[Jeu] Écriture : sentiments, qualités, défauts

[lecture-folle]

Pas mal ton texte !

[Mallau]

la neige
un nuage
une feuille
une robe de mariée
une âme
un ange
qu'elle est leur point commun, le blanc bien sur, mais comment une couleur qui n'en ai pas une peu elle avoir des aspect si différant?


l'empressement

[Wena]

L'empressement

Cette hâte s'empare de moi
A la vitesse de la lumière
Chaque fois de la même manière
Quand j'ai un rendez vous avec toi

Cet empressement qui parfois,
Peut être qualifiait d'insensé
Dit comme n'ayant pas d'intérêt
Est largement plus que ça, pour moi

Il me permet d'être certaine
Que j'ai plus ou moins de sentiment
Pour toute les choses m'entourant
Au point d'avoir hâte de certaines

Les étoiles

[1swan1]

Pas mal ton texte !

Merci!

[CandyF25]

Les étoiles

C'est ni une qualité, ni un défaut... ce n'est pas non plus un trait de caractère ou encore un sentiment.
Je crois que tu t'es trompée...

[Lemma99]

Je m'incruste!

Leurs longs cous me semblaient irréels et suscitaient en moins une certaines curiosité. Je les regardaient manger les feuilles de mon arbre préféré. Ça me fascinait. La nature peut former des êtres tous petits ou bien très grands... C'était la première fois que je les avais vu, ces girafes qui me fascinent toujours autant...

Je ne sais pas si c'est bien mais j'étais pas tellement inspiré...

Prochain thème : la lecture.

[Aeir]

La lecture

En ouvrant un seul livre, je peux me transporter d'un univers à l'autre, vivre des aventures que je ne vivrai jamais et oublier la douce et amer réalité. Ouvrir un livre signifie pour moi la liberté. La liberté de voyager, de vivre, de ressentir, de vivre des moments inoubliables qui restent dans votre mémoire le restant de votre vie. Ouvrir un livre n'est pas une torture, mais un plaisir que l'on savoure un peu plus à chaque page tournée.
La lecture c'est ma vie.

[Aeir]

Prochian thème: La vie (si elle n'est pas encore abordée)

[Doubbe]

Elle n est là que pour être reprise
Puis repart
Sans prévenir
Causant une souffrance indescriptible


Elle arrive
Pour le bonheur
De chaque être
Se faufile à travers les obstacles


Mourir pour donner la vie
N est-ce pas entièrement paradoxale
Vivre pour donner la mort
L ai tout autant


Si pour peut que l on puisse choisir
Choisirai t on le bon choix?
Celui de la vie ?
Ou du bonheur ?
Sont ils compatible
Ou indispensable ?


La vie offre et reprend
Faut-il l attendre ?
Ou l'écourter ?
Je m aperçoit que cela revient au même
Car quoi que l on fasse
C est toujours elle qui décide

Comme la lumière existe grâce à l obscurité
La vie est née par la mort
Deux fidèles amies
Inséparables
Inspiration du moment

Avis !!!!!!! ( positif ET négatif )
Prochain sujet : l espoir

[athalia]

Si le monde pouvait être plus attrayant
Si les gens pouvaient être différents
Mais un jour tout cela changera
Si nous y croyons le monde revivra

Nous sommes maîtres de notre vie
Et maîtres de notre action
Et si tous en ont envie
Nous partagerons notre passion !

Passion de vivre et d'être aimé
Passion de la vie comme elle doit se faire
Juste être soi et espérer
Juste vivre ensemble sur la Terre...

Prochain sujet... l'angoisse !
et s'il y est déjà le désespoir... (je suis dans une période noire on dirait^^)

[lecture-folle]

J'adore le texte de Doubbe sur la vie !! Bravo, très beau poème !

[Doubbe]

Merci beaucoup lecture_folle
Je l ai écrit sur le moment et je suis assez nouvelle ... Alors...

[haveyoumetme]

Je t'ai aimé,
aimé si profondement
Je t'ai aimé,
aimé toute ma vie
Je t'ai aimé,
aimé à en mourir
La maladie t'a gagné
Mais je n'ai pas cessé de t'aimé comme au premier jour
aujourd'hui je suis desespéré
à l'idée
de ne plus t'avoir à mes coté

Le prochain : souvenir

[lecorbeau]

Bonjour
écrivains en herbe qui parsemer se forum de petites merveilles! A-Fantasy, j'ai les larmes aux yeux très beau paragraphe peut-être trop court et je trouve, à mon avis que tu te n'épanches pas assez sur l'accident,tout ça, qui, fait partie des souvenirs...Mais très beau texte sinon!Bonne continuation!


l'embarras

[SevenRed]

Mon coeur s'embrase quand je le vois. Nahim. Depuis la separation de la Terre, j'ai touti perdu. Il est ma raison d'etre, apres avoir perdu tous les autres. Je suis maintenznt orpheline, mais il a fait de moi une fille unique. Accablee de malheurs, mais heureuse. Non, plus qu'heureuse, mais quel est le mot ?
- A quoi tu penses, Driee ? Me demande-t-il.
- A toi, je reponds, gênée.
- Et qu'est-ce que tu penses precisement ?
Je ne reponds pas, trop embarassee. J'ai peur de ce que je peux dire, je sais qu'il veut savoir mais qu'il le craint aussi. Pas seulement parce que nous sommes des ados emus, mais parce que nous sommes surveilles.



Desolee des fautes, je galere sur Ipad.
Prochain thème : bonté

[1swan1]

soso, j'ai adoré ton texte!

Bonté

Tu donnais sans compter
Tu donnais sans penser
Ton sourire étais soleil
Et tes larmes comme du miel
Versées pour d'autres

Tu donnais tant que tu n'avais plus
Tu donnais tant qu'il ne te restait plus
Rien

Et tu mourrais
Mais n'en laissait rien paraître
Et tu pleurais
Mais n'en laissait rien connaître

Ta bonté, tu l'as donnée
Ton sourire, tu l'a donné
Et même tes larmes,
A toi, rien n'a été donné

Et pourtant, jamais, tu n'as regretté

Poème très très très moyen, mais j'étais pas très inspirée...
La mort

[TwiixTal]

1swan1, j'ai beaucoup aimé ton poème, et si tu trouves qu'il est moyen et que tu n'étais pas très inspiré, ce doit être magnifique lorsque tu l'es!


Elle s'approche, sans un bruit, on ne la voit, on ne la sent pas... Sa longue cape noire traîne sur les âmes qu'elle a déjà prise. Lorsque la nuit est noire et la lune pleine, elle sort sous la forme d'un être répugnant, sans chair ni peau sur les os.. Elle se déplace, telle une ombre. Les animaux la sentent et fuient son passage, ce qui lui plaît. Les hommes la craignent comme la peste, mais rien ne lui échappe. Elle se trouve partout, même où on ne l'attend pas et impossible de lui échapper quand son choix est fixé sur vous. Et lorsqu'elle s'approche, la peur vous envahit, votre coeur bats la chamade, vos mains sont moites et votre gorge est sèche. Impossible de crier... Et c'est alors que vous sentez son souffle glacé sur votre cou, et la vie s'échappe en une seconde. Et là, elle rie. D'un rire terrifiant à vous glacer le sang. Elle prends plaisir à vous priver de votre âme. C'est finis. La Faucheuse repart dans une nappe de brouillard, et se remet à la chasse... Qui sera le prochain?

Le rêve

P.S : Je ne sais pas si c'est exactement ça qu'il faut faire mais bon j'espère que mon texte aura plu à plusieurs personnes quand même. Bonne soirée ;p

[lecorbeau]

C'est comme un nuage
Indiscret et volage
Qui court dans nos têtes
Nous inspire, nous inquiète

C'est comme une fleur
Qui respire le bonheur
Mais qui a vite fanée
Si on ne l'a pas arrosée

C'est comme chanson
Qui tourne en rond
Dans nos têtes ,dans nos coeurs
Et qui nous remplit de bonheur




Pas terrible, désolée.


le bleu

[lecture-folle]

pas mal ton poème sur le rêve ! très belles métaphores j'ai adoré !!!

[Doubbe]

Mon océan
Du temps
Lisse et froid
Qui pourtant porte la vie

Bleu comme le ciel
Immense
Sans fin
Sans horizon

Comme l espoir que le bonheur ne cesse jamais
Qu il nous emporte
Loin d ici
De ce monde qui n entend rien




Oups je m égard
le sable

[SevenRed]

Je marche, sans but. Mes pas s'effacent sur le sable jaune, Chaud et doux. Devant moi, c'est un Éden marin. L'eau turquoise s'étend à l'infini. La forêt humide l'entoure. A mes côtés, je sens une présence. C'est Grand-Mère, ou plutôt son esprit. Tout est illusion ici, la beauté apparente ne cache qu'un mal profond.

→ Kidnapping

[Alyssea]

Un jour,
Comme toujours,
Vous marchez dans rue
Sans attendre quelque évènement incongru.

Mais la violence,
Elle,
Ne se fait pas attendre.

Le danger
Se présente sous votre nez.
Vous êtes assiégé,
Par l’obscurité.

Sous le gourou
Des coups,
Vous cédez la place
A un silence de glace...

L'espace d'un lieu inconnu...
Vous savez que ce sera votre première vue.

Bon , c'est un de mes premiers alors il est sûrement un peut nul...

fascination

[hortensia]

C'est comme si tout s'effaçait autour
Comme si vos yeux, irrésistiblement attirés,
Ne pouvaient plus voir alentour.

Et après la Vue se sont tous vos sens qui s'affolent :
L' Odorat retient cette fragance unique,que vous n'oublierez plus.
L 'Ouïe enregistre chaque vibration de sa voix
ou de sa respiration et la votre se calque sur la sienne.

Et vous n'avez plus qu'une idée, une obsession :
Toucher ! caresser, effleurer..
Goûter ! sa peau, ses lèvres, sa salive...

En trois secondes, votre vie bascule et gravite désormais autour d'un seul objet :
Celui de votre FASCINATION...

la détermination

[1swan1]

Je vais le faire. Je le sais.
Je vais le faire.
Ce n'est pas une obligation, et pourtant ce n'est pas un choix.
Je dois le faire.
Le faire, c'est comme tout dire. Comme allumer une lumière sur mes sentiments.
Pour ne pas laisser d'ombres.
Je vais le faire.
Renoncer serait plus facile. Tellement plus facile. Mais non. Ce n'est pas un choix.
Pas une obligation. Pas une contrainte.
C'est un fait.
C'est décidé.
Je vais le faire.

[1swan1]

Oups! Suivant : intimidation.

[SevenRed]

Bel écrit, dis donc !
Je pense qu'oubli a déjà a été proposé, mais va pour oubli quand même.
Prochain thème : Un livre acheté au marché

La musique vibre au rythme de mes pas. Les hauts parleurs diffusent un air frais, doux. La mer rugit, dans l'espoir de recouvrir la mélodie. Ses rouleaux me chatouillent les pieds. J'avance, je m'enfonce.
Je ne sais plus pourquoi je suis là. J'ai oublié.
Je me suis réveillé, les pieds dans l'eau. L'eau d'un bleu presque noir. L'eau écumante, qui m'appelle. Elle veut que je la rejoigne totalement.
N'est-ce pas dangereux ? Le ciel se charge de nuages sombres, faisant disparaître le bleu pâle des beaux jours.
Je sens le tonnerre arriver. Mais j'ai oublié le danger. J'ai oublié d'autres choses aussi.
Je progresse. L'eau me bouscule jusqu'au menton maintenant.
Je tourne la tête, jetant un dernier regard à cette plage. Des personnes m'observent. Beaucoup. Des gens qui faisaient la fête, se demandant sans doute ce que je fais dans la mer vu la température de l'eau.
Cependant, cette température avoisinant les zéros degrés ne me dérange pas. J'y suis insensible. J'ai oublié la douleur.
Je dois plonger. Pour retrouver la lumière qui m'a quittée depuis mon réveil. Plonger vers un meilleur salut.
Alors je descends, j'arrête de respirer, les yeux ouverts. Le sel me pique. Ma respiration s'amenuise. Je me rappelle la douleur.
Puis je me rappelle ce que je fais là.
Je veux rejoindre les cieux. Le paradis. L'enfer. N'importe quoi, ce que l'on saura me donner.
Je sombre, paisiblement, j'entends vaguement des cris derrière moi. Ne vous inquiétez pas, j'ai envie de dire, je me baigne juste. Seulement, les fêtards s'inquiètent, je ne peux pas parler, et je ne me baigne pas juste.
Mon coeur ne bat presque plus. Je ferme les yeux, trop rongés par le sel. Et je m'envole.