L'histoire dont vous êtes le héros.

[Lyrra]

-C'est personne, me répondit Rapheal précipitemment.
Trop précipitemment à mon goût. Je haussais un sourcil.
-Qui est Leslie ? répétais-je de nouveau en articulant chacuns de mes mots.
Devant leur mutisme total, je soupirais tout en regardant autour de moi. Beaucoup d'enfants nous encerclaient, mais aucuns gardiens ou surveillants en vue.
-Très bien, dis-je d'une voix froide, les bras croisés.
Ils m'observaient, curieux, comme impatients de voir ce que j'allais faire.
-LESLIE !!! hurlais-je dans la pièce.
Ma voix retentit en echo, tous les enfants se tournèrent vers notre groupe. S'il y avait une Leslie parmis eux, elle allait se manifester. Forcément, elle serait trop curieuse de savoir pourquoi quelqu'un l'appelait, tant que ce quelqu'un n'était pas un gardien.
-Oui ? demanda une voix timide, émergeant du flot de gamins.
Maëlys et Annabelle se regardèrent en souriant, comme amusées par la situation. Les deux garçons, eux, semblaient quelques peu gênés, exaspérés.

A. La jeune fille se présente comme l'ex de Raphael.
B. La jeune fille se trouve grièvement blessée, en fauteuil roulant, et est très proche des filles, comme leur mère, ce qui explique leur désir de lui parler de l'évasion.
C.La jeune fille est la soeur détestée de Raphael, une ancienne espionne pour leurs kidnappeurs.

Les idées ne sont pas terribles, je ne savais pas vraiment quoi dire, désolée, et bonne chance pour le prochain !

[layla]

lyrra dit elle même que ces idées n'étaient pas top donc je continu sur le tien Sheireen98 , c'était le 1er

Toujours énervé, Raphaël m'avait emmené à l'autre bout de la salle.
-Tu pense vraiment ce que tu as dit ?
-Mias bien sur que non!Je voudrais qjuste savoir qui est Leslie !
-Ben cette une fille, t'es contente ?
-pas de trop non !
Nate apparu :
-C'est une fille que nous aimions tous à l'époque.Mais c'était en faite une espionne de l'agence pour savoir si on voulait s'évader.Raphaël et moi étions très proche d'elle et on s'en est voulu de ne pas l'avoir démasquer et de s'être laisser embobiner.
Raphaël hocha la tête avec lassitude.

a-ma colère retomba
b-j'étais étonné qu'il ne l'ai pas demasquer
c-j'éprouvis un peu de pitié pour ...

[Evinette]

Me serra contre lui, et je me laissait aller à son étreinte.
Je voulais juste être avec lui, profiter des instants que nous passions ensemble, bien trop brefs à mon avis.
Il me chuchota à l'oreille:
-Tu sais, Sanda...
Il marqua une pause et je remarquais Nate, à l'arrière, qui nous observait. J'arrivais à déceler une lueur étrange dans son regard, mais il n'avait pas vu que je l'avais remarqué. Raphaël continua:
-Je ne veux pas te perdre. Pour rien au monde. Je sais, on ne se connaît pas depuis longtemps, mais ... je ressens quelque chose de fort. De très fort. Est-ce que.. tu ressens la même chose pour moi?
Il était craintif, timide, si différend du Raphaël ironique que je côtoyais ces jours. Je souris, et j'enfouissais mon visage son cou. Je répondais après quelques secondes:
-Tu comptes beaucoup pour moi.
Je savais qu'il aurait espéré quelque chose d'autre, mais je n'étais pas prête. Pas prête à m'engager alors qu''on risquait notre vie ici. Pour le rassurer, je répétais:
-Beaucoup...
Et je ne puis m'empêcher de lancer un regard dans la direction de Nate, et je décelais une lueur dans ses yeux, une que je connaissais bien. Celle de la rage.

[layla]

hihi !
je vais lui laisser un msg !

[Evinette]

Pardonnez-moi!...

1. Il disparu et je restais contre Raphaël.
2. Son regard me fis des frissons...
3. J'avais vu le même dans le miroir, après la disparition de mon père. Le mien.

[Malau-book]

Elles se levèrent et partirent.Je n'ai pas bien compris la raison de cette dispute, mais à vrai dire, je m'en contre-fiche. Je suis ailleurs, dans les nuages. Je pense à Raphaël, je pense à Nate, et tout ça malgré qu'ils soient avec moi actuellement je n'arrête pas de réfléchir. Je me demande bien si... et mince, voilà que Raphaël me regarde.
- Un problème, me demande-t'il, tu as l'air tourmentée.
- Non, non.
Je lui ai répondue vite. Trop vite peut-être, parce-qu'il fronce les sourcils à présent. Il m'énerve... à tout deviner. D'une perspicacité déroutante. Il me fixe longuement, inspire comme pour dire quelque chose mais ne dit rien. Je l'interroge du regard, il ne met pas longtemps avant de me répliquer :
- C'est moi, le problème.
- Raphaël, pas du tout. Pourquoi est-ce que tu dis ça ?
Encore un mensonge...
- Intuition.
- Et bien elle est fausse ton intuition.
Sur ces mots je baisse les yeux pour regarder ma jambe qui tremble.

A) Il me relève la tête du bout de son doigt et me regarde dans les yeux.
B) Il s'en va en secouant la tête et en grognant.
C) Il éclate de rire en voyant ma jambe branlante.

(Je ne suis pas très douée...)

[Evinette]

Je lançais un regard interrogateur à Raphaël, qui lui, regardait obstinément ses pieds, puis quittais la salle sous les yeux inquiets des fillettes. Je me lançais à la poursuite de Nate et le rattrapais à un angle du couloir. J'osais poser une main douce sur son épaule, mais il se retourna brusquement et me lança:
-Laisses-moi!
Je le relâchais et il continua à avancer rapidement, mais je savais que si je ne faisais rien, rien de bien n'arriverais. Je le suivi donc, sans bruit jusqu'à ce qu'il pousse doucement une porte, jette un regard autour de lui et n'entre. Je me plaquais contre le mur et arrêtais de respirer, mais il ne me vit pas. Il il ferma la porte avec précaution et je recommençais à respirer. Je me sentais mal en suivant mon ami, mais... pouvais-je vraiment l'appeler ainsi? Je ne le connaissais pas vraiment, à part son prénom. Comment s'était il retrouvé ici? Il semblait être quelq'un de différent de nous. Pas un vulgaire misérable sans parents. Non... Il avait vécu dans une cité riche, c'était sûr.
Je continuais à m'interrogeant lorsque la porte s'ouvrit à nouveau, et je me retrouvais face à...

1. Nate, qui, surpris, recula d'un pas et...
2. La Rousse.
3. Une vieille femme sortie de nul-part que je n'avais encore jamais vu.

[Evinette]

Elle se leva une fois de plus et alla regarder dans le couloir. Je restais alors seule dans la pièce avec un garçon que, malgré moi, je trouvais vraiment beau qui ...m'ignorait totalement. Je toussais pour attirer son attention mais il ne fit que pousser un soupir exaspéré. Cela me vexa et je me dirigeais à grands pas vers le coin où il était appuyé. Je l'attrapais par l'épaule et le fis pivoter dans ma direction. Je regardais fixement ses yeux verts.
- Qu'est-ce qu'il se passe, Nate? Pourquoi est-ce que tu te comportes comme ça envers moi? Qu'ais-je fais? La dernière fois, tout allait bien. Puis dès que je me suis rapprochée de Raph...
Je rougis malgré moi, mais continuais:
-... enfin, dès qu'on s'est embrassés, tu as quitté la pièce. Quoi? Je n'ai pas le droit de montrer que je l'aime?
Là, je l'énervais assez pour qu'il daigne de me répondre:
- Non, pas lorsqu'on est en train d'établir un plan d'évasion, et dans un endroit où l'on a pas le droit de s'embrasser? Il paraît que ça peut entraîner une rébellion, l'amour...
Je vis une lueur triste apparaître un instant dans son regard, et je compris qu'il avait vécu quelque chose, et que il avait été séparé de celle qu'il aimait. Sans savoir pourquoi, je m'approchais de lui et le pris dans mes bras; il ne résista pas et se laissa aller à mon étreinte. Quel drôle d'image devions nous donner. Un garçon, la tête penchée et le visage caché par ses cheveux bruns foncé qui cachaient son visage semblait se faire consoler par une jeune fille aux longs cheveux blonds qui dévalaient son dos en formant de grosses boucles. Et, je l'avoue, on aurait pu être autre chose que des amis. Je chassais cette pensée de mon esprit, et compris que il n'y avait pas que lui qui avait besoin d'être consolé lorsque mes yeux commencèrent à me piquer et que je sentis des larmes dévaler mes joues et s'écraser sur la chemise rêche de mon ami. Je l'entendis murmurer: -Merci. Il se détacha doucement en entendant des sanglots étouffés sortir de ma gorge. Il m'observa, puis essuya mes larmes de son pouce.
-Non, non, ne pleures pas. Je.. je suis désolé si je t'ai blessée et...
Il s'arrêta en constatant qu' il n'en était pas la cause.
-Je suis là, murmura- il doucement; je suis là. Racontes moi ce qu'il ne va pas.
L'image de mon père s'afficha soudain dans ma tête et je redoublais de pleurs.

1. Puis, d' une voix entrecoupée, je commençais...
2. La porte s'ouvrit à nouveau ...
3. Je couru me réfugier dans le coin opposé...

[Evinette]

Excusez moi pour la taille de mon texte, j'étais inspirée

[Evinette]

La porte s'ouvrit alors, laissant apparaître le visage de Raphaël. Il s'arrêta, l'air étonné, puis son visage se ferma et il reparti en claquant la porte. J'essayais de me dégager mais il me retint. Il murmura alors:
-Este que tu as raconté à ...
Il inspira puis continua:
-... Raphaël ton histoire?
Je hochais négativement la tête, et il me serra un peu plus dans ses bras. Mes sanglots calmés, je quittais la chaleur rassurante de ses bras.
-Je... je dois aller le voir, murmurais-je en rougissant.
-Et bien.. vas-y, je ne te retiens pas.
Je me sentis honteuse, et je me demandais intérieurement comment je continuerais avec ces deux garçons que j'aimais autant l'un que l'autre.
-S'il te plait, ne recommence pas; j'y vais seulement pour arranger les choses entre vous deux.
Il ricana et me répondit:
-Tu crois vraiment que c'est encore une possibilité? Arranger tout avec ton cher petit ami?
Je m'empourprais de plus belle.
-Et pourquoi ça ne serait pas possible?
Il me fixa, comme si il n'arrivait pas à croire que je ne savais pas, que je ne comprenais pas. Puis, en secouant la tête, il s'approcha et me poussa gentiment vers la porte. Je me laissais guider, lançais un dernier regard à Nate puis parti.

1. Je me dirigeais vers la chambre au fond du couloir.
2. J'entendis des poings frapper le mur puis un râle de rage.
3. Je sentis le médaillon brûler ma peau, et...

[Lyrra]

J'entendis soudain des poings frapper le mur puis un râle de rage. Je courrus dans la direction d'où provenait le bruit à travers le labyrinthe de couloirs. Le cri s'était répercuté sur chacun des murs et j'eus du mal à en trouver la provenance. Tout à coup, j'aperçus Raphaël, au croisement d'un chemin, plongé dans l'ombre, une main serrée contre son torse tandis que l'autre le soutenait contre le mur.
-Raph' ? murmurais-je. Je...j'ai entendu un cris, tu sais d'où...
Du sang roula le long de son poignet, m'interrompant au milieu de ma phrase.
-Oh mon Dieu, m'écriais-je, ma main sur son épaule, de sorte à ce qu'il me regarde, que s'est-il passé ?
Mon coeur se serra lorsque j'entrevis ses yeux rougis au travers de sa cheveulure. Ma question avait été vaine. Je savais ce qu'il s'était passé. Je voulais seulement l'entendre de mes propres oreilles.
-Lâche-moi, gronda t-il en me tournant le dos.
-Mais... mais il faut soigner ça ! Tu t'es peut-être blessé !
-C'est bon, je te dis ! Retourne donc voir l'autre, tu semblais être si bien dans ses bras de toute manière... mieux que dans les miens, en tout cas...
Un souvenir douloureux me ramena dans la pièce, au creux des bras de Nate, quelques minutes plus tôt. J'avais été si bien seule avec lui. Il semblait comprendre mes sentiments. Savait m'écouter. Une étrange sensation de bien-être que je n'avais ressentis jusque alors en compagnie de Raphaël. Certes, j'aimais ce dernier, cependant, jamais je n'avais envisagé la possibilité de lui confier mon histoire... l'aurait-il seulement écouter ?
-C'est bon ? T'as finis de te rappeler comment c'était que de lui rouler une pelle ? C'était bien ? railla t-il.
Je m'énervais soudain, de quel droit se permettait-il de m'accuser à tort de cette manière ?
-T'as pas finis tes conneries, oui ! Je l'ai pas embrassé, putain, je le réconfortais, arrête un peu tes crises de jalousie !
Je regrettais presque mes paroles. Presque.
Immédiatement, quelque chose sembla changer en lui, sa mine se ferma, ses yeux perdire de leur éclat et son poing, sanguinolant, se contracta, malgré une douleur visible.

A. Il se jeta sur moi, sa main serrée autour de mon cou, me plaquant contre le mur.
B. Nate surgit et se rua sur Raph.
C. Il me tourna le dos, me laissant seule dans un couloir désert.

[Evinette]

Je m'approchais encore un peu et aperçu une longue chevelure rousse.
Je me figeais, et écoutais attentivement leur discussion:
-Lâche ma main, Leslie.
-Je veux juste t'aider, mon petit Raph, dit ladite Leslie d'un ton doucereux.
-Toi? M'aider? Laisse moi rire! Qui m'a emmené de force ici? Qui, pendant des semaines venait tous les soirs d'ans ma chambre avec un fouet pour me faire avouer?
Elle ricana.
-C'était pour ton bien, mon chéri; sans toi, on n'aurait jamais su dans quelle partie du monde se cachait la fille de Léon.
Il murmura entre ses dents.
-Peut-être, mais je le regrette. Et un jour, tu payeras...
Elle rit à nouveau:
-Oh, mais il me semble que tu te sois beaucoup attachée à cette petite nouvelle, n'est-ce pas? Malheureusement, je crains qu'elle ne préfère notre ami Nate...
Je compris soudainement le rôle qu'elle avait joué; elle s'était débrouillée urgence qu'un conflit grandisse entre Nate et Raphaël, en me prenant pour cause!
Je la haissait encore plus. Elle était la source de tous mes ennuis. Cette femme n'avait plus aucune volonté. Elle était totalement soumise à la Grande Mère, la femme qui organisait tout cet endroit. J'entendis alors quelque chose qui me fis frissonner.
-Et comme table sais aussi, elle est en train de mener tous ces petits enfants qui étaient imparfaitement soumis jusque là à une rébellion. Mais rien n'échappe à la Grande Mère. Elle sait absolument tout ce qui se passe dans son royaume. Elle elle est franchement fatiguée par cette jeune qui ne fait que de poser des problèmes depuis son arrivée. Et tu sais aussi ce qui arrive aux gens qui déplaisent à la maîtresse...
Puis contente de son effet, je j'entendis tourner les talons et se diriger vers la porte ou j'étais cachée.

1. Je paniquais et...
2. Une main me saisi par l'épaule et me tirais à l'intérieur du mur, qui n'étais qu'une membrane souple.
3. Je pensais très fort "Raph, je t'en prie, retiens la..." et...


Allez, on se réveille! Ce forum s'endort ma parole!

[Lyrra]

Une sueur froide sembla s'insinuer en moi. Raph, je t'en prie... retiens-là, priais-je.
-Ose la toucher... gronda t-il.
J'entendis la femme faire volte-face, un ricanement s'échappant de sa gorge.
-Et quoi, mon petit ? Que comptes-tu me faire ? dis-le moi, je serais ravie de le savoir !
Un silence lourd s'installa dans la pièce. Mais Raph ne dit rien. Pas un mot. Un tremblement s'empara soudainement de mes mains cependant que mon coeur s'emballait plus fort encore. Je fermais les yeux, tout en régulant difficilement ma respiration. "Réponds quelque chose, réponds quelque chose... je t'en prie... n'importe quoi, mais dis quelque chose sinon cela sera pire encore".
-J'en étais sûre... dit-elle avec une point d'ironie. Tu ne me feras rien. Car tu n'es rien en fin de compte. Cependant... tu as ton utilité au sein de ce groupe. Ca, je ne peux le nier. Alors tu vas faire quelque chose pour moi... mon chou.
-Crève ! hurla t-il.
Soudain, des pas précipités se dirigèrent vers la porte et je me plaquais plus encore contre le mur.
-Sors de cette pièce et la fille de Léon n'aura jamais plus ce visage que tu chéri tant, lâcha Leslie d'un ton sévère.

A. "De toute manière, elle ne m'aime plus" murmura Raph d'une voix meurtrie avant de quitter la pièce.
B. J'entrevis le pied de Raph, arrêté à l'embrasure de la porte. Puis sa chaussure disparût et la porte se ferma, étouffant les murmures de leurs voix.
C. Raph rugit soudainement avant que des bruits étouffés accompagnés de coups de poings me parviennent.

[Evinette]

"De toute manière, elle ne m'aime plus" murmura Raph d'une voix meurtrie avant de quitter la pièce.
Entendre ça de sa bouche me serra le coeur. Si, bien sûr que je l'aimais! Mais... différemment de Nate. Avec Nate, tout semblait plus profond. Il me comprenait, je le comprenais; on se soutenait l'un l'autre. Il m'écoutais toujours, mais était beaucoup plus sombre que Raph. Raphaël, lui, c'était ma bouée, ma seule chance de sortir de ce lieu de cauchemar. Non, ce n'est pas se servir de lui... Enfin, ce n'est pas comme cela que je le vois. C'est la lumière qui me guide à travers les ténèbres; Nate, lui, aménage un coin de bonheur dans ces mêmes ténèbres. Les instants que nous passons ensemble sont comme des poussières, minuscules, invisibles mais tout de même là.
Plongée dans mes pensées, je retournais à nouveau dans la cave qui nous servait de base, et j'eu une illumination.
Il fallait absolument sortir de cet endroit; ensuite, je pourrais décider qui suivre, quelle vie mener. Mais pas avec cette présence glaçante qui semblait se trouver partout en ces lieu. A part dans les bras de Na...
Je secouais la tête, chassant cette idée de ma tête; ce n'était ni le lieu, ni le moment de penser à ça.
Et puis, j'avais un plan.

J'entrais d'un pas décidé dans la pièce et regardais les gens de mon équipe:
Des gamins à peine sortis de l'enfance, mais débrouillards; quelques adolescents à l'air hagard,...
Je sentis un regard sur ma nuque, et me retournais. Je croisais le regard doux de Nate et mon coeur fit un bond. Je sentis mes joues s'empourprer et j'essayais en vain de me calmer. Je le vis sourire en coin, ce qui me fis rougir encore plus; je continuais mon inspection, et trouvais une vieille femme, couchée sur un matelas de paille, près de caisses qui n'étaient pas là avant.
Je sentis des bras entourer ma taille, et une voix chuchota à mon oreille:
-Quel plan?
Comment savait-il que j'avais un plan?
Je me retournais, ébahie, et il sourit de plus belle, dévoilant des dents du bonheur, plantées un peu de travers. Irrésistible.
-Le... pl-plan, c'est que... enfait, euh... je, je... savais pas tellement, enfait..., bafouillais-je.
-C'est moi qui te rend comme ça? souffla-il, une étincelle dans les yeux.
Avouer? Jamais. Enfin, pas tout de suite...
-Non, je...
Et voilà, ça recommençais Idiote. Tu crois que là, il va se pencher et t'embrasser pour te faire taire? Tu te crois dans un film, ma pauvre...
Je tentais de me libérer de son étreinte, mais il me retint avec force. Que pouvais-je face à un garçon qui avait travaillé des années durant, en se musclant petit à petit?
Sa manche remonta légèrement et sa peau toucha la mienne. Un frisson me traversa, et je laissais ma tête retomber en arrière, sur son épaule. Je sentis alors sa merveilleuse odeur.

1. Il me glissa à l'oreille: ce soir, nous nous infiltrerons dans la forteresse pour en trouver les plans. Nous deux, ajouta-il.
2. Comment peux-tu te parfumer alors qu'ici, rien ne nous appartient?...
3. Un jeune se retourna dans son lit.

Je penses que vous avez compris que j'affectionne particulièrement Nate, mais je ne vous oblige pas à la même chose
Imaginez-le, juste avant d'écrire...
Et oui, j'aime les scènes romantiques

[Coeurdeglace]

1- Il me glissa à l'oreille : ce soir, nous nous infiltrons dans la forteresse pour en trouver les plans. Nous deux. Ajouta-t-il.
Je me détachais de lui, le regardait dans les yeux. Un silence de mort s'était installé.
- Rien que nous deux...., reprit Nate.
- Nate, je... Écoute. Raph' aussi à besoin de moi.
- Pourquoi veut-tu encore être avec lui alors que je suis là ?!
- Mais c'est quoi ce "chantage" ? Demandais-je en me détachant de lui.
- Je t'aime Sandra. Je t'aime.
Je ne savait pas quoi éprouver. Mon cœur était partagé entre un garçon ténébreux qui m'attirait et entre un garçon rieur parfois moqueur et boudeur que j'admirais. Je ne pût pas lui répondre car Leslie surgit.
- Qu'est ce que vous faites ici ? Tout le monde est déjà en train d'amener les caisses de vin dans le réserv....
Chouette ! Elle venait de nous dévoiler une autre partie de cet endroit abominable.
- Oui, nous allons nous dépêcher, désoler, répondais-je en entraînant Nate qui paraissait surpris.

Arrivé dans le réservoir, j'interpellait tour les enfants pour ENFIN dire mon plan :
- Écoutez- moi ! Avez vous déjà pensé à fouiller une sortie ici ?
- Hein ?! , s'exclama Pierre, Mais nous n'avons jamais accès à cet endroit sauf si on nous le demande.
- Dans ce cas, pas la peine de retarder, répondais-je avec un sourire.
- Je ne comprend pas.
- Fouillons le réservoir !
Aussitôt, tout le monde se mît à la recherche d'une sortie. Quand soudain....

A- Maëlys s'écria : "Venez tous ! J'ai trouvé une trappe !"
B- Nate m'attrappa par le bras en me disant : "Tu n'a pas répondu à ma question"
C- Grand Mère surgit et nous fouetta tous. Je perdit connaissance.

(Désoler pour les fautes d'orthographe )

[Lyrra]

Je me dirigeais vers la sortie et lâchais d'une voix que je souhaitais la plus froide possible :
-Cette réunion n'a aucun intérêt. Je pensais que vous vouliez sortir d'ici vous aussi mais ce n'est visiblement pas le cas. De toute manière, que l'on sorte d'ici ou non, on crèvera tous un jour... après ça dépend de la manière et des conditions dans lesquelles vous voulez crever. Personnellement je préférerais de loin revoir la lumière du jour avant que la mort ne m'emporte... Gardez vos petites cachotteries pour vous, ça c'est pour les gamins, on est sur la coure des grands, maintenant, et je crois que des personnes avec ce genre de comportements on tout intérêt à lécher les baskets de cette charmante Leslie, comme de bons petits toutous.
Enervée, je quittais la pièce avec une envie terrible de frapper quelque chose. Hum... pas très féminin tout ça...
J'entendis les garçons se disputer derrière moi et, avant que l'idée ne leur vienne à l'esprit de me suivre, je partis en courrant vers les dortoire, comme si la peste était à mes trousses. Mes pieds me portaient si vite que l'impression que ceux-ci ne touchaient le sol me vint. Je tournais encore et encore dans ce dédale de couloir et carrefour, à bout de souffle. Etrangement, malgré un fourmillement de fatigue dans les membres inférieurs, je ne souhaitais pas m'arrêter. La colère semblait me tirer par la main, me demander de la suivre. "Cours, cours plus vite encore...", me soufflait-elle.
Soudain, au tournant d'un virage, l'obscurité donnait la vague impression de ... bouger. Quelqu'un était là. Je fis halte à quelques mettres de l'ombre, intriguée.
-Qui est là ?

A."Je t'attendais justement, mon chou". Cette voix... Ce surnom... Pas elle...
B. -Nate ?! m'exclamais-je. Si tu cherches l'autre rousse elle n'est certainement pas par ici...
C. Raph ? (Eh oui, les personnages sont variés xD) Qu'est-ce que tu fais ici ?!

[Pelagedeflammes]

A."Je t'attendais justement, mon chou". Cette voix... Ce surnom... Pas elle...
Je lançais le regard le plus ténébreux que possible à Leslie puis elle ajouta :
" - En fait, c'était les deux garçons, les pas que tu avais entendu dans ton dos. Il devait t’amener à moi. Bien, passons au choses sérieuses. C'est-à-dire, ton évasion. Tu crois réellement qu'on n'avait pas remarqué ? Pourtant, Nate te l'avais signalé. Je voudrais te mettre en garde (je n'aime pas punir les gens sans les prévenir), si vous tentez quoi que ce soit, vous finirez tous comme elle... "
Elle désigna le cadavre ensanglanté d'Annabelle. Je reconnut les mêmes blessures que Raphaël mais, étant moins résistante, la pauvre petite n'avait pas survécu. Et elle était morte par ma faute. Je sentie des larmes mouillées mes yeux et


A- Je sautai au cou de cette garce
B- Je tournai les talons et repartie dans la direction que j'avais prise
C- M’éclatait en sanglots près du petit corps alors que Leslie ricanait

[Evinette]

et j'aperçu Nate et Raphaël en grande conversation. Visiblement, ils étaient redevenus de grands copains. J'aurais ri de leur expression quand ils m' aperçurent si elle ne signifiait pas qu'ils me pensaient morte. J'eus l'idée de les ignorer, mais ms fierté repris le dessus. La fierté,... et aussi la colère. Une colère noire, sourde, qui envahissait mon coeur comme la mer de tempête qui avance au galop sur la plage; renversant tout, recouvrant tout autre sentiment.
En voyant le beau visage de Nate, ma colère reflua un instant, mais j'étais trop furieuse pour ça.
Avançait jusqu'à leur table, posais violemment mon plateau sur la table et m'asseyais doucement. Je les fixait et je les vis pâlir. Un sourire méchant s'étira sûr mon visage, et j'entendis Nate murmurer :" Je suis tellement soulagé que tu soies là, encore vivante et...". Je le frappais au visage.
-Comment peux tu continuer d'être aussi hypocrite? Après m'avoir fait croire que tu avais besoin de mon aide, de m'apprécier... tu m'as séduite sur ordre! Tu sais, je t'aimais. J'avais l'impression que toi aussi, que j'étais quelque chose à tes yeux...
Je m'étranglais. Lui, resta silencieux, me fixant de ses yeux verts magnétiques. Je me tournais vers Raphaël:
-Et toi... tu m'as sauvée, puis tu m'as abandonnée. Je t'en voulais terriblement, mais tu as réussi à me convaincre que on t'avais obligé. Et oui, je t'ai cru! Et là...
Je le regardais avec mépris.
-J'ai été abandonnée par ma mère. On a tué mon père. J'avais enfin trouvé une petite place de bonheur. Oui, ici. Dans ce lieu hostile. Parce que il y avait vous. Vous. Vous étiez tout pour moi. Ma famille. Je vous aimais. Mais là...
Vous êtes sans coeur.
Je mangeais sans rien dire. Ils ne firent rien. Raphaël se leva, et parti.
Nate resta là. Je ne devais pas faiblir. Non. Non....

1. Nous restâmes là, sans bouger, sans parler.
2. Il se leva, lui aussi.
3. Maëlys me tapota l'épaule, et jeta un regard méprisant à Nate.