Début, milieu, fin

[Nobody-book]

C'est sûr qu'il n'a pas l'air facile ! Mais je vais quand même essayer.

Lorsque Tom se réveilla il avait mal à la tête. Comme si quelqu'un à la force herculéenne toquait contre son crâne pour y entrer. Il ne souvenait plus de ce qu'il lui était arrivé. Ah si, l'accident. Plus jamais il ne toucherait à la voiture de son père !
Il se redressa de son lit et observa le plâtre qui lui recouvrait le bras. Mince alors ! Il était énorme ! Comment allait-il pouvoir le soulever ?
- Salut.
Tom sursauta et observa le garçon installer dans le lit voisin.
- Salut, lui répondit-il timidement.
Le garçon sourit et lui demanda:
- Que t'est-il arrivé à toi ?
Tom soupira.
- J'ai toujours eux envie de toucher la voiture de m'ont père. Je n'aurais peut-être pas dû...
- En effet, c'est moi que tu as percuté en sortant de ton allé.
Tom rougit. Quoi ? Il l'avait percuté ! Il se sentait monstre.
- Ce n'est pas grave, soupira le garçon. Enfin si...tu m'as fracturé le dos. Le docteur a dit que je devrais avoir un fauteuil roulant désormais.
Tom se mit à pleurer. Oh mais quel monstre ! Quel idiot !
- Je te pardonnes, continua le garçon, si tu me donne un raison valable d'avoir gâcher ma vie.
Tom hésita. Puis s'installa dans son lit comme si il conduisait une voiture. Il imita le bruit du moteur qui me met en marche puis le cris de son père qui lui ordonne de sortir de là. Tom se baissa comme pour se cacher et fit comme s'il se débattait avec son père pour éviter une claque. Puis il sauta de son lit en hurlant BOUM, comme lors de l'accident.
Son camarade de chambre éclata de rire puis reprit son sérieux.
- Ce n'est pas une raison valable. Désolé. Je ne te pardonnes pas. Sauf si tu deviens mon serviteur...
Tom hocha la tête heureux de ce dénouement.
- D'accord !


Bon, le prochain thème sera...
un ours en peluche dans le traineau du Père Noël
se demande qui sera son propriétaire
c'est une petite fille tyrannique

[Nobody-book]

contrainte le père noël est fou

[layla]

-Pom pom padam poum !

Le vieux barbu complétement cinglé traine un pauvre petit ours en peluche vers son traineau où les rennes, pas très sympatiques,rumine comme des vaches.L'ours en peluche me regarde terrorisé.Il doit se demander chez qui il va tomber.J'aimerai pouvoir l'accompagner mais je dois garder la fabrique.C'est le métier de tout lutin.Ca y est,le traineau décole dans un tourbillon de neige.Heuresement que les reines savent où ils ont car le père noël fait n'importe quoi.Un nstant plus tard,je vois le nounours être lancé du traineau et s'engoufrer dans une cheminée.Aïe.Je connais bien la petite fille chez qui il a attérie.Une vraie peste.Noël n'est pas un cadeau pour tout le monde ...


un petit garçon triche un contrôle
il triche
la prof remarque quelque chose de louche mais comme il est très rusé,il donne une bonne raison a son comportement.

contraite :inventé une nouvelle technique astucieuse pour tricher

[lecture4reveur]

merci !
J'aimerais aussi écrire un autre texte mais le précédent ne m'inspire vraiment pas ...
Si quelqu'un en a un autre a proposé, je veux bien parce que moi, j'ai vraiment pas d'idées !

De rien = P
C'est pas grave, et puis de toute façon, les sujets tournent. Si tu n'es pas inspirée cette fois-ci, leur sera peut-être une autre fois ; )

[Nobody-book]

- Qu'est-ce qu'il y a Bill ? T'as avalé une tomate ? T'es tout rouge !
- C'est à cause du contrôle !
- Le contrôle ?!
Ce fut au tour de Max de devenir rouge. Comment ça un contrôle ?! Ils pénétrèrent dans la classe et la professeure demanda aux élèves de sortir leurs copie.
Max réfléchis à tout vitesse. Il lui fallait un moyen de tricher ! Puis une ampoule s'alluma au dessus de sa tête.
Il sourit jusqu'aux dents et sortis de son sac des lunettes rétroviseur qu'il avait reçu avec son magazine du mois. Il les posa sur son nez et le contrôle démarra. Etant donné qu'il était situé au fond de la classe, la professeure ne remarqua pas tout de suite ses drôles de lunettes qui lui permetèrent de recopier sur son voisin de derrière, le premier de la classe.
- Max, je peux savoir ce que tu fais avec ses lunettes ?
- C'est mon opticien, madame. J'ai de gros problèmes de vue.
- Et ces rétroviseurs ?
Aïe ! Comment se sortir de là ? Décidément, les ampoules aimais Max ce jour-là ! Car une autre idée lui vint.
Max se laissa tomber de sa chaise et fit semblant d'être tomber dans les pommes.


Bon là, j'avoue, c'est pas de la ruse, c'est de la bêtise ! Mais bon, j'avais pas d'idées pour la fin ...
Ensuite, le thème....
Un peintre
Qui n'a plus d'idées
Il arrête de peindre et écris
Contrainte: le peintre est nul

[lecture4reveur]

Merci de ne pas avoir voulu laissé tomber le sujet Dalliala et ton texte était bien, même si je l'ai trouvé un peu dur...
Pareil pour Nobody-book, j'ai aimé même si j'ai trouvé ça triste l'histoire de ce garçon condamné à être en fauteuil à cause d'un enfant désobéissant.
Sinon j'ai aussi aimé ton texte Layla et je l'ai trouvé drôle, surtout la manière dont il est écrit.

Ton dernier texte est aussi bien Nobody-book, avec cette histoire de rétroviseur et d'évanouissement improvisé

Merci encore pour vos participations! = D


Je rappelle que les contraintes sont facultatives et que par conséquent, on est pas obligé d'en tenir compte

[lolitaspace]

Mathilde est en train de manger autour de la table avec ces parents, il est 19h . Tout à coup alors qu'elle est en train de croquer dans un morceau de pain , elle se rend compte qu'elle à perdu une dent :
- Mamaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!! Regarde !!!
- Qu'est ce qu'il se passe ma chérie ?
- Ma dent ! Elle est tombée !
-Ce n'est rien ma chérie, ce soir quand tu iras au lit tu la mettras sous ton oreiller et sans doute la petite souris passera t-elle . Lui dit sa mère.
Mathilde à écouté avec attention . Le soir même en allant se coucher elle met la dent sous son oreiller mais curieuse elle ne dors pas et guette la petite souris.
Très vite elle entend du bruit . Alors elle dit :
-Petite souris ?
Comme elle n'obtient pas de réponse , elle décide d'attendre, peut-être s'est elle trompée ?
Mais de nouveau quelque minutes plus tard elle entend du bruit , elle se lève .
Sa mère qui est en fait cette petite souris très attendue n'a qu'un moyen de ne pas heurter sa fille, elle se cache dans le placard .
Mathilde qui est debout dans le noir , n'entendant plus de bruit commence à paniquer :
- Petite souris ???? Petite souris ?
Aucune réponse .
Alors elle se recouche et dit :
- Tu sais j'ai été très sage ! Maman elle dit qu'en plus je travaille bien à l'école . Alors tu sais tu peux mettre une petite pièce sous mon oreiller .
Sa mère, dans l'armoire, sourit à cette requête. Mais comment faire maintenant alors que sa fille est réveillée ? Attendre rien de plus.
Mathilde toujours à sa conversation avec la petite souris continue :
- Petite souris , tu sais , j'aimerai beaucoup m'acheter une Monster high , mais c'est cher et papa et maman me font déjà assez plaisir alors cette pièce pourrais m'aider . En tout cas petite souris , je te laisse , je suis fatiguée et demain j'ai école . J’espère que tu m'as entendu ! Bonne nuit !
Sur ces paroles , Mathilde s'endort. Quelques minutes plus tard sa mère très délicatement arrive à glisser sous l'oreiller de sa fille un peu d'argent en ajoutant :
-Dors bien ma chérie


REQUÊTE :

Une jeune femme qui à peur de tout .
Sa sœur lui confit son enfant pour la journée.
Mais une tempête est annoncée.

[Nobody-book]

Qu'est-ce qu'elle fiche bon sang ? Elle sait très bien que je n'aime pas être seule ! Il fait nuit en plus de ça ! Si dans cinq minutes elle n'est pas là, tant pis je rentres chez moi ! Elle trouvera une nounou pour son fils ailleurs !
- Tut ! Tut !
C'est elle ! Ma soeur. Enfin !
- Ce n'est pas trop tôt, je la réprimande. Tu t'es perdu ?
- Non, me répond t-elle en souriant, une tempête se prépare, j'ai dû calfeutré les portes et fenêtres chez moi. Tu ferais bien de faire pareils, à ce que l'on dit elle est énorme !
J'en suis bouche bée. Elle part en voyage d'affaire et laisse son fils et sa soeur aux main d'une tempête !
- Et tu ne t'inquiètes pas plus que ça ?
Elle réfléchi avant de répondre.
- Non.
C'est triste de penser cela mais j'ai envie de lui en coller une.
- C'est une blague, ricane t-elle. Tu es trop naïve ma pauvre Sophie ! Bon je te laisse, je vais rater l'avion. Tiens, prends Charles et ce sac où tu trouveras toutes ses affaires. A la semaine prochaine !
Sa blague est d'un mauvais goût ! Oui, je suis naïve et alors ? Du haut de ses trente ans, elle en parait cinq !
Je soupire et rentre chez moi, le panier qui contient mon petit neveu dans une main et le lourd sac dans l'autre. Je les dépose ensuite tout deux sur mon canapé et allume la télé.
- Nous vous rappelons de ne pas sortir de chez vous et de bien vous protégez, la tempête qui se prépare risque de faire des victimes.

Prochain thème:
Un jeune homme
qui devient vampire
il n'aime pas ça

[Nobody-book]

Non, Sheireen98 il est bien ton texte. Je m'attendait à un truc genre Twilight...ça me soulage !

[layla]

un écrivain qui manque d'inspiration et dois finir son bouquin pour la fin du mois
il rencontre un petit garçon très malade qui adore ses livres
il finit son livre et l'offre au petit garçon

Contrainte :
faire apparaître le point de vu du petit garçon.



Debout,la tête entre les mains,il comtemplait les pages blanches .Il était en panne d'inspiration.Pourtant, il devait finir son livre pour la fin du mois si il voulait sa paye.Abbatu, il sortit prendre l'air.Dans la parc à coté de sa maison,il vit un petit garçon en fauteuil roulant branché de partout.Du liquide gluant coulant de la poche à ses veines.L'enfant lisait avidement,les yeux grands,équarquillés d'attention.L'écrivain,s'approcha :
-bonjour !excuse moi de te deranger ,mais,quel sorte de livre lit-tu ?

L'enfant,interloqué,releva la tête :
-heu...c'est du fantastique.C'est un monde avec des dragons qui protègent un empire contre des attaques.
-passionants !j'aimerais tant avoir des idées comme cela !
-pourquoi ?vous écrivez un livre ?

Et l'écrivain lui expliqua sa situation.A la fin,il donna son début de livre à l'enfant qui prommit de le lire.Le lendemain,ils se rejoignèrent et l'enfant dit :
-c'est nul votre livre.C'est un conte de fée à l'eau de rose.
Paf.
L'écrivain réfléchit à ces paroles.Le lendemain,il écrivait.D'un geste fluide;les mots les venaient tout seuls a l'esprit.Le surledemain,il rendit son livre,fier .







un jeune femme est perdu dans une ville inconnue
un passant l'accueil
ils tombent amoureux

contraintes :décrire les rétissansses de la femme a aller chez un inconnu

[Nobody-book]

Houlà ! Pas facile ! Y'a pleins d'idées qui me viennent à l'esprits !


"Sonoir sur l'étang".
ça ne me dit rien. Jamais entendu parler. Pourtant, je viens du coin !
Mais mon GPS anti-démon est formel, c'est ici qu'il se trouve. Il, c'est un démon, venu ici pour passé des vacances. C'est sûr que notre bonne vieille terre sur-pollué, comparé aux Enfers, c'est le Club Med.
Il se serait réfugié ici, dans ce trou paumé et aurait montré son apparence démoniaque à un habitant que je dois trouver pour interroger.
Je gare ma voiture dans une petite allé et parcours le village à la recherche du plaignant. Mais son adresse n'est indiquée nul part.
Au bout d'un certain temps, il se met à pleuvoir. Oh non ! Je suis ridicule avec mon débardeur et ma petite veste de 1cm d'épaisseur !
- Qu'est-ce qu'une demoiselle comme vous fiche au fin fond de la campagne et part un temps pareil ?
Je me retourne vivement et fais face à un beau jeune homme aux cheveux noirs de jais et aux yeux rouges.
C'est un démon. Le démon que je recherche, j'imagine.
Que faire, alors ?
Bonne question.
- Je cherche quelqu'un, dis-je, n'hésitant pas à faire sauter ma couverture. Et je crois que c'est vous.
- Ah ?
- Oui, vous êtes un démon c'est ça ?
Il hésite.
- C'est ça.
Marrant, il est honnête et en plus il ne m'a pas encore tué. Cette situation devient embarrassante du fait que je suis chasseuse de démon et que je n'ai pas encore remplis mon devoir.
Alors, je sors mon pistolet anti-démon. Un pistolet à eau.
C'est logique, tout être de feu déteste l'eau.
Ma victime ricane.
- A quoi vous jouez ? Allez, rangez -moi ça.
Je ne baisse pas mon arme et continue de le fixer d'un air décontenancé. C'est un démon j'en suis toujours aussi sûre, mais pourquoi diable ne m'a-t-il pas encore attaqué ?
- Bon ça suffit, suivez-moi que l'on règle tout cela.
Et il me prend fermement par la main, m'empêchant de me libérer et me conduits dans une maisonnette. Là, il me fais m'asseoir, me sert du thé que je ne bois pas et me demande:
- Pourquoi faites-vous ce métier.
- Parce que l'un des vôtres à tuer mes parents. Je les ai vengés depuis, je rajoute avec un sourire carnassier.
- Et maintenant que vous les avez vengés, pourquoi continuez-vous à exercer ce métier barbare.
Je souris. Il est culotté !
- Et c'est un démon qui me dis ça ?
Il hoche la tête puis ma prend par le bras et sans que je m'y attendes, m'embrasse.
Je ne résiste pas.


Bon, désolé, je ne crois pas je j'ai bien respecté la consigne , mais à la fin, les personnages sont amoureux, c'est l'essentiel, non ?
La fin du monde
quelqu'un tente d'y échapper
il meurt

[fruitbasket83]

un jeune femme est perdu dans une ville inconnu un passant l'accueil ils tombent amoureux
Je repense pour la dixième fois devant ce grand bâtiment, mais ou suis-je je ne vais vraiment pas m'en sortir je ne sais pas du tout où je me trouve. Je continue de marcher je ne sais pas quoi faire, je suis perdue et mon téléphone n'a plus de batterie. Je bouscule une personne au passage. Mais quand il se retourne je vois son visage et aucun son ne sort de ma bouche je suis paralysée devant sa beautés il a un visage parfait mais j’exagère surement. Puis je me rend conte il faut que je parle.
-Oh, excuser moi de vous avoir bousculer j'étais dans les nuages.
-Ce n'est pas grave mes pourquoi étier vous dans les nuages ? me demande t-il avec un sourire au lèvre
-Je suis comment dire un peu perdu je ne sais pas du tout ou je suis.
-Vous êtes complétement perdu plus tôt vous ne pouver pas joindre vos proches ?
-Non.
-Eh bien vener cher moi j'y aller justement ce n'est pas loin vous aurer moins froid et vous pourrais contacter votre famille.
Je ne dit rien et le regarde les yeux rond, je ne suis pas très sur si je peut aller cher un inconnue comme sa je ne connais rien de lui. Si sa se trouve c'est un psychopathe, un droguer, un fou échapper d'un asile. Et une personne qui invite une passante cher lui c'est pas normal. Si sa se trouve il veut me violer ?!
-Alors ?
J’hésite mais son sourire me fait céder en même tant j'ai froid et je veut contacter ma famille je n'ai pas trop le choix.
-D'accord je vous suis.
Il a l'ai heureux une fois arriver cher lui je suis surprise de voir que la décorations est magnifique et que tous est rangée il a deux beau canapés blanc et un carrelage de couleurs crème et un beau tapis avec de magnifique dessin. Il me fait un geste pour m'inviter a m'assoir, il s'assit lui aussi a cotés de moi et nous commençons a parler de comment je me suis perdu de lui, de sa vie et de moi, de ma vie. Le temps passe si vite nous avons parler toute l’après midi je ne me rend conte de l'heure que quand je vois les étoiles par la fenêtre.
-Je n'ai pas vue le temps passer il faut que j'appelle ma famille !
-Vous ne voulez pas encor rester ici ?
Il s'approche de moi avec des yeux briant de tendresse et me caressent la joue de la main avant de m’embrasser.
-Je t'aime d’ais que je t'ai vue j'ai eu le coup de foudre
-Moi aussi, je t'aime

[PowerOfWords]

BOUM ! Grrooouuuummmmm !
Je frissonnais alors que le tonnerre faisant encore trembler la surface de la Terre, et tout mon être avec. Je me secouai et enfonçais une autre paire de basket dans mon sac, puis je sortis de mon appart en courant, ne voulant pas entendre les cris de mes voisins timbrés et blindés d'enfants.
_ Le monde est devenu foooouuuuu ! hurla un homme aux cheveux hirsutes.
Nan, sans blague ! eus-je envie de répliquer. Je n'en fis rien et m'élançais.
J'étais athlétique. Il fallait dire qu'après cinq années de football américain, je ne pouvais qu'être résistant et fort.
Je ricanais entre mes dents serrées. Si mon père était là, il verrait que le foot sert, finalement !
Je slalomais entre les maisons délabrées, les déchets éparpillés, les espoirs de vies laissés aux oubliettes. tout n'était que silence et tristesse. Tout, sauf moi.
Il faut que je me tire, et vite ! pensais-je en m’engageant vers les lignes de métro abandonnées.
Je les trouvais facilement, les ayant empruntés des centaines de fois. Ils étaient déserts et noirs. Je me remis à courir, avec cette fois ci pour limites les deux bords des rayes, faiblement éclairés par mon Iphone.
_ Oh moins un truc qui a survécu !
Ma voix me donna la chair de poule dans ce corridor froid.
Froid comme ma mère, grognais-je intérieurement.
Bref...
Un bruit de métal m'arrêta. Était-ce encore le tonnerre ? Sans aucun doute.
_ Humain !
_ Pardon ?
_ HUMAIN !
Je me retournais et... me retrouvais face à deux filles blondes pire que canon ! Les yeux pétillants, à moitié nu, c'est comme si la fin du monde faisait un ultime cadeau.
_ Salut beautés !
_ Viens, humain.
_ Avec plaisir !
Difficile de dire non. Je m'approchais et elles ricanèrent. C'est seulement alors que je remarquais que leurs yeux ne pétillaient pas, ils flambaient. Leurs vêtements n'étaient pas court, ils étaient déchirés.
Maculés de sang.
_ Oh put...
Je ne finis jamais la phrase la plus censée de toute ma vie.
Ma dernière pensée fut pour mon père. Comme quoi, j'avais peut-être eu les muscles pour fuir la fin du monde, mais pas l'intelligence !


C'était pas facile :p


C'est la fille la plus belle, populaire et parfaite de l'école
Son petit ami (beau goss) lui annonce qu'il est un loup-garou
Elle le quitte, il est fou soit de tristesse soit de colère

Contrainte : point de vue des deux

[fruitbasket83]

Je retourne l’appareil photo dans les main encore et encore pour mieux l'observer.
-Tu est sûr de ce que tu dit ?
-Oui, je te jure.
-Alors celons toi cette appareil est le fameux appareil photo maudit qui est dans cette rumeur qui court ?
-Oui et si c'est nous qui l'avons trouvé regarde se cahier tu ne vas pas me dire qu'il est pas parti en courant en criant de l'aider ?!
-Je ne suis pas très convaincue, on a peut-être halluciner ?
-Tu est sur qu'on a halluciner moi je trouve que c'était bien plus que réel !
-On devrait peut-être demander l'avis d'autre personne qui en save plus sûr ce fameux appareil photo maudit avant de le réutiliser, non ?
-Oui tu a peut-être raison.
-Pas peut-être j'ai raison si il y a le mot maudit dedans c'est qu'il y a une raison.
-Oui sa va on a compris, mais un cahier qui parle je voit pas ce que sa a de dangereux mais si tu insiste on devrais aller demander a James c'est lui qui est toujours au courant des rumeurs.
-Oui normal c'est un fouineur et les cahier peuvent crée une armée et se révolter !
-Mais oui tu regarde trop la télé toi ah ah !
On a commencer a chercher James dans tout le lycée et on a fini par le trouver a la cafette on c'est assissent a cotes de lui avant de lui pauser nos questions.
-Alors tu peut nous en dire plus sur cette appareil maudit de la rumeur
-Oui bien sur pour qui vous me pennés je sais tous et vous voulez savoir quoi exactement ?
-Tout !
-Oui, tout !
-Ben c'est un appareil qui redonne vit au a ce qu'il a prit en photo autant un vase qu'un mort.
-Et pourquoi il est maudit si il ressuscite les mort ?
-Par ce que c'est un objet maléfique les mort après il veulent faire le mal autour d'eux c'est ce qui est arrivés dans l'histoire.
-Les mort voulez faire mal au gens ?!
-Non, les mort voulais tuer les gens c'est d’ailleurs ce qui est arriver au garçon a qui a appartenu l'appareil : un jour il est aller au cimetière pour rendre visite a son grand père il a pris sa tombe en phot avec les fleurs et son grand père est sorti de terre et la bouffer.
-Au mon dieu !
-Donc les morts étaient des zombies ?!
-Oui c'est un peu ça.
-Donc il faut a tout pris détruire cette appareil photo avant que quelqu’un ne prenne en photo un cimetière.
-Ou pire !
-Donne il faut marcher dessus et le détruire en mille morceaux !
-Je croyais que c'était toi qu'il avait ?
-Ne me dit pas qu'on a plus l’appareil ?!
-Je croit bien que si.
-Au non !
Nous avons après chercher dans tous le lycée rien a faire il avait disparu quelqu'un avais du le prendre. On a essayer de prévenir la police il ne nous on pas cru. Donc chaque jour nous nous réveillons avec la peur de se faire attaquer par des mort.

[fruitbasket83]

-une ninja
-doit voler un objet pour une mission
-Tombe amoureuse de la personne qui a l'objet

Contrainte : sa se passe en chine

[Nobody-book]

- En Chine ?!
Mon maître hoche la tête, puis moi les épaules. La Chine, d'accord c'est loin, mais c'est LE pays des arts martiaux.
J'accepte donc avec honneur la mission qui m'a été offerte par mon maître en arts martiaux: Mr Bang Bao.
Le seul problème c'est justement l'intitulé de cette mission: dérober un objet mystique à un homme d'affaire vivant à Pékin. Une grande ville, qui plus est surpeuplé, n'est pas l'endroit parfait pour une ninja telle que moi.
Mais dans mon métier, on a apprit à respecter le maître. Alors je ne me plains pas et prends, dès le lendemain à l'aube, un avion pour Pékin. J'arrive tard le soir (heure française) mais tôt le matin en Chine. Là je ne pers pas de temps et me dirige vers la villa de ma cible.
Mon dieu ! 上帝 ! Comme diraient les chinois.
C'est beau ! A la manière de la Cité Interdit, la villa est construite à la mode de la vieille Chine et fait la taille d'au moins deux terrains de football. Mais ça suffira comme ça pour les description; je n'en ai pas le temps.
Je contourne le grand "palace" et réussi à trouver une entrée discrète et peux ragoûtante pour ceux qui me lise en train de manger: la déchetterie. Oui, il a une déchetterie personnel.
Je sens que je ne vais pas l'aimer celui-là.
Si je le croise.
Car les ninja sont nés pour le camouflage.
J'entre donc et me dirige jusqu'à (oh surprise !) un petit coffre-fort, caché dans une salle secrète que j'ai mis trente secondes à trouver. Là, je compose le mot de passe super-classique (sa date de naissance) et file à l'anglaise, retrouve mon maître et lui rapporte le mystérieux objet.
Bien-sûr, c'est trop beau pour être vrai. A peine ai-je refermé le coffre qu'une alarme se déclenche, me laissant à la merci de l'homme d'affaire; un jeune homme assez beau qui me regarde avec un sourire amusé.
- Heu...tu veux que je te rendes ton truc ?
Heureusement, il ne m'a pas entendu, car le son de ma voix est couvert par le bruit incessant de mes battements de coeur.
C'est ça l'amour ?

Et voilà ! Je me suis bien amusée, merci fruitbasket83 !
Bon, passons au choses sérieuses... le prochain thème !
l'apprenti de la Mort
qui doit tuer
la personne qu'il aime (pour se la jouer fleur bleue )

PS: le chinois, c'est de l’authentique (enfin je crois... )

[Adria]

Il fût une époque où les hommes se battaient dans des dangereux tournois qu'on appel joute.
Ces batailles mettaient à l'épreuve la bravoure, la force et la foie de ses participants mais c'était avant tout pour impressionner les femmes encore célibataires. Ce jour là, les hommes combattaient surtout pour femme en particulier, Emma. Sa beauté était sans égale et faisait battre le cœur des preux chevaliers en un battement de cils.
Théobald avait eu l'honneur de la rencontré quelques mois plus tôt en tomba aussitôt follement amoureux, elle était belle, intelligente et d'une extrême gentillesse.
Théobald avait jusqu'à lors eu l'habitude de jouter seulement pour sauver et rétablir l'honneur de sa famille, il était le fils d'un ancien chevalier qui avait eu l’affront de déserter le champ de bataille et qui était devenu un modeste pelletier(*2), mais cette fois les motivations du jeune chevalier étaient autres, obtenir le cœur de sa belle.
Il enfila ses 45kg d'armure de plaques et son heaume(*1), Il se hissait sur son destrier à partir d’une sorte de marchepied et son écuyer l’aidait juste à mettre le pied à l'étrier.
Il se mit en place attendant son tour, le cœur battant comme jamais auparavant, il n'avait jamais eu aussi peur de sa vie, ma de combattre et d'y laisser sa vie mais de perdre le cœur de la douce Emma.
Il lui lança un regard avant de s’élancer sur le terrain de joute, c'était le moment de donner tous ce qu'il avait.

Son heaume l'empêchait de voir à moins de deux mètres devant lui, les gouttes de sueur qui tombaient de son front n'arrangeaient guère les choses, mais il n'avait plus le choix, c'était combattre ou renoncer à sa fierté.
Il eu du mal à contrôler le cheval, il avait un mauvais pressentiment.
Les chevaliers galopaient alors le long de cette lice en sens inverse, Théobald positionna sa lance, trop tard. Un premier coup le heurta en plein abdomen, il dû s'accrocher de toutes ses forces à la scelle pour ne pas tomber et parvint difficilement à retrouver l’équilibre.
Il entendit les spectateurs applaudir satisfait du spectacle. Il regarda Emma qui était au bord des larmes, elle n'avait jamais aimé ces tournois mais y était obligée d'y assister. Il retira son heaume, le jeta au sol et lui sourit, Emma lui cria après mais les bourdonnements dans la tête de Théobald l'empêchaient d'entendre.
C'était repartie, il s'élança dans le combat, jouant quitte ou double. Il réussit à esquiver son adversaire lui assignant même un coup au passage, fît demi tour pour l'achever.
Au moment de brandir sa lance, une douleur dans l'abdomen le prit de court, l'adrénaline lui avait fait oublier sa blessure mais son corps le rappela à l'ordre. C'est à ce moment où tout est devenu flou pour Théobald, il était au sol et ressentait la froideur envahir peu à peu son corps. Les spectateurs hurlaient de stupeurs et d’effrois, bien qu'il ne fût pas rare que ce genre d'événements se produisent, c'était toujours un grand choc, les femmes se mirent à hurler, les enfants à pleurer et les hommes en voulaient encore plus.
Seule Emma se souciait vraiment de ce qui arrivait au jeune chevalier.
Elle le prit dans ses bras, et lui murmura "Renoncer, je vous avez bien dis de renoncer", il voulu lui répondre mais de sa bouche ne sorti que du sang.

Le cœur de Théobalt ralentissait, ses yeux sortaient pratiquement de leurs orbites, son souffle était court et la douleur dans ses poumons bien trop forte, il fixa une dernière fois les grands yeux bleus d'Emma, heureux de réaliser son souhait, mourir à ses côtés.

(*1: Casque des chevaliers)
(*2: Fabriquant ou vendeur de fourrures)

Désolée, c'est un peu "cucul" mais c'est l’inspiration du moment xD

Une fille solitaire
Qui est en colère
Et qui parle à un miroir

Contrainte : Expliquer les raisons de la colère de la fille par le Miroir

[Nobody-book]

- Miroir mon beau miroir, dis moi qui est la plus belle !
Bien-sûr, il ne me répond pas, ce qui accentue un peu plus ma colère.
Je me regarde dans la glace. Mon visage n'est pas laid mais est creusé par la fatigue, la colère ne me fait plus dormir.
Je sais que je n'ai pas mériter ça. Et c'est ce qui m'énerve le plus.
Mon visage devient alors rouge et je me mets à crier de rage.
Puis un détail m'intrigue. Mon reflet ne pleure pas. Il reste calme et m'observe d'un air intrigué.
- Qu'y a-t-il ? me demande t-il.
Je l'observe à mon tour et lâche la phrase maudite:
- Je suis seule.
Mon reflet devient rouge, comme moi tout à l'heure, mais ne crie pas de rage; il éclate de rire.
- Et c'est pour ça que tu est en colère. Tu as ta compagnie, c'est déjà ça.
Je ne dis rien à cela. Je crois qu'il a raison.

C'est pas top mais au moins j'ai essayé. Sinon, Sheireen98, ton texte était merveilleux, décidément tu écris bien !!
une autre planète
comme la notre
où les hommes seraient des animaux de compagnies

contrainte: le texte n'est pas raconter par un humain

[fruitbasket83]

Elle entre dans la pièce ou je me trouve et pousse un jurons alors quelle balance tous se qui se trouve sur sa table de chevais : un livre, une lampe, des bijoux ... Mais qu'est ce qui lui prend elle qui est si calme d'habitude ? Enfin elle se calme et s’assoie devant moi le visage inondée de larme et commence a se regarder. Elle s’essuie le visage d'un revers de main et commence a me parler comme elle le fait toujours car, personne ne l'écoute vraiment a pars moi :
J'en est marre, je suis seul personne ne m'écoute mes parents se dispute a chaque fois que j''arrive cher moi. Et mes amies, je n'en est pas en classe quand j'arrive il chuchote tous des choses dans mon dos j'essaye de faire des effort d'aller vers les autres : il me traite de folle et me balance leur canette a la figure. J'en est marre !
Elle met sa tête dans ses bras et recommence a pleurer. Pendant quelle parler elle avait de drôle d'expression et elle avait la tête toute rouge de colère. La pauvre tout sa a cause de ses parents et de ses idiots de camarades : elle avait emménager ici il y a 2 mois a cause du travaille a son père et elle c'est de suite fait rejeter par ses camarades par ce qu'il ne se connaissait pas. Je suis sur que si ses camarades apprenait a la connaitre ils l'adorerait par ce que moi je l'adore. Elle était joyeuse avant quand on habiter là-bas. Si seulement elle redevenait comme sa.

une femme dans la rue
une personne la mord
elle se transforme en vampire

contrainte : expliquer se quelle ressent quand elle se transforme

Et je suis super contente que Nobody-book est aimé mon thème

[PowerOfWords]

Un grand coup de vent me fit frissonner et je resserrais ma veste autour de moi. Les rues étaient désertes surement à cause de l'heure - 3h30 du matin, vous trouvez ça humain franchement ? - et la seule chose dont je rêvais c'était mon lit. Je venais de finir mon service au bar, après avoir fermé boutique. McKenzie m'avait encore bien soûle. Quel patron débile ! Fais ci, fais ça, nan pas comme ça... Insupportable.
Je levais les yeux au ciel. C'était vraiment dommage que la pollution lumineuse de la vie empêche de voir les étoiles. San Francisco avait beau avoir une superbe colline pour admirer les astres, en centre ville, tout était noir. Noir comme le grill que McKenzie pouvait se mettr...
_ Salut poupée.
Je sursautais et m'arrêtais. A l'autre bout de la rue, adosser au mur, se tenait le plus bel homme du monde. Grand, athlétique, il avait de larges épaules et une taille fine, musclée. Ses cheveux bruns en bataille lui donnait des allures d'ahuries, s'accordant avec son tee-shirt blanc froissé et son jean noire déchiré. Pourtant, tous ses gestes transpiraient l'élégance et la beauté, comme si il avait été façonné par elles.
_ Salut, répliquais-je d'une petite voix.
Il se décolla du mur et s'approcha de moi avec une démarche insolente.
_ Quel est ton petit nom beauté ?
Beauté ! Je ne pus m'empêcher de sourire.
_ Aurore. Et toi ?
_ Aurora, Aurore... C'est totalement de circonstance.
Je déglutis.
_ Pourquoi donc ?
_ J'ai décidé de t'offrir l'aurore de ta vie, ma chère. Le commencement de tout.
Je fis un pas en arrière. Son visage s'était modifié. Toujours aussi beau - il avait des traits ciselés par Michel Ange en personne ! - son visage était maintenant froid, inexpressif.
_ Qu'est-ce que tu veux ? m'impatientais-je.
Si cet Apollon croyait qu'il pouvait jouer avec mes nerfs, c'était loupé.
_ Ca, susurra-t-il.
Et il fut juste devant moi. A quelques millimètres de moi. Si soudainement que j'en fus pétrifiée.
Lentement je levais mes yeux vers lui. Et je crus que mon coeur allait exploser.
Sang. Ses yeux étaient rouge sang.
Il poussa doucement une de mes mèches blondes derrière mon oreille, faisant frissonner ma peau avec une telle violence que je crus tomber. Il approcha son visage et ses lèvres frôlèrent les miennes, embrumant mon esprit. Je n'arrivais même plus à penser.
_ On se retrouvera au levé du soleil, Aurore.
Il planta ses dents dans ma nuque et le monde explosa. alors que j'étais engourdie par des centaines d'émotions contradictoire - l’étonnement, la colère, l'envie, la peur, le désir - mon corps fut réveillé par une chose atroce.
La douleur. La vrai. A l'état brut, fondamental. C'était comme si un liquide gelé se déversait dans mon corps, et que pour chaque endroit, chaque organe, chaque cellule, il pulvérisait toute la consistance même de mon corps pour la remodeler. Ma vue se voila, mon ouïe disparut, mon touché n'était plus, j'étais comme prisonnier d'une sphère de douleur noire, gluante, omniprésente.
C'est McKenzie qui serait content... fut ma dernière pensée avant le néant.

Pam. Pam. Pam.
Des pas. De pieds. Humains. Taille 42. Semelle en cuir. Qui s'approchent. Venant du sud-est.
Je me redressais, droite comme un i, et ouvris les yeux sur l'indésirable.
L'homme magnifique de la veille se tenait au milieu de la rue déserte.
De la veille !?
_ Qui es-tu ?
_ Celui qui t'a apporté le commencement.
_ Le commencement de quoi ?
_ De la vrai vie, Aurore.


J'espère avoir répondu à tes attentes

Des gens dans un vaisseau spatiale
Un garçon veut épouser une fille
Les parents de la fille, puissant, ne veulent pas de lui

Contrainte : Expliquer pourquoi tous ces gens sont dans un vaisseau spatiale et où ils sont exactement

[fruitbasket83]

Au que oui tu a répondue a mes attente se que tu a écrit PowerOfWords était super tu t'est gavé contente que mon thème t'est permis de faire sa !!!

[PowerOfWords]

Merci beaucoup c'est super gentil ^^

[Nobody-book]

C'est vrai qu'il est génial. j'ai beaucoup aimé. Et puis c'est bien écris.