Concours - Saison 9, Thème: Un rêve d'enfant (Vote n°8)

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Holly-Short

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par Holly-Short »

Personne d'autre ne veut écrire de texte? On en a pas assez, lancez vous ça ira tout seul! :)
Enchanteresse

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par Enchanteresse »

Bonsoir à tous!
Le thème des fêtes m'a beaucoup inspiré, et mon texte est quasiment fini mais il reste quelques modifications à faire... Je vais sûrement le poster demain. Il est un peu long mais bon, une fois partie, je n'arrivais plus à m'arrêter !
Je me demandais juste, il suffit que ça se passe pendant une fête ? Parce que mon texte se déroule pendant une fête, mais ce n'est pas le plus important dans le texte... C'est juste le contexte. Je pense que ça ne pose pas de problème mais je préfère être sûre...
Au fait, tous vos textes sont vraiment géniaux! :)
Bonne soirée!
Artemisfowl

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par Artemisfowl »

Génial!! \o/

Bon juste, évite d'oublier :D Si on lit les messages précédents prometteurs d'un nouveau texte pour le lendemain, on voit que personne n'est revenu poster :(

Oups, il a coupé :(
Dernière modification par Artemisfowl le mer. 30 juil., 2014 9:57 pm, modifié 1 fois.
Artemisfowl

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par Artemisfowl »

Génial!! \o/

Bon juste, évite d'oublier :D Si on lit les messages précédents prometteurs d'un nouveau texte pour le lendemain, on voit que personne n'est revenu poster :(
Enchanteresse a écrit : Il est un peu long mais bon, une fois partie, je n'arrivais plus à m'arrêter !
Je me demandais juste, il suffit que ça se passe pendant une fête ? Parce que mon texte se déroule pendant une fête, mais ce n'est pas le plus important dans le texte... C'est juste le contexte. Je pense que ça ne pose pas de problème mais je préfère être sûre...
Pas de problèmes pour la taille, ça fait plus de lecture :D
Du moment que le mot "fête" est dans le texte, ou qu'on voit bien que c'est dans le contexte, pas de problème :)

En ayant hâte de lire ton texte, (et d'autres si jamais *croise les doigts*)
Bonsoir!
Enchanteresse

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par Enchanteresse »

Salut!!!
Bon, je me lance (je l'ai dit donc je le fais :D ). J'espère que ça vous plaira! ;)


Je marche lentement dans une rue silencieuse, seule, encore une fois. Le jour ne s’est pas complètement couché, et le ciel perd doucement ces teintes fondues d’orangé et de violet. Ici et là, des lampadaires diffusent une pâle lueur, semblables aux filets de lumières qui filtrent par les fenêtre encore ouvertes. Par moment, des éclats de voix me parviennent, parfois triste, parfois joyeux. Il est vingt heure.
Je resserre mon châle noir autour de moi, dissimulant entièrement ma tenue de soirée bleue. Ma mélancolie habituelle ne me quitte pas, et même la perspective de la soirée au lycée ne me réjouit pas. Je dois bien être une des seules à penser ainsi…Mais au fond, qui se réjouirais de se rendre au bal du lycée seule alors que tous viennent accompagné ?
Je ne sais même pas pourquoi je suis venue. D’habitude, je ne sors pas trop pendant les mois travaillés : quelques concert, quelques cinémas, quelques restos, voilà tout. Il est vrai que ma meilleure amie habitant loin, cela ne facilitent pas les choses.
J’ai d’autres amies pourtant, mais ce soir, il n’y a personne avec moi. Lorsqu’on drague, l’amitié ne compte plus… Il faut dire que je ne suis pas quelqu’un de très fréquentable pour eux.... Je ne suis pas laide pourtant, on me considère souvent comme jolie, parfois même belle. Je ne suis pas non plus infecte, les gens s’entendent bien avec moi. Non le problème est ailleurs… Il a suffi d’un bulletin de notes pour fixer ma réputation. Que voulez-vous, l’intelligence effraie… J’ai même hérité du charmant surnom de dix-huit cinq… Et ce n’est pas le pire…Non, vraiment, ce n’est pas mon habitude de sortir à cette période. Moi, je ne vis que l’été. Autre lieu, autre contexte, autres rencontres… Tout y est éphémère, mais personne ne vous connaît, on vous oublie rapidement… On prend ce qui est à prendre, on ne perd rien.
Qu’est-ce qui m’a poussé ? Je n’en sais rien. L’envie d’être comme les autres sûrement… Mais maintenant que je suis devant le lycée, j’évite. De la musique résonne, des rires retentissent…. Les classiques d’une soirée lycéenne. Finalement j’entre.
A l’intérieur, l’ambiance est lourde. Une piste de dance est aménagée au milieu de la salle, et un buffet propose différentes boissons et cocktails ( certifiés sans Alcool évidemment) ainsi que quelques plateaux de nourriture.
On me remarque peu. C’est à peine si on me dit bonsoir. Rapidement je prends un verre, et je m’assoie sur un des canapés mis à dispositions et j’observe. J’aime bien ça. Je regarde les autres vivre, j’analyse leur comportement… Même les profs ont des réactions étranges parfois, mais les élèves restent toujours le centre de mon attention. Je les connais bien mieux qu’ils ne le pensent. Je sais beaucoup d’eux et eux ne me connaissent pas. Personne ne me connaît vraiment, pas même moi-même.
Au bout de quelques instants, Arthur, un des garçons du cercle « populaire » du lycée (merci papa et maman de ramener plein de fric à la maison…), vient s’assoir à côté de moi. Je pense d’abord qu’il ne m’a pas vu mais non, il commence à me parler.
-Ils ont vraiment l’air ridicule tu ne trouves pas ? A se pavaner alors qu’ils ne sont rien… Tout ça parce qu’ils se pensent populaires !
Je reste quelques instants silencieuse. Venant de lui, c’est assez étrange comme remarque…
- Tu fais partie du même groupe qu’eux pourtant… Ton cerveau serait-il devenu lucide ?
Il sourit. J’ai été plus sarcastique que je ne le voulais, mais je n’ai pas pu m’en empêcher. Ça n’a pas l’air de le déranger.
-Il semblerait… J’ai de la chance, la connerie ne se guérit pas facilement.
- A ta place, je ne m’affirmerai pas guéri. C’est très tenace. J’en sais quelque chose.
Il continu de sourire. On dirait presque que je l’amuse… Il doit être dans un bon jour.
- Tu sais ce que je préfère chez toi ?
- Oui bien sûr ! Mes cahiers de leçon et d’exercices. C’est seulement pour ça que tu daignes m’adresser la parole. Quoique, j’hésite… Les horaires de cours sont bien placé aussi.
- Je parlais de ton ironie et de ta façon à remettre les gens en place.
- Ah. C’est vrai que tu as tellement l’occasion de discuter avec moi...
Je ne sais pas pourquoi, mais je lui en veux. De me faire sa tirade alors qu’il m’ignore toujours. Ce n’est pas parce que je suis en robe de soirée que je vais être plus ouverte. J’aimerais qu’il comprenne ce que lui et les gens comme eux me font, toute l’année. Comment on peut se sentir blessé, même si on ne le montre pas.
- Tu n’es pas hypocrite, tu dis ce que tu penses.
- Tu te trompes. Je suis la personne la plus hypocrite du monde. Tu crois vraiment que je dis ce que je pense ? Tu serais étonné si tu le savais vraiment crois-moi.
- Ce que je veux dire, c’est que tu n’es pas comme tous ces lèche-botte ! J’en assez de ces gens qui sont toujours sympas avec moi et qui me critique par derrière moi en pensant que je ne le sais pas !
- C’est vrai que c’est tellement dur d’être beau, riche, populaire, bientôt diplômé d’un des lycée privés les plus prestigieux, et avec toute les filles à tes pieds ! Je devrais te plaindre, c’est sûr.
- Ce n’est pas ce que je veux dire ! Je ne suis pas si limité d’esprit ! Et puis c’est faux, la preuve : toi, tu n’es pas à mes pieds.
-Mais moi je ne compte pas. Je n’ai jamais compté. Je ne serais toujours qu’un élément du décors. Ils ne pensent même pas que je vis en dehors du lycée.
-C’est faux… Enfin, moi, je ne le pense pas.
- Mais tu l’as pensé.
Une grande fille aux cheveux platines est passée et a adressé un sourire éclatant à Arthur, en m’ignorent royalement. Elle portait une robe rouge flashy très courte et avait tellement de fond de teint qu’on avait l’impression qu’elle s’était versé un peau de peinture sur la tête. Il en a profité pour continuer :
-Ils ne m’apprécieront jamais que parce que je suis le fils de mon père...
- Ah ça Arthur… Tu as toujours tiré profit de son aura et ça te retombe dessus ! Ne te fais pas d’illusion, tu resteras toujours le fils du PDG, et ni ta gueule d’ange, ni ta répartie n’y changeront rien.
- Quel optimisme… C’est impressionnant
-Je ne suis pas pessimiste, juste réaliste. Je suis bien forcée de l’être…
- Parfois j’aimerais être comme toi… Tu te fiches de ce pensent les autres de toi, d’être populaire, tu vis ta vie et voilà. Je t’admire beaucoup pour ça.
Je suis restée bouche bée. Il pensait vraiment ça ?
- Tu crois vraiment ça ?
Mon ton glacial l’a surpris, et il n’a rien répondu. J’ai continué :
- Tu crois que je ne souffre pas quand je vous vois rire ensemble, et que moi je reste seule ? Tu crois que ça ne m’a pas fait mal de venir ici toute seule alors que vous êtes tous à plusieurs ? Que n’être considéré uniquement que comme un dictionnaire vivant ou une calculatrice ne me dérange pas ? Et bien tu te trompes, Arthur, tu te trompes. J’ai mal d’être mis à l’écart, que personne ne me prennent aux sérieux. Je ne travaille pas plus que vous, je n’ai pas de lunettes, je ne pense pas qu’à ça. En dehors du lycée, la plupart des gens me considère comme jolie, et je suis juste une fille qui a de la répartie. Et cela ne les gêne pas eux. Tu sais quoi ? Je ne travaille jamais chez moi. Je hais ça. Je hais ces notes, je hais ce lycée. Je vous hais vous. D’être libres, de vivre, de vous amuser. Je n’y arrive pas. Pour tout le monde, je n’ai jamais été autre chose qu’un bulletin de note aisé. Je ne suis pas à plaindre, il y a des choses pire que ça et je le sais. Je n’ai jamais été dans le besoin, au contraire, je n’ai jamais été victime de violence, mon avenir n’est pas compromis. Mais je suis seule et je l’ai toujours été. Alors ne pense pas que je m’en fiche Arthur. J’ai toujours été renfermée, je ne m’ouvre pas facilement, mais ça ne veux pas dire que je m’en fiche. Au contraire.
Je me suis enfin tu. Il est resté là sans rien dire pendant longtemps. Il allait sûrement me prendre pour une folle, mais qu’importe. Ça m’a fait du bien de me libérer, de pas toujours tout garder pour moi.
Et là, il s’est penché vers moi et il m’a embrassé. Déconcertée, je n’ai pas réagi tout de suite. Quand j’ai repris mes esprits, je me dégagée et je lui ai mis ma main dans la figure. Sans aucun état d’âme.
Il s’est mis à rougir, et je suis sûre que ma main n’y est pour rien. Je suis furieuse.
- Tu me déçois Arthur Van Der Val. Moi qui pensais avoir une discussion intelligente. Tu n’as fait tout ça que pour me draguer.
- Je… mais non ! Je te jure que quand je t’ai parlé je ne voulais pas du tout t’embrasser ! Je… je ne sais pas ce qui m’a pris ! Enfin si mais…
- Tu disais que tu les trouvais ridicule ? Et toi, tu te trouves intelligent ?Je ne te pensais pas si cruel Arthur. Égoïste oui mais pas cruel.
-Saskia…
Il avait l’air catastrophé. Je sais reconnaître les gens qui mentent et qui se moquent de moi, et je voyais bien que ce n’était pas le cas. Mais je m’en fichait. Personne ne nous avait vu. Je suis partie vers les jardins, hors de moi. J’avais besoin d’air. Je ne sais même pas si j’étais plus furieuse contre moi de lui avoir donné de faux espoirs que contre lui d’y avoir cru. J’ai traversé l’allée bordée de spots, et failli renverser un pot de fleur dans ma précipitation. Je l’ai entendu derrière moi, je ne me suis pas retournée. J’ai fini par m’arrêter devant le balustrade. Il a posé la main sur la mienne, sans rien dire.
J’ai réagi vivement, et je le sais. Je ne m’excuserai pas. Sans que je m’en rende compte, je me suis mise à pleurer, doucement. Je ne savais même pas pourquoi au fond. J’ai senti sa main essuyer une larme sur ma joue.
Je me suis retournée vers lui, et j’ai trouvé ces yeux verts drôlement brillants. Ses cheveux blonds foncés cachaient par endroit son visage. Je crois que je ne l’avais jamais trouvé aussi beau. S’il m’avait embrassé encore une fois, je ne sais pas ce que j’aurais fait. Peut-être que je lui aurais mis mon poing dans la figure, ou peut-être pas.
La musique me semblait de plus en plus forte, et le bruit ambiant augmentait constamment. Quelques garçons se sont jeté dans la fontaine, sous les rires de plus en plus gras d’une bande de filles en tenue légère. Il y avait même mon prof d’histoire qui embrassait ma prof de maths, il en avait mis du temps à se déclarer celui-là... Je me demande si le punch était si « réglo » que ça en fait… Certains ont du bien s’amuser pour le trafiquer.
-Tu me crois quand je te dis qu’ils sont ridicules ? Tu n’as rien à leur envier Saskia, tu vaux tellement mieux qu’eux…
Il avait murmuré ces derniers mots. J’ai posé ma tête sur son épaule. On est resté longtemps sans rien dire, en contraste avec tous les autres élèves. La fête commençait à dégénérer, et on ne s’en rendait même pas compte. J’ai aperçu dans une fenêtre une fille brune aux yeux noisette dans les bras d’un garçon blond aux yeux verts. C’était notre reflet. On d’étonnait au milieu des autres, calmes et encore bien mis, alors qu’eux... c’était l’opposé.
-Je te crois, Arthur, je te crois.
Finalement, j’avais bien fait de venir.

Voilà!
dadotiste

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par dadotiste »

Bonjour, je vous informe que d'ici peu, ce sujet sera déplacé dans la Section imagination et création qui est dédié à ce type de créations. Elle a été nettoyée et a retrouvé sa fonction initiale.

Une fois là bas, vous pourrez continuez par saison comme vous le faites maintenant ou même faire faire un sujet par thème ;-)

Cordialement, Dadotiste
Elode21

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par Elode21 »

Salut !
Je crois que les deux participants précédents ont oublié de numéroter leurs textes...
Si je ne me suis pas trompée, le texte de manonmiss10 c'est le 5 et celui de Enchanteresse, c'est le 6 !!

Texte 7 :

Ce soir, je fête mes dix-huit ans avec ma famille et quelques amis ; j’ai toujours préféré les anniversaires en petites communautés. Ma mère, stressée comme toujours, veille à ce que tout soit en place avant l’arrivée des invités, époussetant un grain de poussière inexistant sur le coin d’un meuble, testant pour la énième fois le fonctionnement des spots lumineux et de la musique ou s’assurant que je vais bien toutes les demi-heures. Je lui souris et lui promets que tout se passera bien, afin qu’elle se détende en peu. Elle acquiesce mais je sais que rien ne lui permettra de calmer sa nervosité tant que la soirée ne sera pas terminée. Malgré son air angoissé, ma mère est vraiment belle dans sa robe émeraude, assortie au vert intense de ses yeux, ce que mon père ne cesse de lui répéter. Mes deux frères, quant à eux, n’ont pas fait d’effort vestimentaire particulier, excepté un rapide coup de peigne dans les cheveux d’Antoine, mais ils savent que cela ne me vexe pas et en jouissent pour échapper au supplice de mettre un costume. Quand je pense qu’une fille saisit la moindre occasion de se faire belle alors qu’eux n’enfilent qu’en grognant une chemise lorsque ma mère les y oblige !
J’esquisse un sourire amusé et jette un regard rêveur par la fenêtre. Le ciel, teinté de rose, s’assombrit imperceptiblement au fur et à mesure que le soleil se couche derrière les arbres qui bordent le jardin. Je scrute le sentier, espérant voir apparaître Loïc. Nous sommes ensemble depuis deux ans et toute ma famille le considère déjà comme l’un des nôtres. Mon cœur est partagé entre l’envie pressante presque frustrante de le revoir et la paix que me promet cet instant où nos âmes seront enfin réunies. Loïc et moi nous complétons, nous sommes faits l’un pour l’autre, je n’en ai jamais douté depuis le jour où je l’ai rencontré, sur le pont de pierre au crépuscule de ce si beau jour de mai.
Je sors sur le pavillon, m’assoie sur les marches et m’appui la joue sur une main, patientant tantôt sereinement, tantôt fiévreusement, l’arrivée de mon prince charmant.
Les premières silhouettes à se découper sur l’horizon sont celles d’Alex, Jean et Christina, trois bons amis du lycée qui vont me manquer dès l’année prochaine où chacun ira effectuer ses études dans différentes villes. Je les accueille chaleureusement et discute gaiement avec eux, jusqu’à ce qu’arrive ma grand-mère et que je les laisse finir la conversation sans moi pour la saluer. Mamie Gervaise, pourtant âgée de soixante-dix ans, garde un enthousiasme et une énergie extraordinaire ! Elle me claque deux bises sur les joues et me souhaite un joyeux anniversaire, plein de bonheur, la santé, les amours, etc. Un peu étourdie par tant de paroles, je ne sais que répondre et entraîne ma grand-mère à l’intérieur de la maison, là où mes parents l’attendent, un plateau de petits gâteaux dans une main, et un autre de boissons à peine alcoolisées dans l’autre. Quant à moi, je reste sur le seuil de la porte et accueille dynamiquement mes cousins, deux amies avec qui je pratique la danse moderne-jazz, une voisine, mon grand-oncle et les derniers membres de ma famille ; enfin, quinze bonnes minutes après le début de la fête, je m’étonne de voir arriver mon amie Mégane, la sœur de Loïc, seule. Je lui souhaite la bienvenue et échange quelques banalités avec elle, puis, n’y tenant plus, je lui demande où est Loïc. Un peu mal à l’aise, elle me rassure en confirmant qu’il ne tardera pas. Je hoche la tête, reconnaissante, et m’installe sur les marche, désormais seule. Les minutes s’écoulent avec une lenteur infinie et mon visage s’assombrit petit à petit. Ma mère passe régulièrement la tête par la fenêtre, un peu inquiète que je n’ai toujours pas pris part à la fête dont j’étais la reine, mais je hausse les épaules, de plus en plus maussade.
Enfin, alors que le soleil est déjà couché et que mon humeur a viré au noir, j’aperçois quelqu’un. Je me relève brusquement et écarquille les yeux tandis que je reconnais peu à peu la silhouette de mon petit ami. A cause de l’obscurité, je ne suis pas entièrement certaine que ce soit bien lui et je n’ose pas courir vers lui. Mais lorsque la silhouette m’ouvre les bras, je m’élance vers elle, mon cœur faisant des bonds joyeux dans ma poitrine. Loïc m’accueille avec le sourire, ses yeux attendris rivés sur moi, vêtu d’une chemise blanche et d’un jean sombre. Je lui saute au cou et l’embrasse passionnément, avec l’impression de ne pas avoir respiré pendant ces dernières trente minutes d’attente et que le dioxygène entre enfin dans mes poumons. Je lui transmets toutes mes inquiétudes, mes doutes, mes peurs dans ce baiser, ce qu’il semble capter car il se détache gentiment de moi, pose son regard apaisant sur moi et me chuchote :
- Je suis là.
Je me blottis contre lui, respirant son odeur qui m’est si familière, et je soupire de bonheur lorsqu’il resserre tendrement ses bras autour de moi.
- Je t’aime, je murmure.
Nous restons ainsi de longues minutes, le temps que mon cœur et ma respiration se calment, puis je me détache à regret de lui, consciente que ma présence à ma fête d’anniversaire serait fortement requise ! Je glisse ma main dans la sienne, ses doigts étreignent affectueusement les miens et nous nous dirigeons ensemble vers la maison, sans un mot, le bonheur d’être réuni nous suffisant pleinement. Je suis tellement soulagée de sa présence à mes côtés que je ne songe même pas à m’étonner sur son retard, de toute manière trop heureuse pour lui en vouloir.
Nous franchissons le seuil de la porte sous les applaudissements et les cris de joie des invités, tous coiffés d’un chapeau ridicule sans doute imposé par ma mère. Loïc se penche à mon oreille et susurre :
- Joyeux anniversaire, princesse.
Je lui offre un sourire éblouissant en retour et remercie mes proches, sincèrement émue. La fête peut enfin commencer ! On monte le son de la musique, met en marche la boule de discothèque accrochée au plafond et nous nous mettons à danser. Alex, Jean et Christina m’arrachent à Loïc avec des sourires malicieux et se justifie par un « Nous aussi, on a le droit de t’avoir ! » faussement vexé. Je me laisse entraînée et improvise une danse folle avec mes amis ; je m’amuse tellement que je ne m’autorise pas de pause avant de souffrir de deux points de côtés douloureux. Je m’affale sur le divan, entre mes deux frères et passe mes bras autour de leurs épaules, espérant les convaincre de danser, ce qui relèverait du miracle. Evidemment, ils refusent catégoriquement de bouger du canapé ; le contraire m’aurait étonnée. Karim, mon frère aîné, les yeux braqué sur Christina qui se déhanche sensuellement comme elle sait si bien le faire, me demande :
- Tu penses que je pourrais plaire à Chris ?
Pour toute réponse, je lève les yeux au ciel et lui donne une tape sur la tête qu’il esquive sans difficultés, puis je me dirige vers le buffet, sans pouvoir m’empêcher de chercher Loïc des yeux. Je prends deux verres de cocktail champagne-fruis des bois, une spécialité de maman, et parcours à nouveau la foule des yeux, mais Loïc reste introuvable.
Finalement, c’est lui qui vient me trouver. Je lui tends un des deux verres qu’il goûte avec une moue dubitative, et pose ma tête sur son épaule. Nous ne disons rien, la musique trop forte empêchant toute conversation difficile. Je me mets sur la pointe des pieds et l’embrasse amoureusement, mais je le sens tendu et lui propose de sortir pour discuter, sachant qu’il accepterait volontiers de se confier à moi.
Dehors, la nuit est étrangement silencieuse comparée au vacarme qui règne à l’intérieur. Nous nous asseyons côte à côte sans nous toucher et gardons le silence. Je souffre de voir le doute, la mélancolie et l’incertitude peindre le visage de Loïc, je lui prends la main et dit avec douceur :
- Tu sais que tu peux tout me dire. Je t’aime Loïc et rien ne changera jamais. Je ferais tout pour toi ! Alors si je peux t’aider, ou simplement t’écouter, n’hésite pas. Je suis là pour toi.
Un long silence s’étend et Loïc s’obstine à fixer droit devant lui, comme s’il craignait que je lise en lui s’il me laissait le regarder. Je trace des cercles réguliers avec mon pouce sur le dos de sa main pour l’apaiser et attends patiemment qu’il accepte de s’ouvrir. Enfin, il murmure, davantage pour lui-même que pour moi :
- Je ne peux pas te demander de faire ça…
- Tu as déjà fait tellement pour moi ! Laisse-moi t’aider !
Lentement, il se tourne vers moi et me laisse contempler ses sourcils froncés d’inquiétude, son regard trahissant un combat intérieur dans lequel il ne peut sortir vainqueur et son sourire forcé ressemblant plus à une grimace qu’à un sourire. Peinée pour lui, j’effleure sa joue de mon doigt, comme si je pouvais lui transmettre tout mon amour par ce contact. Il prend une profonde inspiration, détourne les yeux et, sans oser me regarder en face, me demande d’une voix tremblante d’émotion :
- Si je te demandais de m’oublier, le ferais-tu ?
Je sentis mon sang se glacer dans mes veines et mon cœur cessa de battre.
- Comment ça ? je réponds dans un souffle.
- Em, je t’ai vraiment aimée pendant ces deux dernières années qui ont été les plus belles de ma vie. Mais aujourd’hui, c’est différent. Tu as changé, moi aussi. Je ne suis pas sûr de pouvoir continuer à t’aimer.
Comme je ne disais rien, il continua :
- Tu étais tout pour moi, tu me rendais fou ! Je t’ai tellement donné ! Peut-être même trop… Je ne t’aime plus comme avant, Emma, et j’en suis désolé. Je n’ai jamais voulu te faire de mal ! J’ai essayé de me raisonner, de me rappeler nos promesses, les bons moments passés ensembles, mais tout cela n’appartient plus qu’au passé. Je pourrais te mentir, te dire que nous pourrions rester amis, mais je te dois la vérité : je vais sortir de ta vie. Je ne peux pas faire autrement, ça fait trop mal. Pour moi et pour toi.
Blessée au plus profond de mon être, un immense sentiment de perte m’étreint le cœur. Incapable de parler, je regarde Loïc, espérant qu’il m’embrasserait ou que je m’éveillerais d’un mauvais songe. Au lieu de cela, il prend sa tête entre ses mains, en proie à une violente torture intérieure. Voyant le malheur s’abattre sur notre couple, je me mets à pleurer, me sentant terriblement impuissante. Je prends Loïc dans mes bras, me blottie contre lui et pleure sur sa chemise. Il reste d’abord de marbre mais finit par me serrer lui aussi contre lui, dans une étreinte désespérée qui est peut-être la dernière.
- Je suis désolée ! je sanglote sans vraiment savoir pourquoi je me sens coupable. Oh ! Je t’aime, Loïc ! Je ne cesserais jamais de t’aimer !
Il ne répond rien et enfouit sa tête dans mes cheveux, me serrant de toutes ses forces comme si il craignait que je ne m’échappe. Le vide dans mon cœur me pèse lourdement et me confisque toutes mes forces. Je supplie Loïc de ne pas m’abandonner, la douleur est insupportable d’autant plus que vient s’ajouter celle de Loïc à la mienne. Nous avons tellement partagé d’amour, de joie, d’épreuves, de rêves, et maintenant, nous nous soutenons dans la douleur et le désespoir de la rupture.
Finalement, il s’éloigne de moi, une larme solitaire le long de sa joue, et s’en va en courant. Je sens tout mon être se déchirer, toutes mes forces m’abandonner. Fébrile, je tombe sous le poids de la douleur et sanglote des heures.
Au bout d’un certain temps, ma mère, rongée d’inquiétude, me retrouve dans cet état et s’affole. Elle me porte dans ses bras en pleurant « Oh ! Mon bébé ! » et je finis par m’assoupir, épuisée.
Lorsque je me réveille le lendemain, je mets un certain temps avant de me remémorer les évènements passés, mais quand je me souviens que Loïc est partit et ne reviendra jamais, je pousse un hurlement déchirant tandis qu’un gouffre béant s’ouvre en moi.

Voilà !! C'est un peu long et c'est plus sur le thème de la rupture que de la fête mais bon, j'espère qu'il vous a plu ! :D
ma-et-lys

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par ma-et-lys »

c'est tres beau et plein d'émotions! :D
Artemisfowl

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par Artemisfowl »

Ma-et-lys, le retour! :D
Ça faisait longtemps ^^
Je me demandais justement quand cette saison allait finir ^^
Holly-Short

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par Holly-Short »

Oui, ça fait longtemps maintenant que ça dure! ça me manque d'écrire...
ma-et-lys

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Re: Concours - Saison 6, Thème : Les fêtes (Vote n°5)

Message par ma-et-lys »

ok ok je change de thème alors ^^ mais je trouve qu'il n'y a pas eu beaucoup de texte pendant cette saison :( c'est dommage...

Alors pour la saison 5 c'est Holly-Short qui gagne avec le texte n°6 :)
Bravo! Et donc tu gagnes le droit de voter pour deux textes dans la même saison ou de voter deux fois pour le même texte ^^

NOUVELLE SAISON: 7
THÈME: (se serait vraiment trop cruel de dire la rentrée alors...) euh.... J'ai pas d'idée x,) hum... alors... euh... On va faire un truc un peu différent de d'habitude ok? on essai et si vous aimez pas je referais plus ça. Dans votre texte il devra y avoir 2 garçons, 1 fille et un chat. après à vous de voir :D
Holly-Short

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Holly-Short »

Merci! Bon ça tombe bien parce que je ne savais pas qu'elle texte choisir entre le 3 et le 6... Alors je vote pour Arty et Enchanteresse, et c'est réglé!
Artemis Fowl, tes textes sont toujours scotchant et celui-là n'échappe pas à la règle! Magnifique!
Et Enchanteresse, ton texte est un coup de coeur! Ca sent le vécu, non? ;) Et je me suis sentie concernée comme beaucoup de booknautes, j'imagine!

Quant au contexte de la saison 7, ça me donne des idées tordues de plan à 4 (vraiment pas religieuses, mes idées...) du coup je préfère attendre un peu pour écrire un texte, pour ne pas choquer les âmes sensibles avec mon esprit malsain!
Artemisfowl

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Artemisfowl »

Je vote pour le texte 6, celui d'Enchanteresse! Comme Holly, ça a été un coup de cœur!
Holly-Short a écrit :Quant au contexte de la saison 7, ça me donne des idées tordues de plan à 4 (vraiment pas religieuses, mes idées...) du coup je préfère attendre un peu pour écrire un texte, pour ne pas choquer les âmes sensibles avec mon esprit malsain!
Mouhahaha, tu m'as tuée!! :lol: :lol: Je te soutiens dans cette idée, entre esprits malsains :)

Bon, je vous cache pas que ça m'inspire nettement moins que les autres saisons... Je verrais ^^
Elode21

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Elode21 »

Je vote aussi pour le texte 6 ! :D
ma-et-lys

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par ma-et-lys »

Je vote pour le 6 aussi ^^
ma-et-lys

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par ma-et-lys »

Texte 1

Assise sur le canapé elle regardai ses pieds, impossible de lever les yeux. Elle savait ce qu'elle verrait: deux paires d'yeux fixés sur elle. Elle était rouge de honte, et ses yeux remplis de larmes. Mais ce n'était pas à elle de pleurer, et pourtant se serais tellement plus facile de se mettre à genoux, faire la petite fille fragile et leurs demander pardon. Elle hoqueta de surprise quand le chat alla sur ses genoux.
Bon revenons au début de l'histoire, 1 ans plutôt :
Marine se promenait main dans la main avec Axel dans le parc de la ville. Il faisait beau, les enfants couraient et criaient autours d'eux. Elle était perdu dans ses pensées quand Axel lui lâcha la main. Sur le coup ça ne l’inquiéta pas trop, puis il posa un genou par terre. Elle savait ce qu'il allait faire et tout son être voulait partir en courant. Les yeux brillant, il sorti une bague étincelante de petits diamants et la demanda en mariage. Refoulant son amour pour Grégoire, son meilleur ami, elle accepta. De toute façon que pouvait il lui arrivé de mieux? Il était beau, adorable, il avait une bonne situation et il l'aimai à la folie. Alors que Greg, même s'il était très beau, ne faisait que des petits boulots par ci par la et l'aimait comme une sœur. Un jour elle finirait bien par l'aimer autant que lui, non?
Il passa la bague à son doigt et posa ses lèvres sur les siennes en la serrant contre lui comme une bouée de sauvetage.

Les préparatif du mariage avançait, tout le monde était excité, à par la futur mariée. Et pourtant tout allait bien dans son couple. Axel était toujours adorable, il lui avait offert un chaton, il était tout blanc comme la neige avec des yeux bleu.
Ils faisaient même l'amour tous les soirs, ils avaient plein de projets. Une maison, et peut être un bébé. Mais... Marine n'était toujours pas amoureuse de lui, elle se détestait de voir son désir pour Grégoire grandir de jours en jours. D’ailleurs, depuis qu'elle lui avait dit qu'elle allait se marier Greg s'était éloigné. Au début ça l'avait blessé, puis elle s'était rendu compte que c'était mieux comme cela.


Le jour J était arrivé. Marine se forçait à sourire, Greg serai là. Elle allait épouser un autre homme devant lui et il sera heureux pour elle, il applaudira même. Alors qu'elle, elle se forcera à ne pas le regarder, elle essayera de ne pas détourner les yeux de ceux d'Axel, d'un bleu si intense pour fixer ceux vert de Grégoire.
Elle se regarda dans le miroir, ça robe très simple mais magnifique. Elle n'avait pas de bretelles, et mettait en valeur ça petite poitrine avec un décolleté en V. La robe était correctement cintré et descendait si bas qu'elle léchait ses pieds. Marine s'assit sur son lit et ferma les yeux.
Elle s'imagina, marchant vers l'autel au bras de son père. Elle était tellement heureuse qu'elle ne pouvait pas arrêter de sourire, elle avait limite envie de courir pour aller rejoindre son bien aimé. Mais il fallait qu'elle marche lentement pour évité de s’emmêler dans la robe et ne pas tomber.
Enfin, elle arriva et pris la main de son futur mari. Le prêtre fit un long discours ennuyant avant de dire les deux phrases tant attendu:
-Grégoire Arthur Michel ROUSSAN voulez vous prendre pour épouse Marine Elise Agathe DRIHEL?
-Oui je le veux
-Marine Elise Agathe DRIHEL voulez vous prendre pour époux Grégoire Arthur Michel ROUSSAN?
-Oui je le veux

Assise sur le lit Marine souriait pour de vrai, alors elle se laissa s'imaginer la suite même si c'était insensé le jour de son mariage.

-Vous pouvez embrassé la mariée, annonça le prêtre. Alors Grégoire un grand sourire sur les lèvres la renversa comme dans un compte de fée et l'em....

Marine ouvrit les yeux, la porte venait de s'ouvrir. Celui qui déranger son rêve éveillé n'était autre que Grégoire. Elle lui souri, il fit de même. Pendant de longue minutes ils restèrent à se regarder profondément dans les yeux. Marine avait tellement mal au cœur en ce moment.
Il alla s’asseoir à côté d'elle toujours en la regardant dans les yeux. Le cœur de Marine allait exploser. Et pourtant ce n'était pas lui qu'elle allait épouser dans un quart d'heure.
-Je voulait te demander un truc... il s’arrêta, secoua la tête et caressa de l'index la joue de Marine, qui a ce contacte frémis de bonheur. C'est complètement fou, continua t-il, Je peux t'embrasser?
Elle était tellement surprise qu'elle fahi tomber du lit. Elle n'en croyait pas ses oreilles, elle avait vraiment envie de l'embrasser mais elle n'avait pas le droit, non...
Il pris son silence pour une approbation, se pencha doucement vers elle pour la prévenir, pour qu'elle est le temps de le repousser. Elle ne le fit pas. Quand il l'embrassa, elle répondit à son baiser avec fougue. Alors, il s'allongea sur elle. Ils s'embrassaient, se caressaient, la porte s'ouvrit. Ils n'entendirent pas.
-Je sais que j'ai pas le droit mais... Il se rendit compte que sa fiancée embrassait un autre type. Ils se redressèrent rouge de plaisir et de honte.
Marine s'enfui sa robe de mariée volant autours d'elle, elle souriait. Le Mariage n'eu pas lieu.

Nous revoilà dans le salon, le chat ronronnant sur les genoux de Marine. Les deux garçons en face d'elle. Axel brûlant d'amour, de rage et de jalousie tandis que Greg restait inexpressif.
Elle ravala ses larmes et leva les yeux, elle pris enfin la parole tout en serrant le chat contre elle.
- Je n'allais pas épousé le bon.
Sans un mot Axel se leva et claqua la porte.


voici voila, donnez moi votre impression ^^ :) ;)
Holly-Short

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Holly-Short »

2. Ils sont tous autour de moi, à me fixer en criant, au milieu de la cour de récré. Pierre était mon ami, mais il leur a tout raconté et maintenant il est avec eux, à crier la même chose qu'eux:
— Linda, tes papas c'est des pédés! Tous les soirs, ils se frottent ensemble le zizi! Tes papas c'est des pédés!
Je ne veux plus les entendre, je veux partir mais ils me retiennent. Papa et Papou m'avaient dit que ça arriverait peut-être un jour, mais je ne les ai pas cru. Dans ma classe, tout le monde était gentil, avant. Mais maintenant qu'ils savent qu'au lieu d'avoir une maman, j'ai un autre papa, ils sont tous méchants. Comme si c'était ma faute, comme si c'est moi qui l'avais voulu. Et puis ils font comme si c'était horrible, dégoûtant, alors que leurs parents à eux font l'amour aussi en se frottant l'un contre l'autre.
Je n'en peux plus, mais heureusement je vois Mme Clarisse qui arrive. Elle entend ce qu'ils disent avant qu'ils ne la remarquent et ne partent en courant, et son expression se fige. Elle à l'air triste quand elle leur dit de partir et qu'elle me prend par la main pour m'emmener dans son bureau. J'ai honte qu'elle les ait entendu. Je ne veux pas qu'elle se moque aussi de moi, pas ma maîtresse. Elle s'assoit en face de moi, et elle me dit:
¬— Ce qu'ils disaient était très méchant, il ne faut pas les écouter. Tout le monde est différent, et c'est cette différence qui fait la beauté du monde. Tu es comme les autres, mais différente à la fois, et c'est ce qui doit faire ta force. S'ils recommencent, va t'en sans les écouter, ils sont bêtes et ne racontent que des bêtises.
Je dis d'une petite voix:
— Mais si mes parents étaient comme les autres, ça n'arriverait pas. Donc c'est de leur faute.
— Bien sûr que non, ma chérie! Ce soir, parle leur de ce qui s'est passé, et demande leur de mieux t'expliquer pourquoi ils sont différents.
Le soir, je fais comme elle m'a dit et je demande à Papa et Papou pendant le repas:
— Pourquoi j'ai deux papas et pas de maman? Les autres m'ont embêtés avec ça aujourd'hui, ils disent que vous êtes des pédés. C'est Pierre qui leur a dit pour vous.
Ils s'arrêtent de manger et me regarde bizarrement, puis Papa commence:
— Dire que quelqu'un est un pédé, c'est une insulte. Il faut dire homosexuel, ça veut dire qu'on est un homme qui tombe amoureux d'un autre homme et pas d'une femme, ou une femme qui tombe amoureuse d'une autre femme et pas d'un homme. Papou et moi, on est tombés amoureux il y a longtemps et on a décidé d'élever un enfant ensemble, toi. C'est pour ça que tu n'as pas de maman.
— Et pourquoi je n'ai pas de frère ou de sœur? Presque tous mes copains, ils ont un frère ou une sœur, mais pas moi.
Cette fois c'est Papou qui me répond:
— C'est très compliqué pour des gens comme nous d'avoir un enfant, et on est a eu beaucoup de chance de t'avoir toi, mais c'est presque impossible d'avoir un deuxième enfant, quand on est homosexuel. Tu comprends?
— Pas vraiment, pourquoi vous ne pouvez pas alors que les autres si?
— Tu comprendras ça plus tard, il faut juste que tu saches que tu es la plus belle chose que nous ayons eue, et que tu nous suffis, même si tu aimerais être moins seule.
Soudain Papou se lève:
— J'ai une idée! Ca te plairait d'avoir un chat? Ca serait un peu comme un petit frère, non?
—Et je pourrais le choisir?
— Oui, il y en a pleins qui t'attendent à la SPA! Samedi matin, tu veux y aller? Et tu pourras inviter tes petits camarades à la maison, et ils verront bien qu'ils se sont trompés et qu'on est une famille comme une autre.
— D'accord... Mais je fais quoi pour Pierre?
— S'il veut rester ton ami, il s'excusera, sinon pardonne lui et fait toi d'autres amis moins bêtes, me répond Papou. Et tu devrais réfléchir à un nom, pour ton chat!
Je les embrasse tous les deux, et je vais me coucher en me disant que j'ai de la chance d'avoir deux papas.




Je préférais l'ancienne règle, mais j'ai essayé de faire quelque chose avec ton contexte! J'ai réussis à dominer mon esprit malsain, heureusement...
ma-et-lys

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par ma-et-lys »

Oh j'adore! c'est trop chou!
Holly-Short

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Holly-Short »

Tu vas écrire un texte aussi, Ma-et-lys? :)
ma-et-lys

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par ma-et-lys »

J'ai écris le Premier déjà ^^ holly short :)
Artemisfowl

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Artemisfowl »

Ah Holly ton texte était trop beau! J'ai adoré!
Holly-Short

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Holly-Short »

Ah oui je l'ai lu mais j'ai pas capté que c'était toi! XD

Merci! J'attends ton texte avec impatience!
Artemisfowl

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Artemisfowl »

Haha je me décidé entre deux idées et je poste! ^^
Enchanteresse

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Enchanteresse »

Bonsoir!
Holly-Short: Je suis contente que ça sente le vécu :).Je ne ne me suis jamais retrouvé dans cette situation exacte, mais j'ai essayé de mettre mes sentiments dedans...J'aimerais bien avoir le courage de leur balancer tout ce que j'ai sur le coeur parfois! Mais c'est la vie! ;)

Pour ce qui est de la saison 7, au départ le thème ne m'inspirait pas trop, mais finalement, j'ai quand même eu pas mal d'idées. :D Je crois que je posterais demain où lundi, mais en tout cas, avant la rentrée!

J'aime beaucoup vos textes de la saison 7! Le triangle amoureux de ma-et-lys est bien réussi, et le texte d'Holly-Short est très touchant! ;)

Bon bah, à bientôt!
Enchanteresse

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Enchanteresse »

Salut à tous/toutes!!!
Bon et bien voilà mon texte( je ne suis pas en retard, Youpi!!!)

Nous étions là, tous les quatre, assis à même le sol. Il faisait déjà nuit et le ciel noir d’encre me semblait bien menaçant. Mes pieds ensanglantés me faisaient atrocement souffrir, mais je ne pouvais rien y faire. Mes cheveux châtains étaient sales et emmêlés, et mon visage était maculé de terre.
Nous étions tous épuisés : nous avions marché toute la journée pour trouver un endroit au sec, à patauger dans la boue et les débris de notre ancienne vie.
Nous nous trouvions dans ce qui avait été naguère le premier étage d’une bibliothèque. Toutes les étagères étaient renversées et des pages arrachées trainaient ici et là. Ce désastre me faisait de la peine : j’avais beaucoup aimé ce lieu. Mes parents étaient bibliothécaires, et m’avaient souvent emmené ici.
Soudain, mon chat se mit à ronronner. C’était la seule bonne nouvelle de la journée : avoir retrouvé Amande m’ôtait un poids considérable de la poitrine. Je pouvais compter sur les doigts de ma main le nombre de fois où j’avais été aussi soulagée. Même si en soi, le fait de le voir agrippé sur une planche de bois à la dérive en miaulant à la mort n’est pas forcément une image agréable. Mon monde s’était effondré, et il était mon seul réconfort : caresser son pelage roux m’apaisait plus que tout.
Ce fut mon frère Will qui rompit le silence en premier :
-Il me semble qu’il y a un distributeur au sous-sol. Je vais voir si je peux récupérer quelque chose.
Mon petit ami, Jack, le regarda silencieusement quelque instants, avant de répondre :
-OK. Si tu as besoin d’aide pour casser la vitre, tu cries.
-On fait comme ça.
Will se leva et se dirigea lentement vers les escaliers. J’avais eu de la chance d’être avec eux deux lors de l’alerte. Seule, je serais certainement morte à l’heure qui l’est. Mon regard dériva vers Jack, qui s’était rapproché pour gratouiller Amande. Il avait l’air aussi mal en point que moi : ses cheveux blonds en bataille, sa chemise déchirée et ses immenses cernes violette parlaient pour lui. Il me prit doucement la main :
-On va s’en sortir Annie.
-Mmm.
-Les secours seront bientôt là, et puis de toute façon on est ensemble hein ?
-Ça fait deux jours que tu dis ça.
-Je le dis parce que c’est la vérité Annie.
-Tu n’en sais rien.
-Si je le sais.
Un cri strident retentit, coupant court à la discussion. Surpris, mon petit chat me planta les griffes dans la jambe, me faisant grimacer de douleur. Mon petit ami se redressa d’un bond, et courut en direction du sous-sol. Il prit quand même le temps de me hurler :
-Ne bouge pas, je reviens !
Comme si j’allais rester là à rien faire alors que mon frère était peut-être en danger. Quel Imbécile!Ignorant la sensation de brûlure qui irradiait dans toute ma jambe droite, je me levais et posais Amande par terre. J’atteignis le palier sans trop de difficulté en m’appuyant sur le mur. En bas, je vis Jack qui soutenait mon frère à bout de bras. Je n’entendais pas ce qu’ils disaient, mais je pouvais clairement voir les larmes qui dégoulinaient sur ses joues. Il tourna alors la tête et m’aperçut. Il me lança alors un regard désespéré. Cela me fit un choc : la dernière fois que je l’avais vu pleurer, c’est quand ma grand-mère était morte. Je descendis les marches et Jack me retint par le bras quand je voulu aller plus loin.
-N’y vas pas Annie.
-Pourquoi ?
-Il vaut mieux pour toi.
-POURQUOI ? Hurlais-je, paniquée. Pourquoi pleure-t-il ? Dis le moi Jack, je t’en supplie dis le moi…
-Ce n’est pas à moi de te le dire…Me murmura –t-il faiblement en me prenant dans ses bras, lâchant finalement Will qui se laissa glisser contre le mur.
Je compris d’un coup. Un grand vide s’empara de moi. Orpheline, j’étais orpheline...Je m’effondrais dans les bras de Jack, anéantie. J'étais consciente mais c'étais comme si... je regardais à travers les yeux d'une autre.Je me rappelle vaguement avoir vu son visage au-dessus de moi, pendant que quelqu’un, Will sûrement marmonnait : On dirait un bruit de moteur… L’instant d’après, une voix masculine cria : Il y a des gosses là-dedans ! Je perdis connaissance.
à cet instant.
Je me réveillai dans un bateau de pompiers, avec Will, Jack et Amande. Une journaliste nous prenait en photo tout en commentant ce qu’elle voyait pour la télévision. Je songeais à ceux qui regarderaient cette vidéo. Il ne verrait pas le frère et la sœur anéantis par la perte de leurs parents. Ils ne verraient pas l’adolescent paumé qui ignorait tout de la situation de ses proches. Non. Eux ils verraient juste deux gars, une fille et un chat dans une ville ravagée par un tsunami.

Voilà! :) Bon courage pour la rentrée! ;)
Helodes

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Helodes »

Pour la saison sur le thème de la fête je vote pour le numéro 6, celui d'Enchanteresse. Pour cette nouvelle saison je vais essayer d'écrire un texte quand j'aurais le temps
Helodes

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Helodes »

Pffff.....me voilà toute pleine de boue ! Maman va me tuer quand je vais rentrée à la maison ! Tout ca a cause de ce vieux débile de Nono qui m'a entraîner dans la forêt ! J'avais aucune envie moi de jouer dans ce vieux bois plein de bestioles répugnante ! Mais il a affirmé que j'étais pas assez rapide pour le rattraper ! Et bien sur, moi et ma stupide fierté avant réagi au quart de tour ! Ça m'apprendra la prochaine fois !
Tiens ! Voilà Greg et Lucas. Ils discutent près du perron. Je m'approche silencieusement d'eux pour entendre de quoi ils parlent. Une chance pour moi, il sont tellement absorbés par leur conversation qu'il ne me remarquent même pas !

" _ je te jure que je les ais entendu !!!! Ils chuchottaient, ce qui prouvé qu'il ne voulait pas être entendu !! Et par conséquent que c'est secret et que personne d'autre n'est au courant !dit Lucas avec une avidité non feinte.

_ Mais enfin ! Un trésor tout de-même ?! C'est sacrément dur à trouver ! Comment ont-ils pu apprendre leur existence si personne d'autre qu'eux - à part nous maintenant - n'est au courant ? questionna Greg.

- c'est parce que Paul à trouvé la carte qui mène à son emplacement dans un coffre au fond de la mare près de l'ecole !!! Il a dit qu'il pensait que c'était sûrement de pirates qui l'avait caché là, pensant que personne ne viendrait fouiner ici et surtout pas les enfants de l'ecole !

- Ouahhh !! Il a sûrement raison ! Mais attends, comment est ce qu'on va faire nous, pour trouver le trésor si c'est Paul et Éthan qui ont la carte ?

- Eh bien figures-toi que pendant la récréation de cette après-midi, alors que vous étiez tous dehors, je suis rerentré dans la classe et j'ai pris la carte dans le sac de Paul !! Puis je suis aller à la bibliothèque où Mlle.Broux étais absente car elle prenait un café avec les autres professeurs dans la classe des CM2 et je me suis empressé de photocopier la carte afin de remettre l'originale dans le sac de Paul pour qu'il ne se rende compte de rien !!!! Tadam !!!!! Conclut-il en brandissant un gros morceau de papier plié en 4 de sa poche !

- Bien joué Lucas !!! Avec ça on va pouvoir trouver le trésor et avec un peux e chance on y arrivera avant Paul et Éthan !! Vite, ne perdons pas de temps, plus vite on s'y met, plus vite on trouvera ce trésor !s'exclame Greg en se levant, suivit presque immédiatement de Lucas et tout deux se dirigeant vers le portail.

Quoi ?! Un trésor !! Mais c'est super !!! Moi aussi je veux le trouver ! Ni une ni deux je m'avance vers tranquillement pour les suivre. Mais tout d'un coup, une voix s'élève.

- Les garçons !!! Où allez-vous comme ca ?? C'est l'heure de dîner ! Dépêchez-vous de rentrer !s'exclame Maman d'une voix stridente.
Avant que ni l'un ni l'autre n'est le temps de protester, Greg et Lucas se retrouve à rentrer dans la maison, penauds.
Quand a moi, je commence à m'éloigner discrètement le plus loin possible mais c'est trop tard...

- Princesse !!! Mais tu es toute sale !!! Regarde-moi c'est coussinets plein de boue et ce beau pelage blanc mouillé et plein de feuille ! Ou est ce que tu as été traîne encore ! Viens ici tout desuite prendre un bon bain !!! S'écrit-elle en me saisissant par la peau du cou.
À ce moment là, j'ai beau miauler, me débatte ou encore griffer, rien ne marche. Nous nous dirigeons donc vers la salle de bain à grand pas. Nous passons devant la salle à manger ou Greg et Lucas y sont attablés visiblement contrarié de ne pas avoir pu commencer leur chasse au trésor dès ce soir...
Elle nous mène tous par le bout du nez !
Maman n'est peut être qu'une femme ordinaire mais elle est tout de même le chef de 2 garçons et 1 chat ! Et ça, c'est déjà bien !

Voila ! Et j'espère que cette légère modification de fille en femme ne posera pas de problème ! J'espère que mon texte vous plaira !
Dernière modification par Helodes le mer. 10 sept., 2014 7:59 pm, modifié 1 fois.
ma-et-lys

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par ma-et-lys »

Le texte d'Enchanteresse et donc le texte numéro 3 et celui d'Hélodes est le texte numéro 4 ^^

Allez allez! il nous faut plus de participant et de vote!
Petitesplumes

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par Petitesplumes »

Je vote pour le texte 1 c'est mon coup de coeur
DML12

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Re: Concours - Saison 7, contexte: 2gars,1fille,1chat (Vote n°6)

Message par DML12 »

Pour la saison n°6, je vote pour le texte d'Artémis Fowl ! Même si j'ai beaucoup aimé celui d'enchanteresse aussi mais il faut bien choisir aha :lol:
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