Heu... Je vais voir quand je peux terminer le premier, ça débordera sûrement sur octobre...Pareil pour l'amie prodigieuse.
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Heu... Je vais voir quand je peux terminer le premier, ça débordera sûrement sur octobre...Pareil pour l'amie prodigieuse.
Hello hello !VampireAcademyTeam a écrit : ↑lun. 23 sept., 2024 12:13 am Bonsoir
Je viens de terminer la première partie de l'Amie prodigieuse. L'enfance.
Dès les premières pages où l'on nous liste les personnages. Je tique : untel boulanger, la femme du boulanger etc. La femme qui n'est vue que par le prisme du mari... Comment dire ? C'est pas cool.
Je reviens plus tard pour commenter ce début de livre.
Ciao e buena notte a tutti![]()
Malgré le fait que j'ai beaucoup apprécié le livre, à croire que j'étais dans le mood "histoire d'amour niaise", je suis assez d'accord avec ta critique. Je pense que c'est essentiellement les personnages qui m'ont conquis.seriallectrice a écrit : ↑dim. 15 sept., 2024 5:08 pm J'ai terminé Tempêtes du sud, dont voici mon avis :
Si j'avais ce livre dans ma PAL, c'est parce qu'il était offert lors d'une opération "un livre offert pour l'achat de deux titres de la collection poche ", autrement je ne l'aurais jamais acheté. Je suis très difficile sur les romances contemporaines, pour me plaire, elles doivent être originales et/ ou avoir des personnages principaux avec une psychologie intéressante. Et soyons honnête, d'originalité, ce livre n'en n'a aucune. Que ce soit dans la construction de la romance ou dans le passé des personnages. Les personnages parlons-en tiens. Ils sont manichéens au possible : les méchants sont méchants, vraiment détestables, sans une once de nuance et les gentils sont gentils, de vrais bisounours en herbe. La romance est assez mièvre avec des déclarations plus cul-cul tu meurs !
Jax est le book boyfriend par excellence, tellement parfait qu'on ne peut ignorer que c'est un personnage de fiction. Accusez moi de scepticisme mais je doute que beaucoup d'hommesPeut être argumenterez-vous que la lecture c'est aussi fait pour rêver, et oui, vous avez raison, mais moi j'aimerais tellement lire une romance où le héros ne nous donne pas l'impression que notre copain n'est qu'un gros balourd sans un poil de romantisme en luiSpoiler
louent une machine à bulles pour danser sous une pluie de bulles de savon ou accroche des dizaines de papillons en papier dans le jardin et plantent des centaines de pâquerettes parce que c'est la fleur préférée de sa dulcinée.. Un truc un peu plus réaliste quoi ! Où alors c'est peut être juste que je suis pas dans le mood pour ce genre de lecture en ce moment
.
Mais je dois reconnaître que c'est bien écrit, malgré leur manque d'originalité Kennedy et Jax sont plutôt attachants (et c'est grâce à eux que ce livre n'a pas terminé dans la catégorie "pas apprécié ". Comme quoi, on ne répétera jamais assez l'importance de créer de bons personnages), le livre se lit vite et, malgré tout ce que j'ai dire plus haut, il se lit sans déplaisir.
Une lecture à réserver aux plus romantiques ou en tout cas aux moins rabat joie que moi.
P.S: c'est vraiment bizarre de lire une romance toute mignonne et douce, un brin niaise et d'arriver aux scènes de sexe et de lire des mots commeIl y a quelque chose d'antinomique pour moi.Spoiler
bite et baiser. Entre autres.
Du coup, finito, le Roi des Cendres. Mon retour ce soir, le temps de digérer les émotions.Fells a écrit : ↑mer. 02 oct., 2024 12:32 pm Bonjour, alors j'ai presque terminé Roi de Cendres, et ouai. Vachement glauque leur relation.
Le chapitre "Souverain" p.212 ?Autant captivant que répugnant pour moi. Je ne sais toujours pas si j'aime ou pas, c'est difficile de trancher, avec ce genre de personnages je trouve. Ça vous a fait quoi à vous ce chapitre ? Et sinon est-ce qu'il y a des passages qui vous ont fortement marqué.e.s ?
Sinon je suis d'accord avec toi Chalune, les éléments iconographiques servent bien le récit, ils complètent les ellipses, et j'aime bien ce jeu de piste.![]()
Chalune a écrit : ↑mar. 01 oct., 2024 5:36 pm [...]
L'histoire est très addictive et le rythme assez soutenu donne, au fils des pages, l'envie d'en tourner juste une de plus... puis une autre et une autre.
Je n'arrivais pas à lâcher ce livre.
Malgré la fatigue et les heures qui défilaient au coeur de la nuit, il fallait que je sache, j'espèrais que ça se finisse bien, il fallait que ça se finisse bien pour eux.
Ocelline a écrit : ↑mer. 02 oct., 2024 8:31 pm [...] Je pensais lire un roman décrivant une belle relation entre deux jeunes adultes, amis très proches avec une projection "imaginaire" d'un jeu de leur enfance comme manifestation du problème mental. Mais finalement, on les suit dans un cadre scolaire avec une prédominance forte de toxicité dans la relation. Elle est vraiment sous-tendue par plein de choses dont notamment une domination sans équivoque. Ainsi, les personnages principaux (August & Jack) sont bien construits et les mécanismes relationnels sont plausibles bien que je n'ai pas du tout aimé les trouver dans ce roman.
Ocelline a écrit : ↑mer. 02 oct., 2024 8:31 pm [...]Spoiler
- Rois de Cendres fait à mon avis référence à la pyromanie d'August et au fait que étant une maladie psychique, ça suffit pour lui ouvrir les portes du royaume ; là où Jack étant guéri n'a plus besoin de la couronne ?
Il y a aussi un joli parallèle entre le fait qu'August est le feu/brûle pour Jack qui y répond aisément (puissance de ses sentiments avoués) étant "l'osier" un matériau fortement inflammable.
- Les passages qui m'ont particulièrement marqué sont celui de l'allégeance d'August à Jack à la rivière, le moment où il se noie puis est brûlé vif.
Oui tout à fait, je me retrouve également beaucoup dans ton analyse ; bien que je n'ai pas assez signifié dans mon avis que la fin "retombe comme un soufflet". Il est vrai qu'il y a un effet de "tout ça pour ça".Fells a écrit : ↑jeu. 03 oct., 2024 5:21 pmOcelline a écrit : ↑mer. 02 oct., 2024 8:31 pm [...] Je pensais lire un roman décrivant une belle relation entre deux jeunes adultes, amis très proches avec une projection "imaginaire" d'un jeu de leur enfance comme manifestation du problème mental. Mais finalement, on les suit dans un cadre scolaire avec une prédominance forte de toxicité dans la relation. Elle est vraiment sous-tendue par plein de choses dont notamment une domination sans équivoque. Ainsi, les personnages principaux (August & Jack) sont bien construits et les mécanismes relationnels sont plausibles bien que je n'ai pas du tout aimé les trouver dans ce roman.Spoiler
C'est exactement mon ressenti. J'ai trouvé cette démonstration très violente à assimiler. Surtout qu'Auguste la banalise, il en est conscient, mais je n'ai pas vu en quoi c'était pertinent d'amener ce symptôme à ce degré là pour au final rien n'en faire. Résultat j'y vois un effet soufflé : brûlant et gonflé à bloc aux moments tendus, mais qui se retrouve inconsistant une fois la difficulté dépassée.Ocelline a écrit : ↑mer. 02 oct., 2024 8:31 pm [...]Spoiler
- Rois de Cendres fait à mon avis référence à la pyromanie d'August et au fait que étant une maladie psychique, ça suffit pour lui ouvrir les portes du royaume ; là où Jack étant guéri n'a plus besoin de la couronne ?
Il y a aussi un joli parallèle entre le fait qu'August est le feu/brûle pour Jack qui y répond aisément (puissance de ses sentiments avoués) étant "l'osier" un matériau fortement inflammable.
- Les passages qui m'ont particulièrement marqué sont celui de l'allégeance d'August à Jack à la rivière, le moment où il se noie puis est brûlé vif.Réponses questions (vrais spoilers)
Complètement, concernant l'osier. C'est une analyse des plus pertinentes. ^^ J'ai pour ma part une idée très littérale du titre. > Roi de cendres pourrait aussi faire directement référence aux personnages (un titre alternatif si on veux) : Roi = Jack, qui impose l'ascendant sur Cendres = Auguste. "de" devenant alors un marqueur de la nature du lien qui les unit.
Et oui, les deux scènes conjointes, de la baignoire et de l'incendie, ont effectivement été très fortes pour moi aussi, avec la scène Souverain.
Et voilà, j'ai enfin terminé L'amie prodigieuse !Fells a écrit : ↑jeu. 10 oct., 2024 10:11 pm J'ai commencé l'amie prodigieuse ! N'ayant pas énormément de temps à m'y consacrer, j'en suis aux 50 1res pages.
Pour l'instant, ça coule tout seul. Tellement que je me demande jusqu'où cette cascade de faits d'enfances va s'arrêter.
En cela, et au niveau de la langue, je crois lire Jane Eyre, quand elle était enfant. La même clairvoyance des événements, le même regard analytique, la même façon de considérer les autres. Très étrange.
Je ne sais pas si d'autres personnes l'ont ressenti comme ça ? ^^
Édit : J'ai terminé la première partie (l'enfance) et je trouve le style toujours aussi fouillis. Ça fait très anecdotes sans importance, où le seul marqueur de l'environnement d'Elena qui la stimule, est Lila. Étrangement, ce n'est pas ennuyant. C'est très universel comme thématique. Le passage de l'enfance à l'adolescence, les changements physiologiques qui arrivent avec, les amitiés qui se font, se defont etc.
Donc oui, une narratrice étrangement auto-centrée, à laquelle je n'ai pas du tout réussi à m'attacher au final et même si j'adorais Lila enfant, je regrette cette thématique de l'éloignement dans leur relation (qui ne fait que se dégrader, jusqu'à en devenir artificielle.)