Début, milieu, fin

Forum dédié aux jeux littéraires et autres petits jeux
Règles du forum
Attention! Dans ce Forum, uniquement les jeux littéraires, pour des jeux non littéraires allez dans : Jeux libres
Nobody-book

Profil sur Booknode

Messages : 1453
http://tworzymyatmosfere.pl/poszewki-jedwabne-na-poduszki/
Inscription : sam. 17 nov., 2012 3:21 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par Nobody-book »

C'est vrai qu'il est génial. j'ai beaucoup aimé. Et puis c'est bien écris. :D
PowerOfWords

Profil sur Booknode

Messages : 82
Inscription : mar. 21 févr., 2012 3:05 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par PowerOfWords »

Merci ^^ Toi aussi tu écris bien tu sais :P
Nobody-book

Profil sur Booknode

Messages : 1453
Inscription : sam. 17 nov., 2012 3:21 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par Nobody-book »

Merci ! :D :oops:
PowerOfWords

Profil sur Booknode

Messages : 82
Inscription : mar. 21 févr., 2012 3:05 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par PowerOfWords »

Bon,quelqu'un se lance sur le sujet que j'ai mis ? :P
Nobody-book

Profil sur Booknode

Messages : 1453
Inscription : sam. 17 nov., 2012 3:21 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par Nobody-book »

J'essaye mais j'ai peur que ce ne soit pas réussi. :?


- RD1408 à la base. RD1408 à la base.
- Nous vous écoutons.
- Nous approchons de la ceinture d'astéroïdes de Saturne. Nous y serons d'ici quelques heures.
- Enregistré. Ralentissez votre vitesse commandant.
John hocha la tête puis se tourna vers moi.
- Malorie, merci.
- De quoi ? je lui demande avec un léger sourire.
- De tout. D'être ici avec moi. D'être toi. Malorie, je t'aime. Veux-tu m'épouser ?
OUI ! OUI ! OUI ! Cette phrase je l'attendais. Je la désirais. J'aurais tout fais pour l'entendre. Et elle est venue.
Je pleure et hurle oui en enlaçant mon John. Il m'embrasse, me murmure qu'il est l'homme le plus heureux du monde et je l'enlace encore plus fort.
Mais encore une fois mes parents gâchent tout. Ils ne l'ont jamais aimé. Ils le considèrent comme un criminel depuis qu'il m'a emmené en mission avec lui.
Je sais que je risque ma vie. Mais je sais également qu'avec John je ne risque rien.
J'avoue que ce n'est pas très compréhensible.
Je ne suis pas très compréhensible.
Ma vie n'est pas très compréhensible.
Mes parents ne sont pas très compréhensibles.
Pourquoi refuse t-il que j'épouse John ? Pourquoi sont-ils toujours aussi obstinés à gâcher ma vie ?
Je n'ai pas envie de le savoir et éteint la communication avec la Terre.

Bon voilà, j'ai écris la nouvelle. Contente ? (nan, je rigole :P)
Prochain thème:
:arrow: une autre planète exactement comme la notre, où les hommes seraient animaux de compagnie
:arrow: il se révoltent
:arrow: et restent animaux de compagnie
layla

Profil sur Booknode

Messages : 1948
Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par layla »

-J'en est marre !
C'est Pupuce qui vient de parler .Cette jeune fille fait partit de la race Adolenscente.
-Maître Cochon veut me faire frire avec des patates !
-Moi,Madame la Poule me prend tout mes enfants !A peine ai-je accouchée qu'elle me les mange !
C'est Caramelle,une autre Adolescente qui vient de renchérir.Ponpon, un Adulte,ouvre la bouche :
-Et moi,et moi,Maître Mouton me rase les poils tout les jours pour s'en faire des pulls !Ca fait maaal !
-Moi pareil, Maître cheval me monte dessus tout les jours,me casse le dos et me fend la machoire à force de tirer dessus sans arrêts !
- Mister Cochon d'Inde m'enferme dans une grande roue et me regarde tourner pendant des heures !
-Miss souris blanche me donne ses vieilles croutes de fromage toute pourries !

Comme d'habitude, une nouvelle révolution commençait.Et comme d'habitude,elle allait échouer.



j'espère que ça vous a plus !

:arrow: raconte ta journée d'aujourd'hui
:arrow: donne lui un aspect fantastique
:arrow: puis fait une chute humouristique

je ne met pas de contraintes parce que c'est déjà dur
Nobody-book

Profil sur Booknode

Messages : 1453
Inscription : sam. 17 nov., 2012 3:21 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par Nobody-book »

Oh oui, c'est dur :D ! Mais le thème m'a l'air sympathique !

Je me réveille en sursaut. J'ai fais un rêve. Plutôt un cauchemar.
J'étais avec un garçon et une fille dans une vieille voiture et on tentait de chercher une école pour les gens comme nous. Différents.
Ce n'est pas très compréhensible. Pourtant je suis différentes.
J'allume ma lampe de chevet et ouvre mon livre. Apocalyspis. Il parle de la fin du monde. Il m'intrigue.
Pour moi la fin du monde à commencer lorsque j'ai appris ma particularité qui fais de moi quelqu'un d'unique.
Je disparais.
Je peux devenir invisible quoi.
Dans la vie de tout les jours, c'est à peine si on me remarque.
C'est vrai, j'aurais vraiment été invisible, ça n'aurais eu aucune différence.

Voilà. Pas terrible :? .
:arrow: un homme malheureux qui veut se suicider
:arrow: il se jette du haut d'une falaise
:arrow: il ne meurt pas
fruitbasket83

Profil sur Booknode

Messages : 1831
Inscription : ven. 21 oct., 2011 10:31 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par fruitbasket83 »

Je suis malheureux. Je n'ai pas de famille pas d'amies. A quoi sa sert la vie si on a personne a qui on tient ni de but ?
J'ai un métier pourri, un salaire pourri, une maison pourri : une vie pourri. En faite c'est comme si je n'avais pas de vie et que je n'exister pas. Si je disparaissais personne ne me pleurerez. Je n'aurais pas de cérémonie, rien.La mort est la seule issus a ma tristesse. Oui j'en suis sûr et la haut j'ai de la famille au moins. C'est bon je suis prés a sauté du haut de cette falaise. Je regarde une dernière fois ce qui m'entoure ce paysage magnifique des montagne, du soleil, de la nature pour graver comme dernière images de ma vie quelque chose de bien puis je regarde le vide. Je mets mes deux pieds tout au bord et prend une grande inspiration et je saute dans le vide. C'est comme si je volais c'est vraiment incroyable mais sa va trop vite le sol se rapproche. Je m’écrase sur le sol, sa fait mal très mal. Il y a tellement de crie, je dois être moche a voir. Mes pourquoi je les entends ? Pourquoi ne suis-je pas mort ? J’entends des sirène les pompier surement, et des voix. On me bouge j'ai très mal mais impossible de crier. Puis le noir total plus rien. Quand j'ouvre les yeux une lumière m'éblouis. A enfin je suis au paradis ! Une femme se penche au dessus de moi vêtue de blanc.
-Monsieur vous aller bien ?
-Un ange.
-Merci, mais je suis une infirmière.
-Comment sa ? Je ne suis pas morts ? Mais j'ai fais une chute de 30 mètres et me suis écraser !
-Oui c'est un miracle que vous ayez survécus peut-être est-ce un signe de dieu ? Il vous a offert une nouvelle vie alors profiter en !

Le suicide n'est pas une solution car la mort n'est pas la fin d'une vie mais le début.



:arrow: un agent secret
:arrow: enlève la mauvaise fille
:arrow: tombe amoureux d'elle
lecture4reveur

Profil sur Booknode

Messages : 399
Inscription : sam. 11 févr., 2012 6:34 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par lecture4reveur »

Coucou!

Je reviens après une petite absence absence, désolée :?
J'ai lu tous vos textes et je l'ai trouve super! Bravo pour votre talent que j'ai pu agréablement découvrir à travers mon écran et encore merci pour votre participation sans laquelle "Début, milieu, fin" ne pourrait fonctionner.
Vous jouez le jeu à fond, vous écrivez des récits longs, originaux et vraiment intéressants qui m'ont beaucoup plu! Je tiens aussi à vous félicitez pour vos thèmes beaux et étonnants que vous respectez bien, tout autant que les contraintes, même si elles sont parfois difficiles!

PS: Ne dîtes pas que vos écrits ne sont pas supers, car c'est complètement faux ^^
P-PS: N'hésitez pas à lire le texte de la personne dont vous prenez les thèmes et à donner votre avis dessus, ça fait toujours plaisir ;)
P-P-PS: Bienvenue aux nouveaux arrivants et oui Shereen, tu nous a manqué, ne t'en fais pas :lol:

Lecture4reveur
lecture4reveur

Profil sur Booknode

Messages : 399
Inscription : sam. 11 févr., 2012 6:34 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par lecture4reveur »

Je reprends donc le sympathique thème de Nobody-book et PowerofWords, tu y avais très bien répondu avec beaucoup d'humour, je trouve^^

:arrow: La fin du monde
:arrow: Quelqu'un tente d'y échapper
:arrow: Il meurt

Ca y est. C'est la fin. Cette pris de conscience me heurte violemment et me sort de la paralysie dans laquelle j'étais plongé jusqu'alors, contemplant ahurie le sol qui s'effondre et l'eau qui remonte, engloutissant le peu qui reste de la Terre. Je me décide enfin à suivre mon frère qui me tire par la manche depuis cinq minutes. Nous tentons de nous frayer un passage incertain entre la foule en proie à la panique et entre les cadavres qui jonchent la rue. Les plus durs à éviter sont les humains à l'agonie qui demandent de l'aide et s'accrochent à moi. Mais je ne leur répond pas, je n'ai pas le temps de les secourir. Et puis pour la plupart, leur sort est déjà scellé. C'est fou comme l'instant de survie peut prendre un tournant animal. Jusqu'à présent, j'ignorais que je pouvais être aussi indifférente et égoïste. J'ignorais comment je réagirai lors de la fin du monde. Dorénavant, je le sais.
Je regarde droit devant moi, ne prêtant aucune attention au triste désastre qui m'entoure. Mais c'est difficile car des larmes intarissables ravagent mon visage en sueur et rendent ma vision floue. Mes yeux sont captés de toute part par les mouvement désordonnés des gens alentours. Je dois cependant me concentrer sur l'objectif que je me suis fixé. Survivre. Avec mon frère, bien entendu. En le regardant se faufiler habilement tout en me tenant fermement, j'ai soudain honte de moi. Il est bien plus courageux que la pitoyable soeur que je suis. Dès qu'il a compris la gravité de la situation, il a tout de suite su quoi faire, il est immédiatement passé à l'action. C'est pourtant à moi de le protéger. Ca devrait être à moi de le rassurer et de le guider. A moi d'agir pour essayer de nous garder en vie. Et non de pleurnicher et de me laisser faire comme une gamine de 5 ans. Car j'ai 10 ans de plus. Même si, à ce moment précis, ça ne se voit pas du tout. Bien au contraire.
Je ne peux m'empêcher de repenser à mes parents. On nous a séparé quand il a fallu mettre les enfants, qui étaient prioritaires, dans des avions qui nous mèneraient soit-disant en lieu sûr. Mon frère, Matthieu, et moi avions refusé d'embarquer jusqu'à ce qu'ils nous promettent qu'ils nous rejoindraient. Je les avais naïvement cru et m'était laissée faire tranquillement. C'est là que je comprends que leurs au-revoir étaient en fait des adieux et que leurs bisous et leurs câlins seraient les derniers. Ils m'avaient menti. Et Matthieu le savait parfaitement. Mais il avait fait semblant d'y croire pour me faire tomber dans le panneau. Pour me protéger. J'étais la seule à ne pas avoir saisi qu'on courait un réel danger.
On court toujours. J'ai mal. Mes chaussures serrent mes pieds qui n'en peuvent plus de battre le sol, mes jambes lourdent se soulèvent difficilement, mon bras qui me relie à mon frère est tout engourdi. Je voudrais tout arrêter. Mettre sur pause ne serait-ce que quelques minutes, le temps de reprendre mes esprits et mon souffle. Le temps d'aller mieux. Le temps que la fin du monde passe. Mais c'est impossible. Je dois continuer, encore et encore, même si je souffre horriblement. Mais si je n'en peux plus. Parce que je dois sauver mon frère. C'est mon rôle. Et pour l'instant, je ne l'ai pas du tout rempli.
Mais mon corps fini par avoir raison de mon faible mental et je tombe, à genoux. Le gravier traître se dérobe sous mes pieds et je m'enfonce dans un gouffre infini. Je n'essaie même pas de me débattre. Matthieu, qui tient encore ma main, tire de toutes ses forces dans l'espoir fou de me faire remonter. En vainc. Je le supplie de partir. Je le supplie de vivre. Il refuse, il dit qu'il ne me laissera pas. Jamais. Qu'il préfère tomber avec moi que m'abandonner. C'est donc à moi de faire le premier pas. Alors je fais ce que j'aurai du faire depuis le début. J'ouvre mes doigts et lâche sa main qui me retenait à la vie. C'est en le laissant libre que je le sauve, c'est sûrement comme ça que je l'ai plus rempli mon rôle. En lui donnant cette preuve de mon immense amour pour lui.
Je m'apprête à fermer les yeux. Mais avant, je le vois m'observer tomber. Il ne dit rien. Il a compris. Alors il se détourne et reprend sa course. Pas de larmes. Pas de cris. Pas de fatigue. Juste une indomptable volonté de vivre. Je souris et abaisse mes paupières.
C'est mon frère. Et il va survivre à la fin du monde.


Je me suis vraiment éclatée à faire ce texte, merci pour ce super sujet! ;)


Je remets donc la requête précédente:
:arrow: un agent secret
:arrow: enlève la mauvaise fille
:arrow: tombe amoureux d'elle
layla

Profil sur Booknode

Messages : 1948
Inscription : lun. 20 juin, 2011 6:00 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par layla »

Sheireen98 a écrit :Très tôt ce matin, j'ai reçu ma nouvelle mission. Je dois enlever une fille qui détiendrait des informations confidentielles. Celles-ci ne doivent pas tomber entre de mauvaises mains aussi mon patron veut-il avoir la fille sous étroite surveillance. "Et à qui confier une mission de cette importance si ce n'est à vous, mon meilleur agent ?" écrit-il dans sa demande. Il y en a vraiment qui n'hésite pas à user de flatteries pour obtenir des services ! Très bien, je n'ai pas le choix de toute façon. Mais je me jure bien que c'est la dernière ! Je commence à en avoir marre de risquer ma peau et de vivre sans cesse dans l'urgence. J'aimerai sincèrement retrouvé une vie normale.
Bon alors, la fille que je dois enlever correspond à la description suivante : brune, yeux noisette, taille normale... blablabla.... est souvent aperçue aux alentours du parc vers 17 h.... blablabla... Ok. Le genre de fille qui ne semble absolument pas suspecte à première vue. Bien. Je pense qu'il vaut mieux commencer par le parc.
Tranquillement installé sur un banc, j'observe les passants en jetant souvent aussi des coup d’œil à ma montre. Il ne faut pas que je la loupe. 16 h 55. 17 h. 17 h 15. Le temps passe à une allure étonnante et toujours aucune trace de la jeune fille ! Je commence à m'impatienter même si elle n'est pas prévenue on avait quand même un rendez-vous ! L'aurais-je raté ? C'est peu probable, je suis resté en ce lieu stratégique du parc tout l'après-midi. Résigné, je m’apprête à repartir et revenir demain quand soudain, je la vois. Elle marche d'un pas tranquille en direction de la sortie; son sac en bandoulière battant son flan. Ses cheveux flottent librement derrière elle et dans la lumière couchante de cette fin de journée, je ne peux m’empêcher de la trouver magnifique. Stop ! Ce n'est pas le moment de gamberger sur une fille ! Surtout au moment où s'apprête à l'enlever et pas de la même manière qu'un prince de conte de fée ! Discrètement, je la suis. Comment passez à l'action dans un parc bourré de monde et sans qu'elle ne s'en rende compte ? Aucun moyen. Il nous faut donc sortir du parc mais dans la rue cela risque d'être pire... Une idée effleure mon esprit. Et si je l'accostait faisant mime de la connaitre avant de finalement m'excuser pour m'être soit disant trompé ? Assez bancale mais pour le moment je n'ai pas mieux. Je me prépare psychologiquement à passer à l'acte avant de remarquer un collègue qui me fait signe dans une voiture. Très bien. Passons au plan B : J'attends que la fille soit suffisamment proche de la voiture. je l'enlève et la fait rentrer de force. Charmant et peu princier ! J'expose mon idée par signes à mon collègue d'un pouce en l'air il me fait comprendre que ça marche. Un pas, encore un... et action !
Avant même qu'elle n'ai eu le temps de réagir, là voilà dans l'habitacle de la voiture. Elle ouvre la bouche prête à crier mais je ne lui en laisse pas le temps non plus. Un bâillon est toujours utile. Néanmoins, a peine lui ai-je mis que je regrette déjà mon geste. Ses yeux me regardent terrifiés, suppliants... Je détourne la tête. il est vraiment temps que j'arrête ses absurdités et que je reprenne une vie normale. Elle n'ose pas bouger si bien qu'elle ne prend même pas la peine d'essuyer les larmes qui coulent sur ses joues. Un immense désir, de la prendre dans mes bras, de la consoler, de l'embrasser me prend. Mais je ne peux pas. Je n'en est pas le droit. J'ignore ce qu'elle pense de tout ça, de moi. Mais d'imaginer qu'elle a du me détester l'espace d'un instant m’anéantit. Je n'avais encore jamais ressenti cela. Blottie contre la portière, elle me regarde, mon silence l’effraie encore plus. Et rien que ce regard produit en moi, une nouvelle vague de sentiments inconnus. Si de loin elle était déjà à mes yeux, magnifique, de près elle l'est encore plus. Je ne peux pas. Je suis tiraillé entre mon obéissance aux ordres et ses supplications muettes. Heureusement, nous arrivons au centre.
Doucement, je la prend par un bras et l'emmène à l'intérieur. Elle pourrait s'enfuir mais elle ne le fait pas. C'est étonnant comme la peur peut être paralysante chez certaine personne. Elle me fait penser à un petit faon que j'avais un jour recueilli et soigné avec ma grand-mère. Il était tellement effrayé que pendant des jours, il était resté sans bouger dans un coin. Il était si mignon aussi. Elle aussi est mignonne, je dois le reconnaitre, mais d'une manière différente. Sans m'en rendre compte, perdu dans mes pensées, ma main a lâché son bras pour attraper la sienne. Elle ne la retire pas. Au contraire, elle la sert plus fort comme pour se raccrocher à quelque de rassurant et de réel. Il est vrai que les bureaux du centre des services secrets semblent sortis d'un autre monde. Nous sommes seuls dans les couloirs alors délicatement, je lui retire le bâillon que je n'aurai jamais du lui mettre. Elle me pose alors une seule et unique question :
- Que me voulez-vous ?
- Personnellement, rien. Mais dans le cadre de la mission, je dois vous emmener dans le bureau du directeur et vous soutirez des informations.
- Mais des informations sur quoi ? gémit-elle. Je ne sais rien de vos affaires et ignore complètement où je me trouve !
Elle semble si désemparée que je la crois immédiatement sincère. Si cela ne tenait qu'à moi. Il y aurai longtemps qu'elle serai de nouveau libre. Mais ce n'est pas à moi d'en décider. Elle doit me détester et cela m'est insupportable. Pourquoi ai-je soudain ce désir de lui plaire et de paraître agréable ? Pourquoi suis-je malheureux de la voir aussi perdue ? Beaucoup de pourquoi tournent en boucle dans ma tête. Je me souviens de la première fois où ma sœur est tombée amoureuse, elle passait son temps à douter, à vouloir se montrer sous son meilleur jour, etc... Je ne suis jamais tombé amoureux auparavant. Mais est-ce cela que je ressens ? Suis-je vraiment en train de tomber amoureux d'elle ? L'arrivée devant le bureau du patron m'arrache à mes pensées. L'heure de vérité. A-t-elle été sincère ou est-elle une excellente actrice ? Nous possédons un moyen très sûr de connaitre la réponse : le sérum de vérité. Jusqu'ici, l'utiliser ne m'a jamais gêné. Mais aujourd'hui... Ai-je envie de connaitre la vérité ? De la soumettre à cette épreuve ? Je n'ai pas le temps d'avoir une réponse. Le patron sort de son bureau, plutôt énervé.
- Alexandre ! tonne-t-il.
- Oui.
- Vous êtes virez !
Pour une surprise c'est est une ! Au moins n'aurai-je pas à rédiger une lettre de démission.
- Motif ? Je demande simplement. Tandis que la jeune fille que je n'ai toujours pas lâchée mais dont j'ai repris le bras à la place de la main, je précise, nous regarde tour à tour.
- Vous me demandez le motif ?! Et bien, je viens d'avoir un appel de la part du gouvernement, les informations que vous étiez chargé de récupérer ainsi que la fille qui les détenait sont déjà à l'autre bout du monde et surtout transmises ! Et par dessus le marché, vous venez d'enlever une personne innocente qui n'a rien à voir avec cette affaire ! Vous me décevez ! Hors de ma vue !
- Bien monsieur.
Vraiment, je sais que le sourire en coin n'est pas au bon moment mais il m'a toujours amusé quand il est en colère. Et puis, ainsi la jeune fille est innocente. Je la lâche et m'excuse pour toute cette histoire. Elle me sourit et bizarrement, ce n'est ni un sourire moqueur, ni un sourire forcé et hautin. Non juste un profond sourire qui une nouvelle fois me fait ressentir des sensations pour moi inexplicables. Je propose de la raccompagner, histoire de ne pas paraître totalement ignorant des bonnes manières. Elle accepte. Le trajet est silencieux. D'un certain côté, se faire enlever puis libérer à la suite n'est pas quelque chose qui nous arrive tout les jours. Nous voici de nouveau au parc. Elle descend puis s'arrête et se tourne vers moi.
- Et vous ? Qu'allez vous faire maintenant que vous êtes renvoyé ?
- Ne vous inquiétez pas pour moi. J'ai déjà un nom en tant que comptable que j'ai laissé trop souvent de côté ces derniers temps. Encore désolé pour cet enlèvement et tout ce que cela a impliqué. J'espère ne pas vous avoir fait rater quelque chose d'important.
- A part mon dernier train non.
- Vous allez rentrer à pied ?
- Je n'ai pas le choix.
- Sauf si vous supporteriez ma vue encore quelques temps.
- Je ne veux pas vous déranger
- Vous ne me dérangez nullement. Je vous dois bien cela après tout.
- Merci.
- Au fait, puis-je me permettre de demander votre nom ?
- Callie. Et vous c'est Alexandre c'est bien cela.
- Exact. Où est-ce que je vous dépose ?
- Rue Victor Hugo
- Et vous vouliez allez de l’autre côté de la ville à pied ?
Elle rit. Inutile de vous dire les conséquences de ce rire vous les connaissez déjà. Nous continuons de discuter sur le trajet qui se termine trop vite à mon goût. Je ne peux m'empêcher de la dévorer des yeux. Je dois avoir l'air idiot; après un coup de foudre comment se comporter ? C'est peut être la dernière fois que je la vois aussi je me décide d'être direct. De toutes manières qu'est-ce que cela changera ? Mis à part le fait que cette fois-ci je l'aurai effrayé pour de bon.
- Je vous aime. Dis-je tandis qu'elle s'éloigne dans la rue.
Elle se retourne étonnée. Est-ce à elle que j'ai parlé ? La réponse doit se lire sur mon visage car elle revient vers moi et alors que j'attends la baffe magistrale, elle m'embrasse sur la bouche et me murmure
- Moi aussi.

Tandam !!! Encore un happy end !!!! Désolée pour le texte c'est vrai qu'il est vraiment long et que j'aurai pu m'arrêter plus tôt mais j'étais tellement dedans que je n'ai pas résisté à l'envie de continuer. J'espère qu'il vous plaira quand même. Si au début j'avais pas d'inspiration je me suis finalement beaucoup amusée et ai pris plaisir à l'écrire merci pour ce sujet Fruitbasket83 !!

:arrow: un chien perdu
:arrow: il est recueilli
:arrow: il vit heureux dans sa nouvelle famille

Contrainte : :arrow: L'histoire est racontée par le petit chien.

Bonne chance !!!!

Lecture4reveur : j'ai bien aimé ton texte.


Waouh !j'adoore !
Nobody-book

Profil sur Booknode

Messages : 1453
Inscription : sam. 17 nov., 2012 3:21 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par Nobody-book »

C'est vrai qu'il est super ! J'ai pris plaisir à le lire et la fin m'a enchantée. ;)
Bravo ! :D
BeeJu

Profil sur Booknode

Messages : 2234
Inscription : mer. 20 avr., 2011 5:52 pm
Localisation : Mallemoisson

Re: Début, milieu, fin

Message par BeeJu »

Je vais essayer ! :D

Froid...
Je n'avais jamais encore vraiment compris le sens de ce mot si ridiculement court... Ce mot que l'on croit avoir compris en promenant dehors en hiver, les membres grelottants. Qui s'en va brusquement lorsque l'on se pelotonne contre le poile à la lueur orangée des flammes.
Mais non tout ça n'est qu'impression, aujourd'hui JE SAIS ce que signifie avoir froid.
Il avait neigé la veille, elle a tenu toute la journée jusqu'à ce qu'une heure auparavant une pluie gelée transforme la neige blanche et délicate en soupière glaciale. Je cherchais dans les rues un endroit sec où m'abriter, abandonnant ma quête de nourriture pour la journée. La pluie masquée les odeurs, je ne trouverais plus rien avec mon nez. Mes pattes s'enfoncer dans la glace, je me demandais si mes coussinets avaient tenu le coup, je ne sentais plus grand-chose. Au bout d'un certain je trouvais une petite alcôve dans un mur ni trop loin ni trop près des humains. Je me roulais en boule au cherchant un peu de chaleur dans cette niche improvisée en ramenant mes quatre petites pattes sous mon ventre froid. Mon poil long trempé avait foré une petite flaque d'eau glaciale dans mon dos. Ce poil humide qui colle à la peau, mon corps pris de minuscule convulsion dans un ultime effort pour créer de la chaleur.
Qui voudrait d'un bâtard comme moi ? Plus personne désormais.
J'avais déjà eu une maîtresse, Margareth, très gentille lorsque je n'étais qu'un chiot. Tous les chiots vous paraissent mignons même un bâtard mais après... Je me souviens de la boitte blanche dans lequel je voyais mon nouveau chez moi mon petit corps couleur de miel frémissant d'impatience. Sortir de la boîte et commencer ma vie. Le couvercle s'était ouvert et la première chose que je sentis ce fut cette odeur de jasmin, puis je vis les vagues blondes me chatouillant les narines alors qu'on me serrait contre un corps chaud et bienveillant. Un cadeau de mariage. Mais quelques années après je n'étais plus aussi mignon on ne disait plus de mon poil qu'il était doux comme le miel mais dru et jaunâtre. Tout cet amour n'avait pas duré ni envers moi ni entre John et Margareth. Au fil des ans les cris, les disputes, les larmes et mon rejet n'avaient fait qu'augmenter. Et voilà qu'un mois auparavant la rupture et le divorce c'est proclamés.
La garde du clebs revint à Margareth, on aurait peu croire qu'elle se serait rapproché de son petit chien se réconforter contre sa fourrure mais bien sûr non chaque fois que son regard porté sur moi je sentais le regret de ses années perdus dans un mariage chaotique.
Je ne réussit pas a m'endormir, et décidais de me sortir de cet endroit faussement chaleureux, tant pis pour mes pattes. Je cherchais quelque chose à me mettre sous la dent, je levai le nez et reniflais, c'était beaucoup plus compliqué de chercher une odeur dans l'air que de suivre une piste au sol mais celui-ci était trempé et donc inutilisable... Albâtre... Goudron... Ferraille... Mais derrière toutes ces odeurs agressives je pouvais sentir La Nuit. Cette fraicheur envahissante de l'ombre qui emplit votre corps en millier de sensation. Le levait le nez pour regarder les étoiles mais bien sûr les nuages couvraient le ciel, j'ouvris la bouche et sentis l'humidité du début d'hiver sur ma langue. Je soupirais, pas le temps pour ces bêtises, la vie était une chienne je le savais maintenant. Et pourtant au fond de moi j'attisais l'espoir qu'on m'ai aimé un jour. L'amour est-il temporaire ? D'après mon expérience oui, a moins bien sur que l'amour soit mensonge et vous voile les yeux. Un temps j'ai cru qu'ont m'aimais.
Pouvait-on arrêter de m'aimer ? Peut-être.
Alors dans ce cas ou e trouver la sécurité, l'assurance ? En nous. L'on ne peut plus comptais sur d'autre pour nous nourrir nous chérir.
Je levais le nez une dernière fois et inspirais. Rien. Pas de trace l'air était encore humide, j'allais retourner dans mon nid qu'en j'entendis des voix devant moi. Une humaine tenait par la main une petite fille brune Aux yeux de sapin. La femme tenait dans ses mains un petit paquet de nourriture... Bœuf... Gingembre...
Je m'avançais les oreilles aplatientt prêt à être rejeté d'un air méprisant, la petite humaine posa son regard étrange sur moi et sourit, un léger sourire, un vrai sourire. Elle tira la manche de sa maman et me montra à elle. Le regard de la femme se posa sur moi puis glissa sur mon corps amaigri par la famine. Son regard se remplit de tendresse et s'agenouillât mouillant ses collants dans la glace fondue, elle ne s'en préoccupa pas. Elle ouvrit son sac et le déposa à ses pieds.
- Viens, glissa-t-elle dans un murmure.
Je m'avançais la tête basse méfiant. Ça sentait tellement bon. Je commençais à goutter, puis finis par manger voracement, cette assiette aux mille saveurs.
- Melinda que fais-tu, résonna une voix dans la nuit le levé ma tête et la femme se redressa. Un homme au long manteau noir avançait je reculais précipitamment contre le mur de l'autre côté du trottoir.
- Pierre ce chien est affamé je lui ai donné les restes du restaurant...
Le reste se finit dans un brouhaha mais pattes se remirent à trempés lorsqu'une bourrasque de vent me gifla le visage. Je m'éloignais de la petite famille. Mais je n'eus pas fait un pas quand j'entendis.
- Maman il s'en va !
- Chérie...
- Il tremble papa, il tremble...
Je continuais et tournais dans la rue de gauche. Quelle drôle d'enfant...
J'entendis un bruit précipitait qui s'engouffrait dans ma rue, je me retournais et fis fasse la queue entre les jambes n'ayant ni la force ni l'envie de me protéger.
- Approche mon grand.
L'homme de tout à l'heure, grand très grand, impressionnant. Mais j'aurais juré qu'il ne me voulait pas de mal. J'obéis et m'approchais.
-Aller vient.
Je suivis cet étranger étrange jusqu'à une voiture dans lequel la petite fille attendait à l'arrière. Il ouvrit la portière.
- Tu peux monter, dit la fillette.
Je ne savais pas quoi faire cette odeur de gingembre ne venait pas du plat seulement mais
imprégner l'habitacle de la voiture et la jeune fille.
Je glissais mes pattes mouillaient sur le siège et hissais mon corps lourd dans le véhicule.
Des petites mains douces caressaient ma tête, entre les oreilles. La fillette déposa une couverture sur mon dos frictionnant ma fourrure. Ma peau se gorgeait de chaleur mettant fin petit à petit à mes tremblements je n'avais même pas remarqué que la voiture démarrait. La portière finit par s'ouvrir à nouveau e des mains plus grandes et fortes se faufilaient sous mon ventre et me portèrent jusqu'à une maison. En passant la porte la première chose à laquelle je pensais fut: Amour.
Les murs étaient pleins de photos de mariage de noces de naissance d'épanouissement, d'anniversaire. Ces gens s'aimaient, aimaient leur fille, aimaient leur chat.
Chat ??
Oui chat. levant la tête du canapé il leva sa tête et regarda dans notre direction puis se rendormit.
Cette famille ne me décevrait pas. Je prends le risque.
- Allé Toutou suis-moi, lança la fillette à s'élançant dans sa chambre.
Elle finit par se glisser dans ses draps, sa mère, son père passèrent tous deux l'embrasser avant de sortir. Je la regardais du bas du lit et ses yeux de foret me cherchèrent, quand elle me trouva son sourire de tout à l'heure se redessina sur ses minuscules lèvre puis elle tapota la place a coté d'elle. Je ne manquais pas ma chance et sautais sur le lit. Enroulant mon être couleur de miel - car oui c'est ce qu'on lisait dans ces petits yeux du miel doux et non du jaunâtre- contre son corps d'enfant et l'endormi aussitôt. La sécurité. Aimer être aimé. Amour.

:arrow: Une jeune fille ouvre la porte de sa chambre et trouve sa maison vide
:arrow: Son jardins a était envahit pas des gnômes.
:arrow: Elle retrouve ses parents prient en otages par les drôle de nains.

Contraintes : Tous ca n'est qu'un rêve en fin de compte
Gwenaelle

Profil sur Booknode

Messages : 10
Inscription : jeu. 24 nov., 2011 9:06 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par Gwenaelle »

Bon je me lance ^^

:arrow: Une jeune fille ouvre la porte de sa chambre et trouve sa maison vide
:arrow: Son jardins a était envahit pas des gnômes.
:arrow: Elle retrouve ses parents prient en otages par les drôle de nains.

Contraintes : Tous ca n'est qu'un rêve en fin de compte

---------

Leah se réveille comme tout les matins, elle se lève et fronce les sourcils. Elle n'entend pas les bruits habituelles de la maison, son père qui commente les actualités qu'il entend à la radio tandis que sa mère approuve ses dires ou lui dit de se calmer de sa voix douce alors qu'elle prépare le petit déjeuner. Elle ne sent pas la bonne odeur de cuisine non plus a bien y réfléchir.

Elle sort doucement de sa chambre, soudainement prise d'un mauvais pressentiment.

- Papa? demande-t-elle assez bas tout en écoutant.
- Maman? tente-t-elle un peu plus fort quelques secondes après.

Toujours rien. Rien qu'un silence oppressant. Elle inspire un bon coup en tentant de ne pas paniquer et passe dans toute les pièces de la maison pour voir si ils ne serraient pas occupé ailleurs mais elle fini par se rendre à l'évidence, elle est seule dans cette immense maison.

Elle décide d'ouvrir les rideaux pour vérifié le jardin et là... Elle manque de s'évanouir suite à sa découverte: des dizaines de petits hommes hideux sillonne le jardin. Elle referme vite le rideau et se laisse aller à quelques jérémiades quasi silencieuse sur son sort. Tout à coup elle entend du bruit et se réfugie à l'étage en courant. Mais finalement il ne se passe rien et Leah a eu le temps de se calmer alors elle regarde par la fenêtre de l'étage pour essayer de déterminé ce qu'elle pourrait faire, ce qu'elle devrait faire.

Les petits hommes, serait-ce des gnomes?! , n'ont vraiment pas l'air aimable. Ils ont l'air de faire des rondes pour surveiller le jardin, SON jardin et Leah se demande pourquoi... puis elle réagi soudain au fait qu'elle n'a vu personne d'autre dans la rue et, surtout, elle ne sait toujours pas où son ses parents? Et si les gnomes les avaient... Non, Leah ne peux définitivement pas penser que ses parents ne rentreront jamais, qu'ils ne la prendront jamais plus dans leur bras, qu'ils ne la féliciteront plus quand elle aura une bonne note, ne lui souriront plus, ne... Non! Impossible qu'ils ne soient plus de ce monde !

Elle se dirige de l'autre côté de la maison pour voir si elle voit autre chose et c'est alors qu'elle aperçoit ses parents bâillonnés, les mains et les pieds attachés, au fond de la cours. En plus de sa, une grande corde les attaches ensemble et la seule chose qui vient à l'esprit de Leah à ce moment c'est que c'est comme dans les films qu'elle regarde quand ses parents ont le dos tourné... Sa lui semble tellement irréel...

Mais elle cesse soudain toute pensée absurde quand un petit homme à l'air mécontent s'approche de ses parents et s'élance en courant dans les escaliers. A mi chemin ses pieds s'emmêlent et elle dévale les escaliers, quand son corps heurte le sol elle ressent des douleurs dans absolument tout son corps. Elle tente de se relever mais elle les aperçoit, la dizaine de gnome qui se jette sur elle pour la retenir, alors elle hurle en luttant.

Elle le fait jusqu'à se qu'elle s'éveille sur le sol de sa chambre, juste à côté de son lit, en hurlant toujours à plein poumons, pleine de sueur, et en se débattant avec ses couvertures .

- Tout va bien Leah? Demande sa mère d'un ton inquiet en ouvrant la porte de sa chambre.

Leah regarde autour d'elle déboussolé pendant quelques secondes et se jette au cou de sa mère, heureuse que tout sa ne soit finalement qu'un cauchemar.

Je promet de ne plus jamais, jamais regarder un film qu'ils ne m'auront pas autorisé à voir ! pensa-t-elle tandis que sa mère lui rendait son étreinte quelque peu surprise.


---------

Voilà, j'espère que sa vous aura plu ^^
En tout cas c'est une très bonne idée de jeu, j'aime beaucoup ! :)

Prochain sujet:

:arrow: Un jeune homme voit une jeune fille dans un train et, aucun doute, pour lui c'est LE coup de foudre.
:arrow: Mais elle descend bien avant lui et il n'a même pas eu le temps de lui parler.
:arrow: Il fini par la retrouver par le plus pur des hasards quelques mois après et se rend compte qu'elle est la plus cruelle des personnes qu'il n'ai jamais vu...

Contrainte: aucune
fruitbasket83

Profil sur Booknode

Messages : 1831
Inscription : ven. 21 oct., 2011 10:31 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par fruitbasket83 »

Un jeune homme voit une jeune fille dans un train et, aucun doute, pour lui c'est LE coup de foudre.
:arrow: Mais elle descend bien avant lui et il n'a même pas eu le temps de lui parler.
:arrow: Il fini par la retrouver par le plus pur des hasards quelques mois après et se rend compte qu'elle est la plus cruelle des personnes qu'il n'ai jamais vu...
Elle était là a un peu moi d'un mètre assise sur un siège dans le métro. Elle avait des cheveux brillant blond qui bouger au rythme du métro et un visage si fin et magnifique, sa peau était blanche comme la neige. Elle était si belle ses beaux yeux verts diriger vers la carte des arrêts afficher en face d'elle. C'est surement se qu'on appelle le coup de foudre car je n'avais jamais ressentis sa avant. <<Arrêt pour Marseille >> annonce la vois dans les hauts-parleurs. Le train sarrette et la belle inconnue se lève et descend avant que je ne puisse lui dire un mot. Je veut la rattraper mes trop tard une foule de gens monte et je me retrouve écraser entre le mur et ses personnes.
Trois mois était passer et je penser toujours a elle assis sur le banc d'un parc son visage, ses yeux, ses cheveux... Je n’arrivais pas a l'oublier, j'aurais du aller lui parler avant l'arrêt pour Marseille au lieu de la regarder là a rien faire. Je suis vraiment stupide. Un parfum a la fraise me fait relever les yeux du sol et la je la voit, elle, la plus belle femme que je n'ai jamais vu. Etait-ce le destin qui nous a fait nous rencontrer ? J'en suis sûr c'est la femme de ma vie. Cette fois pas question de la laisser filer. Je lui cours après et lui attrappe le bras. Elle se dégage et avec un visage haineux me dit :
-Ah mes lâché moi ses dégoutant ! Qui vous a permis de me toucher avec vaux sale main dégoutante ?
-Et bien, je ...
-Ne justifier pas vous êtes une de ses stupide personne qui croivent pouvoir toucher les gens comme il le veulent.
-Non, pas du tout je voulais juste ...
-Ne vous ai-je pas dit de vous taire ? Vous êtes vraiment sourd ma parole ! Maintenant laisser moi tranquille !
Mais que c'est il passer ? Je n'ai fait que la toucher. Elle s'éloigne et je la regarde un ballon passe devant elle et choute dedans comme si de rien n'était, le ballon atterrit sur la route une voiture passe et l'écrase. L'enfant cours vers elle et commence a pleurer :
-Mon, Snif, mon ballon, Snif !
Je croyais quelle aller le consoler, s'excuser ou même lui donner de l'argent comme une bonne personne mais non elle n'en fit rien :
-Au arrête de pleurer tu veux, tu me casse les oreille ! Ton ballon a la noix je m'en fous t'avait cas pas le laisser trainer ! Aller ouste tu me pompe l'air !
En plus d'être une femme superficielle elle est cruel. C'est pas gagné pour me marier avec elle !

J'éspère que sa vous a plus :?

:arrow: Un garçon /ou une fille joue a la DS
:arrow: Entre dans le jeux
:arrow: Il/Elle doit accomplir la mission du jeux
Contrainte : Le jeux est Pokémon

:arrow:
EGih

Profil sur Booknode

Messages : 58
Inscription : dim. 02 sept., 2012 12:39 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par EGih »

Je fais glisser le sac par terre dès que je pose les pieds dans le salon. Je suis exténuée. Qu’elle journée, j’ai besoin de me détendre.
Je me dirige vers ma chambre, rien de mieux pour s’évader que de jouer au…
-Christine, j’espère que tu vas dans ta chambre pour faire tes devoirs et réviser pour ton test et pas pour aller fourrer ton nez dans ces petits dessins animés, ces animaux qui te paralysent pendant des heures devant la DS ou l’ordinateur.
Ça c’est ma mère. Elle déteste me voir jouer aux Pokémons. Elle dit que c’est un jeu pour les enfants, et que je perds mon temps avec ces idioties.
Ce qui était idiot pour ma mère, était toujours bon pour moi.
Je lui répond donc ce qu’elle veut tant entendre :
-Oui maman, je vais réviser tout de suite.
J’étais déjà dans ma chambre et prête à fermer la porte quand je l’entends crier :
-Mais, ton sac est là, avec tes affaires !
Je tourne la clé de ma porte.
J’ai quinze ans, elle peut me lâcher un peu les baskets non ?
Je me couche sur mon lit moelleux et pose la tête sur les deux grands oreillers couleur orange. Je tends le bras et prends ma DS posée sur le lit, juste ou je l’ai laissée ce matin.
Je commence à jouer, mon corps se détend.
Devant mes yeux je vois mon Boustiflor se faire attaquer. J’essaye d’esquiver l’attaque de mon adversaire mais il est trop fort pour moi. Je dois entrer dans la tour quelques mètres plus loin pour pouvoir passer au niveau suivant mais pour ça je dois tuer mon adversaire.
Je ferme les yeux et réfléchis un instant.
Je peux lui lancer les feuilles coupantes ou le poison mais comme mon adversaire est un Pokémon de feu il peut me lancer des flammes mortelles dans le visage avant que Boustiflor puisse ouvrir la bouche pour dire ‘aï’. Je peux m’enfuir mais ce n’est pas vraiment une solution.
Il faut faire autrement. Réfléchis Chris, réfléchis. Tu vas perdre le jeu si tu n’apprends pas à réfléchir.
Je suis tellement concentrée sur le jeu que quand j’ouvre les yeux avec une nouvelle tactique j’ai la sensation d’y être moi-même.
Boustiflor est dans une branche d’un arbre basse et sombre. Je touche X et A pour le faire balancer en avant et on arrière. Au moment où j’allais lâcher la branche mon adversaire me lance un coup de pied qui me coup le souffle. Littéralement. Je ne peut plus respirer. Je sens ma gorge se serrer et je vois les yeux de l’autre Pokémon briller de colère. Je sens mes forces me quitter, la brise sur ma tête et le bois sec sous mon corps.
Est-ce possible ? Suis-je devenue Boustiflor ? Suis-je entrée dans le jeu?
Je dois accomplir ma mission. Si je n’arrive pas à passer de niveau, resterais-je ici pour toujours ?
Pas de temps pour plus de réflexions, je vois la chaleur qui arrive, cette couleur rouge et orange qui s’approche, prête à m’envoyer dans les ténèbres.
Au loin, j’entends une voix qui m’appelle. Qui me dis d’ouvrir la porte et d’arrêter de jouer. Oui elle a raison, le jeu finira maintenant. Il finira pour moi.


Un peu difficile pour moi, je n'ai jamais joué au Pokémons, j'ai du inventer un peu. J'espére que ça va

Pour le prochain:
-> Une femme enceinte
-> Avant d'accoucher découvre que le mari la trompe
-> Le bébé a un probléme, elle doit décider si elle le garde ou si elle le laisse mourir.

Contrainte:
->Elle avait décidé d'avoir se bébé pour faire plaisir à son mari.


Bonne chance :D
BeeJu

Profil sur Booknode

Messages : 2234
Inscription : mer. 20 avr., 2011 5:52 pm
Localisation : Mallemoisson

Re: Début, milieu, fin

Message par BeeJu »

Si ca vous dérange pas j'étais entrain d'écrire le même sujet que toi Sheireen et j'ai pas envie de gâcher mon texte alors je vais vous le montrer quand même puis vous aurez qu'à utiliser le prochain sujet que Sheireen a proposé :)

Alors voilà :

Beaucoup de choses manquent, à beaucoup de gens pour qu'ils éprouvent tous le bonheur que l'on pourrait ressentir en fermant les yeux sur ces vides. L'on passe notre temps à chercher, puis on renonce et tombe facilement dans la colère, la peur, la dépression... Moi j'ai eu ces problèmes aussi. Cet enfer intérieur que ressent un adolescent en pensant que rien ne va et rien n'ira jamais. Que personne ne nous comprends, études, familles, amis, petites amies... Puis un jour, j'ai fermé les yeux. Et tout à changé.
Le noir.
L'obscurité.
La solitude.
Les premiers temps de ma condition ont étaient terrible. Il me manquait la vue et je me sentais totalement perdus. Des gens, ma famille a toujours été là pour m'aider. Je ressentais une colère si intense que j'ai perdus beaucoup plus que mes yeux les mois suivants. Tes amis t'abandonnent, ta réputation de Lidder passe au Looser handicapé, le lycée change, le monde change. Puis on apprend à voir les gens autrement à utiliser son esprit, la réflexion. On voit les autres différemment. Je n'imagine plus les autres avec une silhouette quelconque un visage de tel forme des cheveux et des yeux de telles couleurs. Non je vois plus profond en eux désormais. Quand une personne est complètement immergée dans le bonheur ça se ressent. Et quand quelqu'un est dangereusement au bord du gouffre on le voit aussi très facilement.
C'est comme ça que je voyais cette fille devant moi. La voix cassée et tremblante cette odeur de médicaments comme si elle avait passé beaucoup trop de temps dans un hôpital. Et un tons blasé, terriblement fané. j'imaginais d'ici une boule dans sa gorge, nouée en un petit tas de chiffon.
- Hey Fanny ! cria une voie féminine, T'étais passé où ? Ça fait une semaine au moins que je t'ai pas vus au lycée et ...
- J'étais occupée, au revoir, répondit-elle en un murmure presque inaudible.
- Attend !! Tu reviens quand ? cria l'autre, mais elle s'éloignais déjà. Je laissais mes courses sur le tapis roulant et la suivis. Je ne progresse pas très vite une canne dans la main suivant un schéma en arc de cercle devant moi. Mais il faut dire que la jeune fille que je poursuivais n'avait pas non plus le pas rapide, plutôt incertain.
Arrivé à ça hauteur je ralentissais, je pouvais entendre son souffle bruyant sortir trop rapidement de sa bouche.
- Tu devrais regarder où tu vas si tu veux éviter de te perdre, lui dis-je.
Je l'imaginais levant son regard sur moi.
- Hein ?
- Je disais, c'est pas très prudent de marcher sans voir ou tu vas.
Elle s'arrêta de marcher, et je m'arrêtais avec elle transperçant son regard de mes yeux morts.
- Tu... On dirait que tu ne vois pas vraiment ou tu vas non plus...
Elle avait baissé la tête et parlait d'une voie si basse que même moi avec une ouïe qui c'était bien développait pour compenser de mon manque de vision ne percevais pas très bien ses paroles.
- Il n'y a pas que les yeux qui voient.
Elle se détourna et partie dans l'autre sens. A croire qu'elle n'avait vraiment aucun itinéraire précis. J'hésitais une seconde. Et merde.
Ah la bonne fois!

Je devais essayer de la retrouver. Logiquement quand on marche aussi aveuglée on va tout droit. enfin même si d'après des études complètement loufoque, qui prouve que des gens perdues dans le désert, croient marcher droit mais forme enfait un arc de cercle presque parfait à cause du point d'équilibre de l'oreille interne.
Je pense qu'elle allait tout droit.
Et je ne me trompais pas.
Elle c'était arrêté en plein milieux du boulevard, les gens la contournaient en poussant des jurons. Personne n'avait compris qu'une fille aussi fragile figée en plein milieux de la foule avait besoin d'aide. Normal. Personne n'avait fermé les yeux sur les petits détails insignifiants qui gâchaient leurs plaisirs pour mieux voir le malheur des autres.
J'approchais ma main de son poignet pour la mettre sur le coté mais elle s'accrocha à mon bras comme à une bouée de sauvetage. Je pouvais entendre son souffle accélérer encore et encore puis s'étrangler dans un sanglot. je touchais sa joue et sentis l'humidité d'un larme sur mes doigts.
- Viens je t'emmène boire un café.
Elle me suivit docilement, je crois qu'elle n'avait même pas entendus où je l'emmenais.
Le Grand Caf' , était le meilleur café du boulevard, il se situait tout en bas de celui-ci.

- Qu'est ce que tu prends ?
J'imaginais d'ici son regard vague perdus dans la rue à travers la vitre. Un visage fin, elle ne devait pas avaler grand chose et quand je l'avais sentis près de moi elle me paraissait un peu amaigris. Le genre de fille, qui cesse de prendre soin de son apparence après un drame...
Je me raclais la gorge bruyamment.
- Hmm ? marmonna-t-elle à mon intention.
- Tu veux un chocolat ?
-... Oui
Je passais le mot au serveur et prenais un café noir pour moi.
Un chocolat... Je me demandais si elle avait pris ça parce qu'elle aimait, ou parce que je lui avais proposé et qu'elle avait choisi la facilité. Le chocolat me semblait adapté pour elle.
Pour la première fois depuis longtemps je me demandais de qu'elle couleur pouvaient bien être les yeux. de quelqu'un. Brun...Très brun. Aussi morts que les miens à leurs façon.
- Fanny regarde moi.
J'entendis ça tête quittait son point fixe pour me fixer moi.
Le fait que je connaisse son prénom ne semblait pas trop l'inquiéter.
- Parle moi, maintenant.
Un silence s'installa lentement, pas un silence gênant. Non un silence tranquille et reposant pendant que quelqu'un de bouleversée retrouve le fil de ses idées. Se rappelle pourquoi elle et dans cet état et l'abattement des souvenirs qui vous retombent dessus.
- Ma sœur. Elle est morte tous simplement, partie, murmura-t-elle comme si elle prenait conscience de ce qu'elle disait.
- Comment ?
- Ca fait une semaine... Un accident de scooter, c'est passé dans le journal vous avez du le lire dans le gros article de mardi.
Je souriais, elle me regarda. J'imaginais du fin fond de ma tête obscure, ses joues rougir sous la bêtise qu'elle venait de dire et baisser les yeux.
Des cheveux châtains ! Presque trop ternis par le désespoir.
- Je ne crois pas avoir acheté de journal depuis 5 ans environs.
-... Pardon... je...
- Chut, raconte moi ce que tu fais dans cette rue aussi abattue.
- Ma sœur me manque, évidement.
- Mes yeux me manquent aussi.
Un deuxième silence tomba, mais toujours pas gênant, pensif cet fois.
Nos boissons arrivèrent, prolongeant encore l'absence de commentaire.
Puis elle finit par reprendre la parole :
- Je ne sais pas comment vivre sans elle.
- Je ne savais pas comment faire non plus au début...
Son souffle ralentissait tombant dans une lenteur d'apaisement et d'écoute.
- Comment tu t'appelles ?
- Thibault.
- Alors... comment tu as fais ?
Je comprenais bien la question, elle me demandait conseil. Elle était prête à avancer c'était un bon, très bon début.
- J'ai été aidé, par ma famille principalement.
- Ma famille ne m'aidera pas.
Je sentais son ton recommencer à paniquer, de peur de la reperdre je répliquais très vite :
- Je t'aiderais moi.
Sa tête se releva vers moi.
- De qu'elle couleur son tes yeux ?
- Je...heu... Marron foncé.
Brun donc. 1 points pour moi.
- Et tes cheveux ?
- Blond, blonds ils sont blonds.
- Je te parie qu'ils étaient blonds mais qu'ils ne le sont plus vraiment maintenant...
Elle se détourna vers la baie vitrée, je l'imaginais regardant son reflet et prendre conscience des changements opérés par la perte d'une chose précieuse.
- Non ils ne le sont plus vraiment...
2 points.
- Je vais t'aider Fanny.
La surprise s'entendait dans sa voix. Pensait-elle que ce que je lui avais dis étaient des paroles en l'air ?
- Pourquoi ?
J'essayais de la regarder du mieux que je pus. Et je vis une étincelle d'espoir. Je lui souris de mon mieux.

- Je ne sais pas encore.


Je n'ai pas pris le temps de bien me corriger alors pardon pardon pour les fautes, en espérant que ça vous ai plus
:)
Dernière modification par BeeJu le mar. 08 janv., 2013 10:51 pm, modifié 2 fois.
BeeJu

Profil sur Booknode

Messages : 2234
Inscription : mer. 20 avr., 2011 5:52 pm
Localisation : Mallemoisson

Re: Début, milieu, fin

Message par BeeJu »

Sheireen :Très bien et ça ne me dérange pas non plus voyons tu pouvez pas deviner que j'écrivais un texte puis 1 ou 2 textes après tout c'est que mieux :)
lecture-folle

Profil sur Booknode

Messages : 371
Inscription : sam. 02 févr., 2013 1:49 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par lecture-folle »

Puisque jujuequidu04 n'a pas posté shéma et de contrainte (c'est normal c'est son texte), j'en propose un :
:arrow: Un petit garçon se promène dans les rues de Paris, au XVIIIème Siècle.
:arrow: Il apprend par la presse que Sherlock Holmes est mort.
:arrow: Il append à la fin, qu'il a fait semblant de mourir pour une de ses enquêtes.

:!: Contrainte : Le garçon, pendant son aventure, est muet. Si il rencontre Sherlock Holmes, il ne pourra pas parler.

PS : Oui, j'avoue, je me suis inspiré de la BD de Djian, Etien et Legrand nommée " Les Quatre de Baker Street : Tome 4: Les Orphelins de Londres." Je l'ai modifié à ma guise, ne m'en voulait pas ...
BlueScylla

Profil sur Booknode

Messages : 16
Inscription : jeu. 03 janv., 2013 1:56 am

Re: Début, milieu, fin

Message par BlueScylla »

J'essaye, même si je ne promet rien. ^^

Me voilà, me promenant encore une fois dans les rues de Paris. Mère va sûrement être très en colère, mais c'est plus fort que moi. J'aime trop l'odeur des pâtisseries flottant dans l'air, les bateaux naviguant sur la Seine ou encore regarder les gros titres des journaux Parisiens. D'ailleurs, il y a beaucoup plus de monde au marchand de journaux de la rue Carot aujourd'hui. Je me demande ce qu'il s'y passe? Curieux, je me précipite devant le panneaux indiquant les gros titres d'aujourd'hui. Un en particuliers attire mon regard: "Décès du meilleur investigateur mondial! Sherlock Holmes n'est plus." De quoi? Sherlock Holmes? Celui que tous le monde admire pour son talent? Je n'en reviens pas... je suis si triste... C'est donc le moral plombé que je retourne vers la rue principale, pour rentrer chez moi. Je ne veux pas que mère ne me voit comme cela, les larmes aux yeux... quelle honte... je décide donc de passer dans un magasin, le temps de sécher mes larmes. En entrant je regarde tout autour de moi, divers objets sont éparpillés, en désordre. Cela va de la grosse armoire à vêtements jusqu'au plus petit bouquin. Intéressé, je m'enfonce de plus en plus dans cette boutique étrange, quand tout à coup, je rentre dans une personne. Celle-ci se retourne et me regarde. Je reste figé. "Oh excuse moi mon petit! Je suis tellement absorbé par ce vase en porcelaine de Chine que je n'ai pas remarqué que je bloquais le passage!" C'est étonné, plutôt choqué, que je regarde cet homme. C'est Sherlock. Je le reconnaîtrais entre mille. C'est seulement après quelques secondes que Sherlock se rends compte que je le regarde les yeux écarquillés. "Oh c'est vrai! Ne dis à personne que tu m'as vu! D'accord? Pour une enquête je dois me cacher tu comprends..." Etant muet, je ne faisais qu'hocher la tête bêtement. "C'est bien, tu es un brave petit" en disant cela il me donna un petit bloc-note beige. Je repartis chez moi avec le sourire, et un objet précieux que je garderai longtemps...

Voilà! ^^ J'ai fais de mon mieux j'espère que j'ai bien respecter les consignes. ^^
Thème suivant:
:arrow: une jeune fille rencontre son meilleur ami d'enfance, qu'elle n'a pas revu depuis 10 ans.
:arrow: elle apprend quelque chose de grave à son propos.
:arrow: les deux amis se quittent, tristes et heureux à la fois de s'être revus.
Un peu pourri le thème désolée, xD
lecture-folle

Profil sur Booknode

Messages : 371
Inscription : sam. 02 févr., 2013 1:49 pm

Re: Début, milieu, fin

Message par lecture-folle »

Ton texte est bien mais trop court ou trop simple. Si Sherlock Holmes cherche à se cacher, il serait mieux caché ! Sinon, tu as bien respecté les consignes.
Répondre

Revenir à « Jeux »