Le jeux des images (une image -> un texte)

[Emma974]

ça fait peut être longtemps que tu as posté ce texte mais je viens de le découvrir et je trouve l'idée génial et ton texte est superbe. Si je peux te demander un petit truc : je suis fan de danse peux tu me créer un texte avec une image de ton choix si ça ne te dérange pas merci beaucoup

[Emma974]

Loin de toi,
A chaque pas.
Retrouvailles
Malheureuse
Envole toi dans une larme.

[Emma974]

Mon secret à moi je l'ai bien gardé
A coté de moi tu ne l'as pas trouvé
Si bien caché, jamais trouvé
Quatre, trois, deux, un ...
Un secret bien caché trahi par deux yeux et une bouche
En effet j'étais là mais tu ne m'a pas trouvée

[Emma974]

http://booknode.com/forum/download/file.php?id=127703

Bien qu'elle les tienne
A chaque souffle
Lunatique au soleil
L orsque qu'il se lève
Observer et orienter sans
N'en laisser aucun s'envoler

[Emma974]

Parti sans rien dire
Rien ne l'étonne, elle était prête
Inscouciante ne regarde pas
Seule ici, tu creuses
Oubliée au fond de ton enfer étroit
Nul ne viendra
Nul ne te verra
Ici ne désespère pas
Etroit chemin sans fin
Retourne d'où tu viens
Evole toi de ta cage, prisonnière....

image la fille dans la cage

[Emma974]

pouvez vous me dire sur mon mur ce que vous en avez pensé, merci. Je pensé aussi faire pour celles et ceux qui veulent des poèmes du même style avec le mot que vous choisissez donnez moi vos avis ou vos mots merci encore

[OliviaRUN974]

Voici un petit texte sur cette photo désolé s'il y a des fautes, :

Elle était encore insouciante, naïve. Ses cheveux volaient à chacun des mouvements de la balançoire. Son sourire éclairait son visage enfantin. Ce sont des moments comme cela, que tout enfant souhaite connaitre dans son enfance.
Elle était heureuse entouré de parents aimants. Jusqu'au jour où tout à basculé, papa est parti, maman déprimait, et elle, elle devait, à dix ans, s’occupait de sa maman qui s'enfonçait de jour en jour. Elle n'avait que treize ans lorsque maman est parti. Elle était seule. Les jours de la jeune fille se firent de plus en plus sombres. Elle n'avait plus d'avenir, rien qui ne la retenait ici. La jeune fille repensait souvent à ce moment où son père et sa mère la poussait tout à tour car elle voulait aller toujours plus haut, pour toucher les nuages.
C'est avec ce souvenir en tête qu'elle partit rejoindre sa mère

[Emma974]

Comme à chaque fois je l'ouvre sans jamais le fermer
Ouvert à tous le monde
Enfermer dans un petit espace
Une personne en brise le tour
Rien ne reste, il est de nouveau brisé

image du coeur rouge brisé

[Emy-Lou]

une autre image laissez vous guidez par votre inspiration

[Jay117]

Je t'ai regardée, de l'autre côté de la vitre.
Tu ne m'as pas vue, pas reconnue. Cela faisait trop longtemps. Mais moi, je n'ai jamais oublié ton visage...
On n'oublie pas les choses comme ça, on n'oublie pas qu'on a été abandonnée... Jamais.
Quand je t'ai vue, j'ai cru rêve, mais c'était bien toi, dans ton manteau beige cintré à la taille, avec, agrippée à ton bras, une petite fille. Elle me ressemble.
Cette fillette, elle m'a vue, et m'a fait un sourire, puis un signe de la main. Et elle est partie.
Je suis de nouveau seule, dans ce restaurant qui ne sert pratiquement que de la paëlla royale, sans ma mère. Sans cette petite fille qui doit être ma sœur.

[leaszecel]

Qui es-tu ? Qui es cette inconnue qui me regarde dans cette vitrine. Non, ce n'est pas moi. Ça ne peut être moi ! J'ai des cheveux courts d'un noir de jais, raide et brillant. Tu a des cheveux aux reflets cuivrés, ondulés. J'aime les choses avec de la beauté et les choses superficielles. Tu aimes la simplicités et les choses "avec une âme". Non, nous ne pouvons être jumelles. Car nous sommes des opposés pas des identiques. Alors, comment se fait-il que quand je regarde ce regard, je vois exactement le mien. Ces yeux yeux noisettes avec ces petits ovales plus claires, presque d'orées. Non, c'est impossible, à part moi personne n'as ces yeux qui ont dedans, comme on dit " les larmes d'un ange" ! Alors, serait-il possible que tu sois réellement ma jumelle ? Ma moitié ?

[Emy-Lou]

Bon alors je veux bien posté une images vue qu on me l'a beaucoup demandé mais vue que il y a seulement ue que deux textes sur l autre ( la jeune fille deriere la vitrine) vous etez toujours libre de la reposté dans votre réponse et d ecrire un textes dessu si elle vous inspire plus




voila :

[coco19]

La derniere image à pas l'air de beaucoup inspirer alors en voici une autre

https://www.facebook.com/textesapartirduneimage

[leaszecel]

Haha ! Je prends ça comme une blague mais non, se n'est pas le cas. La seule chose qu'elle ose encore me dire après c'est :
-Tout se dont j'avais besoin c'est d'amour !
Je rugis:
DE L'AMOUR ? DE L'AMOUR ?! Tu as... Tu AVAIS tout se que tu voulais, un voyage à Rome, à Venise, les bijoux,les vêtements... Mais je ne parle pas seulement de besoin matériel bien sûr. Je t'étais entièrement dévoué, fidèle, j'étais fou de toi et je le serais toujours si tu n'avais pas tout foutu en l'air. Mais non, Madame veut toujours plus, repousse toujours des limites qu'il ne faut pas. Mais cette fois si le non restera non ! J'en ai marre! Marre de perdre tous mes amis de ta faute, de devoir aller à toutes ses soirées mondaines débiles pour TOI, de devoir attendre des heures chez un charlatant car ton chien c'est foulé une patte mais surtout, SURTOUT de changer de ta faute ! Alors je te le dis: c'est fini, F-I-N-I.
Je chantonne presque.Elle essaye de bredouiller une répartie, ou peut-être des excuses. Mais je la coupe directe:
-Mais oui c'est ça, se n'est pas de ta faute c'est de la mienne et gnagnagna. La vérité c'est qu'il m'a fallu ceci pour comprendre que tu me détruisait. Alors tu sais quoi ? Tu vois ton bel Antonio ? Mais oui celui avec qui tu fais l'amour tous les mardis et un samedis sur deux ! Tu lui dira merci et bonne chance de ma part s'il te plaît. Merci de m'avoir ouvert les yeux sur se que j'étais devenu, non, sur se que tu m'as fait devenir, merci de me débarrasser de ma bête noire. Ah, et bonne chance avec sa nouvelle pompe à fric, sa nouvelle emmerdeuse, fausse bourgeoise et qui se prend pour quelqu'un qu'elle n'est pas et ne saura jamais être.
Elle me regarde avec des yeux comme des soucoupes et le rouge lui monte aux joues. Elle me rétorque d'un ton sec et plein de hargne:
-Tu te souviens de notre voyage pour fêter la première année où nous étions ensemble, il y a dix mois ? Eh bien je t'ai trompé avec ce superbe surfer qui venait des Antilles !
Elle me regarde, fière de sa réplique. Aucunement surpris je lui explique:
J'étais au courant mais je me suis dit que tu voulais juste être sur que tu m'aimes, que Dieu en soit témoin, quel con j'ai été !
Alors elle me ressort cette phrase qui me hérisse les poils des orteils jusque ceux de la nuque:
-Mais tout se dont j'avais besoin c'est d'amour !
Je lui impose de partir tout de suite. Juste avant qu'elle parte je lui dit comme adieux:
-Moi aussi j'avais besoin d'amour, mais il m'a fallu un an et dix mois pour comprendre que se n'était pas du tien, alors vas-t'en et adieu. Et je lui claque la porte au nez. Voilà la fin du chapitre Anissa. La première chose que je fais c'est de composé un numéro qui m'a accompagné depuis mes 12 ans et qui m'a cruellement manqué depuis s'est six dernier mois où elle m'a presque interdit de le revoir. A l'autre bout du fil j'entend une voix masculine qui répond:
-Allô ?
-Alors vieux débris près pour une nuit de folie ?
-... NON ?!
-Et si, je suis de retour !
-Et mademoiselle ? me répond la voix d'un ton amer légèrement masqué.
-Je viens de la virée à l'instant !
Un cri de joie me répond à l'autre bout du fil en m'assurant qu'il sera là dans les quinze prochaines minutes.
A la la ! J'ai enfin retrouvé Sam et notre rare complicité que peu de personnes comprennent. Mon meilleur ami !

[coco19]

Certains me prendront pour une cinglée, d'autres pour une éternelle rêveuse, d'autres encore ne me remarqueront même pas. Mais certains comprendront mon message, il leur ira droit au cœur et ils réaliseront l'insignifiance de leurs petits tracas quotidiens.
Dans un monde matérialiste dans lequel chaque centime dépensé ou gagné compte plus que toute autre chose, dans un monde où l'image donnée supplante notre véritable personnalité, dans un monde dirigé par l'argent et le pouvoir, il me semble nécessaire de rappeler ce qui compte VRAIMENT. Alors oui je me ridiculise peut être, assise ainsi, au milieu de la route avec ma pancarte ridicule, mais moi au moins je sais ce qui compte et ce sans quoi nous ne pourrions vivre. Moi j'ai des convictions et je les affirme, je les fais connaitre. Car oui, la seule chose dont nous ayons reellement besoin pour survivre c'est l'AMOUR.

https://www.facebook.com/textesapartirduneimage

[lilali13]

J peu participais ou pas?

[Amita]

Antoine.
Doux prénom que me souffle le vent.
Je t'aime. Ou peut-être pas. Ou peut-être plus.
Les lumières me guident comme de minuscules étoiles au creux du ciel.
J'ai peur, j'ai froid, et puis je fixe l'ampoule et je me concentre.
Et ça va mieux.
Installée au fond de mon petit cocon, protégée des cauchemars je pense à cet homme que j'aime.
Je me sens un peu mieux maintenant qu'il est dans am tête.
Je me sens plus légere, comme aspirée par la lumière, jusqu'à n'être plus qu'une petite ampoule.
Une étoile.
Antoine, je suis une étoile.

Il est super ton jeu, j'adore ça, m'inspirer des images pour écrire quand j'ai pas d'inspi'

[leaszecel]

Si ça n'inspire toujours personne, j'en ai une autre à vous proposer:

La vie, c'est un long voyage, en train par exemple. Un jour, j'ai rencontré une petite fille qui avait raté ce train. Elle n'avait pas raté sa vie, non, elle était juste passé à côté. Je posais les yeux sur cette petite fille, jouant sur les rails, dans sa petite robe rose bonbon tellement mignonne au milieu de ce monde gris et terne. Elle posa sur moi un regard perçant qui avait quelque chose de troublant, je n'arrivais pas à mettre le doigt sur ce petit détail. Elle me posa une petite question, qui en contenait plein d'autre:
-Dis, Madame, raconte-moi, c'est quoi ta vie ?
Je ne sus pas trop quoi faire, mais pour une raison ou une autre, je décidais de lui confier ma vie mais sans barrières, sans protections. Juste la vérité nue:
-Ma vie, ma chérie, commence avec mes parents. Mon père, jusqu'à mes 12 ans fût "convenable". Quelques mois après mes 12 ans, il vint une fois dans ma chambre, me glisser tout doucement à l'oreille de son haleine alcoolisée,"C'est pour bientôt ma chérie, bientôt", en disant ça, je sentis sa main descendre dans mon dos et s'attarder un peu trop sur mes fesses. Je tremblais de tous mes membres lorsqu'il referma tout doucement la porte, ses yeux injectés de sang, brillants presque dans le noir. Ma mère m'aimait plus que tout au monde et vice-versa et je le savais. Mais pour nous protéger autant l'une que l'autre, je me taisais et elle ne se doutait de rien. Jusqu'à une matinée où il me regardait d'une façon tellement répugnante que les larmes me montèrent aux yeux. Je ne compris que plus tard que ma mère avait surpris cet échange et tout de suite saisi que quelque chose n'allait pas. Moins d'une semaine après ça, une nuit, il entra dans la chambre et ses yeux étaient ceux d'un dément. Il s'assit sur mon lit et me découvrit. Il commença à déboutonner le haut de mon pyjama, avec ses mains tremblantes d'alcoolo. Avant qu'il ne puisse m'enlever ma veste de pyjama, ma mère entra dans la chambre et hurla presque, avec pourtant un calme effrayant:"Yve, viens TOUT DE SUITE dans la cuisine!"
Mon père étouffa un cri rageur et fit comme si de rien était mais je savais que ma mère savait. Avant de refermer la porte sur ce porc et sur elle même, elle me fit un sourire que je ne compris pas tout de suite. Je laissais tout éteint, connaissant ma chambre par cœur et la parcourait de long en large. Je vis un petit truc blanc avec des bords brillants. Notre papier préféré! Je le dépliais et me mis devant la fenêtre, la lumière de lune dégoulinant. Je lu ce qui me sauva la vie:
Ma toute, toute petite fille. Ou ma grande Jilly, si tu préfère. Si on commence à se disputer avec lui va chez les voisins et passe-y la nuit en leur disant que je viendrai te chercher demain.Ne t'en fais pas pour moi.Ils comprendront ne t'en fais pas. Je t'aime fort,fort. Plus que la lune, les étoiles, les trous noirs et toutes les galaxies, tu te souviens?
Ta maman qui t'aime et qui sait que tu l'aime, mon petit amour."
Des petits plocs plocs interrompirent mes pensées. Il ne pleuvait pas. Non, c'était des larmes. Les miennes Je restais assise sous mon appui de fenêtre jusqu'à ce que j'entende la plus violente des disputes que j'aie jamais entendue entre eux. Je passais un t-shirt, un jeans et enfilais mes vieilles baskets préférées que maman voulait jeter. J'ouvris la fenêtre et sautais par dessus bords. Heureusement, elle était au premier étage et à vingt centimètres d'un petit muret. Je sautais dessus et m'éraflais les mains. Je descendis le reste sans encombre et passais dans le jardin voisin du nôtre, celui de deux retraités très gentils et un peu gâteux avec les enfants, je les adorais. Je sonnais chez eux et entendis une voix de vieille dame crier:"J'arrive, j'arrive." Elle ouvrit et poussa un petit cri en voyant mes mains, puis un "Entre ma petite tu vas geler." Au lieu de dire ce que ma mère m'avait demandé de dire, je lui dis:
"Appelez la police s'il vous plaît, ma maman a des problèmes je crois."
Elle murmura un petit:"Mon Dieu Robert fais ce qu'elle dit s'il te plaît."
Lorsque j'entendis la sirène de police, je fondis en larme et Mme Harolska me berça en me donnant un biscuit fait dans la matinée et un verre de lait. J'engloutis tout et remarquais que j'étais parfaitement réveillée, bien qu'il soit pas loin de trois heure du matin. Un policier sonna à la porte et M.Harolska alla ouvrir. Ils échangèrent quelques mots à voix basse puis, on m'appela. La vieille dame me sourit et m'encouragea à y aller. J'y allais donc, incertaine et tremblante. Le policier, très bel homme et plutôt jeune, se découvrit et me dit avec les yeux humides: "Je suis désolé, ma petite."
Cinq mots. Qui résonneraient dans ma tête toute ma vie. A cet instant, des flashs me revinrent à l'esprit. Le petit mot, ma mère rigolant, une photo de mes parents quand mon père était... autre chose. Et le sourire que je n'avais pas compris sur le moment. C'était un sourire d'adieu. Des petites étoiles dansèrent devant mes yeux et j'eus la nausée. Une petite voix me cria à l'intérieur:
"Tu veux survivre? Débranche-toi. C'est le seul moyen. Pas d'émotions, pas de douleurs, ni d'amour, ni de peine."
Je répondis donc placide, les yeux parfaitement secs:
"Je vous en prie, monsieur, vous n'y êtes pour rien."
Je soupirais. J'avais un odorat plutôt développé et je sentis une odeur étrange provenant de ma maison. Je me faufilais entre le policier et la porte avant qu'il ait pu comprendre quoi que se soit et rentrais par la fenêtre du salon presque toujours ouverte. Les policiers ne penseraient pas que je serais là. Je sentais une odeur masquée, qui essayait d'entrer, étrange. J'ouvris la porte de la cuisine. Je compris quel était cette odeur. Le sang. Partout. En grosses flaques, projeté sur les murs. Autour de ma mère et de mon père. Un policier cria qu'il avait retrouvé "la petite". Le policier essaya de me couvrir les yeux mais je ne voulu pas, comme si j'essayais de graver cet horrible spectacle en moi. Je répondais à tout ce qu'on me demandait, en étant très calme et sans verser une seule larme. Certains parleront de choc post-traumatique mais c'était bien plus que ça. Je me suis déconnectée à partir de ce jour. Depuis, les voisins m'ont adoptée, la fortune inconnue de ma mère les aidants à subvenir à mes besoins. Je vécu comme une jeune fille normale. A un point près. Je ne ressentais rien. Je riais, pleurais et aimais. Sauf que toutes ces émotions, je les simulais. A l'intérieur j'étais une coquille vide. Un peu avant d'entrer à la fac, Robert et Ellie moururent. La seule fois en 6 ans que je ressentais une émotion. Mais trop faible pour me rebrancher. Aujourd'hui, je suis une jeune femme de 25 ans qui à un travail, un copain, des amis et un appartement petit mais confortable. Voilà l'histoire de ma vie."
La petite fille me regarde avec des yeux vides. J'ai compris se qui me dérangeait avec ses petits yeux perçants. C'est mon regard.

Je me réveille en sursaut et en nage. Il m'a fallu 13 ans pour me rebrancher. Mon copain qui dort à côté de moi se réveille et j'éclate en sanglots dans ses bras, pour la première fois. Il me caresse doucement les cheveux et nous parlons toute la nuit jusqu'à la fin de la matinée. Avant d'aller travailler, je prends le cadre photo avec ma mère. J'enlève le carton et prends le petits mot aux bords brillants, entre le carton et le cadre lui-même. J'attrape le briquet de mon copain, vais à la fenêtre et vois le magnifique soleil, déjà haut dans le ciel. Je l'ouvre et mets feu au mot en le laissant, porté par le vent. Merci mini-moi. Et merci maman. Tu t'es sacrifiée pour qu'il ne me touche pas.
Une vie pour une autre.

[Stopandgo]

La nuit est noire, le tonnerre gronde et la pluie tombe infatigable parmi les alentours.
Des corbeaux volent en cercle dans le ciel, leurs magnifiques ailes de jais déployées.Au loin un ange pleure.Ses grandes ailes couleur ébène l'abrite du torrent de pluie qui se déverse sur elle.Elle pleure sa souffrance et son desespoir. Elle qui croyait avoir trouvée une maison, un foyer mais non, elle était beaucoup trop naïve. Naïve de croire que l'on pourait enfin l'accepter,qu'elle aurait enfin sa place.Elle ne referait plus jamais la même erreur. Plus jamais. A présent elle devouerait son pouvoir au mal et à la destruction .

Je sais mon texte est pas terrible mais bon

[leaszecel]

L'avenir est sombre. Le ciel est noir. Mon coeur est mort, séché, meurtirt. Mort. J'ai toujours cru que j'étais plus forte, chaque fois que je croisais ce genre de personne, je les regardais, l'air méprisant. Je me pensais forte, différente! Et bien il a juste fallu une mort. La seule mort qu'il m'importait, celle de ma soeur. Je ne vis plus. Je suis morte de l'intérieure, un zombie. Je me sens comme un ange déchu, un ange à qui on aurait coupé les ailes et dont la longue chute est infinie et qui s'écrase enfin sur le sol. Je m'étais préparée et pourtant son décès à comme été le coup fatale. La douleur, elle, ne m'a pas quittée une seule seconde depuis que je sais. Je n'ai pas dormi plus de 16h en deux semaines et c'est dans un état semi-comateux que je me rend au pied du torrent furieux en cette nuit d'orage. Je ne comprend pas ce que je fait ici. Mais lorsque la foudre éclair les eaux noires furieuses, mon coeur se retourne. Au milieux du torrent déchaîné se trouve un pilotis. Une jeune femme aux cheveux bruns aux reflets bordeaux, reconnaissables entre mille, est en train de pleurer dessus. "Meg!" Le temps que l'orage l'éclair à nouveau et mon sang se glace. Elle porte une longue robe noire, d'un temps passé. Deux ailes affreusement décharnées et où il manque trop de plumes, sortent de son dos, aussi noires que sa robe. Ses bras nus sont affreusement pâles. Je me précipite vers elle. Enfin, aussitôt que j'ai fait deux pas pour m'élancer dans ma course, le torrent, furieux, m'emporte. J'essaye de garder la tête hors de l'eau et de retrouver Meg. Soudain, elle est juste à côté de moi, toujours accrochée à son pilotis, flottant sur l'eau. Elle relève lentement son visage et là, horreur! Sa peau est grise, ses yeux, sortant presque de leurs orbites, injectés de sang, me fixent de manière abjecte. Son si beau sourire s'est transformé en un horrible rictus où plusieurs dents son manquantes et où des insectes grouillent. Deux sillons noirs-bleutés ont été creusés, caricature de larmes. Mes membres sont tétanisés et avant de sombrer dans les eaux noires, elle éclate d'un rire fou, cinglé. La douleur irradie chacun de mes membres, je me noie, je m'étouffe, tout ça en emportant avec moi cette horrible vision digne de l'enfer!

[Deby-1]

Je relance avec une nouvelle image

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[Carambole-de-mai]

Désolée mais les filles vulgaires et futiles ne m'ont jamais inspirée.

Je relance le jeu :