Petit jeu pour tester votre imagination

[neelhann]

Pour qu'ensemble nous vivons notre reve sans détour
Viens me retrouver mon amour,
Dans ce silence où tout est en veille
Viens me tirer de mon sommeil
Pour qu'ici et maintenant
Notre amour dur pour toujours

C'est la première fois que j'ecrit j'espère que c'est pas trop mauvais

[gabrielaM]

notre amour dur pour toujours
Tu a prononcé ces mot et tu es parti
Sans toi je suis perdue mon amour
Ton départ ma anéantie

Je vis dans une prison
la tristesse et le malheurs pour seul compagnie
meurtri par cette abandon
mon pauvre cœur cri

depuis que tu est parti
l'été n'a plus de couleur
mes jour ce sont obscurcis
pourquoi n’entent tu pas mes pleurs

Maintenant que tu n'est plus là
la terre s'est transformé en enfer

[DarkHug]

De pouvoir voler de mes ailes,
C'est mon rêve éternel.
Me libérer des ces chaînes,
Arrêtez les voix des sirènes !

Je suis enchaînée a cette réalité dépassée,
Je veux pouvoir tout quitter et recommencer,
Nouvelle vie, nouveau départ,
Enfin je m'envole ce soir.

J'ai enfin décidé que j'allais arrêter,
De m'agenouiller a leurs pieds,
Venez me chercher et m'offrir la vie
Je ne peux plus rester ici !

Je n'appartiens plus a ce monde,
Je suis devenue un songe,
Je ne suis plus qu'une mer furibonde,
Une montagne qui gronde.

Tes paroles ne m'atteignent plus.
Rentre chez toi et ferme la porte.
Sache qu'une chose est sûre :
C'est la vengeance qui me porte !

[DarkHug]

Je t’emmènerai avec moi,
Même au dépend des lois,
Car à jamais je suis à toi,
Tu le sais, je suis ton Roi.

Jamais nous n'avons eu le droit,
De nous voir et nous parler.
Mais ce soir là,
Je vais t'emmener.

Avec moi, jusqu'au bout du monde,
Tu seras ma colombe,
Jamais on ne nous séparera,
Car je suis, et pour toujours, à toi.

Tu me l'as assez répété,
Je le sais, nous prenons des risques.
Mais n'est ce pas insensé,
De s'effacer sans rien laisser ?

On ne nous attrapera pas,
Car je suis là, avec toi,
Et que quoi qu'il arrive,
Notre amour est notre rive.

[samminy25]

Notre amour est notre rive,
Et quoi qu'il advienne
Quoi qu'il arrive,
Il faudra que je m'y tienne.

Car tout au fond de moi je sais,
Même si nous ne sommes pas immortel,
Le parfait amour qui nous unissait,
Sera à tout jamais éternel.

Je te revois chaque journée,
Eclairant mes rêve ténébreux,
Car tu es celle que j'ai aimée,
Car tu es celle qui m'a rendu heureux.

Dans la vie on ne peut pas tout choisir,
Ta mort en fait malheureusement partie,
Mais tout n'est pas de rire,
Et j'ai choisi de t'aimer pour la vie.

En regardant la mer,
Je me sens seul, mais,
Un jour, je traverserais cette frontière,
Et nous serons unis à jamais...

[Riiiiiiiiiiiiiiiiima]

"Et nous seront unie à jamais"
C'est ce que tu m'avais dit
C'est ce en quoi je croyais
Mais tu m'as une fois de plus mentit

"Je ne peux pas vivre sans toi"
C'est ce que tu m'as juré
Mais devant mon désarroi
Une fois de plus tu m'as délaissé

"Tout ira mieux"
C'est ce que tu m'as répété
Droit dans les yeux
Avant de m'achever

Toutes ces paroles
Toutes ces promesses
N'étaient qu'un rôle
Le rôle que tu joues sans cesse

[LaLibelluleUtopiste]

Le rôle que tu joues sans cesse
Aujourd'hui encore me blesse.
Je ne crois plus en tes mensonges.
Malheureusement, ils me rongent.


Mon cœur est désormais en coton.
J'ai totalement perdu la raison.
Jour après jour je m'éteins,
Attendant ma fin.


Tu regrettes mais c'est trop tard :
Tu m'as détruit, connard.
Je n'étais pas assez,
Et je sais que je ne le serai jamais.


Avant toi, j'avais l'espoir,
Et pas l'ombre d'une idée noire.
Tu es le responsable de mes pleurs :
Maintenant, je veux que tu meurs.

[DreamLife]

Maintenant, je veux que tu meurs
Tu n'étais qu'un leurre
Tu partira seul
Sans que nul ne te pleur

C'était l'hiver en moi
Mon coeur était froid
Mais sans toi
Mon bonheur croît

Tu ne m'a rien donné
Et tu m'as tout volé
Ça m'a prit tant d'années
Avant de réaliser

Maintenant, je suis libre
Tu vas voir je vais survivre
Je vais revivre
Rien ne peut être pire

[Marzyciel]

Rien ne peut être pire
Que de devoir souffrir
Pour un passé déjà oublié
Alors que tu m'as humiliée

Comme si s'était un jeu
Tu en oublies tous les enjeux
Et je me trouve seule à nouveau
Je cherche le renouveau.

[Diane-45]

Je cherche le renouveau
Il m’avait dit qu’il m’aimait
Il est revenu sur ses mots
Il l’as fait à tout jamais

Avant j’étais avec lui
J’ai préféré laisser tomber
Et je me suis raisonné
Pour redevenir son amie

Puis j’étais seule dans ma douleur
Tu m’as aidé dans ces moments
Aidé dans cet amour naissant
Amour naissant dans nos deux cœurs

Avant, tu ne m’avais rien dit
Mais pourtant je le sentais bien
Quand tu me faisait des câlins
Ce doux sentiment d’oubli

Quand je me retrouve dans tes bras
Je n’arrive plus à bien penser
Tu occupes toutes mes pensées
Tu ramènes chaleur quand j’ai froid.

C’est toi qui me fais frissonner
Tes mains sur mes hanches
Tes yeux sur mes manches
Ne t’aurais-je pas toujours aimé ?

[Erimede_Read]

Ne t’aurais-je pas toujours aimé ?
Ce feu brûlant dans mes veines
Cette longue journée d'été
Sans haines

Mais ne t'aurais pas toujours haïe ?
Cette brûlure dans mon sang
Ce soleil trop chaud qui me consume
Sans pitié

[EGih]

Sans pitié
Sans compassion
Désordonnée
Sur la chaussée à reculons
Je te blesse

Je te blesse à répétition
Je me blesse en te blessant
Sans t’en vouloir
En me voulant

Et sans cesse
Nous nous quittons
Et sans fin
Nous nous éternisons

Sur un infini
De dérisions

[Diane-45]

Sur un infini de dérisions
Mon amour ne cesse pas pour toi
Je continue malgré les questions
"Pourquoi tu l'aimes et pas moi?"

Ils me ressassent tous tes défauts
Je ne vois que le positif
Je n'écoute pas tous ces mots
Qui ne cherchent que le négatif

Oui, c'est vrai, tu n'es pas un ange
Tu as bien certes commis des fautes
Tout le monde voudrait que tu changes
Que tu aies des actions moins hautes

On me dit: "Il n'est même pas beau"
Mais moi je ne suis pas d'accord
On t'insultes, on te traite de "faux"
Combien sont les gens au cœur d'or?

Osez nous critiquer comme ça!
Combien sont ceux qui mentent toujours?
Ils ont tous critiqué l'amour!
Vérité, s'il-te-plait, montre toi.

[Jums]

Vérité, s'il te plaît, montre toi
Tu scelles toutes les lèvres
Et nous file entre les doigts
A travers tous ces mièvres discours.

Pourquoi rester ainsi cachée ?
Toi dont le tranchant est plus acéré
Que la plus redoutable des armes
Et qui sans mal sait faire couler les larmes

Tes bienfaits sont pourtant si libérateurs
Et le ton emprunté si évocateur
Qu'en nos coeurs tu résonnes à jamais.

Vérité, s'il te plaît, montre toi,
Viens nous effleurer de ton céleste doigt
Là où règne le Mensonge.

[samminy25]

Là où règne le mensonge
Là où nous sommes tous piégés
Là où même dans nos songes
Nous sommes dépourvus de liberté

Là où tout n'est qu'illusion
Là où nous n'avons aucun avenir
Là où tout n'est que trahisons
Même l'air qu'on respire

Là où je tourne en rond
Là où je ne fais que de broyer le noir,
Là où je cherche la moindre consolation
Qui puisse me donner une infime flamme d'espoir

Là où on m'a arraché toutes les larmes de mon corps
Là où on nous a pris pour de vulgaires jouets
Là où même les plus forts
Ont fini par céder

Là où dans ce triste monde
Là où toute émotion nous a déserté
Là où tout le monde se demande
Si cette guerre finira par s'arrêter
Et si les humains sont seulement capables de vivre en paix.

[Erimede_Read]

Et si les humains sont seulement capables de vivre en paix.
Comme toutes guerre celle ci en une.
Une de ses questions que nous nous posons.
Mais humain, le sommes nous vraiment?
Malgré les tempête du ciel et les tourments
Seul cet pensé nous unis.
Mais sommes nous unis?
Malgré les océans déchaînés
Seul cette question reste dans le vide.

[ladyarfeiniel]

Seul cette question reste dans le vide.
Le vide, il n'y a que du vide pour moi de toute façon.
Prisonnier à jamais, Châtié à jamais, il n'y a personne.
Encore combien de temps ?
Vide et silence mes deux constantes.

[Erimede_Read]

Vide et silence mes deux constantes.
Deux bulles soyeuses.
Trop facile.
Comme un chemin qui mène tout droit vers la falaise.
Comme un chemin qui nous fait taire à jamais.
Deux amies factices.
Trop présente.
Comme un étau de fer qui vous étouffe.
Comme une main qui vous tire en arrière.

[ladyarfeiniel]

Comme une main qui vous tire en arrière,
Comme un rayon de soleil dans l'obscurité.
Unique point de couleur dans le tableau gris que représente ma vie,
Unique amour inconditionnel.
Rien ne sera plus comme avant,
Rien ne vaut plus que toi.
Sa présence seule réconforte,
Sa naissance ma plus grande bénédiction.
Écrit dans ma chair,
Écrit ton nom est CURSE.

[samminy25]

Ecrit ton nom est CURSE.
Le connais-tu toi-même?
C'est comment je t'ai appelé
Car, comparé à cette langue que j'aime,
Je t'ai toujours détesté

Mais qui es-tu vraiment?
Un châtiment?
Une malédiction
Telle est ton nom?
Ou ce sentiment qui quoi que je fasse prend toujours le devant
Ce sentiment dont je suis condamnée à souffrir
Jusqu'à la fin des temps
Pour une faute qui m'a valu bien des martyrs
Et que je regrette tellement
Car j'aurais donné ma vie pour éviter ça
J'aurais subi toutes les tortures du monde pour que tu sois encore là
Pour que ce vulgaire accident ne soit pas arrivé
Et que ce ne soit pas moi qui l'ai engendré
Au seuil de ma misérable existence
Parfumée de regrets et ne souhaits non-excausés
Une seule question atteint encore mon agonisante essence
Qu'ai-je fait à la vie pour qu'elle me montre tant de cruauté?

Curse, quel est ton nom?
Quel est ce sentiment plus dévastateur que n'importe quel tourment?
Je pense que tu l'as deviné
La culpabilité

[MaDoLiNe]

La culpabilité, la culpabilité mes maîtres.
Elle me ronge et creuse un chemin sombre dans mes veines.
Regardez mon sang! Il est si noir qu'il pourrait être une encre qui sur un papier buvard s'étalerais tel une maladie et tracerai encore et encore la faute.pour l'éternité!
Aaaahhh!!!
Je me colle au mur laissez moi y entrer. Cette erreur je la refuse, il ne fallait pas.
Vos yeux sont de braise et vos mains sont des cendres. Écartez vous tous. Ne me regardez pas ainsi. Je ne voulais pas. Je ne voulais pas!!!
Enfermez moi dans le noir que j'y reste. Mon âme est mauvaise. Il faut la tuer. La briser. L'écraser. Et l'oublier.
Oui. je ne voulais pas.
C'est culpabilité mes maîtres. Je plaide coupable. Réduisez moi au silence

[samminy25]

Réduisez-moi au silence.
Comme vous en auriez fait d'un témoin.
Réduisez-moi à l'inexistence.
Ca ferait juste une victime de moins.
Je suis trop loin désormais.
Pour éviter l'impensable, l'insupportable, l'indomptable.
Et mes larmes ne suffiront jamais.
A détruire les plans pervers de ces coupables.
Dans cet endroit où toute lumière est condamnée.
Les hurlements de colère dansant dans mes yeux.
Enflamment la pièce comme un immense brasier.
Balayant la douleur et la terreur qui hantent les lieux.
Défiant de tout mon honneur et ma fierté.
Criant avec tout mon désespoir et ma rage.
Brandissant mes frêles poings face à ces arriérés.
Symbole même du courage.
D'un homme qui est en train de tout perdre jusqu'à la raison.
D'un homme que le destin a abandonné.
D'un homme sans histoire et sans nom.
Piégé dans le joug de la cruauté.

[Illy04]

Piégé dans le joug de la cruauté. Enseveli sous les remords d'un acte qu'il n'a pourtant pas commis. Incapable de se souvenir de pourquoi il est là, incapable de savoir qu'il purge une peine injustifiée. Incapable de reconnaître ses bourreaux, continuant à les traiter comme des amis. Sans s'en rendre compte, il a échangé sa vie contre celle d'un autre, sans pouvoir donner son avis. Mais il ne s'en souvient plus. Alors, il se contente d'être là et d'attendre, dans sa petite cellule, qu'on lui raconte des petits bouts de son histoire, avec lesquels il se reforme un passé. Un passé erroné, mais ça, il ne le sait pas. Il attend, il ne fait que ça. La vie défile devant ses yeux, il ne fait rien pour se l'approprier. Non, parce qu'il se croit meurtrier.Il subit, tous les jous sans broncher, la peine à laquelle il est condamné. Et un soir, lorsqu'on l'amène sur le bûcher, il croit le tout justifié. Lui ne mérite pas de vivre s'il a ôté la vie de quelqu'un. Il doit mourir. Il ne prononce aucun mot, aucun cri, et supporte son agonie en silence. Le feu ne tarde pas à transformer cet homme en cendres.
Plus loin, sur la même place, un grand homme regarde. Il s'assure de la mort de la seule personne qui aurait encore pu le dénoncer. Il sent vaguement un sentiment de culpabilité l'envahir en voyant les flammes faire leur travail, mais il le chasse bien vite. "C'est mieux comme ça" se dit-il. Et il repart dans la direction opposée, assez satisfait. Il n'a pas le temps de rester là.
Il a un autre contrat à remplir.

[charly09]

Un autre contrat à remplir.
Et un panier.
Une poche, un navire
va déborder.

Le bateau lève les voiles, un baleinier.
Il largue les amarres,
il va, vogue et grince doucement,
en s'éloignant du phare,
et des brisants.

C'est un nouvel accord
sur la portée.
Une note, un soupir
pour respirer.
La mélodie s'envole et sans voile
La ballerine s'élance
Elle vibre et sans fard
s'abandonne à la danse.

[samminy25]

S'abandonne à la danse
Cette ombre attirant mon esprit
De mouvements souples et doux
Au dépit de mon admiration et ma jalousie

Elle danse, danse sans cesse
Ignorant mes yeux fous la fixant
Tournoyant avec l'air qu'elle caresse
En chantant d'un ton clair et brillant

Elle chante, chante avec ses gestes
La voix aiguë résonnant dans la pénombre
Chuchotant des mots à la fois joyeux et funestes
En un hymne de personne n'oserait rompre

Soudain, elle s'arrête
Et se tourne vers mes yeux rêveurs
Un sourire apparaît sur sa tête
Un sourire où je ne vois que de la laideur

"Ne rêve pas trop, me prévient la danseuse
Le rêves n'ont beau pas avoir de frontière
La réalité n'est de loin pas aussi joyeuse
Et ils ne t'apporteront que de la misère

Tu resteras ce qu'est le rocher face aux montagnes
Ce qu'est la lune face au soleil
Tu auras beau t'entrainer sans relâche
Tu n'arriveras jamais à être pareil"

Elle se retourna sur ces mots, sans même me regarder
Au fond je ne savais même pas qui était cette danseuse
Ni ce qu'elle cherchait
A susurrer au loin de sa voix mélodieuse

[charly09]

A susurrer au loin de sa voix mélodieuse
un joli mot doux
qui jamais ne l'atteint,
comme un cri étouffé
par les pentes neigeuses,
comme un souffle s'éteint.
Elle crie pourtant le silence,
Elle hurle toujours en vain
son cri porté
par la seule avalanche...
A murmurer toujours,
et toujours silencieuse,
sa voix étouffée tout doucement s'éteint.

[dadotiste]

sa voix étouffée tout doucement s'éteint.

DE sa voix étouffée tout doucement s'éteint,
Le dernier souffle d'elle que j'entendrais jamais.
Ce n'est qu'une pâle copie que j'aurais désormais,
De celle qui m'appris tout et qui guida mes mains.

Son âme si fragile s'en va dans le lointain,
Elle n'avait d'autre choix que déclarer forfait,
Le démon dévorant prenant tout ce qu'il restait,
De sa vie bien remplie et de ses lendemains.

J'ai revu cette flamme scintiller dans ses yeux,
Rappelant à mon coeur des moments merveilleux,
des souvenirs de joie que je n'espérais plus.

Pendant de longues minutes il n'y avait plus dilemme
Elle s'est montré elle-même et non en inconnue
me laissant une chance de lui redire je t'aime.

J'ai un peu triché en ajoutant un DE au début de la phrase afin que cela puisse créer un alexandrin
J'espère que cela passe tout de même...