Concours "Un jour à..." Reprise : Nov 2011/Sept 2012

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Lilymilou

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Re: Concours "Un jour à..." Huitième mois : Janvier 2012

Message par Lilymilou »

Un jour à Flowerlys

Je vais enfin me mettre à écrire. Ma mère n’a cessé de me supplier durant 8 ans pour que je commence un journal intime que j’ai fini par accepter. Ce n’est pas que je ne voulais pas, mais je n’avais pas le temps. L’école, les examens et mon petit job que j’avais fini par trouver occupaient tout mon temps libre. Je n’avais peut-être qu’une heure parmi vingt-quatre durant laquelle je n’avais rien à faire, mais je l’occupais à lire. Lire, c’est ma plus grande passion. Fantastique, aventure, science-fiction, histoires vraies… J’aime tout ! Mais lorsque je commence, je ne peux plus m’arrêter. Alors, même à 17 ans, ma mère doit continuer à me rappeler d’arrêter de lire, de penser à dormir. Et c’est là que je dois poser mon livre sur l’étagère, et commencer à me reposer.
Ca, c’était avant. C’était quand je devais aller à l’école pour faire des études. Mais j’ai terminé. Ce sont les vacances et j’ai mon diplôme dans la main. J’ai déjà fait la fête et on m’a déjà suffisamment félicitée.
Nous sommes en août, je suis sur la terrasse en train d’écrire, sirotant un cocktail de fruits frais : un régal. J’arrête d’écrire pour commencer mon livre. Je l’ai acheté dans une librairie il y a un mois, environ. Mais je n’ai pas encore eu le temps de le lire, ayant une grosse pile d’une dizaine de livres sur mon étagère. De plus, je ne peux lire deux livres en même temps. J’ai déjà essayé, mais je ne le ferai plus. J’en avais mélangé les deux histoires et avait fini par abandonner mes livres, les trouvant incompréhensibles.
Ca s’appelait «Flowerlys, le livre qui te fait oublier». Si ça pouvait être vrai. J’ai contemplé la couverture. Bleu ciel, sans image. Pas d’auteur non plus. Et je ne savais plus dans quelle librairie j’étais allée le chercher.
J’ouvris la première page, la deuxième et la troisième pour en arriver à l’endroit où l’histoire devait commencer. Pourtant, la page était vide. Ca peut paraître absurde quand je dis ça. Il y a des quantités de livres qui commencent à la cinquième, sixième page. Et bien pas celui-ci. Toutes les pages étaient blanches et je ne l’avais pas remarqué en l’achetant.
J’étais prête à hurler, à fouiller tous mes sacs pour chercher le ticket de caisse, qui aurait indiqué dans quelle librairie j’aurais pu acheter ce livre, mais je n’eu pas le temps. De mon livre, un étrange courant d’air sortit. C’était comme lorsque l’on ouvre une porte d’entrée en plein hiver. Je me penchai dessus, passa ma main. J’essayai de le refermer mais je n’y arrivais pas. Quelque chose m’en empêchait.
Soudain, j’ai été aspirée à l’intérieur du livre. Je n’ai pas eu mal, seulement très peur. J’ai crié, puis j’ai remarqué que j’étais atterrie dans une forêt, avec de grands arbres majestueux. Je me levai, essuyai mes mains sur ma robe préférée, celle que je mets chaque été. Puis je parcourrai la forêt, écoutant le chant mélodieux des oiseaux. Ici, il faisait nettement plus frai que sur ma terrasse, mais ce n’était pas désagréable.
Je demandai à la nature où je me trouvais, pourquoi j’étais entrée dans cette forêt alors que je m’apprêtais à lire un livre passionnant. J’en voulu au libraire, qui m’avait adressé un joyeux sourire lorsque j’étais sortie de sa librairie.
Je marchai longtemps, courant presque. Je me trébuchai de nombreuses fois sur les racines des arbres, mais je ne m’arrêtais pas. Je ne savais où aller. Puis j’ai fini par voir une lumière, m’imaginant un panneau « Sortie ». Enfin !
Mais par malheur, je me trouvai dans un champ. Pas beaucoup mieux ! J’ai encore crié, cette fois, plus fort, et on m’a répondu. Le silence m’a répondu. Les oiseaux m’ont répondu et le vent également. Il n’y avait personne dans ce livre, voilà pourquoi il n’y était rien écrit. Ca m’aurait tant ennuyé de lire un pareil livre, dans lequel on ne dit rien. Mais là, alors que j’étais à l’intérieur, je me sentais bien. Je me demandais juste comment j’allais en sortir, mais je n’étais pas pressée.
Je marchai encore, tout en chantonnant une chanson débile qui me passait par l’esprit. Me prit l’idée de me coucher dans le champ, qui paraissait très doux. Je me laissai tomber, ne me fit pas mal lorsque je touchai les blés. Un doux parfum vint à moi, une odeur que je ne parvins pas à reconnaître. J’ai toujours été nulle pour ça. Je n’essayai pas de savoir ce que c’était, en réalité. Je fermai les yeux, caressant au passage le sol doux.
Un papillon se posa sur ma main, un oiseau sur ma cheville, je le sentis. J’ouvris les yeux pour vérifier, veillai à ne pas bouger pour ne pas les faire fuir. Ils étaient bien là. Je ne bougeai plus, je les regardais juste battre des ailes, changer de positions, mais ils restaient toujours sur mon corps.
Plus tard, j’aperçu un jeune chevreuil, magnifique. Il vint vers moi, tout comme l’oiseau et le papillon. Il posa sa tête sur mon ventre et déposa une fraise. Ils n’avaient vraiment pas peur me moi, apparemment. Je mangeai la fraise, puis me dis que peut-être cette fraise n’en était pas une, vu que tout est si différent ici. Mais elle était délicieuse. Sans doute la meilleure que je n’ai jamais eu à gouter.
Un lièvre est venu se coucher sur mes deux jambes étendues au soleil. Je l’ai caressé avec ma main qu’il me restait de libre et bien vite, je fus entourée d’une dizaine d’animaux. Cerf, biche, sanglier, oiseaux, renard et écureuil. Je me suis assise, je les ai caressés. J’ai regretté de ne rien avoir à leur donner. J’arrachai du blé, mais personne n’en voulut. Je m’excusai, puis me sentit ridicule d’avoir parlé à des animaux. Mais je ris de moi-même, me rappelant que j’étais seule avec eux, et qu’il n’y avait aucun mal à leur parler.
Les animaux se frottaient contre moi, redemandant des caresses. C’était si merveilleux que je voulu que ce moment dure toute la vie. Ici, ma mère n’était plus là. J’étais enfin libre. Je voulais vivre ici, dans cette ville étrange, qui n’était en fait que la quatrième page de mon livre.
J’ai passé des heures là, me semble-t-il, car je fini par être fatiguée. Je m’endormi, sans m’en rendre compte.

J’ai passé la plus belle nuit de ma vie, coincée entre dix animaux, qui me frottaient légèrement les bras comme si c’était leur manière de m’apaiser. J’étais si bien. Malheureusement, lorsque je m’éveillai, je me trouvais à nouveau sur ma terrasse, le ciel était tout noir. Mon livre n’était plus là. Je me suis levée de mon transat, je suis rentrée chez moi. J’ai contemplé ma robe, qui pourrait être le seul signe que je n’ai pas rêvé et effectivement, sur elle, une tache verte d’herbe s’étendait.
Schima

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Re: Concours "Un jour à..." Cinquième mois : Octobre 2011

Message par Schima »

Un jour à Los Angeles, je reçu un appel privé. Je me demandais bien qui cela pouvait être. J'hésitais pendant deux ou trois sonneries pour décrocher. D'un sens, je me disais que si c'était important il fallait que je réponde mais d'un autre sens, la personne pouvait me laisser un message vocal! Je décidai quand même de décrocher car je n'avais pas du tout envie de rappeler après si c'était important. Donc, je répondis et une voix familière commença a me dire qu'il fallait que je revienne en France, à Bordeaux le plus rapidement possible car ma tante avait eu un grave accident et qu'elle ne s'en sortirais peut être pas.

J'avais donc pris le premier avion en direction de la France, mon pays natal. À l'aéroport, ma cousine m'accueillis et nous partîmes toutes les deux direction l'hôpital. Nous étions la seule famille qui restais à notre tante.

Ma tante, avait fini par guérir, retrouvant ses forces jour après jour mais il lui restais quelques séquelles de son accident de moto. Depuis cette accident, j'avais décidé de revenir m'installer près de ma seule famille laissant derrière moi 3 ans de ma vie.

Un jour à Paris, quelqu'un appela ma tante, c'était ma cousine qui avait décidé de reprendre les cours, elle s'était inscrite dans une école d'Art. Elle appelait pour nous inviter, ma tante et moi même a ses 30 ans qui se passerait à Paris le mois prochain.

Le mois passa et nous montâmes à Paris pour l'anniversaire de ma cousine. Un jour, ce jour à Paris, fut celui qui bouleversa ma vie à tout jamais. Je ne pourrais oublier ce jour merveilleux. Ce jour, ce jour à Paris à sans doute était le plus beau de toute ma vie. Ce jour à Paris, je rencontrais Maxime. Ce jour à Paris, je tombais amoureuse de Maxime. Ce jour à Paris, Maxime tomba amoureux de moi. Ce jour à Paris, Maxime et moi tombâmes amoureux pour le restant de nos jours, enfin je l'espère. Ce jour à Paris, Maxime et moi vivions le meilleur jour.

Ce jour à Paris, restera à jamais gravé dans notre mémoire et dans la tienne aussi mon cher journal en espérant qu'un jour, mon journal, tu dévoileras tes secrets et les miens à ma petite et merveilleuse fille.

À bientôt très cher compagnon de secret.
Atlas

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Re: Concours "Un jour à..." Neuvième mois : Février 2012

Message par Atlas »

Un jour à…Saint-Aignan sur Cher

Le lieu le plus beau au monde, à part les îles bien entendu, est le lieu où l’on réside. Nous sommes ici pour la simple bonne raison que ce lieu nous envoûte et nous intrigue. Nous force par sa beauté à rester et résider dans ces étreintes. Pour ma part, je vais vous parler d’une ville du centre de la France : Saint-Aignan sur Cher. Lieu magique en somme, paysage de carte postale. Théâtre de nombreux faits historiques ayant laissés comme vestiges un célèbre château de Touraine. Site exceptionnel qui en a vu défilé des rois et des princes ! Pas tous, mais non sans peu…C’est là où je demeure, niché dans ma tour d’ivoire, voyant tous ces touristes s’émerveillaient devant le château de la ville alors que pour moi, cet édifice est devenu presque comme un ami, un confident, qui m’illumine de ses lumières une fois le soleil couché. Une personne normale qui a quitté depuis longtemps mon champ de vision, tellement il est l’élément principal du décor. Même si l’histoire du château manque parfois de précisions historiques, les faisceaux de lumières dorées dont on le pare les soirs d’été, lui prêtent auprès de la blancheur éclatante de la vieille collégiale, le charme des demeures de rêve dont les conteurs ont ébloui notre enfance. Sans oublier bien sûr le vigoureux pont, qui enjambe le Cher et relie la ville de Noyers sur Cher à Saint-Aignan sur Cher, mon lieu d’asile. L’hiver, un épais manteau de neige recouvre la région, la vie semble s’arrêter, tout sons disparaient, aspirés par le voile neigeux. Mais, comme dans tout endroit, la neige à son charme : Les branches d’arbres s’alourdissent sous le poids du cadeau du ciel, les flocons tombent tels une grande parade, l’éclat de chaque maison et de chaque arbre en ai décuplé… L’été, la vie reprend, la chaleur arrive pareil à des chevaux fougueux. Les gens commencent à ressortir de chez eux, se lâchant après plus de 5 mois d’emprisonnements. L’ardeur des temps chauds font bourgeonner quelques plantes…Tout cet ensemble nous fait aussi oublier les mauvais moments de la guerre : Début d’après-midi du 19 juin 1940, les 1er éléments de la Wehrmacht parviennent aux abords de Saint-Aignan, c’est le début de l’occupation ! Dans les heures qui suivirent, un char français en position à proximité de la gare livre un bref combat contre l’avant-garde Allemande aperçue au nord du village du Gibet. Un détachement de tirailleurs marocains, qui se trouvait entre les deux ponts, est pris sous le feu des groupes de reconnaissance allemandes. Tous les soldats français, au nombre de 18, sont tués, y compris leur officier ; etc., etc. Jusqu’au 4 novembre 1944, où l’occupation est finie grâce aux premiers Américains en mission de reconnaissance. Saint-Aignan est libéré. Tout ce beau paysage m'en laisse pantois… même si cela fait bien longtemps que je vis ici. C’est comme un enfant, que j’ai vu naître et grandir. Suis-je bête, je ne me suis pas présenté : je m’appelle Geoffroy de Donzy, et je suis (ou plutôt j’étais) comte de Nevers et seigneur de Saint-Aignan… Je me doute que vous vous dites que les rois et seigneurs n’existent plus à notre chère époque, le 21ème siècle… Mais en vérité, j’ai plus de 981 ans ! Pourquoi et comment cette longévité ? Grâce à une bien vieille légende… Mais ça, c’est une autre histoire…
PLLiars

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Re: Concours "Un jour à..." Cinquième mois : Octobre 2011

Message par PLLiars »

Un jour alors que j'étais en Afrique dans la petite ville de Midoumi, situais dans le désert à une dizaine de kilomètre d'une majestueuse montagne, je décidai de faire de l'escalade. Une fois en haut de l'Atlas, je découvris la savane. J'oservais ce paysage radieux . Je voyais tous ce sable jaune, luisant sous l'éclat étincelant du soleil. Les arbres étaient dispersés aux quatre coins de cette vaste étendue de sable.
De la montagne, j'apercevais les gazelles, les lions, les zèbres, tous ces animaux dont on ne parles que dans les livres, étaient là, devant moi. Les lions agitaient leur crinière soyeuse sous le soleil, puis rugissaient royalement. Les gazelles couraient toutes ensembles au même rythme comme si l'une d'entre elles comptait; 1, 2, 3, 4 et 1, 2, 3, 4...Elles couraient comme si le sol était brûlant et que, pour éviter la brûlure, elles devaient lever les pattes le plus rapidement possible en sautillant, les zèbres, eux, n'étaient plus de simples chevaux vêtus de noir et de blanc, mais chacun avait l'air unique. Les éléphants gris, autour d'un oasis se désaltéraient sans donner lieu à une bagarre. Les serpents zigzaguaient à toute vitesse évitant les obstacles; lions, éléphant,...
Dans le ciel, aucun nuage, tout était bleu, oui, bleu comme l'eau de la piscine, de l'océan. Par delà la savane sedressait un petit villag, seul au milieu de cette immensité. Je reconnaissait ses petites maisons de chaux, ce puits mis à l'écart, cette immence totême au centre du petit village, c'était Midoumi. Ce village dans lequel j'étais il y a à peine quelques heures, me paraissait soudain insignifiant au milieu de tout ce qui étaient devant moi.
Je vis un oiseau passer de temps à autres, mais jamais deux à la fois. Les girafes, elles, se regroupaient autour d'un arbre, leur long coup bien droit, de temps en temps, elles regardaient plus bas pour vérifier si leurs bébés ne rencontraient pas de problèmes.
En face une falaise, où pouvaient surement vivre des aigles, faucons, ou tout autre grand rapace de ce genre.

En fait, c'était un espaceoù des milliers de pépites d'or se répandaient, où toutes sortes d'animaux se trouvaient, regroupaient avec les leurs, où le soleil qui brillait ne cherchait qu'une seules chose, nous aveugler, ou bien, peut-être nous montrer sa supériorité, où le ciel était un océan qui ne s'arrêtait jamais, où les arbres, toute la végétation n'avaient pas envie de pousser car les animaux les démoralisaient à cause de leur beauté, où les points bleus qui apparaissaient dans l'étendue n'étaient là que pour finir le coloriage de l'image, et pourtant, tout ce paysage était réel, il était là, devant moi, comme si je venais de mourir et que ma nouvelle vie au paradis commençait déjà.
Un jour je suis allée à Midoumi, et ça je ne l'oublierais pas.
Iness78

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Re: Concours "Un jour à..." Cinquième mois : Octobre 2011

Message par Iness78 »

Un jour à ... Paris.

Je marche à grands pas dans le quartier le plus chic de Paris pour échapper à … à je ne sais pas quoi au juste. Tout ce que je sais, c’est que la chose me poursuit. Les bruits de pas se rapprochent. Vite je me glisse à travers l’enchevêtrement de branchages que Mimosa et moi avons construit. Mimosa, c’est ma sœur jumelle. De l’autre coté du buisson artificiel, c’est l’endroit le plus magique au monde. Je me trouve sur une partie secrète du plus vieux pont de Paris. En dessous de moi, la Seine coule paisiblement. Mais il se passe quelque chose d’anormal. Je ne sais pas quoi mais la Seine n’est pas normale. Soudain, j’entends derrière moi le bruissement d’un buisson qui s’écarte. Non, ce n’est pas possible, il ne peut pas m’avoir retrouvée ! Mais si, il est derrière moi. Je sens son souffle dans ma nuque. Je frissonne et sens mes jambes se dérober sous moi. Non, non ce n’est pas le moment de flancher, il faut que tu te retournes pour le voir au moins une fois avant de ... Non il ne faut pas que tu penses à çà. De toute façon, il ne peut rien te faire. Je respire un bon coup et me retourne. L’homme est très grand, un masque lui couvrant les yeux. Un infime instant il me fis penser à quelqu’un, je ne sais plus qui, mais je me repris. L’homme me fixa. Qu’est-ce que ce regard fait mal ! Il vous fouille l’esprit et va jusqu’au plus profond de l’âme. Il a des yeux noirs, noirs d’acier. Noirs ténèbres. Noirs comme la pénombre de Paris. Et soudain si vite que je ne peux le voir, il me pousse. Et moi je tombe et découvre ce qui est anormal dans la Seine. L’eau est haute, trop haute, beaucoup trop haute. Mais il était trop tard. Ma dernière pensée fut pour Mimosa. Et je mourus, noyée.
Virgile

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Concours "Un jour à..." Reprise : Nov 2011/Sept 2012

Message par Virgile »

C'est le grand retour de Un jour à...
Nous allons pour cette édition rassembler tous les textes envoyés depuis la pause et le meilleur gagnera le prix pour cette édition, c'est parti :)
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