amplifié lorsque Josh a miraculeusement eu mon numéro de téléphone – j’imagine qu’il avait fouiller celui d’Émilie. J’avais reçu des tonnes de messages avec des propositions… plus que salaces.
non mais
Nous ne nous sommes reparlées seulement quand elle l’a quitté, quelques mois après. Et que j’ai dû accepter sa proposition de colocation, qu’elle m’a proposée parce qu’elle savait que j’allais à la même fac qu’elle et que j’avais besoin d’une colocataire. J’imagine qu’elle imaginait qu’on puisse se réconcilier, retourner à notre amitié…
Mais c’est au-dessus de mes forces. Elle et Josh ont retiré toute la confiance que je pouvais avoir en les autres. Julia et Adrien ont pansé ces blessures. Et pour ça, je leur en serai éternellement reconnaissante.
ce chapire est vraiment génial ! j'ai tout adoré, sauf l'absence de mon chéri. Bravo !
---> La suite avec le chapitre 24 ici <---