Frémissements... sur l'onde
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Re: Frémissements... sur l'onde
Si vous aimez coudenhov, si vous aimez Elomeduse, et si vous aimez les deux,
Vous aimerez Hellodenove.
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Pensez à vous abonner (en bas du topic : s'abonner au sujet). Pour la pub, on est pas fortiche.
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Re: Frémissements... sur l'onde
j'ai pas compris le sens de ton poème :/ même si parfois il faut pas chercher à comprendre, celui-là ne m'a bizarrement pas transportée comme tes autres à part certains vers ... mais je pense que c'est de ma faute ^^' donc j'attends le prochain avec impatience !
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Re: Frémissements... sur l'onde
-Pourquoi:trop bien, j'adore, c'est interressent.
-De paille et de poutre: merveilleux.
-Al'und'eux: j'ai pas tous compris mais il m'à quand même plus.
-Frémissement...sur l'onde: j'adore les poèmes d'amour et le tien et vraiment super il ma beaucoup plus.
-est Pourqoi: eux il est pas mal
-Héroic, Fantasy, c'est ici:c'est amusent tu a du t'éclater quand tu la écrit
-De paille et de poutre: merveilleux.
-Al'und'eux: j'ai pas tous compris mais il m'à quand même plus.
-Frémissement...sur l'onde: j'adore les poèmes d'amour et le tien et vraiment super il ma beaucoup plus.
-est Pourqoi: eux il est pas mal
-Héroic, Fantasy, c'est ici:c'est amusent tu a du t'éclater quand tu la écrit
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Re: Frémissements... sur l'onde
Histoires du soir au matin...
Pour les petits calins, le soir dans son lit,
Quand le serpent mord ses amis, Youpi,
La pensée d'amour de l'homme s'associe,
De bas en haut, deux coeurs, réjouis.
Dans ce contentement, on s'endort,
Au loin les remords, les désaccords,
La vie nous sourit même la nuit.
Ouvéa, l'île la plus proche du Paradis,
Regardons autour puisqu'on le dit,
La grande terre est donc le lieu-dit
- Tu sais, une fille m'a dit : je t'aime
- Super... répondit-elle, sans amer,
- Je lui ai dit : "tu n'auras rien, rien..."
- Rien du tout... *Tout sourire*
- Rien que tout *les deux de sourire*
- La baffe...
- Elle va m'aimer pour ça.
Kiana m'amène dans son champ,
Justement, j'ai des courses à faire,
Un pied faisant saillie, je le saisis,
Dans le noir, comment savoir,
Deux choses donc je pris,
Et je lui montre mon amie,
Vieux plastique que j'ai pris, (*jette avec désespoir*)
Puis je me souvins,
Caillou blanc dans ma main
Heureux de lui montrer sa beauté.
Mes bras, Mon eux, qu'est-ce qu'ils aimeraient t'enlacer,
amies, aimées, pour ne plus jamais vous quitter,
Fusion éternelle, pour ne plus faire qu'un
Destin, quand est-ce que tu viens ?
Un jour, à la poursuite de mon rêve,
Dans une rue je trainais,
Une image au milieu de la route, moi, arrêté en pleine course,
Et bien aujourd'hui, j'irai plus loin, lui dis-je tout sourire.
Ma joie, ma foi, c'est toi,
Tu sais bien, bébé dans son coin
Sourit aux caresses.
Pour tout saisir mes amies, il faut s'abonner aux topics de ceux qui fréquentent ce topic.
PS : on ne nous appellera pas les poêtes maudits mais les poètes heureux.
Et notre phrase fétiche est : QLSTM Mon ami(e) Que le serpent te morde... cf : http://booknode.com/forum/viewtopic.php ... 0#p2977132
Pour les petits calins, le soir dans son lit,
Quand le serpent mord ses amis, Youpi,
La pensée d'amour de l'homme s'associe,
De bas en haut, deux coeurs, réjouis.
Dans ce contentement, on s'endort,
Au loin les remords, les désaccords,
La vie nous sourit même la nuit.
Ouvéa, l'île la plus proche du Paradis,
Regardons autour puisqu'on le dit,
La grande terre est donc le lieu-dit
- Tu sais, une fille m'a dit : je t'aime
- Super... répondit-elle, sans amer,
- Je lui ai dit : "tu n'auras rien, rien..."
- Rien du tout... *Tout sourire*
- Rien que tout *les deux de sourire*
- La baffe...
- Elle va m'aimer pour ça.
Kiana m'amène dans son champ,
Justement, j'ai des courses à faire,
Un pied faisant saillie, je le saisis,
Dans le noir, comment savoir,
Deux choses donc je pris,
Et je lui montre mon amie,
Vieux plastique que j'ai pris, (*jette avec désespoir*)
Puis je me souvins,
Caillou blanc dans ma main
Heureux de lui montrer sa beauté.
Mes bras, Mon eux, qu'est-ce qu'ils aimeraient t'enlacer,
amies, aimées, pour ne plus jamais vous quitter,
Fusion éternelle, pour ne plus faire qu'un
Destin, quand est-ce que tu viens ?
Un jour, à la poursuite de mon rêve,
Dans une rue je trainais,
Une image au milieu de la route, moi, arrêté en pleine course,
Et bien aujourd'hui, j'irai plus loin, lui dis-je tout sourire.
Ma joie, ma foi, c'est toi,
Tu sais bien, bébé dans son coin
Sourit aux caresses.
Pour tout saisir mes amies, il faut s'abonner aux topics de ceux qui fréquentent ce topic.
PS : on ne nous appellera pas les poêtes maudits mais les poètes heureux.
Et notre phrase fétiche est : QLSTM Mon ami(e) Que le serpent te morde... cf : http://booknode.com/forum/viewtopic.php ... 0#p2977132
Dernière modification par Coudenhov le sam. 13 avr., 2013 7:22 pm, modifié 1 fois.
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Re: Frémissements... sur l'onde
salut !!
Al'und'eux:il est très beau, très mature, vraiment sublime.
Frémissements... sur l'onde:c'est bizard ce titre me dit quelque chose...... ah Bah c'est le titre du topique! très joli !
est Pourquoi ?:c'est profond comme réflexion! c'est bien écrit! et j'aime bien le style que tu a donné à ce poème!
Héroic Fantasy, c'est ici: il est très beau! je l'aime beaucoup.
Histoires du soir au matin...dans tes poèmes on retrouve, des expressions communes, des fils qui les relient les un aux autres. c'est magnifique.
Al'und'eux:il est très beau, très mature, vraiment sublime.
Frémissements... sur l'onde:c'est bizard ce titre me dit quelque chose...... ah Bah c'est le titre du topique! très joli !
est Pourquoi ?:c'est profond comme réflexion! c'est bien écrit! et j'aime bien le style que tu a donné à ce poème!
Héroic Fantasy, c'est ici: il est très beau! je l'aime beaucoup.
Histoires du soir au matin...dans tes poèmes on retrouve, des expressions communes, des fils qui les relient les un aux autres. c'est magnifique.
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Re: Frémissements... sur l'onde
QLSTM : Je serai là pour toi...
Dans les moments de la vie, on a besoin d'un ami(e).
Alors l'image du serpent, c'est bien dit :
Tout ce dont tu auras besoin, avec plaisir, je me dédie
D'habitude il mord au coeur, sombres auteurs pour le prouver,
Qu'à cela ne tienne, ton coeur, je le panserai, je l'imuniserai, je l'illuminerai
Mais s'il mord autre part, pourquoi Youpi ?
Aventure d'un jour que l'on oublie, Sali(e),
Si on a connu cela, tant pis.
Mais pour sauver un ami(e), On dit Youpi
On n'hésitera pas, Prend des risques, bat-toi l'ami(e)
On sera là si tu faiblis, Youpi, à chaque péril de ta vie
QLSTM
Merci Ombre-rouge d'avoir osé publier
C'est vrai, comme dit ton QSJ : caractérielle (à voir...) loyale (c'est tout vu)
Dans les moments de la vie, on a besoin d'un ami(e).
Alors l'image du serpent, c'est bien dit :
Tout ce dont tu auras besoin, avec plaisir, je me dédie
D'habitude il mord au coeur, sombres auteurs pour le prouver,
Qu'à cela ne tienne, ton coeur, je le panserai, je l'imuniserai, je l'illuminerai
Mais s'il mord autre part, pourquoi Youpi ?
Aventure d'un jour que l'on oublie, Sali(e),
Si on a connu cela, tant pis.
Mais pour sauver un ami(e), On dit Youpi
On n'hésitera pas, Prend des risques, bat-toi l'ami(e)
On sera là si tu faiblis, Youpi, à chaque péril de ta vie
QLSTM
Merci Ombre-rouge d'avoir osé publier
C'est vrai, comme dit ton QSJ : caractérielle (à voir...) loyale (c'est tout vu)
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Re: Frémissements... sur l'onde
-Histoire du soir au matin: ça fait rêver c'est trop beau
-QLSTM je serais la pour toi: génial je kiffe
-QLSTM je serais la pour toi: génial je kiffe
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- Inscription : lun. 05 mars, 2012 8:32 pm
Re: Frémissements... sur l'onde
Comme tout le monde l'a déjà dit avant moi, tu écris vraiment bien. J'aime bien alors je te dirais bonne continuation à toi.
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Re: Frémissements... sur l'onde
Comme tout le monde l'a déjà dit avant moi, tu écris vraiment bien. J'aime bien alors je te dirais bonne continuation à toi.
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Re: Frémissements... sur l'onde
"Bravo", dit ici n'a pas de sens.
"C'est beau", n'est pas suffisant.
"Wouaw" ne me satisfait pas.
Que puis-je bien te dire qui soit suffisant ? ...
QLSTM prends tout son sens en lisant ce poème.
J'ai compris, j'ai été illuminée, je suis enfin éclairée.
QLSTM, toi aussi.
Tu seras également le first one ! Peut-être même l'unique personne à qui je le dis.
Poète heureux, rend son entourage heureux.
"C'est beau", n'est pas suffisant.
"Wouaw" ne me satisfait pas.
Que puis-je bien te dire qui soit suffisant ? ...
QLSTM prends tout son sens en lisant ce poème.
J'ai compris, j'ai été illuminée, je suis enfin éclairée.
QLSTM, toi aussi.
Tu seras également le first one ! Peut-être même l'unique personne à qui je le dis.
Poète heureux, rend son entourage heureux.
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Re: Frémissements... sur l'onde
Chanson dédiée à Laurent de CoudenhoveCoudenhov a écrit :Il y a certains mots qui sont fait pour durer,
D'autres que l'on assume juste le temps d'une pensée,
A la verve volubile qui les a fait naitre,
Laisse place le soucis de leur par être.
Vous savez le 25124 dédié à Laurent
https://www.youtube.com/watch?v=tRpBUbyuWkQ
QLSTM, à toi aussi miam-miam
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Re: Frémissements... sur l'onde
QLSTM... Magnifique. J'aime particulièrement le rythme
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Re: Frémissements... sur l'onde
Oui, mes dans cette mouvance, une utopie de rocher, laisse passer, bien placée, bien des méfaits.
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Re: Frémissements... sur l'onde
SI TU NE M'AS JAMAIS QUITTE, moi je n'ai rien manqué,
SI TU CHEMINES A MES COTES, moi, je suis en toi, en vrai,
AU BOUT DU CHEMIN, La j'adore,
J'ai posé mon sac, avec respect, à l'ENTREE DE TON CHEMIN.
LA ccueillir les bambins, restaurer les saints, LA TABLE EST MISE,
ET S'Y EMPLOIE bien avant... moi,
LA CONDUCTEUR, une option, LA pour ELLE, BELLE TOUJOURS LA.
Dédiée à mes 0:♥
Et là, ça me fait penser à mon roman Lassa (petite pub) :
http://booknode.com/forum/viewtopic.php ... a#p2568943
SI TU CHEMINES A MES COTES, moi, je suis en toi, en vrai,
AU BOUT DU CHEMIN, La j'adore,
J'ai posé mon sac, avec respect, à l'ENTREE DE TON CHEMIN.
LA ccueillir les bambins, restaurer les saints, LA TABLE EST MISE,
ET S'Y EMPLOIE bien avant... moi,
LA CONDUCTEUR, une option, LA pour ELLE, BELLE TOUJOURS LA.
Dédiée à mes 0:♥
Et là, ça me fait penser à mon roman Lassa (petite pub) :
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Re: Frémissements... sur l'onde
prem's c'est trop magniffique j'adore (mes commentaires son pas trés constructif en ce moment mais tes poèmes sont magnifique c'est la seul choses que je trouve a dire et je m'en excuse)
au plaisir
avent.
au plaisir
avent.
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Re: Frémissements... sur l'onde
Dans sa prison de papiers, Un jeune homme attendait,
Le jour, il le voyait, à chaque visite de son aimée,
Et entre d'eux ? Comment s'alimenter ?
L'air, l'eau, le feu qui au dehors s'emmèlent,
Toi, mon aimée, dans tes cheveux les mèlent,
En fines nattes tressées, cachés, serrés,
Crinière bouffonante à chaque fouille, vaine.
Et moi, je me repet de ton image, de ta beauté,
Qui seuls ici, me font rêver, Tu m'apportes en cet été,
Des parfums de liberté, cette liberté que tu me promets
chez toi de ne plus posséder aussi. Tu t'es liée.
Petite fleur, dans sa cage, le serin, à l'été, se met à pépier,
Succédané que tu m'apportes, contrite, de ne plus donner,
Petites joies économisées, parce que tu n'en as déjà pas assez,
Mais ce matin, mon aimée, Tu es venue transformée.
A l'écuelle, tu m'as donné, tes cheveux illuminés,
L'espoir en toi, a été conquis ; Quelqu'un là-bas, t'a tout pris ; gratuit.
Et toutes les indulgences accumulées, papiers tombant en poussière,
D'une mine de poussière, en a fait, mer, terre, ciel, pierre.
Et dans ton univers, éclaire, ravi des hésitadi,
D'un arc-en-ciel miroitant, dont les notes vertueuses,
aux couleurs toutes contanimées, de vert t'a nimbé, félicité,
de pierres t'a parée, pour mon seul effet, mon aimée.
Petit vert, dans ta maison de lumière, traverse le papier,
Et de son écriture déliée, inscrit en lettres, de feu, le passé,
gratté, l'épitaphe : "Repose en paix", et s'entraine à barrer,
de ses textes les "ne que". On peut rêver.
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Re: Frémissements... sur l'onde
Deux mots,
Parle-moi de ta beauté, de tes effets,
De tous ces matins, où le soleil vient,
Et dans tes yeux, secs d'hiver, se mettent à perler,
Doux poèmes, prismasés, décomposent en mille effets,
Le bonheur de ton coeur, Aimer.
Et toute la journée, yeux bariolés, tropicale forêt,
Aras enchantés, se posant sur l'épaule des passants,
Tu met de la gaité, petite fée, ton coeur patient, passion,
Dans tes yeux remonté, deux perles pures, avaient toujours brillées.
Tous tes regards, posés, du temps de l'espoir, s'illuminer les touchers,
Car c'est trop vrai, économe à souhait, ne rien jeter,
D'un travail zélé, à rétroactivité, tout valider, car on le sait,
Des yeux d'amour se sont posés, Poussière de féé, sur les passants pressés.
S'illuminer les touchers. Je kiffe aussi.
Parle-moi de ta beauté, de tes effets,
De tous ces matins, où le soleil vient,
Et dans tes yeux, secs d'hiver, se mettent à perler,
Doux poèmes, prismasés, décomposent en mille effets,
Le bonheur de ton coeur, Aimer.
Et toute la journée, yeux bariolés, tropicale forêt,
Aras enchantés, se posant sur l'épaule des passants,
Tu met de la gaité, petite fée, ton coeur patient, passion,
Dans tes yeux remonté, deux perles pures, avaient toujours brillées.
Tous tes regards, posés, du temps de l'espoir, s'illuminer les touchers,
Car c'est trop vrai, économe à souhait, ne rien jeter,
D'un travail zélé, à rétroactivité, tout valider, car on le sait,
Des yeux d'amour se sont posés, Poussière de féé, sur les passants pressés.
S'illuminer les touchers. Je kiffe aussi.
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Re: Frémissements... sur l'onde
Je me sens larguée mais c'est hyper beau, seulement je crois que je n'en apprécie qu'à moitié la beauté, le reste et le sens caché m'échappant, à mon grand regret.
C'est néanmoins un plaisir
C'est néanmoins un plaisir
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Re: Frémissements... sur l'onde
25125 Les yeux de l'amourCoudenhov a écrit :Chanson dédiée à Laurent de CoudenhoveCoudenhov a écrit :Il y a certains mots qui sont fait pour durer,
D'autres que l'on assume juste le temps d'une pensée,
A la verve volubile qui les a fait naitre,
Laisse place le soucis de leur par être.
Vous savez le 25124 dédié à Laurent
https://www.youtube.com/watch?v=tRpBUbyuWkQ
QLSTM, à toi aussi miam-miam
Sont en dehors de son corps, pour mieux focaliser,
Au Point il eux, ils ont été donnés.
De son aire, l'aigle couronne, d'un vol majestueux, il rayonne,
Intouchable dans les cieux, il règne en eux.
Qui oserait l'irriter, lapins malins, offerts en festin,
Déchiquète, ouvre les entrailles, délie leur destin,
Quand l'aigle flotte au dessus des siens,
Ombre rapace,
Couvre d'un regard d'amour, Un, que j'aime bien.
Couleur marine
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Re: Frémissements... sur l'onde
Le poème de la prison papier ma beaucoup plus c'est léger, radieux, beau bref voila que dire de plus que wow
Deux mot j'adore mais dit moi d'ou te vien toutes cette imagination moi je suis a court d'idée tu veut pas me préter
un peut de ton inspiration pour m'aider.
Deux mot j'adore mais dit moi d'ou te vien toutes cette imagination moi je suis a court d'idée tu veut pas me préter
un peut de ton inspiration pour m'aider.
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Re: Frémissements... sur l'onde
Don d'inspiration
Pour un don d'inspiration réussi, voilà les ingrédients :
d'abord prendre un grand in, vidé d'émotions, c'est important.
Trouble et désaroi contaminent sinon les parois. Ce sont d'anciennes
jolies petites pensées d'amour que l'on a engrangé pour soi. Elles volaient
libres dans le vent, attendant leur destination, mais on les a prises pour des papillons.
Dans notre filet, et direct dans notre in, on la veut cette émotion,
Ce joli garçon, Cette belle maison.
Emotion détournée fait son chemin.. son chemin dans une autre sein,
Elle ne retrouve rien, elle se perd, ne sait où donner, donne du rie, non donne du rien,
Petit feu enflammé, quelque peu chatoyant, qui s'éteint dans le souffrant,
trouble et désarroi. Et on dit, un de perdu, déjà pas le sien cependant.
Non dans un bon in, on ne retrouve pas d'émotions, il les a données depuis longtemps,
A chaque fois qu'un papillon passe, on se dit : celui-là aussi dans ma nasse,
Et pêcheur, revenant avec la marée, on en fait la criée au marché,
Le client vient, il prend le sien, on donne gratuit, pas le sien.
Le sien, papillon chamaré, on s'empresse de quitter la péchée,
Pour courir au marché, le présenter, on le trouve si beau, il va faire plus d'un
Heureux. Le soir venu, époumoné d'avoir crié, on dit bon, tu n'es à rien,
Viens je n'ai rien. Tu seras mien.
Donc je disais, un in vide. Pour le spir, vous allez me dire c'est pas coton.
Il tousse dans les religions (Spiritus), il est à elle (spirituel), et on ne parle pas
de spiritisme qui s'amuse à faire pleurer bébé. Pour le spir, c'est les yeux marins,
larmes d'émerveillements, soleil du coeur resplendissant, rayons traversants,
arc-en-ciels éblouissants, parlons enfant.
Alors pour le Sion, il y a deux méthodes, on le lie, on le fouette, ça c'est pas Babette,
Violation, Agression, gens pas (con - tend - sion), ou pas la leur : vas-y, fouette, j'te prèt
Ou alors, faire partie de la bande : con-tend-à-sion.
Après ce n'est qu'un tour de main, une belle act sion, un rendu Aime Haut Sion,
La vérité avec Pa Sion, et c'est prof fusion, muse d'except sion,
rattrapée par son don.
Cependant, Aventuri, deux mots,
En tes, Ri Haut Ris, t'es (present perfect)
Enterr (I), Haut rit : t'es. (plus que parfait : j'avais aimé)
Désolé, j'adore les jeux de mots. Bidouille , va (ça veut dire bète)
Pour un don d'inspiration réussi, voilà les ingrédients :
d'abord prendre un grand in, vidé d'émotions, c'est important.
Trouble et désaroi contaminent sinon les parois. Ce sont d'anciennes
jolies petites pensées d'amour que l'on a engrangé pour soi. Elles volaient
libres dans le vent, attendant leur destination, mais on les a prises pour des papillons.
Dans notre filet, et direct dans notre in, on la veut cette émotion,
Ce joli garçon, Cette belle maison.
Emotion détournée fait son chemin.. son chemin dans une autre sein,
Elle ne retrouve rien, elle se perd, ne sait où donner, donne du rie, non donne du rien,
Petit feu enflammé, quelque peu chatoyant, qui s'éteint dans le souffrant,
trouble et désarroi. Et on dit, un de perdu, déjà pas le sien cependant.
Non dans un bon in, on ne retrouve pas d'émotions, il les a données depuis longtemps,
A chaque fois qu'un papillon passe, on se dit : celui-là aussi dans ma nasse,
Et pêcheur, revenant avec la marée, on en fait la criée au marché,
Le client vient, il prend le sien, on donne gratuit, pas le sien.
Le sien, papillon chamaré, on s'empresse de quitter la péchée,
Pour courir au marché, le présenter, on le trouve si beau, il va faire plus d'un
Heureux. Le soir venu, époumoné d'avoir crié, on dit bon, tu n'es à rien,
Viens je n'ai rien. Tu seras mien.
Donc je disais, un in vide. Pour le spir, vous allez me dire c'est pas coton.
Il tousse dans les religions (Spiritus), il est à elle (spirituel), et on ne parle pas
de spiritisme qui s'amuse à faire pleurer bébé. Pour le spir, c'est les yeux marins,
larmes d'émerveillements, soleil du coeur resplendissant, rayons traversants,
arc-en-ciels éblouissants, parlons enfant.
Alors pour le Sion, il y a deux méthodes, on le lie, on le fouette, ça c'est pas Babette,
Violation, Agression, gens pas (con - tend - sion), ou pas la leur : vas-y, fouette, j'te prèt
Ou alors, faire partie de la bande : con-tend-à-sion.
Après ce n'est qu'un tour de main, une belle act sion, un rendu Aime Haut Sion,
La vérité avec Pa Sion, et c'est prof fusion, muse d'except sion,
rattrapée par son don.
Cependant, Aventuri, deux mots,
En tes, Ri Haut Ris, t'es (present perfect)
Enterr (I), Haut rit : t'es. (plus que parfait : j'avais aimé)
Désolé, j'adore les jeux de mots. Bidouille , va (ça veut dire bète)
Dernière modification par Coudenhov le dim. 30 juin, 2013 6:01 am, modifié 1 fois.
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Re: Frémissements... sur l'onde
merci d'avoir penssé a moi ça fait plaisir
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Re: Frémissements... sur l'onde
Petit bambin marche à cloche pied,
Ne sachant où poser les pieds,
Il a décidé de n'en poser qu'un.
Il sait que le chemin est miné,
Mais qu'il lui faut avancer,
Sa maison est au bout du chemin.
Econome, tous ses sous, il a mis
Dans ce pied levé, à l'abri.
Boum...
Petit bonhomme sur le chemin
A repris son destin en main.
Il saute, il avance, à cloche-pied
Les gens sourient de le voir marcher ainsi,
Mais chacun ses soucis, l'un cloche-piète,
D'autres se démènent aussi.
Son pied levé, il avance,
Là où il a mis toutes ses espérances.
Boum...
Petit Homme sur le chemin avance,
Lune et Soleil se sont levées, intenses,
Il voit mieux où il met son pied
Boum ? Non, avance
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Re: Frémissements... sur l'onde
prem's hi hi hi c'est merveilleux (c'est tous ce que j'ai trouver a dire)