Frémissements... sur l'onde

[Coudenhov]

Il me semble que cela fait des années, des siècles même que je me suis posé à côté de la Vie en adoration.
En fait c'était en 1999 et depuis je me suis tenu droit, à regarder à l'horizon du côté du soleil.

CONSTAT DE PERE

EUX VEUX
EUX VOEUX
OEUFS VOEUX
AH MON DIEU
CE QU'IL EST DUR D'EXISTER
CAR EXISTER, CE N'EST PAS ÊTRE
C'EST SE VOIR ÊTRE.
SE SAVOIR DEUX COEURS D'AMOUR
SE SAVOIR D'EUX LO VE
ET TOUT, TOUT FAIRE POUR LE RESTER
CAR MOI C'EST MAINTENANT EUX
ET EUX SONT MOI
C OTE

[Aventuri]

mon avis sur tes deux dernier poèmes :

l'avent dernier parle beaucoup des femmes et aussi de l'homme, c'est un peu comme un homme qui abuse d'une femme. Je ne sais pas, si c'est ce que tu as voulue nous faire passer, comme message dans ce poème mais c'est ce que j'ai ressentis, j'aime bien la façon, dont tu parle de femme dans ce poème et j'aime bien la manière que tu as prise pour écrire ce poème.

le dernier poème que tu as écris est différent des autres, j'aime bien les jeux de mot que tu fait, la consonance du "texte", les rimes et je trouve que c'est plutôt sympas comme idée de poème

[lumalow]

"Pourquoi ?"
Ce poème est juste une parole montrant la vérité (ou une part?) , je pense.
Car tellement d'enfant voient, subissent des horreurs ...
J'espère que j'ai bien interprété ce poème ...
Mais merci d'ouvrir une porte ... sur une vision du monde ...
Bien à vous,
Lumalow

[Coudenhov]

Poème à d’eux coeurs

Et il fit de mon désarroi des couronnes de fleurs,
Couronne iridescente sur mes yeux de pleurs,
Là où le plus beau de ses astres chassa la noirceur,
Il es entré dans mon coeur.

Je suis entrée dans son âme sans un bruit,
Maison de lumière habitée que par lui,
Ses cheveux comme des rideaux ne laissaient transparaitre que les rayons de la lune,
Je lui ai apporté la quiétude et la lumière de mon soleil.

Et j’ai renvoyé les tourments de son coeur au plus profond des ténèbres,
Pendant qu’il restaurait mes alcôves de lumières,
En sondant mes profondeurs, tâtonnant sur mon âme et m’allégeant de mes pierres.

Julie Baron
Laurent de Coudenhove

[Asoline]

Quand l'autre est lumière, quand l'autre est soulagement, quand on agit sur lui/elle comme un médicament... On ne peut que se réjouir de s'être trouvés...

[Aventuri]

Ces très jolie, j'aime beaucoup le jeu d'ombre où de lumière plutôt, c'est un texte assai rechercher

[Coudenhov]

Les filles, les Mistinguettes, mes nourritures, merci pour ce suivi de mes poèmes.

[Coudenhov]

Tiens dites je viens de voir la date, c ma be earth day. Gros bisous.