De quel livre provient la phrase ?

[plumechatouille]

La sélection tome 3!!!

"Ce sont nos choix, [...], qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes."

je crois que c'est divergente

Aucune idée désolé

Zeus, Héphaïstos, Poséidon. Vous aggravez encore ma malédiction! Allô nan mais allô quoi!

euh peut -être les aventures d'ullysse



"Le garçon qui a survécu"

[LunaLoveBook]

La sélection tome 3!!!

"Ce sont nos choix, [...], qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes."

je crois que c'est divergente

Aucune idée désolé

Zeus, Héphaïstos, Poséidon. Vous aggravez encore ma malédiction! Allô nan mais allô quoi!

euh peut -être les aventures d'ullysse



"Le garçon qui a survécu"

Désolé je sais pas ce que c'est... Par contre non mon truc c'est dans Parcy Jackson.

[Taabata]

" Le garçon qui a survécu " vient d'Harry Potter.

« Je ne sens plus mes doigts, ni le froid ni le vide de cette chambre, parce que je ne sens plus que lui, partout, occupant tout l'espace, et il murmure:
— S’il te plaît…
Il dit:
— S’il te plaît, ne me tire pas dessus…
Et il m’embrasse. »

Bon, c'est pas une phrase, mais voilà..

[plumechatouille]

aucune idée peut-être twilight

"Content de te voir, tocard. Bienvenue au bloc"

[Titi9652]

Le labyrinthe tome 1


" Je vous aime, Cate Cahill. Vous êtes belle, et courageuse, et forte. Quelque soit la suite, nous l’affronterons ensemble.

[Aveeno]

Je sais pas.

Je me suis laissée aller, prête à suivre Callum partout où il voudrait m'emmener.

[Mary-P]

" Je vous aime, Cate Cahill. Vous êtes belle, et courageuse, et forte. Quelque soit la suite, nous l’affronterons ensemble.

Soeurs Sorcières, Livre 2 de J. Spotswod? ♥

« Je ne sens plus mes doigts, ni le froid ni le vide de cette chambre, parce que je ne sens plus que lui, partout, occupant tout l'espace, et il murmure:
— S’il te plaît…
Il dit:
— S’il te plaît, ne me tire pas dessus…
Et il m’embrasse. »

Divergente de V. Roth?

[Zeus, Héphaïstos, Poséidon. Vous aggravez encore ma malédiction! Allô nan mais allô quoi!

Percy Jackson, les Dieux grecs de R. Riordan?

Bon, moi je vous en mets un facile:

"Oui, je le sais.
Au fond de mon cœur enténébré, je le sais. Il aurait aimé.
Vous voyez ?
Même la Mort a un cœur."

[Nagylan]

Je me suis laissée aller, prête à suivre Callum partout où il voudrait m'emmener.

Entre chiens et loups, de Mallorie Blackman ?

Mary-P : je sais pas ça par contre

[Taabata]

Divergente de V. Roth?

Non, toujours pas.

"Oui, je le sais.
Au fond de mon cœur enténébré, je le sais. Il aurait aimé.
Vous voyez ?
Même la Mort a un cœur."

La voleuse de livres.

De quel livre provient la phrase: « There's no need to call me sir, professor. »

[El_sa]

Harry Potter and the Philosopher's Stone ! (eh oui, je l'ai lu en anglais^^)

La grandeur inspire l'envie, l'envie engendre le dépit, le dépit répand le mensonge.

[TommyRollrbox]

dans "La voleuse de livre" de Markus ZUSAK

"Un univers absurde où les gens qui en font le moins se déclarent débordés et où les 35 heures ne se font pas en une semaine, mais en un mois." ?

[TommyRollrbox]

P.S : I love you de Cecelia Ahern

"Elle savait également tailler une pierre pour confectionner un coup-de-poing ou un couteau tranchant qui faisait l’admiration de Droog lui-même." ?

[Carambole-de-mai]

Droog, ça vient d'un soppy américain.

-✓ "Bavardages des roues du train, bavardages des économistes, bavardages des littérateurs. Radotages qui font le monde. Un bâillon de mots qu'on nous fourre dans la bouche.
L'essentiel est ceci : sortir d'un coup le cri d'amour de nos entrailles, puis c'en sera fini, nous aurons fait notre journée, exprimé notre vie comme l'orange éclate dans la paume du géant qui la broie."

[Carambole-de-mai]

C'était Christian Bobin. Paix à sa belle âme poétique.

[Pancratius]

Qui a dit : "Il revendiqua le fait d'être celte pour se sentir à part et, comme ses lointains ancêtres, prédestiné à l'échec." ?

[Carambole-de-mai]

Ça doit être le joueur d'échecs de Zweig ?

[Pancratius]

Qui a dit : "Il revendiqua le fait d'être celte pour se sentir à part et, comme ses lointains ancêtres, prédestiné à l'échec." ?

Perdu. C'est Jorge Luis Borges à propos de Arthur Machen

[Carambole-de-mai]

Trop cool. Merci pr ma pal

[Carambole-de-mai]

"Le jeu s'appelle "s'imaginer-une-vie-comme-ça". On peut y jouer sur l'île, le soir, quand on est assis chez Brenton, à condition de fumer deux, trois cigarettes et de boire un rhum-coca. Il est bon d'avoir sur les genoux un enfant de l'île endormi, dont les cheveux sentent le sable. Mieux vaut aussi que le ciel soit haut, si possible constellé d'étoiles, il faut qu'il fasse très chaud, peut-être même orageux. Le jeu s'appelle "s'imaginer-une-vie-comme-ça", il n'y a pas de règles.
"Imagine-toi", dit Nora. "Imagine-toi."

[Carambole-de-mai]

C'était Judith Hermann, [ maison d'été plus tard ]

[Pancratius]

Des milliers d’années d’entraînement sacrilège s’entendaient dans la manière dont défilaient ces aberrations des entrailles de la Terre… Cliquetant, se pavanant, roulant, se dandinant, rampant ou marchant à pas feutrés… et tout cela au son horriblement discordant de ces instruments moqueurs.

[Carambole-de-mai]

Cette citation provient de "Fantomette et le rafus du diable." (Bibliothèque verte)

"J'ai pensé qu'il y avait longtemps que je n'avais pas vu brûler quelque chose de cette couleur. Cela remontait à un passé lointain, un feu qui rougissait les joues, faisait fondre le silence et réchauffait le temps."

[Pancratius]

Des milliers d’années d’entraînement sacrilège s’entendaient dans la manière dont défilaient ces aberrations des entrailles de la Terre… Cliquetant, se pavanant, roulant, se dandinant, rampant ou marchant à pas feutrés… et tout cela au son horriblement discordant de ces instruments moqueurs.

C'était H.P. Lovecraft dans la nouvelle "Prisonnier des Pharaons"