♦ Mange mes mots
♦ Sans armure
♦ Jeunesse
♦ Le Repas
♦ Spectacle
♦ Petit bazar
♦ Laisser la place aux vieux
♦ Ébauche
♦ Une liberté
♦ Sans titre & L'Absence
♦ Lucien
♦ Océan?
♦ Aujourd'hui
♦ SMS
♦ Les roses
♦ Rumspringa
♦ Noir nuit
♦ Verveine-Citron
♦ Nausée
♦ Jours de pluie
♦ Le pourquoi du comment
♦ En boucle
♦ Mort céleste
♦ Jeu de maux
♦ Une promesse
♦ La folle et le gamin
♦ Une vision
♦ Je suis de marbre
♦ Peine Ombre & La punition
♦ L'enfant Charbon
♦ L'autobus
♦ Soleil d'automne
♦ Mélancoliques Insomnies
♦ Immature
♦ La fébrilité de la perfection
♦ La Pomme & A travers le miroir
♦ Loin
♦ Le voyage
♦ La comédienne
♦ La Mer
♦ Le peintre (ci-dessous)
Le peintre:
Je sens le bois du chevalet, et posté devant sa toile
Le peintre tient sa palette, les yeux pleins d'étoiles.
Lentement, son pinceau danse
Lentement, il dessine
L’horizon incertain mais immense
Et ces formes qui me fascinent.
C'est un pur bonheur, ce festival de couleurs qui filent
Comme le vent, comme le temps, comme les heures.
Ce décor tropical, ces sons imperceptibles qu'écoute mon cœur.
Peu à peu je voyage et je le laisse m'emporter sur cette île.
A la lueur de la bougie son travail acharné,
Prend vie et s'emplit de beauté.
Je reste pendue, à son oeuvre achevée
Et dans mes rêves j'entends encore ses oiseaux chanter.
Asoline.