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Désolée la team Santa
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Coucou! Si j'ai bien compté j'arrive à 232 pointsmistinguette60 a écrit : ↑lun. 30 août, 2021 9:18 pm
Cleooo - Hanayu - Mistinguette60
OctarineEtSonBagage
Pendergast - Ruriko - Soah
Session 5
du lundi 30 août 00h00
au dimanche 12 septembre 20h
soit 2 912 pages lues
Bien joué les Elfes (et surtout tykaCameronOBrien a écrit : ↑lun. 13 sept., 2021 11:09 am Mythik: 244 pts
Faites-nous signe s'il y a des soucis pour votre score, on n'a peut-être pas assez révisé nos mathématiques avant la rentrée...![]()
Ils sont au niveau du Beau livre de 474 pages, le calcul suit le même principe que les romans : on ne compte que les tranches entières de 50 pages.
Ah oui, effectivement, j'ai pas dû faire attentionCameronOBrien a écrit : ↑lun. 13 sept., 2021 12:25 pmIls sont au niveau du Beau livre de 474 pages, le calcul suit le même principe que les romans : on ne compte que les tranches entières de 50 pages.
474/50 = 9,48 et on ne garde que le 9
9*6 = 54 points
J'espère que mes explications sont claires![]()
Moi qui ai pour habitude de passer près de huit heures dans le train chaque semaine, je regrette d'avoir lu ce bref roman l'un des rares week-ends ou j'ai décidé de ne pas bouger de chez moi !
"Au prochain arrêt", c'est un peu comme une bol d'air frais dans un wagon bondé, une heure de silence dans un compartiment bruyant. C'est un roman qui donne envie d'attraper la prochaine ligne simplement pour s'asseoir et observer ses pairs, ces voyageurs anonymes qui vont d'un point à un autre pour des raisons multiples, tantôt banales, tantôt surprenantes, parfois dramatiques ou bien amusantes. Tous ces passagers sont des individus à part entière dont les chemins de vie se croisent, s'entremêlent parfois, se nouent et se séparent au fil des arrêts. C'est l'histoire de rencontres inopinées, de conversations initiées au moment opportun, de regards échangés et maintenus.
Une très belle découverte portée par une plume douce et entraînante.
Je crois bien que cette série patiente dans les tréfonds de ma bibliothèque numérique depuis des années. Malgré les retours positifs que j'ai pu lire et entendre à son sujet, je ne me suis jamais vraiment décidé à me jeter à l'eau jusqu'à présent. Pourquoi ? Aucune idée.
Ce premier tome de "Red Queen" n'est honnêtement pas mauvais si l'on admet qu'il s'inscrit parfaitement dans cette tendance littéraire que l'on nous sert à la pelle depuis quelques années. Un rapport dominant/dominé entre plusieurs castes, une classification des individus selon leurs pouvoirs magiques, une héroïne bravache qui se perd dans un triangle amoureux et vacille entre deux camps... on connaît la chanson, clairement. Il n'y a rien de franchement original dans cette recette mais ça fonctionne, en témoignent les avis des lecteurs et lectrices. J'admets sans souci que cette lecture n'a pas été désagréable et que je suis curieux de voir comment l'intrigue évoluera dans les prochains tomes, mais je reste fort déçu du concentré de clichés romanesques que j'ai dû avaler au fil des chapitres. Une énième variation sur le même thème.
Bon. Alors. Par quoi commencer ?
Si je ne dis pas de bêtises, ce livre est resté pendant un petit moment sur la page d'accueil de Booknode - c'est par ce biais que je l'ai découvert et que j'ai décidé de me procurer la trilogie (à moindre coût, fort heureusement).
Comme à mon habitude, je me suis contenté de la quatrième de couverture et je n'ai pas souhaité consulter les avis partagés sur Booknode et sur les sites marchands. Peut-être aurais-je dû.
On connaît bien la dynamique "enemies to lovers". J'admets en être un fervent amateur - mais seulement lorsqu'elle est cohérente et repose sur des personnages foncièrement intéressants et à l'évolution psychologique crédible.
Là... là, je ne sais pas trop quoi penser.
Honnêtement, je ne m'attendais pas à rencontrer autant de scènes de sexe au fil des pages. Je ne pensais pas qu'il s'agissait d'un roman érotique dans lequel les intrigues politiques font simplement office de trame de fond au profit du développement d'une relation naissante entre deux personnages que tout semble opposer. Je pensais avoir acheté une trilogie de fantasy mais il ne s'agit finalement que d'une énième "romance" gay qui vient surfer sur la vague commerciale (laquelle flirte elle-même avec un certain fétichisme de ces relations) en usant de l'argument du monde ancien alternatif.
Comme je l'ai dit plus haut, j'aime les histoires qui mettent en scène deux personnages qui finissent par tomber dans les bras l'un de l'autre alors qu'ils ne pouvaient sincèrement pas se blairer durant les premiers chapitres. Mais quand cette relation repose majoritairement sur des abus physiques et du viol... ? C'est un grand non pour moi.
Je n'aime pas la banalisation du viol. J'aime les rapports consentis avec des jeux de domination maîtrisée et gérée à deux, mais pas les fellations forcées ni les luttes qui se transforment en coït brutal. Aucune tension sexuelle intéressante de mon côté.
La psychologie des personnages est loin d'être développée. On passe sans ambages de la haine viscérale à une coopération presque attendrie. Et c'est dommage, parce que c'est précisément le critère d'évaluation de la bonne qualité d'une romance "enemies to lovers". Laurent est presque trop caricatural, méchant pour être méchant mais avec suffisamment de répliques en mode dark Sasuke pour susciter une forme d'empathie de la part du lecteur (et de Damen bien sûr, c'est le but...).
J'ai apprécié le maquillage du pseudo contexte gréco-romain malgré de grosses faiblesses dans la construction du fond socio-politique de l'intrigue. Le style, quant à lui, est simple et efficace. Pas de poésie, pas de longueurs, la plume est au service de l'action et de la description des corps des beaux mâles, c'est tout.
J'ai refermé ce premier tome il y a quelques heures et je suis encore très perplexe. Je n'ai pas passé un mauvais moment de lecture à proprement parler mais j'ai clairement grimacé à de nombreuses reprises.
Pourtant, d'une certaine façon, j'ai envie de lire la suite. Pas franchement parce que je suis impatient de voir ces deux lascars s'avouer leurs sentiments, non, mais plutôt car je veux voir de quelle manière leur relation sera amenée à progresser. Je n'en attends toutefois pas trop au vu du faible traitement accordé à la profondeur des personnages et à la psychologie justifiant l'évolution de leurs rapports.
Cela fait quelques temps déjà que j'ai délaissé les romans jeunesse et young-adult car je n'y trouve plus mon compte. Cependant, en voyant de nombreux retours positifs sur ce livre, j'ai décidé de me le procurer et de passer une journée inoubliable aux côtés de Mateo et Rufus, deux jeunes garçons qui apprennent que la Mort viendra les cueillir dans les prochaines 24 heures.
J'ai plutôt apprécié le suspens hitchcockien qui sous-tendait l'intrigue. Dès le départ, le lecteur sait pertinemment que les protagonistes sont condamnés. Reste à déterminer quand et comment le drame sera amené à se produire, ce qui permet d'ajouter une tension dramatique à diverses scènes au potentiel meurtrier certain. Malheureusement, même si cette course contre la vie malgré une issue inévitable est très touchante, j'ai été assez insensible à la plus grande partie du récit pour la simple raison que les évènements se suivaient et se ressemblaient. Les rebondissements n'en étaient plus tant ils étaient calqués les uns sur les autres. Ces enchaînements sont censés donner l'impression que la mort guette les héros à chaque coin de rue mais le lecteur sait plus ou moins pertinemment que les deux gaillards ne mourront bel et bien qu'à la toute fin du récit.
Ensuite, j'ai vraiment eu du mal avec la narration du côté de Rufus. La manière dont bon nombre de ses interventions sont ponctuées par des "wesh" est absolument insupportable (j'imagine qu'il s'agit d'une traduction plutôt bancale de l'interjection anglaise "yo" ?). Il ne fait aucun effort même lorsqu'il déclare sa flamme à Mateo et c'est franchement désagréable, le côté romantique de leur relation en souffre énormément.
Je suis également assez déçu concernant le contexte de l'histoire. On ne sait rien ou presque rien sur le Death-Cast, ce qui est franchement dommage - même si je peux comprendre que l'auteur a sans doute volontairement entretenu cet aspect mystérieux.
Je ne peux en revanche pas nier que j'ai lu les derniers chapitres avec un noeud dans la gorge - bien que j'ose penser que la musique que j'avais dans les oreilles a également contribué à instaurer ce climat déprimant. Malgré un ressenti globalement mitigé sur l'entièreté du récit, j'ai donc été ému par sa conclusion et j'en suis heureux. Parce qu'au fond, c'était ce que j'attendais.
À travers l'exposition de son propre parcours artistique et de toutes les réflexions et les envies qui l'ont sous-tendu, Cocteau s’adresse aux artistes en devenir en leur conseillant quelles routes emprunter et quels états d'esprit privilégier afin de toujours rester dans la poursuite du « moi véritable » et non du « personnage imaginaire » que l’entourage et la société aiment à diffuser.
Un bref ouvrage très intéressant à mettre entre les mains de tous les inconditionnels de M. Cocteau pour comprendre toujours davantage la manière dont il concevait ses rapports avec son propre art.
Un très bon début de tournoi international avec une équipe enfin au complet !
Un match assez mouvementé contre l'Italie avec le retour très attendu du tandem en or Tsubasa/Misaki ! Je suis également très content d'avoir retrouvé Gino et sa main en or dans les buts italiens, c'est un personnage qui m'avait bien plu dans l'anime.
Un match des plus acrobatiques mais sans réelles innovations du côté argentin - il faut dire que Diaz est un peu le double de Tsubasa sur le plan technique. Hâte de voir comment l'entrée en jeu de Misugi permettra de débloquer le score !
Le colosse Dieter Muller apparaît enfin et le Japon se rapproche dangereusement de l'affrontement final contre l'équipe allemande qui a presque survolé les premières phases du tournoi. Mais pour l'heure, c'est un match haletant contre la sélection française qui nous est offert.
bienvenue Tios
CameronOBrien a écrit : ↑lun. 13 sept., 2021 11:09 amBonjour à tous !
La session 5 s'est terminée, placée sous le signe d'une rentrée mouvementée (sauf pour tyka, je ne l'ai pas vue la fameuse "diminution drastique" du score).
Bienvenue Tiosjukebox_fr a écrit : ↑lun. 13 sept., 2021 4:39 pmLes annonces
Pour cette sixième session, nous accueillons un nouveau membre, Tios, qui rejoint la
Bienvenue à toi![]()
Ensuite, cette session est particulière car vous aurez la possibilité de récupérer des points bonus grâce à vos lectures. Pour les obtenir, c'est très simple, il vous suffit de lire un maximum de livres dont la couleur de la couverture correspond à votre équipe:
Jack: Noir ou toute couleur très sombre s'approchant du noir
Santa: Rouge
Grinch: Vert
Elfes: Bleu
Pour chaque livre ainsi lu, 2 pts supplémentaires![]()
Bien sûr, vous ne manquerez pas de mettre les couvertures à côté de votre commentaire sur le livre pour faire valoir ce bonus![]()
Bonnes lectures à tous
Oui, tous, comme "tous les livres qui vous permettent de rapporter des points habituellement"mistinguette60 a écrit : ↑lun. 13 sept., 2021 9:13 pm J'ai une question pour la couverture rouge, c'est pour tout les livres? livres enfants compris(j'essaie de grapiller des points
)
Tomes 1 à 4:
C'est tout mignon, la relation naissante entre Miyamura et Hori, comment ils apprennent à se connaitre et s'apprécier tels qu'ils sont, au-delà de leurs raisons de vouloir paraitre autrement pour le reste de leurs camarades. Puis il y a les sentiments qui migrent doucement de l'amitié vers l'amour, jusqu'au moment de les déclarer. C'est touchant et assez juste, mais je ressens une pointe d'inquiètude devant un rapport de forces inégal dans ce couple. Hori apprécie "normalement" Miyamura. Miyamura, lui, se positionne en inférieur et semble être dans un besoin douloureux des attentions de Hori.
Tomes 5 à 7:
Les personnages secondaires s'étoffent et permettent de développer des histoire parallèles bien fun qui font oublier que Hori est en train de se transformer en véritable Tsundere inversée et que Miyamura lui passe tout, par amour. On en découvre aussi bien plus sur le modèle familial de Hori, avec l'apparition du père au sein du foyer. Pas très clair tout ça... mais difficile de ne pas voir une similitude de la dynamique de fonctionnement du couple Hori/Miyamura et celui de ses parents à leur rencontre.
Tomes 8 à 11:
J'ai envie de dire quel dommage. Quel dommage d'avoir transformé la relation de ce couple sympa en un truc complètement tordu et limite malsain. Heureusement il y a les personnages secondaires assez nombreux pour rattrapper le coup, parce que pour le couple principal, c'est mort pour moi.
Un livre court mais très riche proposant une réflexion complète et très documentée autour du bonheur, sa nature, sa valeur et les différentes voies pour l'atteindre et le garder. L'auteur y répond de façon multiple en citant et analysant les différents philosophes, courants de pensée et religions qui ont marqué l'histoire de l'humanité ou tout simplement en partageant sa propre expérience de la vie.
Il n'y a pas d'ordre chronologique, mais un fil conducteur se détache qui voit certaines pensées émises à des époques et en des lieux très différents, se rapprocher.
Je ne suis pas particulièrement férue de philosophie pourtant j'ai beaucoup apprécié cet essai qui offre une vulgarisation philosophique de qualité savamment tournée : suffisamment érudite pour permettre au lecteur d'élever son niveau de connaissance mais jamais absconse pour le garder intéressé. De fait, c'est une excellente passerelle pour qui voudrait se plonger dans des courants de pensée ou des écrits de philosophes en particulier.
Pour finir, j'ai découvert ce livre en audio, via la lecture de Laurent Jacquet qui fut fort agréable et a contribué à maintenir constant mon intérêt pour le contenu délivré. D'ailleurs, bien que le livre soit court (moins de 5h en écoute), je l'ai fait durer sur plusieurs jours. Ecoutant chaque chapitre à intervalle régulier pour prendre le temps de méditer sur ce que je venais d'entendre.
En bref, un livre de vulgarisation fort bien fait et enrichissant, qui sert de point de départ pour toute personne qui aimerait se remettre en question sans qu'on vienne lui imposer des principes tout faits et une unique vision de la vie comme le font la plupart des livres de développement personnel.
19h23 je viens juste de terminer cette écoute, encore toute retournée de toutes les émotions qui s'agitent en moi. J'ai adoré. Quelle belle façon de clôturer cette série que de nous laisser sur une note positive de cet amour des livres qui survit à tout, y compris aux pire secrets des années franquistes déterrés tout au long des 4 tomes. Famille Sempere forever <3
La replongée dans l'histoire principale fut difficile, on attaque avec trop d'histoires annexes à l'intérêt et à la facture pas bien élevés. Cependant, quand on rentre enfin dans le vif du sujet, la reconnexion se fait bien et les informations cruciales sont délivrées à la pelle. Pas de doute, les prochains tomes vont être bien plus intenses en action décisives que ceux-ci