Un texte à réfléchir...

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Siki6

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Un texte à réfléchir...

Message par Siki6 »

Avez déjà ressenti ce vide ? Le vide du cœur, de la vie, et de l’espoir…que d’un coup, tout ce qui nous semblais normal et beau disparaisse pour laisser place au vide…ce vide que l’on nomme comme ça sans raison car le vide est plein…plein de tristesse, de douleur, de regrets, de nostalgie…ce vide est remplis…Un vide qui nous entraine, nous ferai faire n’importe quoi . On se tuerait pour ne plus avoir ce vide…certain l’on fait…On ne peut pas connaitre la douleur du vide si on ne l’as pas déjà vécu…Il est là, à guetter chaque instant pour nous effondrer encore…et même quand on pense que ça va mieux, il revient, son arme ? La nostalgie…ce souvenir…qui nous encre dans la peur…Un souvenir que le vide a su déformer…le vide est puissant…il est capable de rendre douloureux notre plus beau souvenir, de nous faire douter de nos ami, de nous-même. Le vide nous entraine et nous faire chavirer d’un un océan de désespoir…il nous fait croire qu’aucun retour en arrière n’est possible…que tout restera vide à jamais et qu’il régnera sur nous…Quand l’espoir apparais il n’est jamais assez fort et le vide l’écrase d’un seul petit coup…en une pensée, en un souvenir, le vide fait tout disparaitre ne laissant plus place qu’a lui et sa bande. La vie est dur, le vide nous le rappelle chaque jours et sans réussir à se relevée et fini par l’aimer…on comment à s’habituer à a présence du vide…on se dit qu’on l’a mérité…que c’est normal qu’il soit là. Ce vide-là, celui qui nous détruit, il ne fait mal…pas seulement dans la tête… mais dans tout le corps…Il monopolise chaque centimètre de notre corps à notre insu… Nos mains tremblent, les jambes ne tiennent plus, le cœur se serre, et les pensées deviennent incontrôlable. Nous faisant pleurer pour tout et rien …le vide dirige jusqu’à ce qu’un jour l’espoir soit plus fort ! Qu’espoir écrase le vide. Et qu’on revive mais non sans la peur d’un jour retrouver le vide et qu’il réussisse à se ré infiltrer dans ce qu’on avait reconstruit…et que la boucle continue…le cercle infini de la vie…pas de peur sans l’ancien vide, pas d’espoir sans le vide…la vie est dur mais elle nous rends vivant…elle nous fait ressentir…peu importe ce qu’on ressent on sait. On vit ! Car on ressent…bien ou mal ? Peu d’importance car on vit !Et ceux qui redouterais la mort de doivent pas s’en faire…car aussi paradoxal que ça ne l’es…la mort nous fait vivre…La mort nous oblige à vivre, elle nous oblige à se dire que nous avons cette chance de vivre le temps que ça dure, que nous somme chanceux d’avoir pu être né et de pouvoir ressentir…La mort fait peur, elle fait peut être mal…mais surtout elle nous pousse…elle nous pousse à oser, à tenter à se dire qu’on as qu’un vie et que c’est la nôtre, que tout est possible. Aussi dingue que ça puisse être le mort est allier avec l’espoir…la vie n’est qu’un beau mensonge et la mort que triste réalité…La mort fait partie intégrante de la vie…En effet comment affirmer que l’on vit si notre existence n’as pas d’échéance ? N’ayons plus peur même si c’est dur…même si ça fait peur…même si ça nous terrifie d’imaginer que tout ce qu’on a ressenti finirai oublié…qu’on sera mort sans laisser de trace. Et qu’on finira surement oublié de tous les vivants…sans pouvoir penser ni ressentir…Une fois mort, plus de notion de bien ou de mal…plus de vide ni d’espoir…juste le vide…encore une fois, il nous a retrouver et cette fois ci c’est pour toujours…c’est pour toute l’éternité...Et le vide ne sera jamais de nous poursuivre…la seul solution est de l’accepter… Alors vivez…parce que la vie personne n’en sort vivant !
Elescya

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Re: Une réponse pour apaisée tes tourments.

Message par Elescya »

Nous ressentons tous ce vide, ce vide qui nous empoigné le cœur, qui nous submerge, dans chaques parcelles de notre vie. L'espoir et ce qui nous permets de combattre, combattre ce vide qui nous empêche de respirer.

Nous devons emplis se vide, d’images, d’odeur envoûtant qui nous permettent de le cacher au plus profond de notre être. Le cacher au plus profond de nous avec la force de notre imagination, lui enlever se pouvoir que nous lui avions donner. L’empêcher d’avoir une emprise sur nous, cette emprise qui le pousse à nous démolir de l’intérieur. Cette démolition qui nous empêche de voir clairement ce qui nous entouré, ce qui nous fait aimer la vie.

La nostalgie est le démon intérieur que l’homme a créé, pour faire passer l’ennui. Un fruits de douleurs et d’amertume que nous seuls percevons. Nous voulions chasser l’ennui, trouver une faille à nos penser. Nous ne savions juste pas, qu’il serait notre destruction. Il rend douloureux nos souvenirs, seulement par l’ennui d’un évènements ou d’une personnes. Plutôt que de le chasser en s’occupant l’esprit, nous lui laissons l’opportunité de faire les dégâts qu’il souhaite.

Le vide nous entraînent dans un océan de désespoir, seulement parce que nous envoyons l’eau dans notre directions et non, la sienne. Il ses incrusté tellement profondément dans les esprits, que beaucoup le perçoivent comme le reflet de nous-mêmes.

L’espoir n’est pas assez fort, parce que l’humain aime avoir mal. Ce consacrer à la douleurs demande moins d’énergie que de la combattre. Perpétuel cheminement que chaques être humains doit traverser, que seul les braves peuvent franchir.

La vue est dure, parce que nous avons décider de ce compliquer la tâches l. Les plus belle réussite sont celles qu’on ne prévoit pas d’avance, souvent la ligne droit n’est pas forcément aussi droite que ce qu’elle laisse paraître.
Il monopolise chaques centimètre de notre corps, parce qu’on lui donne la force de nous détruire. Les pensées deviennent incontrôlable, parce qu’on lui donne la chance de prendre le dessus. Nous pleurons de la solitude, parce que nous combatton à l’aveugle.

Lorsqu’on décide de le faire faire chaques petites victoire compte. Chaques petits centimètres, qui le rapproche de se renfermer dans son trou et un pas de plus vers la libération. Ne pas abandonner, ne pas le laisser revenir et le plus beau cadeau que nous pouvons offrir, à nous-mêmes.
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