Le jeux des images (une image -> un texte)

[kaitlineverdeen]

Dans sa robe rose vaporeuse
Elle marchait a cloche pied.
Qu'elle était belle sur ses jambes fines et graciles
Jamais rien ne pourrait l'arrêter
Tout le monde s'arreterait,
Mais rien n'y fait.
Je vois le train s'approcher
Je lui crie de filer
Mais elle n'écoute pas,
Elle n'entends pas.
C'est vrai j'ai oublié, elle est sourde
Elle allait mourrir
Je voulait la sauver
Elle est trop jeune pour mourrir
Je vois le train arriver
Filer
Il ne s'arretera pas
Il ne s'arretera qu'au prochaine arrêt
Je vois le train l'emporter
Je la voit filer
Je vois le train continuer
Je me met a pleurer
Cela ne la Ferat pas revenir, je sais
Mais des larmes telles des perles
Roules sur mes joues
J'ai laissée ma petite soeur mourrir

[1swan1]

Très beau poème, kaitlineverdeen, vraiment. (et trop triste, aussi )

[1swan1]

Bon, j'ai trouvé une image que je trouve vraiment cute (je suis un peu bizarre) Donc, voilà! J'espère que ça va inspirer quelqu'un!

[Alexiali]

on dirait qu'un enfant vient de trouver un mini dragon et que ce dernier vient de cracher un peu de feu ^^

[Alexiali]

oups voici la photo :

images.jpg (5.8 Kio) Consulté 740 fois

[margotte73]

C'est tellement triste la pluie. C'est comme si le ciel pleurait. J'aimerais que le soleil brille et que l'herbe luise. J'irais jusqu'à la balançoire en courant et je me balancerait, toujours plus haut, je m'envolerais. Puis mon père me dirait de sa voix douce: "Doucement ma chérie, ou tu partiras tellement haut que même les oiseaux ne te verront plus. Et moi je resterais tout seul, qu'est-ce que je ferais sans toi?" Alors je retoquerais: "Et bien tu iras à ton tour sur la balançoire et tu me rejoindra sur la lune!"
Mais pour finir, c'est lui qui s'en est allé, et moi qui suis seule.
C'est tellement triste la pluie.

[cathys]

Allez, je m'incruste! (Vous l'avez peut être remarquer, mais je suis nulle en écriture )

Je lève la tête. Le plafond est lumineux."Peut être que, si je touche ces étoiles, j'en deviendrais une, moi aussi?" Je me dis en baissant finalement les yeux vers les petites flammes qui dansent à mes pieds, sur l'eau presque noire, reflet de cette nuit, sans lune. Au dessus de moi, je devine ton étoile. Celle que tu m'a montré, en traitant mon père de voleur. Celle dont tu disait qu'elle nous suivrais toujours. Celle dont j'avais dit tant de mal, pestant sur le fait qu'elle serais toujours trop haut pour nous deux. Alors tu m'avais dit que pour moi, tu irais là haut la décrocher.

Mais je ne pensais pas que tu irais vraiment.

[Lisamargot]

Aujourd'hui, c'est l'été. Maman a enfin accepté que je sorte m'aérer avec Max, mon petit berger allemand. La plage est calme et déserte, léchée par le ressac. J'ai toujours adoré cet endroit, c'est le seul où je me sente vraiment libre, vivante et sereine. Le vent du large chargé de sel caresse mon visage, fait voler mes cheveux et vivifie ma peau. L'odeur d'iode est omniprésente, forte mais agréable. Elle m'emplit de nostalgie : elle me rappelle le temps où mon père et moi faisions du char à voile sur la plage, riant et courant comme des enfants, insouciants de tout ce qui nous entouraient, juste libres et heureux. Puis la mer qui me l'a prit. Je devrais lui en vouloir, mais elle continue à me fasciner.

Aujourd'hui, c'est l'été. Un parmi tant d'autres, pourtant, c'est aussi un anniversaire. La pierre enfoncée dans le sable est gravée de lettres formant un nom, et en dessous, un chiffre : 365. Cela fait 365 jours que cette vague me l'a arraché...

Aujourd'hui, c'est l'été, et la mer s'abreuve de mes larmes.


Je suis d'humeur mélancolique aujourd'hui ^^

[Alexiali]

Je voulais te retrouver... Tu a appris la vérité à mon sujet.
Je voulais te retrouver... Je te courrais après depuis que tu a appris la vérité à mon sujet.
Je voulais te retrouver... Tu t'étais caché dans ce phare depuis que tu a appris la vérité à mon sujet.
Je voulais te retrouver... Tu étais monté tout en haut depuis que tu a appris la vérité à mon sujet.
Je voulais te retrouver... Je te suivais toujours depuis que tu a appris la vérité à mon sujet.
Je voulais te retrouver... Je regardais les escaliers qui me séparaient de toi depuis que tu a appris la vérité à mon sujet.

index.jpeg (7.16 Kio) Consulté 722 fois

[Elo971]

Faut croire que ça inspire peu de gens xD J'en mets une autre, y'aura le choix, comme ça

[Allis]

L'image avec les pendus m'inspire donc voici un petit texte




Une nuit, deux amants se sont pendus.

Pourquoi? Elle était condamnée à mourir lentement, il était condamné à mourir , au plus tard un an après. Ils s'étaient rencontrés dans cet hôpital, ils se comprenaient. Ils avaient vu l'impuissance de leurs familles, la fausse compassion des médecins, l'incompréhension des autres face à leurs réaction.
Ils avaient compris qu'ils s'aimaient, et que cet amour ne pourrait pas durer dans la vie. Elle ne voulait pas se trouver seule incomprise dans un monde qui se fichait pas mal qu'elle vive ou qu'elle meurt.
Ils avaient alors décidé qu'ils s'aimeraient par la mort, et pour l'éternité.

Une nuit, dans la cour, ils sont montés sur la branche, ils se sont passé délicatement la corde au cou, comme on passe l'anneau au doigt. Et là, ils se sont enlacés pour l'éternité.

On les a retrouvés là au matin, personne n'a comprit. Mais ça, ils le savaient déjà. On a vite enterré leurs corps, et puis le monde est passé à autre chose. Ils étaient déjà morts dans les esprits des seuls qui auraient pu se rappeler d'eux.

Mais pourtant, à voir ces deux corps à l'air si calme, les mains entrelacées dans la mort, certains n'ont pu qu'imprimer profondément en eux cette image.

Depuis, on raconte que certaines nuits, on voit un couple pendu se balancer lentement, main dans la main.
Mais au matin, il n'y a personne.

[Elo971]

Bien trouvé Allis, c'est joli

[kaitlineverdeen]

Viendras-tu, oh viendras-tu,
Me retrouver au grand arbre,
Où ils ont lynché leur soi-disant meurtrier
Des choses étranges s'y sont vues
Et moi j'aurait tant aimé te revoir à minuit à l'arbre du pendu

Viendras-tu, oh viendras- tu
Me retrouver au grand arbre,
Ou le mort a crié a sa belle de filer
Des choses étranges s'y sont vues
Et moi j'aurait tant aimé te revoir à minuit à l'arbre du pendu.

Viendras-tu, oh viendras- tu,
Me retrouver au grand arbre,
Et partir avec moi comme je te l'avait demandé,
Des choses étranges s'y sont vues
et moi j'aurait tant aimé te revoir à minuit à l'arbre du pendu.

Viendras-tu, oh viendras- tu,
Me retrouver au grand arbre,
Porter un long collier de chanvre à mes cotés
Des choses étranges s'y sont vues
Et moi j'aurait tant aimé te revoir à minuit à l'arbre du pendu.

La chanson c'est hunger games je sais mais c'était trop tentant !

[Allis]

Merci ^^

[Clemt]

Malveillante.
Forcée de faire le mal.
Son innocence perdue la tourmente.
Jour et nuit
Nuit et jour
Facette sombre de sa personnalité,
Aux yeux du monde elle est ténèbres,
Son coeur saigne, de la perte
De son innocence perdue

[Emy-Lou]

Ce etait trè beau clemt ! ^^ Et Katilineverden aussi j ai bien aimé le tien ^^

[Emy-Lou]

Deja Salut a tous! j aime beaucoup le concept de ce topic : textes a partirs d images
Alors voila j en poste une pour vous , ( j essayerais de postai moi aussi un texte dessu)
Bon voila j espaire que elle va vous inspirai

[kaitlineverdeen]

C'était un jour de pluie,
La petite fille était mouillée, trempée,
Elle essayait de le rattraper,
Tel un oiseau envolé.
Mais ce papillon prenait son envol pour changer de vie.
La petite fille, elle se brisait de chagrin.
Pliée en deux elle suppliait :
Pourquoi laisser ce papillon s'envoler s'enfuir, et la laisser malheureuse ?
Tout simplement car c'est la vie et la vie est injuste.

[1swan1]

J'adore cette image!

Il pleut.
Il pleut partout.
Il pleut sur tout.
Tout est gris.
Gris gris gris
Sauf
Papillon
Tache coloré.
Il vole.
Il virevolte.
Mais
Il pleut sur lui aussi.
Alors elle tends le bras.
Et le touche.
Fine caresse.
Doigts fins contre ailes fines.
Et l'eau, comme un fil
Cristallin.
L'éclabousse.
La fin.
La fin de la tache coloré.
Coloré sur le fond gris.
Gris gris gris

[cathys]

"Il court il court, le furet..." me dis-je en passant devant cette rivière encore une fois, celle dans laquelle tu as versé tant de larmes. Tant d'eau gâcher, oui!
Chaque matin, je me souviens si bien, tu te coiffais pour elle, chaque soir tu me racontais soigneusement se qu'elle t'avais dit, ne serais-ce qu'un simple "bonjours", ou même un vague "désolée", quand elle te passait devant. Tu me regardais, avec tes grand yeux gris, ne connaissant rien à l'amoure, et pourtant beaucoup plus amoureux que n'importe quel adulte, et tu me disais souvent, "tu crois qu'elle aussi elle pense à moi, des fois?"... Et que pouvais-je répondre?
Et puis les jours on passés, et j'ai crus que tu l'avais oublié. Qu'elle n'étais plus qu'une fille parmi d'autre, j'ai même crus à un moment qu'elle était partis. Tu ne me parlait plus d'elle, à la place, tu faisais se qu'ils font tous, tu t'enfermais dans ta chambre. Je ne savais pas se que tu y faisait alors.
Et puis un soir, tu es venue en pleurant dans mes bras, et j'ai compris qu'elle ne viendrais jamais à la maison.
Comme j'ai compris il y à bien longtemps que toi aussi, tu n'y reviendrais jamais, quand parmis tes textes, j'ai trouvé:
"Il court il court, le furet...Mais à force de courir, lui aussi est tombé."

[fashion-girl]

Elle le vit non loin d'elle. Il battait des ailes projetant le peu de force qu'il lui restait. Il la regardait la pris comme point de repère, cette belle inconnue d'un autre monde. Elle tendit la main vers lui ne craignant pas les gouttes étincelantes qui coulait sur sa peau. Il la trouvait si courageuse de braver ainsi les larmes des dieux qui pouvaient lui couper les ailes en un instant. Il se rapprochait de plus en plus d'elle vit ses cheveux bruns voler dans le vent. Elle se pencha vers lui le touchant presque. Il vola vers elle la frôlant à peine. Mais les larmes des dieux décuplèrent et il comprit qu'il n'y arriverait pas. Elle sentie les gouttes s'intensifier et elle comprit qu'il ne pourrait jamais arriver jusqu'à elle. Elle ferma les yeux et ce promis de ne jamais oublier ce papillon aux mille couleurs. Il s'effondra lentement emmenant avec lui l'image de cette jeune fille qui savait combattre les dieux.

[Lovely-Book]

Tout commence avec un sourire
Tout commence avec un sourire
On continue avec un rire
On se regarde encore une fois
Comme si on n'en finissait pas

On tente un rendez-vous
Un petit rien, un bijou
On s'observe et on s'apprend
Ensuite on se comprend

Des regards appuyés
Tout le long de la journée
Puis comme un drame
Ca se finit sur une larme

Voilà c'est pas super super mais c'est un début. LOL

bon sang! C'est magnifique, j'ai presque envie de pleurer. Je... je ne trouve pas de mot pour définir se que je ressent, c'est un mélange de tristesse, de mélancolie, et de joie. c'est si beau...

[Lovely-Book]

Je vous propose quelque chose : créer un texte par rapport a une image :
première image :

bon je sais que se sujet est passé depuis longtemps mais dés que j'ais vue cette image j'ai eu une poussé d'inspiration.

la lutte contre ses larmes
Je ne peu pas pleurer,
pas devant toutes cette assemblé.
Pourtant c'est ce que mes larmes veulent faire.
Non! je ne les laisseraient pas tout foutre en l'aire!
Je dois toujours retenir ses larmes,
toujours les cacher au fond de son âme.
Je jamais les montré,
toujours les masqué.
Sans cesse porté un maque sans émotion,
c’est une torture, une obligation.
Non! Je ne doit pas pleurer.
Mes larmes n’ont pas le droit de couler.
Je le leurs interdit!
Elle n'ont pas le droit, je vous le dit.
Elles ne doivent pas m’échappé,
Je ne dois pas séder.
Mais rien à faire les larmes désobéissantes
ne cesse de couler comme des étoiles filante

[Mareike]

Un petit texte que m´inspire cette photo



Un jour, ma maman m´a dit : "Les papillons, c´est comme les gens. Ca commence dans une coquille, et ca finit dans le ciel."
Sur le coup, j´avais pas compris. Mais maintenant je sais.

Je monte sur le toit de la cabane en bois qu´avaient construit mes parents il y a aujourd´hui presque 10 ans. Elle est vieille, cabossée, usée par la pluie, la neige, le vent. J´entends les vieilles planches grincer sous mes pieds, mais j´avance avec confiance. Je sais qu´elles ne cèderont pas, elles me portent depuis tellement longtemps.
Je me dirige vers le bord de la toiture et m´accroupit. D´ici je peux voir la plage qui s´étend sur plusieurs kilomètres. Je regarde le paysage merveilleux qui s´offre à moi puis tourne la tête vers le ciel. L´air est lourd, humide. Il va pleuvoir. Je ferme les yeux et attends la première goutte de pluie. Elle vient, s´écrase sur mon nez. Les autres suivent. Je reste dans ma position jusqu´à sentir l´eau traverser ma robe légère. Je n´ai pas froid. Malgré la pluie, il fait chaud.
J´ouvre les yeux. Je suis toujours accroupie. Je pose un genoux à terre et attrape la rambarde du toit. Mon père l´avait installée quand il a compris que je passerai toujours par là, malgré ses nombreuses mises en garde et interdictions. Je pose mon regard sur l´horizon. Et tout d´un coup, je l´apercois. Il est là, comme d´habitude, bravant les nuages. Un papillon noir, couleur de la nuit, qui se dirige vers moi. Je tends la main et il s´y pose. Je l´observe longtemps, protégeant ses ailes de la pluie de mon autre bras. Puis, quand je le vois s´agiter et prêt à repartir, je lui murmure, encore une fois :
- Dis lui bonjour de ma part. Dis lui que je l´aime et qu´elle me manque. Dis lui "je t´aime, maman".
Le papillon s´envole. Il s´envole vers le ciel et va porter son message. Il s´envole vers ma mère.

[Emy-Lou]

Whhhhhhhhhhaaaaaou!!! C est ce qui s'appel s'avoir écrire!
Tu redige trop bien !
Non serieux je sais plus quoi dire la ..... il ma laissée sans voie

[Mareike]

Merci beaucoup Ton image est tres inspirante faut dire Merci en tout cas !!

[Jay117]

1005074_670020926346942_2031161200_n.jpg (29.3 Kio) Consulté 735 fois

On dirait presque la fin du monde…
Le ponton s'est renversé sur le côté alors que j'y étais assise, le pluie s'est mise à tomber comme les larmes qui coulent de mes yeux. Le vent fait voler mes cheveux mouillés sur mon visage et mes épaules, mais je tente de rester accrochée à la rambarde comme je m'accroche à la vie.
Je ferme les yeux, je n'aurais jamais dû quitter la fête, c'était la dernière avec eux… Ma robe d'anniversaire est collée à ma peau par la pluie qui dégoulinent sur mes bras, j'ai perdu mes chaussures en courant jusqu'ici.
J'ai froid, si froid… Froid physiquement, mais pas autant que à l'intérieur. Mon cœur est gelé, figé par la glace, comme une statue de verre que l'on aurait érigé sur la place du centre-ville le soir de Noël.
L'averse se poursuit, le vent continue de souffler et mes larmes persistent à couler sur mes joues. Sous moi, la mer est agitée, les vagues s'écrasent contre ce qu'il reste de mon ponton comme si elles voulaient le faire sombrer totalement. Comme si elles voulaient me faire sombrer totalement.
J'ai peur aussi, peur de mourir. Pourtant, je ne devrais pas, c'est mon destin, comme chacun de nous. Tout le monde doit mourir un jour, qu'importe que ce soit demain ou dans cent ans. Moi, ce sera juste plus tôt que ce que j'espérais, rien de plus.
Peut-être que cette tempête m'achèvera, peut-être que je me noierais avant de succomber à la douleur. Je préfère mourir comme ça que dans un accident de voiture.
Un craquement retentit, je frissonne. Je veux en finir, il est plus que temps.
Le ponton se penche un peu plus, je ferme les yeux, attendant la fin, la mort, la noirceur des abysses…
Soudain, je sens comme un rayon de soleil sur ma peau, j'entrouvre mes paupières. Ce que je vois m'éblouit, je tends la main.
Quelque chose voudrait me retenir de le faire, mais je touche de la pointe de l'ongle le petit papillon qui volète vers moi. Je soupire de délivrance, le ponton s'efface, la mer disparaît, la tempête n'est plus.
Autour de moi tout est blanc, il y a une voix qui murmure:
– Grâce au Ciel, elle est vivante.
Tout ce dont je me souviens, c'est d'une voiture, d'un accident, d'une fête abonnée… Et d'un papillon...

[luciole241998]

Très beaux vos textes dis donc Je passerai poster un truc si je vois une image sympa Merci à la créatrice du topic

[Jay117]

Oui, c'était vraiment une très bonne idée