La malédiction

[Lireunepassion29]

Mdr mais ce n'était pas méchant hein xD

[maarloune]

Oh j'adore j'adore j'adore ! une merveilleuse histoire !
Le nom de famille : Evans a-t-il un rapport avec mon chéri d'amour Alex Evans ? XD
Non franchement il me tarde de lire la suite Bravo
Il me semblait avoir vu une ou deux fautes pas très grave, juste des petits détails mais je ne les trouve plus. Bon c'est pas grave ça doit etre la fatigue mdr !

[Lireunepassion29]

Oh j'adore j'adore j'adore ! une merveilleuse histoire !
Le nom de famille : Evans a-t-il un rapport avec mon chéri d'amour Alex Evans ? XD
Non franchement il me tarde de lire la suite Bravo
Il me semblait avoir vu une ou deux fautes pas très grave, juste des petits détails mais je ne les trouve plus. Bon c'est pas grave ça doit etre la fatigue mdr !

Oh ba dis quel enthousiasme ^^
Merci c'est gentil
Et non la famille Evans n'a rien à voir avec ton Alex Evans xD
Et euh merveilleuse histoire ? Oo c'est quand même un accident hein lol ^^
Pour les fautes bé écoutes je sais pas lool ^^

[ricou]

Pour un début, c'est pas mal du tout.j'attends la suite avec impatience.

[Lireunepassion29]

Pour un début, c'est pas mal du tout.j'attends la suite avec impatience.

Merci c'est gentil je t'ajoute aux prévenus

[Elzalma1610]

Sauvetage ! xD

[Lireunepassion29]

Sauvetage? Oo

[Elzalma1610]

Sauver quelqu'un c'est sauver son histoire et la garder en première page !

[Lireunepassion29]

DDonc si jcomprend bien tu sauves mon histoire quoi? lol

[Elzalma1610]

Voilà ! xD

[Lireunepassion29]

Ah ba merci cest gentil lol. Mais tu sais cest pas grave si on lit plus mon histoire lol

[Elzalma1610]

Moi je lis-euh !

[anninou]

Je rejoins elsa, nous lisons ton histoireuuuh

[Lireunepassion29]

Bon d'accord, z'avez gagné :$ je mettrais la suite dès que je pourrais
vous êtes rassurés?lol

[Elzalma1610]

Rooooooui !

[anninou]

Maintenant ... OUI

[Lireunepassion29]

Par contre je ne sais pas quand je mettrais la suite car le chapitre 3 est très court :S
Et je préfère me concentrer sur l'avancée de l'histoire avant ^^

[Elzalma1610]

Mais euh...

[Lireunepassion29]

Désolée, désolée ^^
Mais le chapitre " est vraiment très très très court alors bon :/

[Elzalma1610]

C'est pas grave ! =)

[Lireunepassion29]

Et je pense que je vais faire genre une publication par semaine comme ça se sera équilibré ^^
Je mettrais surement le chapitre 3 mais vous serez déçus de la longueur ^^

[Elzalma1610]

Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave !

[Lireunepassion29]

Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave ! Pas ! Grave !

Oh didious! t'es en forme toi xD

[Elzalma1610]

Mais TOTALEMENT ! Ouaaaaaaahouu !!

[Lireunepassion29]

Chapitre 3: une surprise inattendue.

Héléna et Marie quittèrent la maison et se dirigèrent vers l’arrêt de bus qui se trouvait à quelques mètres plus loin.
Elles attendirent sagement quelques minutes et le car arriva. Elles montèrent à l’intérieur et s’installèrent au fond pour pouvoir être tranquilles.

- Bon, maintenant que le car est en route et que je ne peux plus faire demi-tour, tu vas enfin pouvoir me dire où on va, dit Héléna, tout en souriant.

- Oh que non ! Une surprise reste une surprise ma chère ! lui répondit Anna avec un clin d’œil.

Helena n’insista pas plus, car elle connaissait très bien son amie pour savoir qu’elle ne cracherait pas le morceau avant d’arriver à destination.

Anna venait de s’endormir, alors Héléna en profita pour regarder par la fenêtre et étudier le paysage. Le ciel était couvert de nuages blancs que le soleil essayait de percer par ses quelques rayons lumineux. Certains endroits étaient libérés de ces bourreaux et laissaient apparaître un ciel bleu azur. En regardant les cieux, elle se mit à repenser au passé et surtout à sa sœur.

Autrefois elles étaient comme les deux doigts de la main. Toujours ensemble pour imaginer des coups fourrés, avoir des éclats rire à n‘en plus finir et sans aucune raison particulière. Helena avait beau se dire que sa petite sœur était la pire des pestes, elle ne pouvait pas nier que ces moments avec elle, lui manquaient et que malgré tout elle l’aimait.




- Helena ! Oh Helena ! Réveille-toi !

Helena sorti de ses songes et se rendit compte qu’elle s’était endormie et que le car était arrêté.

- Bah qu’est ce qu’il c’est passé ? Tu as rêvé de quoi ? Questionna Anna. C’est normal que tu ai une larme qui coule ?

- Je me rappelais le jour où tout à basculé entre ma sœur et moi, répondit-elle tristement.

- Oh…, Anna resta sans voix un instant avant de reprendre gênée. Euh… Hum, sinon et bien on est arrivées à bon port ! fit-elle d’un énorme sourire.

Helena tourna vivement la tête en oubliant son passé et se concentra sur l’endroit où elles se trouvaient.
Elle n’en croyait pas ses yeux ! Anna l’avait conduite dans un parc aquatique réservé aux dauphins!!!Toute sa vie Héléna en avait rêvé de nager avec ces mammifères, et voilà qu‘il se concrétisait grâce à sa meilleure amie. Elle se tourna vers Anna mais resta sans voix.

- Bon anniversaire ! J’espère que la surprise te plait, s’exclama Anna tout en souriant.

- Bien sûr que ça me plais ! S’écria Helena en lui sautant dans les bras, c’est même au-delà de mes espérances. Merci, vraiment merci ! Je vous aime Miss Sullivan !

Anna s’esclaffa et prit son amie par la main en la menant à l’extérieur du car. Helena avait les yeux pétillant de bonheur. Un grand sourire se dessinait sur son visage. Arrivées à l’entrée du parc, Anna montra les billets pour pouvoir y accéder.
Elles marchèrent sur quelques mètres et arrivèrent au bassin des dauphins. Le forfait qu’Anna avait prit pour elles, comprenait toute une après-midi auprès de ces cétacés tout en s’occupant d’eux. Plusieurs heures s‘écoulèrent durant lesquelles les deux adolescentes s‘amusèrent avec ses bêtes, en les nourrissant, et en s’amusant avec eux.

A la fin de l’après-midi, le soigneur qui les avait accompagnées, leur proposa d’aller se changer et d’enfiler une tenue adéquate pour aller nager avec les dauphins.
Les jeunes filles se regardèrent et sautillèrent de joie.
Une fois prêtes, leur accompagnateur les guida chacune vers un dauphin.

Héléna était aux anges, « Je crois bien que c’est la meilleure journée de ma vie ! » S’extasia t-elle.
Elle nageait comme un poisson dans l’eau tout en tenant la nageoire dorsale du dauphin.
Elle ferma les yeux en se délectant de ce moment magique mais éphémère, car malheureusement il se terminerait bientôt.

- Toi et ta sœur êtes en danger jeune fille ! Vous devrez vous pardonner mutuellement pour pouvoir vaincre le malheur qui va s’abattre sur cette terre.

Helena rouvrit les yeux et regarda autour d’elle pour voir qui lui parlait. Mais il n’y avait personne à un kilomètre à la ronde. Elle baissa les yeux vers son dauphin. « Un dauphin ne parle pas Helena ! Reprends-toi ! » Pensa t-elle. Pourtant elle aurait cru voir le dauphin lui sourire. Mais elle n’eu pas le temps de mieux regarder.

- Tu en fais une drôle de tête !

Helena sursauta et regarda son amie.

- Je ne t’ai pas sentie arriver. Non, non ne t’inquiète pas tout va bien, lui répondit-elle avec un sourire qui voulait dire tout le contraire.

- Hum d’accord…, fit Anna septique, rentrons à la maison.

- Oui c’est une bonne idée. Merci encore pour cette journée. C’était la meilleure de ma vie ! Lui sourit-elle. « Et peut être la dernière si j’en crois la voix de tout à l’heure. »

[Lireunepassion29]

Chapitre 4: le temps des questions.

Héléna ne dormit pas beaucoup cette nuit-là. Elle était très tourmentée, des tas de questions l‘assaillirent. Qui était cette voix ? Comment connaissait-elle Héléna et sa sœur ? Comment savait-elle que leur entente était misérable ? De quel malheur parlait-elle ? Tout simplement pourquoi elle ?

Comme toutes ces interrogations qui la taraudait l’empêchait de dormir, elle décida de s’occuper comme elle le pouvait.
Elle regarda l’heure, et se rendit compte qu’il était tard. Elle se leva et se dirigea vers sa fenêtre pour observer le quartier. Évidemment, la rue était endormie, et elle n’y vit rien de passionnant, mais c’était la seule chose qu’elle avait trouvé à faire.

Dehors, s’alignaient des maisons semblables les unes aux autres. Héléna habitait dans un quartier très calme, de jour comme de nuit. Elle ne connaissait pas la plupart de ses voisins – voir même aucun quand elle y songeait, car tout simplement sa sœur et elle ne s’y étaient jamais intéressées. Mais ce qui la troublait le plus dans son lotissement, c’était la maison qui se trouvait juste en face de chez elle. En effet, cette demeure faisait froid dans le dos. Elle était bien plus grande que toutes les autres, disposait d’un nombre important de fenêtres, et était comportait deux étages. Enfin, c’était ce que l’on supposait, car personne n’avait osé s’y aventurer. Car l’on racontait qu’un homme assez âgé y vivait en compagnie d’innombrables chats et faisait toutes sortes d’expériences plus farfelues les unes que les autres. Il ne sortait jamais de chez lui, ses volets étaient fermés en permanence. Ce qui était assez sinistre.

Rien qu’en se remémorant cette histoire, Héléna grimaça de dégoût. Mais elle n’arrivait pas à quitter des yeux cette demeure. Comme si la vue de cette maison l‘attirait, et que rien ne parvenait à l’en détacher. Elle avait bien essayé à plusieurs reprises d’aller y jeter un œil, mais on l’en avait toujours dissuadé.
Cependant, cette nuit-là, quelque chose l’attira plus que d’habitude. Dehors, le vent soufflait fort. Le temps était maussade. De violentes rafales de vent dépassant les cents kilomètres heure vinrent décrocher un des volets. Héléna s’approcha plus près de la fenêtre, y colla son nez pour être sûre qu’elle avait bien vu une ombre bouger. A nouveau elle perçut un mouvement, ce qui la fit sursauter.

Elle tomba brusquement du rebord de la fenêtre et trébucha sur une chaise qu’elle ne parvint pas à rattraper avant sa chute à temps. « Et mince ! Je vais ameuter tout le quartier maintenant ! » bougonna t-elle pour elle-même.
Lorsqu’elle se retourna et vit un trait de lumière sous la porte, elle se maudit d’être si maladroite La poignée se baissa doucement, puis un visage apparût dans l’entrebâillement.

- Bah, qu’est ce qu’il t’arrive ? Tu en fais du bruit à cette heure-ci… murmura Marie à moitié endormie.

Héléna se raidit, soulagée . Ce n’était que sa sœur.

- Oui je suis désolée petite sœur, grimaça t-elle en essayant de sourire malgré tout, c’est parce que je viens d’apercevoir –enfin je crois- un mouvement chez le vieil homme qui est en face.

- Hum… répondit sa sœur tout en faisant croire qu’elle réfléchissait, moi je pense que tu as rêvé. Tu devrais aller dormir.

Sans rien ajouter, sa sœur fit demi-tour, ferma la porte, et retourna dans son lit au chaud.

Quant à Héléna, elle resta bouche bée devant la porte. Sa sœur lui avait parlé, elle lui avait dit une phrase –même deux, et entière. La jeune fille attendait cela depuis si longtemps si bien qu’elle esquissa un petit sourire de satisfaction, puis retourna à la fenêtre pour se prouver à elle-même qu’elle n’avait pas rêvé.



Dans la chambre à côté, Marie se retournait dans son lit en se posant aussi des questions, mais pas du même ordre que sa sœur. Elle se demandait si Héléna était devenue folle ? Qu’est-ce qui pouvait bien la tracasser au point de se lever au beau milieu de la nuit ? Pourquoi elle est allé à la fenêtre ? Elle n’avait que ça à faire d’aller observer la vielle bicoque de ce vieux fou ? Héléna avait-elle vraiment vu quelque chose ? Et puis pourquoi toutes ses questions l’assaillaient soudainement ? Se demanda finalement Marie.
Mais faute de réponse, elle essaya donc donc de retrouver le sommeil, en vain. Elle se redressa, et se remémora soudainement son passé. Malgré tout, sa sœur lui manquait terriblement. Elle ne désirait qu’une chose, la retrouver, celle qui était sa confidente, sa meilleure amie, pour lui confier ses craintes, ses peurs et ses joies. Elle regrettait amèrement d’avoir réagit aussi mal à l’annonce de l’accident de sa mère et de sa sœur survenu quelque temps auparavant. Mais pour elle, il était hors de question de faire le premier pas, elle avait trop de fierté pour cela. Mais Héléna lui manquait, c’était indéniable et elle ne pourrait en découdre.

Marie tentait de se montrer forte quelques soient les épreuves qui en découlaient, mais au fin fond de son cœur elle était malheureuse. Sans s’en apercevoir, elle pleurait. Les larmes coulaient à flots sur son si beau visage. Lorsque enfin elle le remarqua, elle pesta contre elle-même. Elle aurait voulu se gifler d’être si faible. Elle s’était toujours promis de vivre dans le présent, au jour le jour. De ne jamais replonger dans le passé. Et pourtant c’est ce qu’elle venait de faire. Elle se maudissait. « Se montrer forte aux yeux des gens pour ne pas qu’on te plaigne ! Tss tu parles ! Si c’est pour pleurer tout ton saoul quand tu es toute seule, ma pauvre fille tu es grave ! » Se criait-elle en son fort antérieur.
Après une durée indéterminée qu’elle estima interminable, elle finit par s’endormir.
Mais elle fit un drôle de rêve. Si on pouvait appeler cela comme ça.

Elle se trouvait dans une rue qui ressemblait étrangement à celle où elle habitait. Seulement, les maisons avaient un drôle d‘aspect. Elles étaient toutes d’une couleur rouge sang qui faisait froid dans le dos. Les petits carrés de jardins en devanture se trouvaient dans un piteux état) . Le gazon n’était pas du tout entretenu et parsemé de trous - sûrement réalisés par des taupes –. Les fleurs avaient également cessé de pousser. Lorsqu’elle s’approcha d’un de ces jardins, Marie constata avec horreur qu’il ne s’agissait pas de trous de taupes. C’était comme ci une pluie de comètes s’était abattue sur la ville. En effet, des cratères assez grands pour pouvoir y mettre les deux pieds, recouvraient le quartier. L’adolescente se pencha, tout en restant sur ses gardes, sur l’une des crevasses, approcha sa main lentement, et la retira aussi sec, en manquant de se brûle. La catastrophe venait tout juste de se produire. Elle se releva doucement et regarda autour d’elle avec stupeur. Tout était dévasté. Certaines maisons ne disposaient plus de leur fondation, tandis que d‘autres avaient perdu leur toit, ou encore un ou plusieurs murs.

Les larmes ruisselaient sur son visage. Marie ne savait pas où elle était. Elle avait peur. Elle ne reconnaissait plus rien. Elle ne voulait qu’une seule chose, se réveiller et se retrouver dans son lit pour se dire que tout ça n’était qu’un simple cauchemar.
Mais elle n’y arrivait pas. Elle était obligé de vivre ce calvaire jusqu’au bout, de voir la vie être détruite et se consumer à petit feu. Elle poursuivit son chemin, passa de maison en maison, et y découvrit des cadavres carbonisés ou frigorifiés. Ils étaient tous méconnaissables.
Alors qu’elle atteignait la dernière maison, elle se laissa tomber sur ce qui restait de verdure, prise de chagrin et complètement apeuré. Son corps était parcouru de spasmes, ses membres ne lui répondaient plus. Au moindre effort qu’elle faisait pour se lever, ses jambes se dérobaient. Son corps n’obéissait plus. Elle n’avait plus aucun contrôle. Elle croisa ses bras autour de ses jambes, y enfouit sa tête et ferma les yeux. Soudain, derrière elle un mouvement se fit sentir. Elle ouvrit les yeux, mais n’osa pas relever la tête. Les battements de son cœur étaient de plus en plus forts et sa respiration saccadée. Les pas dans son dos se firent plus rapides. Tout à coup, une main se posa sur son épaule. Elle se leva d’un bond, et fut prise de court devant son corps qui avait retrouvé sa mobilité.

- Ne reste pas là jeune fille, c’est dangereux! S’exclama la personne en face d’elle.

Marie releva vivement la tête vers l’individu qui venait de lui parler, et prit le temps de bien le regarder.
C’était un homme assez âgé qui devait être proche de la soixantaine, avec une barbe de trois jours et les cheveux gris mi-longs. Il possédait des yeux d’un marron clair, et était vêtu d’un impair couleur parme, avec un pull et un pantalon gris.

- Qui êtes vous ? Parvint à prononcer Marie.

- Pas ici jeune fille. Suis-moi et je vais tout t’expliquer. Fais-moi confiance, je ne te veux aucun mal.

Il lui fit un clin d’œil, se retourna et se dirigea vers une grande maison qui avait échappé miraculeusement à se désastre.

- Mais vous êtes… Fit-elle éberluée devant la maison.

- Eh oui Marie, je suis…

Elle n’eut pas le temps d’entendre la fin. Elle se sentit soudain toute bizarre. Comme si elle était aspirée ou tirée par quelqu’un. La rue devant elle devint de plus en plus petite.
Petit à petit, Marie revint à la réalité. Elle remarqua qu’une personne demeurait tout près d’elle et la tenait tendrement dans ses bras.

- Oh Héléna ! S’effondra la jeune fille, je viens de faire un horrible cauchemar…

- Oui je m’en suis douté petite sœur. Aller essaye de te rendormir. Tu me raconteras tout ça demain.

- D’accord, mais reste avec moi je t’en supplie…

Héléna sourit. Quant à elle, Marie vint se lover dans ses bras et s’endormi.

Et voilà petit cadeau pour la nouvelle année deux chapitres d'un coup (c'est pour me faire pardonner la piètre longueur du chapitre 3

[Elzalma1610]

Génial !! Le vieux monsieur qui a pleins de chats et qui fait plein d'expériences farfelues est gentil !!!
Et elles redeviennent proches ! ♥

[Lireunepassion29]

Et oui elles redeviennent proches!
Mais bon ce n'est qu'un début et il y a aura des difficultés quand même ^^
J'avoue que le chapitre 4 j'ai vraiment aimé le faire l'inspiration et le rêve de Marie me sont venus tout seuls
Contente que ça te plaise

[anninou]

Et bien pas grand chose à dire , j'aime, j'aime, j'aime

[Lireunepassion29]

Et bien pas grand chose à dire , j'aime, j'aime, j'aime

Oula à ce point? je ne pensais pas que mon histoire pourrait plaire autant ^^
Ca me fait vraiment très plaisir et ça donne d'autant plus envie de la continuer