Concours
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Concours
Bonjour à tous.
Plus de publications depuis janvier.
Dommage.
Qui aimerait continuer à écrire? Et peut-être en oubliant le mot concours, et en se livrant plutôt à des lectures offertes de nos écrits.
À bientôt.
Plus de publications depuis janvier.
Dommage.
Qui aimerait continuer à écrire? Et peut-être en oubliant le mot concours, et en se livrant plutôt à des lectures offertes de nos écrits.
À bientôt.
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Re: Concours
Bonjour Larme Fatale,Larme_Fatale a écrit : ↑mer. 02 oct., 2024 6:33 pm Bonjour à tous.
Plus de publications depuis janvier.
Dommage.
Qui aimerait continuer à écrire? Et peut-être en oubliant le mot concours, et en se livrant plutôt à des lectures offertes de nos écrits.
À bientôt.
J’ai rarement participé aux concours, mais je trouvais que c’était vraiment une bonne idée et j’allais jeter un coup d’œil de temps en temps pour voir si le thème m’inspirait!
En tout cas, j’espère que ça reprendra, que ce soit sous forme de concours ou pas
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Re: Concours
Ça me plairait beaucoup !
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Re: Concours
Bonjour à tous.
D'accord pour "les lectures offertes de nos écrits."
Je propose un autre challenge.
Une phrase ou un mot sera donné. Il faudra l'inclure à bon escient dans un récit dont la forme sera libre.
Pour octobre, ce pourrait être :
Qu'importe l'obstacle...
D'accord pour "les lectures offertes de nos écrits."
Je propose un autre challenge.
Une phrase ou un mot sera donné. Il faudra l'inclure à bon escient dans un récit dont la forme sera libre.
Pour octobre, ce pourrait être :
Qu'importe l'obstacle...
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Re: Concours
Bonsoir à tous. Bonsoir Vanget. Une bonne idée qui me semble intéressante.
On attend quelques accords d’autres participants et on y va ?
À bientôt.
On attend quelques accords d’autres participants et on y va ?
À bientôt.
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Re: Concours
Bonjour, la proposition de Vanget me semble aussi intéressante.
Le mois d'octobre est déjà bien avancé, peut-être donner jusqu'à fin novembre, de sorte de laisser quelques jours de novembre pour décider du prochain "élément" à intégrer. Qu'en pensez-vous ?
Au plaisir, Micum
Le mois d'octobre est déjà bien avancé, peut-être donner jusqu'à fin novembre, de sorte de laisser quelques jours de novembre pour décider du prochain "élément" à intégrer. Qu'en pensez-vous ?
Au plaisir, Micum
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Re: Concours
Oui je pense que se donner jusqu’à fin novembre permettra peut-être de «rallumer le feu» et récupérer des «compagnons».
En novembre donc.
En novembre donc.
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Re: Concours
Bonjour à tous, je suis heureuse que quelqu'un ait relancé l'idée des partages d'écrits, je venais faire un tour de temps en temps afin de voir si il y avait du nouveau concernant les concours mais j'étais à chaque fois déçue...
J'aime beaucoup la proposition de Vanget, je suis pour !
Au plaisir,
Eily
J'aime beaucoup la proposition de Vanget, je suis pour !
Au plaisir,
Eily
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Re: Concours
Bonjour ! Je suis intéressée par le concours mais, étant nouvelle sur le site, je n'ai pas encore compris comment publier mon texte et où... si l'un de vous voulait bien m'expliquer, ce serait super,
Merci à l'avance
hibou_grand_duc
Merci à l'avance
hibou_grand_duc
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Re: Concours
Bonjour,
Nous pourrions peut-être partager nos écrits dès maintenant et attendre jusqu'à novembre pour le challenge ?
Pourquoi ne pas donner la possibilité de choisir entre plusieurs éléments à intégrer ?
Cela pourrait être, comme l'a proposé Vanget : " qu'importe l'obstacle " ou bien " à la croisée des chemins " ou encore " le voile est tombé : à vos masques ! " . Qu'en pensez-vous ?
Nous pourrions peut-être partager nos écrits dès maintenant et attendre jusqu'à novembre pour le challenge ?
Pourquoi ne pas donner la possibilité de choisir entre plusieurs éléments à intégrer ?
Cela pourrait être, comme l'a proposé Vanget : " qu'importe l'obstacle " ou bien " à la croisée des chemins " ou encore " le voile est tombé : à vos masques ! " . Qu'en pensez-vous ?
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Re: Concours
Bonjour Hibou grand duc.
Tu peux déposer ton texte ici en bas de cette page à "réponse rapide".
comme l'a suggéré Briseperlee, tu devras inclure l'une de ces trois phrases :
qu'importe l'obstacle.
à la croisée des chemins.
le voile est tombé.
Cela lancera le challenge de novembre.
Tu peux déposer ton texte ici en bas de cette page à "réponse rapide".
comme l'a suggéré Briseperlee, tu devras inclure l'une de ces trois phrases :
qu'importe l'obstacle.
à la croisée des chemins.
le voile est tombé.
Cela lancera le challenge de novembre.
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Re: Concours
Bonjour à tous ! J'ai voulu tenter un texte ( sans connaître les formats que vous utilisez en général ) ce n'est certainement pas mon meilleur, j'ai eu une petite panne d'inspiration, mais je vous souhaite une bonne lecture, toute critique, ou conseil, est le bien venu !
Je sais que je rêve en sentant la terre humide sous mes pieds nus. J'ai perdu mes chaussures. La lumière de la lune atteint à peine les troncs noueux des arbres, mais elle souligne sans peine leur étrangeté. Certains, pâles comme la craie, sont anormalement grands et droits, semblants s'élever vers le ciel pour y disparaitre. D'autres, absurdement colorés, sont tordus sur eux même, comme s'ils voulaient déséspérement replonger dans le sol. Je connais cet endroit.
Un faible ricanement grésille dans ma gorge, brisant enfin le silence étouffant de ce bois grotesque. Ce son vient-il vraiment de moi ? Le silence revient. Je sais que je rêve, parce qu'un vrai bois n'est jamais silencieux, d'après papa. La plupart des bois n'ont pas d'arbres roses, encore d'après papa. Je tend l'oreille : pas de cigales, aucun hululement, juste le vent qui se faufile entre les arbres et enmèle ses murmures dans mes cheveux. En tatant les mèches blondes sur mon crane, j'y découvre une couronne de paquerettes qui m'arrache un sourire. Je connais ces bois, à force de les sillonner toutes les nuits depuis 2 semaines, dans mon lit.
Un craquement résonne sur le tapis de brindilles au sol. Mes yeux se détachent immédiatement des branches hautes pour suivre le lapin qui détale et me montre enfin l'évidence. Un chemin. Bien, mon cerveau tordu a visiblement décidé de me faciliter la tâche, une première. Avance petite Alice, c'est un rêve de toute façon, il ne peut rien t'arriver en rêve. La psychiatre que maman m'a emmenée voir a cause de mes " rêveries infantiles " me dit toujours de voir mes rêves comme des puits, que je dois y plonger pour retrouver les choses qui m'échappent pendant la journée. Beaucoup de choses m'échappent pendant la journée. Si je dois bien retrouver quelque chose dans le puit cette nuit, c'est mes chaussures, et comment je les ai perdues ! Peut être que je comprendrai au passage l'origine de mes terreurs et délires nocturnes, entre deux rêves.
Alors que je marche d'un pas faussement décidé, j'observe le décor changer. Tout est de plus en plus tordu. Je marque une pause devant un arbre à poids roses particulièrement menaçant. Le ridicule de cette forêt me ferait rire si mon cœur ne cognait pas aussi fort. Déja, la terre devient rouge, de la peinture, sans doutes. Avance petite Alice, tu vas être en retard. Il ne faudrait pas être en retard.
Je frôle l'écorce des arbres du bout des doigts en marchant. Comment tout cela a commencé ? Le lapin... la police... je me souviens avoir poursuivi le lapin, et avoir été retrouvée par la police le lendemain, endormie dans un buisson. Cheville foulée, robe déchirée, peinture sous les ongles et pieds nus. C'était il y a deux semaines jour pour jour, et on a toujours pas retrouvé mes chaussures. Depuis, toutes les nuits, je pars à la chasse au lapin. Ce n'est qu'une paire de chaussures bien sûr, mais maman ne supporte pas le gaspillage. Il est clair que je ne me suis pas " juste " endormie dans un buisson ce jour là...
La lune pêne à percer la toiture de branches inaccessibles, pourtant, je vois sans problème le chemin se diviser, une nouveauté ! C'est peut-être parce que je me réveille avant en général. Un parfum de danger flotte dans l'air. À la croisée des chemins, j'hésite longuement sur la voix à suivre, mon instinc ayant visiblement décidé de rester dans mon lit. Et puis je l'aperçoit. À coté de la route, un terrier.
Mon cœur s'emballe et ma respiration se fait hératique alors que je me précipite vers le trou de lapin. Genoux à terre, j'essaie sans succès d'en voir le fond. Ce tunnel remue mes entrailles, des souvenirs tortueux effleurent mon esprit, sans se révéler. J'y suis. Je sais.
J'ouvre les yeux dans ma chambre d'enfant, qui ne va plus à une adolescente. Je devine la couronne de fleurs fanées sur mon bureau, à coté des livres de maman. Plus de forêt, je suis chez moi. Et je sais où chercher.
Je sais que je rêve en sentant la terre humide sous mes pieds nus. J'ai perdu mes chaussures. La lumière de la lune atteint à peine les troncs noueux des arbres, mais elle souligne sans peine leur étrangeté. Certains, pâles comme la craie, sont anormalement grands et droits, semblants s'élever vers le ciel pour y disparaitre. D'autres, absurdement colorés, sont tordus sur eux même, comme s'ils voulaient déséspérement replonger dans le sol. Je connais cet endroit.
Un faible ricanement grésille dans ma gorge, brisant enfin le silence étouffant de ce bois grotesque. Ce son vient-il vraiment de moi ? Le silence revient. Je sais que je rêve, parce qu'un vrai bois n'est jamais silencieux, d'après papa. La plupart des bois n'ont pas d'arbres roses, encore d'après papa. Je tend l'oreille : pas de cigales, aucun hululement, juste le vent qui se faufile entre les arbres et enmèle ses murmures dans mes cheveux. En tatant les mèches blondes sur mon crane, j'y découvre une couronne de paquerettes qui m'arrache un sourire. Je connais ces bois, à force de les sillonner toutes les nuits depuis 2 semaines, dans mon lit.
Un craquement résonne sur le tapis de brindilles au sol. Mes yeux se détachent immédiatement des branches hautes pour suivre le lapin qui détale et me montre enfin l'évidence. Un chemin. Bien, mon cerveau tordu a visiblement décidé de me faciliter la tâche, une première. Avance petite Alice, c'est un rêve de toute façon, il ne peut rien t'arriver en rêve. La psychiatre que maman m'a emmenée voir a cause de mes " rêveries infantiles " me dit toujours de voir mes rêves comme des puits, que je dois y plonger pour retrouver les choses qui m'échappent pendant la journée. Beaucoup de choses m'échappent pendant la journée. Si je dois bien retrouver quelque chose dans le puit cette nuit, c'est mes chaussures, et comment je les ai perdues ! Peut être que je comprendrai au passage l'origine de mes terreurs et délires nocturnes, entre deux rêves.
Alors que je marche d'un pas faussement décidé, j'observe le décor changer. Tout est de plus en plus tordu. Je marque une pause devant un arbre à poids roses particulièrement menaçant. Le ridicule de cette forêt me ferait rire si mon cœur ne cognait pas aussi fort. Déja, la terre devient rouge, de la peinture, sans doutes. Avance petite Alice, tu vas être en retard. Il ne faudrait pas être en retard.
Je frôle l'écorce des arbres du bout des doigts en marchant. Comment tout cela a commencé ? Le lapin... la police... je me souviens avoir poursuivi le lapin, et avoir été retrouvée par la police le lendemain, endormie dans un buisson. Cheville foulée, robe déchirée, peinture sous les ongles et pieds nus. C'était il y a deux semaines jour pour jour, et on a toujours pas retrouvé mes chaussures. Depuis, toutes les nuits, je pars à la chasse au lapin. Ce n'est qu'une paire de chaussures bien sûr, mais maman ne supporte pas le gaspillage. Il est clair que je ne me suis pas " juste " endormie dans un buisson ce jour là...
La lune pêne à percer la toiture de branches inaccessibles, pourtant, je vois sans problème le chemin se diviser, une nouveauté ! C'est peut-être parce que je me réveille avant en général. Un parfum de danger flotte dans l'air. À la croisée des chemins, j'hésite longuement sur la voix à suivre, mon instinc ayant visiblement décidé de rester dans mon lit. Et puis je l'aperçoit. À coté de la route, un terrier.
Mon cœur s'emballe et ma respiration se fait hératique alors que je me précipite vers le trou de lapin. Genoux à terre, j'essaie sans succès d'en voir le fond. Ce tunnel remue mes entrailles, des souvenirs tortueux effleurent mon esprit, sans se révéler. J'y suis. Je sais.
J'ouvre les yeux dans ma chambre d'enfant, qui ne va plus à une adolescente. Je devine la couronne de fleurs fanées sur mon bureau, à coté des livres de maman. Plus de forêt, je suis chez moi. Et je sais où chercher.
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- Inscription : dim. 20 mars, 2022 5:09 pm
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Re: Concours
Bonjour hibou_grand_duc.
Félicitations pour ce texte prometteur qui lance le nouveau challenge.
Le talent est là. Quant à l'inspiration, ne t'en soucie pas, elle s'imposera d'elle-même.
Tu es la bienvenue.
Félicitations pour ce texte prometteur qui lance le nouveau challenge.
Le talent est là. Quant à l'inspiration, ne t'en soucie pas, elle s'imposera d'elle-même.
Tu es la bienvenue.
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Re: Concours
Bonjour à tous !
J'ai imaginé quelqu'un que l'on aimerait rencontrer au moins une fois...
Silencieux, serein, tu te tiens à l’écart
Pour mieux voir, comprendre, écouter.
Mais, tout ce qui est autre, diffèrent, à part,
Déplait ! On te fustige, trop vite, tu es rejeté.
La vox populi, les opinions te laissent indifférent.
Tu dis que les suivre, rend toujours prisonnier.
Tu vas devant en gardant le cap, sans nier
La multitude des choix, tu évites les leurres, les écrans.
Si le chemin devient pénible, tu ne te plains
Jamais. Tu prendras le prochain train.
Les gares, les voies s’offrent multiples
Pour choisir ton destin, ton unique périple.
Tu dis que la vie n’attend personne.
Peu importe l’obstacle qui désarçonne,
Tu préfères bâtir celle de tes rêves.
Sans te laisser emporter par la crue des fleuves.
Tu acceptes tes limites pour aller au-delà.
Tu dis que tu apprends plus de l’échec que du succès.
S’il n’y a pas d’abris, tu le fabriques ici ou là.
Dans les montagnes abruptes ou sur les immensités glacées.
Tu ne veux plus de conflits ni de drames.
Tu cherches seulement un endroit paisible.
Pour partager ta bonne humeur et éloigner les larmes.
Avec ceux qui voudront envisager tout le possible.
Là où tu passes une seule fois,
Chacun se souvient et parle de toi.
De ton regard apaisant, profond, bleu azur.
Oui, rares sont les cœurs purs.
J'ai imaginé quelqu'un que l'on aimerait rencontrer au moins une fois...
Silencieux, serein, tu te tiens à l’écart
Pour mieux voir, comprendre, écouter.
Mais, tout ce qui est autre, diffèrent, à part,
Déplait ! On te fustige, trop vite, tu es rejeté.
La vox populi, les opinions te laissent indifférent.
Tu dis que les suivre, rend toujours prisonnier.
Tu vas devant en gardant le cap, sans nier
La multitude des choix, tu évites les leurres, les écrans.
Si le chemin devient pénible, tu ne te plains
Jamais. Tu prendras le prochain train.
Les gares, les voies s’offrent multiples
Pour choisir ton destin, ton unique périple.
Tu dis que la vie n’attend personne.
Peu importe l’obstacle qui désarçonne,
Tu préfères bâtir celle de tes rêves.
Sans te laisser emporter par la crue des fleuves.
Tu acceptes tes limites pour aller au-delà.
Tu dis que tu apprends plus de l’échec que du succès.
S’il n’y a pas d’abris, tu le fabriques ici ou là.
Dans les montagnes abruptes ou sur les immensités glacées.
Tu ne veux plus de conflits ni de drames.
Tu cherches seulement un endroit paisible.
Pour partager ta bonne humeur et éloigner les larmes.
Avec ceux qui voudront envisager tout le possible.
Là où tu passes une seule fois,
Chacun se souvient et parle de toi.
De ton regard apaisant, profond, bleu azur.
Oui, rares sont les cœurs purs.
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- Inscription : mar. 29 oct., 2024 9:52 am
Re: Concours
Bonjour Vanget.
J'ai beaucoup aimé ce texte, surtout pour le vocabulaire très riche et poétique employé qui lui donne un poid ! Merci pour l'accueil et pour le retour sur mon texte !
Bonne soirée.
J'ai beaucoup aimé ce texte, surtout pour le vocabulaire très riche et poétique employé qui lui donne un poid ! Merci pour l'accueil et pour le retour sur mon texte !
Bonne soirée.
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- Inscription : sam. 23 déc., 2023 7:46 pm
Re: Concours
Bonsoir,
hibou_grand_duc, jolie distorsion du réel de par ton choix d'emprunter des voies oniriques.
De même que la ligne d'horizon où se confondent ciel et mer, le sommeil puise dans l'éveil par le biais de nos sens et des flots, parfois tumultueux du sommeil, s'échouent sur les rives de précieux indices utiles ou inutiles face au destin qui n'admet jamais la moindre dérogation.
J'ai beaucoup aimé te lire et comme l'a dit Vanget : " le talent est là ".
L'inspiration, on la trouve, on la perd...Partie hier, elle reviendra sans doute demain !
Vanget, de ces belles rimes, de ce texte épuré qui se lit avec facilité, j'en arrive à l'amer constat que souvent, le personnage fictif adulé correspond fréquemment au rejeté de notre société sur qui il serait considéré comme curieux de s'attarder...
Je crois que si les coeurs purs sont souvent condamnés à marcher le long des rails en solitaire c'est en partie car les coeurs durs n'ont de cesse de chercher à les corrompre.
Je vous remercie tous deux pour ces écrits.
hibou_grand_duc, jolie distorsion du réel de par ton choix d'emprunter des voies oniriques.
De même que la ligne d'horizon où se confondent ciel et mer, le sommeil puise dans l'éveil par le biais de nos sens et des flots, parfois tumultueux du sommeil, s'échouent sur les rives de précieux indices utiles ou inutiles face au destin qui n'admet jamais la moindre dérogation.
J'ai beaucoup aimé te lire et comme l'a dit Vanget : " le talent est là ".
L'inspiration, on la trouve, on la perd...Partie hier, elle reviendra sans doute demain !
Vanget, de ces belles rimes, de ce texte épuré qui se lit avec facilité, j'en arrive à l'amer constat que souvent, le personnage fictif adulé correspond fréquemment au rejeté de notre société sur qui il serait considéré comme curieux de s'attarder...
Je crois que si les coeurs purs sont souvent condamnés à marcher le long des rails en solitaire c'est en partie car les coeurs durs n'ont de cesse de chercher à les corrompre.
Je vous remercie tous deux pour ces écrits.
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Re: Concours
Bonjour BrisePerlee.
Merci pour ton retour. Ta réflexion sur les « cœurs durs » est très intéressante, elle touche le réel. Cependant, étant un éternel optimiste, je dirai : si les cœurs purs sont condamnés à marcher le long des rails éclairés par une lampe de poche, ce halo, cette lueur, fait quand même reculer l'obscurité.
Merci pour ton retour. Ta réflexion sur les « cœurs durs » est très intéressante, elle touche le réel. Cependant, étant un éternel optimiste, je dirai : si les cœurs purs sont condamnés à marcher le long des rails éclairés par une lampe de poche, ce halo, cette lueur, fait quand même reculer l'obscurité.
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- Inscription : mar. 29 oct., 2024 9:52 am
Re: Concours
Bonsoir à tous ! Un nouveau mois a commencé et j'ai remarqué que l'activité du groupe a énormément diminué.... Je réfléchis à une liste de mots à peut-être intégrer dans le texte de décembre, si vous êtes encore motivés....?
Bonne soirée !
Bonne soirée !
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Re: Concours
Bonjour, je suis vraiment désolée je n'ai pas eu l'occasion de soumettre un texte pourtant j'en avais très envie... les joies des partiels, des khôlles et j'en passe ! En revanche les vacances de décembre pourraient me permettre d'écrire alors si certains souhaitent proposer des mots je suis tout ouïe ou plutôt yeux grands ouverts
Bonne journée à tous
Bonne journée à tous
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Re: Concours
Bonne idée la liste de mots à insérer dans le texte de décembre.
Nous sommes le 21/12. Personne n’a publié.
On peut remettre l’idée à janvier.
Nous sommes le 21/12. Personne n’a publié.
On peut remettre l’idée à janvier.