Comment ose-tu être aussi sadique et immorale à la fin de ce chapitre, de ce tome et de ce récit ?!
"Vous savez que celui qui vous parle va survivre ; ainsi, vous craignez peu pour sa sécurité physique...", Jack KETCHUM, A propos de l'écriture d'
Une fille comme les autres. ( Que je t'invite à lire, je pense qu'il devrait t'intéresser ).
Non plus sérieusement, à mon goût, tu n'as pas le droit de tuer ton personnage principal, ton narrateur interne. Pourquoi l'as tu donc fait ? Et j'attend une réponse ! Surtout que cette pauvre âme survie à tout et là...non, tu ne peux pas. J'ai l'impression que, pour finir ton récit, tu le fais finir par sa mort et puis basta. Non ! N'as-tu jamais lus de compte ? "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Cela ne te dit-il rien du tout ? J'attend vivement ton justificatif de cette mort !
Bref, passé cette folie pure, j'ai énormément eu de mal à me séparer de mon portable pour lire ce récit entièrement, tellement il était bien.
Le scénario est bien cousue, les personnages aux passés différents sont bien tissé. On a parfois du mal à se dire que tout ce qui leur est arrivé était quand ils étaient jeunes mais, vu quand deux mois, il se passent énormément de rebondissements et que ma vie actuelle ressemble à cet interminable temps qui ne semble pas passer alors qu'il se passe énormément vite, je comprends ! (As-tu comprend cette longue phrase ?
)
Quelques points négatif seulement : tout d'abord, ta ponctuation ! Je n'ai pas forcément d'exemple mais parfois, j'ai pu remarquer que des virgules inexistantes ou mal placés rendait difficile la compréhension du récit. De plus, avec les fautes de frappe, faute d'orthographe et parfois oublie de mot, cela n'arrange pas grand chose.
De plus, les dialogues. J'aurai aimé que tu espace par une ligne vierge les dialogues du récit du narrateur, cela aurait été, je pense plus léger et plus compréhensible.
Toi :
— Rien de particulier, ça va ?
Mais il cherche quoi à la fin ? Est-ce que moi je m'occupe de ses affaires.
— Fous moi la paix !
Ma répartie légendaire vient encore de frapper.
Moi :
— Rien de particulier, ça va ?
Mais il cherche quoi à la fin ? Est-ce que moi je m'occupe de ses affaires.
— Fous moi la paix !
Ma répartie légendaire vient encore de frapper.
De plus, voici un autre exemple différent ou le narrateur ajoute quelque chose.
Toi :
— Ce n'est pas un mal tu sais ? Pas dans un monde comme le notre et pas avec... il hésite et lâche une autre bombe :
— Ton gabarit.
Moi :
— Ce n'est pas un mal tu sais ? Pas dans un monde comme le notre et pas avec..., il hésite et lâche une autre bombe, ton gabarit.
Enfin bref, c'est ce que j'aurai fait, je peux me tromper, libre à toi de choisir.
Ce que je regrette aussi, c'est qu'il manque de descriptif des émotions et des sentiments traversant le personnage principal. J'ai parfois du mal à comprendre ses sautes d'humeurs. Et même, à certains passages, j'ai eu du mal à comprendre de quoi les personnages pouvaient bien parler. Je peux te trouver quelques exemples si tu ne vois pas de quoi je veux parler.
En tout cas, tu nous plonges dans un univers (un peu) cruel, dystopique à la Hunger Games sans être une vulgaire copie de cette trilogie. Cependant, je ne sais pas si je suis pour ou contre, mais tu n'expliques pas comment cette
division du monde a eu lieu. Je pense que tu aurais plus pousser le vice de la cruauté en approfondissant le récit. Je pense néanmoins au chapitre où Talis se fait "violer". Je m'attendais, en lisant ton avertissement que la scène allait vraiment être cruelle et pleine de sadisme et, au final, je n'ai pas vraiment sentie la barbarie des agresseurs. Ainsi, je t'incite vivement à lire
Une fille comme les autres. Et je t'incite a plus approfondir les sentiments et émotions qui traversent tes personnages. Du moins, c'est ce que je ferais.
Désolée si tout est un peu confus, ce n'est pas évident de critiquer trois tomes et de se souvenir de tout. Néanmoins, malgré tout, je le répète, ton histoire est très, très bien. Je crois que, si je la trouverais dans une librairie, j'achèterai les éditions.
Je crois que j'ai tout dis sur ce récit. Merci
