Coucou
Super je prends note et vais me les procurer au plus vite. Merci.
Décidemment l'auteure aime bien nous perdre avec sa liste de personnages
Coucou
Et ses 12 tomes par cyclesRuriko a écrit : ↑dim. 21 nov., 2021 10:57 pmCoucou
Super je prends note et vais me les procurer au plus vite. Merci.
Décidemment l'auteure aime bien nous perdre avec sa liste de personnages
On a eu raison de réclamer notre Bonus au tour précédent, je m'en doutais qu'on allait se faire dépasserCameronOBrien a écrit : ↑lun. 22 nov., 2021 9:19 amBonjour tout le monde,
Félicitations aux réformateurs qui ont enfin réussi à mettre des bâtons dans les roues aux traditionalistes, comme quoi la persévérance paye ! Et bravo aux Grinch qui prennent une petite revanche personnelle en finissant premiers de cette session
Les Santa reperdent donc leur avancée gagnée lors de la précédente session et retournent à égalité avec leurs coéquipiers.
Bonne lecture à tous, on entre dans la dernière ligne droite alors ne lâchez rien !
Une lecture plutôt agréable - si tant est qu’il est possible de dire cela concernant un roman d’horreur ?
King est un véritable maître dans l’art de placer son personnage principal dans un lieu empreint de mystère et d’en conter la vie quotidienne à l’horreur grandissante au fil des jours, même s'il tend à recycler son schéma de l'auteur veuf qui s'installe dans une petite bourgade et y rencontre une jolie nana, un drôle d'enfant, un type bourru...
C’est un récit de vampires comme je les aime, moderne tout en étant fidèle aux classiques du genre. Moi qui suis très friand de vampirisme mais pas très amateur de ce que la bit-lit en a fait, j’ai été ravi ! Je suis peut-être même trop habitué au genre car je n’ai pas trouvé ce roman si effrayant que ça. Je ne suis pourtant pas insensible à l'horreur de manière générale, je dirais même que j’ai la frousse très facile, mais je suis sans doute quelque peu immunisé aux morsures de vampires…
La progression se fait lentement, pesamment, et les pages défilent presque malgré elles tant le dénouement se fait désirer.
Un très bon roman de King et une très belle appropriation du mythe sans le dénaturer !
Un classique que je n'ai pas eu l'occasion de lire à l'école contrairement à beaucoup de personnes. Il était donc grand temps que je m'offre enfin l'opportunité et surtout le plaisir de découvrir cette histoire vraie. J'ai passé un bon moment empli de nostalgie en me rappelant les anecdotes que mon grand-père me racontait parfois concernant son enfance pendant la guerre et les actions militantes et résistantes dans lesquelles il se retrouvait impliqué. Suivre l'histoire et les événements du point de vue d'un enfant est très enrichissant, d'autant plus que la narration n'est pas bien naïve - au contraire, le protagoniste gagne très rapidement en maturité malgré lui.
Une belle découverte et un témoignage précieux. Espérons que les musettes resteront au grenier pour toujours...
Un drôle de livre mettant en scène une violence certaine entre deux bandes rivales. J'ai trouvé cette rivalité extrême bien plus triste qu'amusante. Même si les liens amicaux unissant les membres de chacune des coalitions sont touchants, la cruauté avec laquelle ils se bagarrent m'a fortement déstabilisé.
J'ai un peu plus apprécié la description de l'atmosphère qui régnait dans cette campagne française avec ses conflits entre villages et communautés bien portés par l'emploi d'un patois authentique et parfois déstabilisant (notamment en ce que l'utilisation des guillemets était approximative). Un triste rappel également des emportements fréquents de la part des parents qui éprouvaient bien peu de scrupules lorsqu'il s'agissait de lever la main ou le bâton sur leur enfant...
Je connaissais déjà bien les diverses adaptations cinématographiques, celle de 1962 m'ayant donné envie de mener ma propre guerre lorsque j'avais dix ans, mais ces conflits prennent une dimension différente une fois observés avec un œil plus mature. L'histoire en elle-même, par ailleurs, est bien moins vivante voire répétitive de par l'enchaînement stratégies - affrontement - retour à la maison. On retiendra toutefois l'anticipation de la guerre de 14-18 où les balles et les baïonnettes prendront la place des cailloux et des bâtons.
Un bref ouvrage ma foi plutôt intéressant qui propose une analyse critique des conflictualités de classe, de race et de sexualité dans la culture visuelle (pour ne pas dire pornographique) gay contemporaine. À certains degrés, on se retrouve en effet avec une culture où les fantasmes et les représentations transpirent les tensions coloniales, la précarité socio-économique et la racialisation. L'approche des auteurs au sujet des productions sulfureuses labellisées « ethniques » est très instructive : tourisme de classe, hiérarchisation des différences, assimilation des hommes "exotiques" à la pauvreté de leur pays, à des "racailles" ou des "voyous", à la fonction d'hétérosexuels obligés de se prostituer... Il y a peut-être bien une volonté de montrer la variété des identités gays mais force est de constater qu'elle est parfois portée par l'érotisation de la différence avec toujours une forme d'infériorité de ces identités non blanches. Certaines catégories de porno gay seraient donc de dignes héritières du regard colonial ? Il semblerait bien.
À partir de là, il serait sans doute intéressant de se pencher sur les formes d'auto-représentations produites par les minorités en question.
Ce n'est clairement pas le genre de livre que j'ai pour habitude de lire mais le dépaysement a parfois du bon. Certaines histoires étaient franchement bizarres : je ne m'attendais pas à tomber sur un conte mettant en scène la personnification d'un pet (mais il y avait évidemment une certaine morale derrière cette mise en scène pour le moins surprenante).
D'autres textes étaient plus parlants, je pense entre autres à « La justice de Qarâqoûch » qui, d'une certaine façon, dénonce la nécessité de trouver un coupable même innocent pour la forme, peu importe qu'il ait ou non commis un quelconque délit et que le réel fautif soit encore en cavale.
Une lecture rapide mais sans prise de tête.
Comme diraient les conteurs, "l'oiseau s’est envolé et je vous souhaite une bonne soirée".
Un recueil plutôt sympathique qui permet de découvrir des contes inédits comme d'autres plus semblables à des textes que nous connaissons déjà. Il était cependant quelques histoires assez perturbantes de par l'évocation assez graphique de pratiques cannibales.
Encore un tome doux (et doudou) bien qu'abordant quelques thématiques aussi délicates qu'importantes (les troubles alimentaires, la question du coming-out et de l'outing, le harcèlement scolaire...) qui sont traitées de manière assez légère afin que le tout reste très feel-good. Toujours aussi plaisant et réconfortant !
Pain arrive enfin sur Konoha et se retrouve face à des ninjas que l'on n'avait pas vus depuis un petit bout de temps... jusqu'à ce que Naruto débarque, plus que jamais prêt à en découdre !
Le style graphique, très agréable et réaliste, correspond tout à fait au contexte qu'il décrit. La progression de l'intrigue est assez lente mais se justifie par les longs discours de Pline qui visent à restituer certains passages de son "Histoire Naturelle" à travers des dialogues. Et je dois admettre que c'est plutôt bien fait. Le fait que le lecteur puisse facilement s'identifier au jeune Euclès qui l'accompagne et apprend de lui en permanence est un bon point fort selon moi. Il reste cependant quelques incohérences historiques qui auraient facilement pu être évitées (comme la cohabitation de Néron avec son amant Sporus, qu'il n'a fréquenté que quelques années après les événements relatés dans ce manga)
Un manga assez déroutant de prime abord mais qui m'a plutôt envoûté de par les thématiques qu'il aborde - certaines se trouvant d'ailleurs quelque peu au centre de ma propre vie actuellement.
Finalement, ce n'est rien de plus que l'histoire de jeunes gens en proie à de furieux doutes quant à la manière dont ils entendent mener leur vie : quel avenir professionnel doivent-ils embrasser ? quelle place réserver à leurs passions ? doivent-ils abandonner leurs rêves au profit d'une situation stable ? quid de leurs relations de couple ?
C'est une histoire bouleversante qui pourra toucher un grand nombre de lecteurs et lectrices tant elle est, finalement, parlante et commune. C'est le malaise que l'on ressent lorsqu'il est l'heure de devenir adulte et d'assumer tout un lot de nouvelles responsabilités dont on ne veut pas. Une histoire pleine de nostalgie mais porteuse d'espoir.
Un yaoi qui se veut original de par la confrontation entre les civilisations japonaise et aborigène mais reste finalement assez bateau. Le style graphique est en revanche très beau et Qaltaqa est tout simplement magnifique.
C’est un très beau livre qui présente des illustrations de grande qualité. J'ai beaucoup apprécié y retrouver des œuvres d'artistes qui figurent parmi mes préférés, notamment les tableaux grandioses de John Martin. Je déplore toutefois la brièveté des commentaires apportés par l’auteur qui (à mon goût) ne pousse pas suffisamment l’analyse des tableaux qu’elle décrit. De la même manière, les propos introductifs sont très brefs et la contextualisation du sujet bien trop concise malgré la complexité du sujet. Je regrette également l'absence de conclusion ou de synthèse en fin d'ouvrage.
Très bonne lecture.
Pour le coup, les choses mettent un peu de temps à se mettre en place, mais une fois que l’on comprend où veut aller l’auteure, et ce que signifie le titre, c’est gagné, on ne s’arrête plus.
Je trouve que le Dernier Souffle a des petits airs d’Assassin Royal (c’est une remarque positive) : on suit un jeune orphelin au sein d’une cour médiévale, au service d’un vieux roi pas très en forme, et dont le prince est particulièrement détestable (d’ailleurs, je ne crois pas avoir autant haï un méchant depuis Royal).
Le concept du Dernier Souffle est une chose avec laquelle j’ai beaucoup de mal, c’est notamment ce qui m’avait fait arrêter l’Assassin Royal. Mais au final… c’était hyper prenant, c’est justement cet événement qui fait que l’histoire, sous ses airs de fantasy classique, est si particulière et originale, et je suis définitivement réconciliée avec le concept en question.
Je trouve d’ailleurs la quête identitaire de Wyl très intéressante : sous l’influence du Dernier Souffle, et à force de vouloir se fondre dans le moule, il se perd parfois lui-même, et il semble influencé, à plus ou moins grande échelle.
J’ai donc hâte de voir la suite de ce tome 1, dont la fin promet un changement de point de vue chez Wyl et sûrement (j’espère) une évolution plus sombre de sa personnalité. De plus, j’ai tout un tas de questions en réserve, sur Myrren, son père, Fynch, Filou…. et bon sang, comme je souhaite une mort sanglante et douloureuse à Celimus !
Wow, que d’émotions dans ce deuxième tome ! Un coup de coeur, je l’ai dévoré.
Le tome 1 était vraiment bien, bien qu’il mette un peu de temps à se mettre en place, mais la fin était insupportable, il fallait que je sache la suite. Alors j’ai enchainé. Et le tome 2 m’a tenue en haleine du début à la fin.
Le concept du Dernier Souffle est très original et fortement lié aux personnages : en effet, j’aime particulièrement en apprendre plus sur les personnages que Wyl « rencontre » sous l’influence du sortilège de Myrren, à savoir Romen et Faryl. A chaque fois, ce dernier laisse une trace sur la personnalité de Wyl, ce qui soulève nombre de questions, notamment sur ce qui semble désormais presque inévitable : que se passerait-il si Wyl « rencontrait » Celimus ? Que va-t-il arriver à Ylena ?
J’avais beaucoup aimé les gentils du premier tome, et j’ai aussi beaucoup aimé ceux du deuxième tome : Elspyth, Pil, dame Bench, Elysius, Valentyna, Gueryn, Aremys et bien sûr la famille Donal dans son ensemble, avec une petite préférence pour Crys et Aleda, bien qu’Alyd reste mon Donal numéro 1. Quant aux méchants… et bien Celimus, qui aurait cru que ce soit possible, est de plus en plus détestable. Voilà bien un méchant à l’esprit malade que tout lecteur espère voir tomber dans la souffrance. Je pense que c’est le « meilleur » méchant que j’ai vu, dans le sens où il est vraiment affreux et haissable.
Arrive ensuite l’intrigue, qui suit son cours… moi qui pensais que le pire était passé dans le tome 1, j’étais loin du compte : le tome 2 est au moins aussi atroce. J’ai pleuré au moins autant en lisant Le Sang que pour le Don. C’est un fait : Le Dernier Souffle est une série triste, dure, et assez réaliste je trouve. Rien n’est épargné aux personnages, mais c’est bien fidèle aux mentalités de l’époque choisie et de contrées médiévales comme Morgravia, Briavel ou les Razors.
J’ai hâte de découvrir la conclusion avec le tome 3. Malgré tout ce qu’ils subissent, j’espère que les personnages connaitront enfin la paix. Bien sûr, je m’interroge tout particulièrement sur les avenirs de Wyl et Fynch : il y a de nombreuses possibilités, comme le dit Fynch à la fin du livre, et il n’est pas dit que le Dernier Souffle doive forcément prendre fin avec Celimus.
une couverture magnifique et un concept intéressant, original et prometteur. Malheureusement je n’ai pas du tout apprécié les personnages, en particulier le protagoniste. Il se passe finalement peu de choses dans ce livre, et j’ai ressentie ma lecture comme particulièrement longue, alors que le livre n’est pas épais. Il y a un événement assez choquant que je n’ai pas apprécié : il n’est pas justifié par la suite, et le traumatisme qui devrait en découler n’existe pas, cela n’a finalement aucun impact sur l’histoire et sur le personnage… donc violence gratuite.
Comme beaucoup de récits imaginaires français que j’ai pu voir, il s’agit plus d’un livre pour faire réfléchir que pour passer du bon temps, du moins c’est ce que j’en ai pensé.
Enfin, un chapitre en particulier avait éveillé ma curiosité et m’avait lancé dans plein d’hypothèses et de parallèles avec le développement informatique. Au final, les réponses sont données comme ça, sans plus développer, j’étais assez déçue.
Une romance sympa à l’approche des fêtes de fin d’année, très drôle, et qui se lit vite.
Chloé, Lili et les notes de frais m’auront bien fait rire ! C’est typiquement le genre de livre qui fait du bien et qui change les idées. Ça me donne d’ailleurs envie d’aller découvrir la Savoie et ses pistes.
Il y a bien des situations tout sauf crédibles, mais c’est une lecture de détente et sans prise de tête, alors pourquoi pas ? L’important c’est de passer un bon moment, et j’ai vraiment passé un bon moment en lisant ce livre.
CameronOBrien a écrit : ↑lun. 22 nov., 2021 9:19 am
Total réformateurs : 2895 pts
Total traditionalistes : 2756 pts
Félicitations aux réformateurs qui ont enfin réussi à mettre des bâtons dans les roues aux traditionalistes, comme quoi la persévérance paye ! Et bravo aux Grinch qui prennent une petite revanche personnelle en finissant premiers de cette session
Les Santa reperdent donc leur avancée gagnée lors de la précédente session et retournent à égalité avec leurs coéquipiers.
La session 11 se terminera le 5 décembre à 20 h et un bonus important est mis en jeu :
Les deux meilleures équipes à la lecture avancent d'une case sur le plateau.
Les bonus polaires s'inversent puisque ce sont les Elfes qui récupéreront le plus gros score et les Jack qui auront le plus petit.
Bonne lecture à tous, on entre dans la dernière ligne droite alors ne lâchez rien !
Excuse-moi, j'ai complètement oublié de te répondre !Nocturis a écrit : ↑dim. 28 nov., 2021 2:39 pm Bravo les Grinchs
J'aurais une petite question concernant les points (oui je viens tardivement je le sais ) : j'ai remarqué une différence entre le score que j'avais calculé (103 points) et celui calculé finalement (101 points).
La différence provient-elle du beau livre ? Et si oui, comment aurais-je dû le calculer ?
Merci beaucoup en avance
BD en espagnolJe suis extrêmement déçue car ce livre est manifestement important pour beaucoup de gens mais je suis malheureusement passée complètement à côté.
Le sujet est évidemment plus qu'intéressant, encore plus à cause du fait qu'Amine, parfaitement intégré dans la société israélienne, est chirurgien et fait le choix de sauver des vies, ce qui rend encore plus choquant pour lui le geste de sa femme.
L'écueil principal pour moi a été l'écriture. le début et la fin vont à peu près malgré quelques bizarreries, mais j'ai trouvé le milieu horriblement mal écrit, truffé d'images complètement à côté de la plaque comme "Ses yeux s'arc-boutent contre les miens", "mon étreinte est si précautionneuse que ses épaules s'en contractent", et beaucoup d'autres, qui m'ont complètement empêchée de me concentrer sur le fond de l'histoire et qui ont fait que j'ai dû me forcer pour continuer.
Au-delà de cet aspect, j'ai trouvé que le livre apportait des pistes de réponses intéressantes mais je reste quand même sur ma faim, notamment en ce qui concerne le positionnement d'Amine face au conflit israélo-palestinien.
Je n'ai pas tout compris car je ne suis pas forte en espagnol mais cela ne m'a pas empêché de profiter de cette BD. La qualité des strips est inégale comme toujours mais l'ambiance globale qui en ressort est très chouette et il y a quelques perles.