[Challenge] Communautaire 2021

[Livresse_Litteraire_dAlex]

Bonjour,

Est ce que le livre: le tatoueur d’Auschwitz serait accepté pour la consigne: 126 - Lire un livre polémique / controversé / censuré?

Il y a une polémique qui tourne autour de l’auteur et de ses livres. De ce que j’ai pu comprendre: les faits historiques ne sont pas exacts. Trop édulcorés….
Beaucoup réclame que ces livres soient censurés…

Merci pour votre réponse.

Oui, selon moi, ça fonctionne parfaitement !

Je suis d'accord

Merci pour vos réponses

Je m’y inscrirais plus tard alors Je confirme mon inscription sur la consigne 12: avec Dune.
J’ai vu que j’étais inscrite aux deux consignes

À bientôt.

[Mathy97]

Je voudrais maintenant m'inscrire à la consigne 96.e (personnage principal extraterrestre) avec Les Cantos d'Hypérion tome 1 : Hypérion de Dan Simmons. La Terre a été détruite plusieurs siècles avant le début de l'histoire et l'humanité a migré sur différentes planètes de la galaxie. Bien qu'humains, les personnages principaux ne sont pas tous nés sur Terre et peuvent donc être considérés comme des extraterrestres (extraterrestre signifiant "qui ne vient pas de la Terre").

Je valide.
J'ai bien apprécié ce roman alors que d'habitude, je n'aime que moyennement la science-fiction. J'aime en particulier la complexité et la richesse de l'univers même si au début j'étais un peu perdue avec tout le vocabulaire nouveau et les nombreuses informations servies au lecteur au début du roman. Mas au fur et à mesure, on comprend de mieux en mieux. J'avais peur de m'ennuyer à cause de la façon dont l'histoire est construite. En effet, le récit est entrecoupé des histoires de chacun des protagonistes et elles coupent forcément le récit principal. Mais en fait, c'est très bien conçu puisque les récits personnels arrivent toujours au bon moment et permettent d'affiner notre compréhension du monde. Les personnages sont tous très bien construits avec des personnalités complexes. Il y a beaucoup de mystère tout au long du roman et j'ai vraiment adoré ça. Les révélations n'arrivent que progressivement mais elles sont toujours bien dosées et au bon moment. La fin donne vraiment envie de lire la suite.

Est-ce que je peux m'inscrire à la consigne 63.b (couverture avec une famille) avec le tome 20 de The Promised neverland de Kaiu Shirai et Posuka Demizu ? Sur la couverture, on voit les personnages principaux qui ont été élevés ensemble dans un orphelinat et même s'ils n'ont pas de lien de sang, ils se considèrent tous comme les membres d'une même famille.

[Whale]

Bonjour !

Je viens m'inscrire à la consigne 108 avec "La Bête humaine" d'Emile Zola (naturalisme).

Lecture terminée. Mon avis :

Un roman que j'ai grandement apprécié ! C'est une oeuvre à lire au bon moment et par envie sinon on risque de passer totalement à côté.
Faisant partie de la série "Rougon-Macquart", ce tome est sombre, violent et dramatique. Zola montre la société en opposant la bestialité humaine (il utilise l'hérédité) et le progrès par le train. Ce dernier est continuellement présent, que se soit métaphoriquement ou physiquement. Il est décrit dans chaque scène et chaque paysage, ce qui le place au centre de l'intrigue avec des personnages gravitant autour (Roubaud, Séverine, Jacques, Flore, ...). En plus des métaphores, Zola utilise certains mythes à travers ses personnages (Éros et Thanatos, la gorgone, l'amazone, ...). Ces derniers sont liés par des crimes qui ont tous lieu au même endroit, dans le train ou à proximité.
Zola aborde ici différent thème avec talent comme l'adultère, la pulsion meurtrière, la politique et l'erreur judiciaire, l'amour, l'obsession, etc.
Aucun personnage n'est véritablement innocent car chacun possède ses vices et se laisse, à un moment donné, dominer par leurs instincts (vénaux, passionnels, pervers ou meurtrier).
Chaque détail est bien retranscrit, les personnages bien construits et les retournement de situation parfaitement maîtrisé. Seules quelques longueurs sont à noté.
Un roman noir, tragique et puissant.


Pas d'autres consignes pour l'instant.

[jukebox_fr]

Je m'inscris à la consigne 76c - Lire un livre primé dans les années 80 avec The color purple de Alice Walker qui obtient en 1983 le prix Pullitzer de la fiction et le National Book Award.

Je valide la consigne:

Un roman court mais émotionnellement très dur à lire. Les débuts dans la vie de Celie et de sa soeur Nettie ne sont vraiment pas tendres et résument ce qui pouvait arriver de façon fréquente à une personne noire, une jeune femme, qui plus est, et de condition sociale peu élevée, dans les USA des années 1900 à 1930. Le destin de ces deux soeurs est touchant, mais c'est surtout Celie, avec sa résilience, son intelligence du coeur, sa sagesse évidente et sa force tranquille, qui porte ce livre. Il y a une telle justesse qui s'en dégage, qu'une fois la période la plus malheureuse de ces vies dépassées (et la plus longue à lire tant la charge émotionnelle est difficilement soutenable sur plusieurs chapitres), on ne peut que se faire happer par la suite et croiser les doigts pour du meilleur et un nouveau départ aussi heureux que le premier a été atroce. Malgré l'écriture volontairement diminuée et truffée de fautes d'orthographe et de grammaire (petit frein à la lecture en VO, mais on prend le pas à force), on ressent toute la beauté de l'esprit qui la couche sur le papier dans un échange épistolaire poignant avec Dieu, puis avec cette soeur perdue de vue qui reste l'être le plus important d'une personne à qui on aura tout pris et qui aura trop longtemps fait passer le bien des autres avant le sien propre.
En bref, un très beau roman, très bien écrit, qui ne peut laisser indifférent et amène à réfléchir sur bien des points encore très sensibles de nos jours.

[Hanayu]

Je m'inscris à la
80 - Lire un des livres de la lecture commune de :
K-Novembre
Avec :
"Misery" de Stephen King

[jukebox_fr]

Si la dernière place de la consigne 22d - Lire un livre dont le titre contient le mot Magicien n'a pas été prise en cours de route, j'aimerais m'y positionner avec le manga The wize wize beasts of the wizarding wizdoms de Nagabe. Wizarding wizdoms se traduisant par Les sagesses ou prudences ou sagacités magiciennes, dîtes-moi si c'est bon pour cette consigne

[Cameron10]

Bonsoir, je m'inscris pour la dernière place (normalement) de la consigne 108 - Lire un livre d’un grand mouvement littéraire avec Frankenstein ou le Prométhée moderne - Mary Shelley, qui s'inscrit dans le mouvement littéraire du roman gothique.

[Sherlocked_666]

Je continue avec la consigne 99-E : un personnage travaillant dans l'agriculture avec Une histoire des abeilles de Maja Lunde (le roman suit plusieurs générations d'apiculteurs).

Et je valide cette consigne !

J'ai du mal à admettre que ce livre a rejoint ma PÀL dès sa sortie et que j'ai attendu des années avant d'enfin l'ouvrir... Ce n'était pourtant ni l'envie ni la curiosité qui me manquaient !
"Une histoire des abeilles" nous livre trois histoires de vie au cœur desquelles les abeilles jouent un rôle crucial. De 1852 à une société post-apocalyptique en passant par le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles de 2007, Maja Lunde présente à ses lecteurs toute l'importance que ces petites bêtes revêtent dans notre système écologique.
J'apprécie beaucoup les œuvres qui mettent progressivement en relation des protagonistes évoluant dans divers lieux ou époques, et d'autant plus lorsqu'elles permettent un savant mélange des genres (ici, on oscille entre roman historique, roman contemporain et anticipation/post-apo'). Le lien entre William, George et Tao est ma foi fort bien tissé et ne semble aucunement artificiel. Qui plus est, leurs histoires personnelles tiennent tout à fait la route dans leur individualité - même si elles auraient toutes trois mérité d'être appronfondies.
Ce roman transmet un message fort mais peut-être pas suffisamment martelé, surtout vers la fin. J'imagine très bien qu'un plaidoyer écologiste aurait pu rebuter une partie du lectorat mais c'est aussi précisément ce qui rend cet ouvrage si intéressant. Sachant qu'en sus des problématiques liées aux abeilles, chaque protagoniste doit faire face à divers déchirements et autres soucis intimes touchant profondément à sa cellule familiale, à ce que chacun et chacune a de plus précieux (en-dehors des abeilles). D'une certaine façon, cette mise en scène permet de donner une autre portée au message écologiste : en préservant la planète, nous assurons de bonnes conditions de vie à nos descendants. En faisant preuve d’égoïsme et en s’abstenant de réagir dès que possible, nous les exposons à de terribles conséquences que l'autrice a ici imaginées.
En somme, j’ai bien apprécié ce triptyque aussi dramatique que porteur d’espoir. Pas vraiment de suspens, les chutes sont assez prévisibles, mais la progression reste fluide et le fond percutant. Une bonne lecture qui ne manque pas d’atteindre son but si tant est que le lecteur est prêt à être sensibilisé à ces thématiques-là.

[Sherlocked_666]

Je prends l'une des dernières places pour la consigne 126 : un livre controversé/censuré avec Le diable au corps de Raymond Radiguet (la mise en scène d'une relation adultère sulfureuse dans le dos d'un époux mobilisé au front a été considérée comme une grave atteinte au respect sacré dû au soldat).

[Cameron10]

Bonsoir, je m'inscris pour la dernière place (normalement) de la consigne 108 - Lire un livre d’un grand mouvement littéraire avec Frankenstein ou le Prométhée moderne - Mary Shelley, qui s'inscrit dans le mouvement littéraire du roman gothique.

Consigne validée !

J'ai beaucoup aimé la plume de Mary Shelley, qui rend très bien les émotions de Frankenstein et de sa créature, exacerbées par les descriptions de paysages grandioses sur lesquels sont projetées les sensations, aussi bien la félicité que l'angoisse et l'horreur. Si l'intrigue n'offre pas vraiment de suspense car la plupart des événements sont prévisibles, elle est originale pour l'époque et très intéressante (à l'exception de la deuxième partie qui traînait un peu en longueur à mon goût).

J'ai eu du mal à supporter le personnage principal : je l'ai trouvé égocentrique, cruel et injuste. Il passe son temps à s'apitoyer sur son sort alors qu'il ne peut s'en prendre qu'à lui-même ; il est parfois franchement stupide car il s'étonne de certains événements alors qu'ils étaient complètement prévisibles vu son comportement lâche et inconscient. À l'inverse, j'ai éprouvé beaucoup plus de pitié, de compassion et de compréhension envers sa créature. Je m'y suis un peu identifiée et j'y vois une leçon de morale sur la cruauté et l'injustice des humains, qui font souffrir d'autres êtres vivants et s'étonnent quand ceux-ci réagissent inévitablement mal.

Je suis ravie d'avoir enfin découvert l'œuvre originale de ce mythe dont j'avais tellement entendu parler mais dont je ne connaissais pas exactement l'histoire et qui s'est révélée bien plus profonde que je ne l'imaginais.

[Shamandali3]

Bonjour,
Je m'inscris à la consigne 134d - Lire un livre qualifié de “Beau livre” : Autre avec Les Secrets des Dieux Egyptiens de Suzon Lacroix, Alea Lefevre & Diana Callico.

[tyka]

Coucou

S'il reste une place je m'inscris à la consigne 126 - Lire un livre polémique / controversé / censuré :
►L'Amant de Lady Chatterley de David Herbert Lawrence

[Wonderbooks]

Si la dernière place de la consigne 22d - Lire un livre dont le titre contient le mot Magicien n'a pas été prise en cours de route, j'aimerais m'y positionner avec le manga The wize wize beasts of the wizarding wizdoms de Nagabe. Wizarding wizdoms se traduisant par Les sagesses ou prudences ou sagacités magiciennes, dîtes-moi si c'est bon pour cette consigne

Alors, j'avoue que j'hésite parce que "wizarding", c'est plus un adjectif qu'un nom dans le contexte, non ? Cela dit, c'est la même racine.

Je vais attendre que Angel89 et ptitflora donnent leur avis.

[jukebox_fr]

Si la dernière place de la consigne 22d - Lire un livre dont le titre contient le mot Magicien n'a pas été prise en cours de route, j'aimerais m'y positionner avec le manga The wize wize beasts of the wizarding wizdoms de Nagabe. Wizarding wizdoms se traduisant par Les sagesses ou prudences ou sagacités magiciennes, dîtes-moi si c'est bon pour cette consigne

Alors, j'avoue que j'hésite parce que "wizarding", c'est plus un adjectif qu'un nom dans le contexte, non ? Cela dit, c'est la même racine.

Je vais attendre que Angel89 et ptitflora donnent leur avis.

Je me suis permis de le proposer car dans l'intitulé de la consigne il est question du mot (pluriel et/ou fémin acceptés) et pas spécifiquement d'un nom

[ptitflora92]

Si la dernière place de la consigne 22d - Lire un livre dont le titre contient le mot Magicien n'a pas été prise en cours de route, j'aimerais m'y positionner avec le manga The wize wize beasts of the wizarding wizdoms de Nagabe. Wizarding wizdoms se traduisant par Les sagesses ou prudences ou sagacités magiciennes, dîtes-moi si c'est bon pour cette consigne

Alors, j'avoue que j'hésite parce que "wizarding", c'est plus un adjectif qu'un nom dans le contexte, non ? Cela dit, c'est la même racine.

Je vais attendre que Angel89 et ptitflora donnent leur avis.

Alors après grosse recherche wizarding est aussi un nom et sa définition : The magical work of a wizard; sorcery, witchcraft Donc ça ne se traduit pas vraiment par magicien. Tu traduits par les sagesses magiciennes, je pourrais dire que c'est les sagesses magiques. Et en fait si je traduit le titre je dirais un truc du genre "La très sage bête de la magique Wizdoms" (parce que pour le coup Wizdoms est le nom de l'école).

Donc pour moi ça passe pas. Désolée

[ptitflora92]

Est-ce que je peux m'inscrire à la consigne 63.b (couverture avec une famille) avec le tome 20 de The Promised neverland de Kaiu Shirai et Posuka Demizu ? Sur la couverture, on voit les personnages principaux qui ont été élevés ensemble dans un orphelinat et même s'ils n'ont pas de lien de sang, ils se considèrent tous comme les membres d'une même famille.

Oui c'est bon.

[ptitflora92]

MAJ jusqu'ici

[tyka]

Coucou

S'il reste une place je m'inscris à la consigne 126 - Lire un livre polémique / controversé / censuré :
►L'Amant de Lady Chatterley de David Herbert Lawrence

je valide
mon avis : à notre époque, il n’aurait pas fait polémique nous avons eu les « cinquante nuances » et bien d’autres. La publication du livre a provoqué un scandale en raison des scènes explicites de relations sexuelles, de son vocabulaire considéré comme grossier et du fait que les amants étaient un homme de la classe ouvrière et une aristocrate. Je retiendrais surtout l’obsession de l’auteur sur la différence de classe sociale, on sent que l’auteur tient son sujet d’actualité pour l époque. Un roman qui pourtant n’a pas grand intérêt, l’écriture est très lourde, le style narratif absolument pas digeste. Des personnages principaux pas très intéressants, surfaits. L’histoire est longue, une grande partie est répétitive, et autant dire que l’auteur aime les stéréotypes. Tit moment de lecture.

[tyka]

hello

Je m'inscris à la consigne 80 - Lire un des livres de la lecture commune de :
k. Novembre :
►Salem de Stephen KING

[Cameron10]

Pareil, je m'inscris à la consigne 80k - Lire un des livres de la lecture commune de novembre mais avec Les Montagnes hallucinées - H. P. Lovecraft.

[Sherlocked_666]

Je prends l'une des dernières places pour la consigne 126 : un livre controversé/censuré avec Le diable au corps de Raymond Radiguet (la mise en scène d'une relation adultère sulfureuse dans le dos d'un époux mobilisé au front a été considérée comme une grave atteinte au respect sacré dû au soldat).

Je valide cette consigne !

Un récit qui a fait jaser après sa publication, et à raison : il présente la guerre comme la condition du bonheur du narrateur qui s'engage dans une relation avec une jeune femme dont l'époux est mobilisé.
Malgré les atteintes qu'il porte à la morale bourgeoise et à la figure sacrée du combattant, "Le Diable au corps" a rapidement rencontré un succès phénoménal. Pourquoi ? Après quelques recherches, il semblerait que le talent de Radiguet n'en soit pas l'unique raison. Son roman semble avoir été largement vanté à travers des publicités reposant majoritairement sur le jeune âge de cet "enfant prodige" de la littérature, ce nouveau Rimbaud qui devient avec ce "chef-d'œuvre" "le plus jeune romancier de France". Sans compter le fait que sa mort fulgurante survenue l'année de ses vingt ans n'a fait que renforcer le mythe du jeune génie (maudit ?) dont on l'avait déjà entouré...
À partir de là, que dire au sujet de ce premier roman ?
Difficile de cerner les intentions de l'auteur, lesquelles je soupçonne d'être bien plus profondes qu'il n'y paraît de prime abord. Il s'agit certes d'un récit largement autobiographique mettant en scène la relation d'un mineur et d'une toute jeune adulte dans le dos de son mari qui se retrouve au front malgré lui. C'est une liaison ma foi sulfureuse avec sa part de toxicité, le jeune narrateur étant un personnage plutôt hautain voire méprisant. Il se plaît à expliquer les obscurs mécanismes de l'amour comme s'il les avait pu étudier des années durant, il fait primer l'égoïsme sur la raison, se positionnant à la frontière entre le héros et l'anti-héros, il veut jouer les grands et se pavaner dans la cour des adultes mais reste finalement un enfant parfois moins mature qu'il ne voudrait le paraître. Je pensais le comprendre jusqu'au moment où il a commis l'irréparable avec la pauvre Svéa. Ce n'était pas une scène graphique à proprement parler mais l'absence totale de remords et la cruauté du raisonnement du narrateur pendant son acte m'ont complètement retourné. La rupture entre lui et moi a été définitive à partir de ce moment-là. C'est finalement le pauvre Jacques qui a récolté toute ma sympathie.
Maintenant, je serais bien curieux d'apprendre les intentions de Radiguet. Était-il aussi machiavélique que le narrateur ou a-t-il construit un jeune esprit aussi vil à dessein ? Une explication à ce sujet pourrait sans doute aider certains lecteurs et lectrices à se faire un avis plus tranché sur leur lecture, l'auteur et le narrateur ayant ici tendance à se confondre assez facilement. Et j'ose espérer que ce n'était pas vraiment le cas mais simplement un exercice de style.
Pour conclure, je peux confirmer que Raymond Radiguet est vraiment un jeune auteur incroyable. Sa plume délicate, son ton parfois cynique et la justesse de ses analyses psychologiques m'impressionnent à chaque fois que je le lis. Je regrette sincèrement qu'il n'ait pas eu le temps de nous offrir d'autres chefs d'œuvre car j'en veux encore...

[Sherlocked_666]

Et je suis le mouvement en prenant une place pour la consigne 80-K : un livre de la lecture commune de novembre avec Salem de Stephen King !

[Hanayu]

Je m'inscris à la
80 - Lire un des livres de la lecture commune de :
K-Novembre
Avec :
"Misery" de Stephen King

LU

Une claque ahurissante.
Au programme : Partie d'échecs mental (où c'est la folie qui gagne), Double roman (Chapeau), une Lettre N (et autres réfractaires), des montagnes russes émotionnelles et des "Biscornouille" en veux-tu en voilà.
La montée se fait crescendo et nous pétrifie.
La primo apothéose ?
Fin de la partie II ...oh gosh !!!! Je savais qu'elle aurait son rôle quant il la voit dans l'établi...ce que n'a fait que confirmer Pomeroy mais aaaaaaaah ! Quelle scène hard. :'O
Et ce n'est pas la pire à laquelle vous assisterez...le gâteau d'anniversaire soulève le cœur...qu'il vaut mieux avoir bien accroché pour la suite !! (Oh bon sang la tonte à la Wilkes...Oo)

Annie est glaçante. Elle nous maintient dans son giron avec effroi. Paul dont on comprend qu'il était quelque peu (lol) imbu de sa personne "avant" nous est d'entrée plus que sympathique (empathie par la situation malsaine dans laquelle il se trouve, mais surtout par son cerveau aiguisé d'écrivain). On est bluffé par les moyens qu'il mets en œuvre, les risques qu'il prend, la maîtrise qu'il garde au maximum (sauf quand c'est au-delà de l'immaginable) survie oblige.
C'est la bataille du pot de terre (pas si fragile) contre celui de fer (bourré de failles)...où les rôles bien que définis sont floutés...surtout dans les partie I et II relativement calmes avant de sombrer brutalement !!

Les allégories, les images utilisées, la police d'écriture, la ponctuation même...l'ensemble est ciselé, travaillé de façon impeccable.
Le dérangeant nous happe complètement ! Impossible d'imaginer pire ? Il nous tombe dessus rapidement. (L'album des faits d'armes est...pfiou !)

On ne peut s'empêcher de continuer. La plume (bien connue à raison ) est additive en diable...et on veut connaître l'avancée du prochain pion entre ces deux protagonistes marquants !

La façon dont le calvaire prends fin ? Lisez pour le savoir.^^

[Lyra27]

Bonjour,

Je m'inscris à la consigne 5 avec "La Farce de Maître Pathelin", anonyme.

[Melaina]

Bonjour,

Je participe à la consigne 80. g. Lire un des livres de la lecture commune de juillet avec La Petite Boulangerie du bout du monde de Jenny Colgan (lecture commune de juillet 2017)

[tyka]

hello

Je m'inscris à la consigne 80 - Lire un des livres de la lecture commune de :
k. Novembre :
►Salem de Stephen KING

je valide
Mon avis : waouh ! Quelle lecture…. pour me situer, si je regarde un film d’horreur, je suis celle qui se cache derrière un coussin lorsque ça devient trop oppressant (vous voyez le genre). Compliqué à faire quand on se lance dans une version écrite d’une histoire d’horreur, sans compter que je lis essentiellement la nuit (angoisse). Mais passons…Le contexte est bon, l’endroit tout trouvé, une petite ville de la Nouvelle-Angleterre, des personnages stéréotypés mais bien décrits, l’écrivain, l’alcoolique, la jolie fille, l’enfant disparu… et la ville en elle-même, place importante dans le récit avec ses habitants et les zones d’ombres qui planent tout autour. L’angoisse monte crescendo, c’est pesant, j’ai été épaté par la façon dont l’auteur oriente les peurs qui existent en nous. Stephen King nous tient vraiment en haleine à compter du 2/3 de notre lecture (pour ma part). J’ai aimé le côté traditionnel de ses vampires, fidèles à la genèse de Bran Stoker « Dracula », et avouons-le ils ne sont pas des gravures de mode. Une fin intéressante J’aime la façon dont c’est légèrement ouvert à l’interprétation de chacun. Une lecture qui va me suivre encore quelques jours.

[Lyra27]

Bonjour,

Je m'inscris à la consigne 5 avec "La Farce de Maître Pathelin", anonyme.

Je valide !
Mon avis : Une farce du Moyen-Age. Maître Pathelin, un filou, avec la complicité de sa femme, fait du drapier la victime de ses mauvais tours. Ce n'était pas inintéressant mais je pense qu'il faut voir ce genre de pièce jouée pour pouvoir en rire. La pièce est une belle satire de l'époque, particulièrement des médecins et de la justice.

[Pegh]

Bonsoir !

Je m'inscris à la consigne 89c - Lire un livre se déroulant en Amérique Centrale, avec Paradis perdu de Shira Anthony, qui se déroule en République Dominicaine.

@+
Pegh

[mistinguette60]

Bonsoir,

Je m'inscris à la 22d avec "Les Magiciens, Tome 1" de Lev Grossman.

Merci

[Pegh]

Bonsoir !

Je m'inscris à la consigne 89c - Lire un livre se déroulant en Amérique Centrale, avec Paradis perdu de Shira Anthony, qui se déroule en République Dominicaine.

Une lecture mieux que ce à quoi je m'attendais au regard de la couverture un peu kitsch...
La République Dominicaine est plutôt bien vendue : les scènes de plongée donnent carrément envie, sans parler des plages et du sable fin.
Jonah et Adam rendent tout ça meilleur encore, bien que tout ne soit pas simple pour eux.
Un bon moment donc...

@+
Pegh