Waouh, comment tu as fais ça, tu es comme moi t'es maladroite.
Tu t'es pas ratée.
La prochaine fois regarde tes pieds, c'est l'expérience qui te dit ça.
T'inquiète pas, il y a pire que nous deux, j'ai une amie qui se croute presque tout les jours.
Je ne citerai pas son nom.
Bref, je te le répète, tu es folle, mais je suis contente que tu veules essayer de m'envoyer un poème ou un texte par jour.
Je te soutiens, et je te fais un gros bisous qui guérie tout!
Tu peux même me raconter tes journées, je serai contente! Mdrr
Si tu ne me racontes pas, que tu tombes. Rebisous Ayat, la maladroite.
Dingue, je suis et je resterai! Ma soeur, Allastraela, te dirait que cela fait mon charme. Ma folie est toute particulière et se transmet par l'écriture...
Attention, contagion! J'écris et tu lis!
Moi, maladroite? Jamaiiiiiisssss!
Une craque dans le trottoir et j'ai la cheville foulée!
Une fleur sur le tapis recouvrant le plancher et je me retrouve les quare fers en l'air!
Trève de plaisanterie!
Merci pour ce message qui m'a bien fait rigolé! Il m'a fait oublier la douleur des sutures. Aujourd'hui, ça va mieux: la médication fonctionne!
- Ma pauvre enfant, aussitôt née, que je dois te charcuter. Ta mère, ma meilleure amie, m'a demandée de te préserver de la race de ton père. Pourtant, je le connais. S'il savait que tu existes, il ne te ferait jamais de mal. Tu serais traitée comme une princesse...
Tout en parlant, l'homme préparait ses instruments: des compresses, de l'eau bouillante, des herbes cicatrisantes et guérisseuses, un coffre, du fil et aun aiguille, ainsi qu'une dague excessivement affûtée.
Un bébé, de quelques jours, dormait dans ses langes immaculés, sur une table de fer ouvragé. Au visage dépassant de la couverture, l'homme voyait bien que l'enfant n'était pas une elfe blanche de sang pur. Ces cheveux avaient une teinte platine aux reflets mauve pâle et un teinte de porcelaine rosé. Mais le plus étonnant, c'était les yeux d'une couleur améthyste foncée, profonde, cachant des secrets inconnus aux êtres si peu âgés.
Les yeux suivaient tous les gestes de l'homme-chirurgien au teint noir. Avec lui, il y avait deux prêtres de Phoceus, un homme et une femme. Bien que d'apparence joviale et aimante, ils dégageaient de la malveillance que l'elfe noir les accompagnant ne percevait pas.
- Vous êtes prêt à opérer, Sire Drow? Nous n'avons pas des siècles devant nous pour l'emmener loin d'ici! dit l'homme prêtre.
Le drow respira profondément et défit les langes du nourrisson et le mit sur son petit ventre.
- Ta mère m'a demandé de te donner ton nom. Tu t'appelleras Somlaris. Pour elle, tu es un rayon de soleil, une rose en éclosion qui est promis à de grandes choses.
Les prêtres regardaient le drow avec impatience et lui demandèrent d'accélérer le processus
- Un instant! Les choses doivent être bien faites! Voici l'origine de ton nom, ma filleule. D'une part, il vient de Solar qui veut dire soleil; de rosa qui désigne la rose. Je ne sais pas ou elle voyait ''rayon'', mais moi je le vois en prenant les quatres dernières lettre de ton prénom. Elle m'en voudra mais je te donne aussi un deuxième prénom, dérivé de celui de ton père: Trevalyanne. Ainsi que son patronyme, pas celui de ta mère...
Il posa la main sur la tête du bébé et souffla:
- Je te nomme Somlaris Trevalyanne Thorvald
Le nourrisson tressaillit, puis s'immobilisa.
Lentement, il tendit la main vers la dague et caressa tendrement les deux minuscules ailes qu'elles avaient au niveau des omoplates. Il retira sa main et les sectionna au ras de la peau. Il ouvrit celle-ci et le bébé se mit à pleurer fortement. Avec la dague, le drow chercha la racine des ailes et les arracha de l'os. Il lança la dague au loin, les yeux remplis d'eau.
Il prit l'aiguille et le fil et sutura la plaie, mit des herbes et des compresses sur la plaie et déposa les ailes dans le coffret. Deux ailes iridescentes mauve et argentée sur un lit de velours noir, comme un souvenir, un rêve évanescent qui ne veut disparaître. Il referma le coffret et le cacha dans ses vêtements.
- J'irai cacher le coffret là ou personne ne le trouvera... Prenez-la! Faites-y attention! Elevez-la dans l'amour de votre Dieu! J'espère que jamais ce que nous venons de faire ne lui parviendra aux oreilles lorsqu'elle sera plus âgée...
- Ce que VOUS venez de faire, répliqua la dame prêtresse
Il regarda la femme refermer les langes et prendre le bébé dans son giron. Les deux prêtres saluèrent le drow et ils quittèrent vers leur temple dans une ville éloignée. Le drow nettoya l'endroit et le quitta sans un regard en arrière, protégeant son trésor jusqu'à l'endroit ou il reposera loin des regards.
Oh, pauvre bébé...
Comment on peut faire ça un petit bambin?
Il vient à peine de naître qu'on le fait déjà souffrir.
Déjà que la vie est fait de beaucoup de souffrance, il faut déjà qu'on lui gâche son enfance.
On lui arrache ses ailes... Ouh, ça doit faire vraiment mal.
Pauvre bébé...
Ça serait vraiment cool, que tu fasses tes chapitres dans l'ordres comme ça on pourrait réussir à discerner ton histoire.
J'ai vraiment bien aimé Assaut vengeur, tellement de détails "croustillants" quand elle lui plante l'épée. C'est si bien écrit ... Quelle fluidité ! Dommage que cet extrait ne soit pas plus long ...
"Il faut dire qu'une fleur dans un tapis, une craque de trottoir et voilà les catastrophes se mettent à pleuvoir!" tu es sur que l'expression "craque de trottoir" existe?.
C'est ce qui t'es arrivé, pour de vrai?!
J'aime bien le prologue, cependant, j'aurai un peu plus décris la pièce
[color=#8000FF]Ayat[/color] a écrit :Oh, pauvre bébé...
Comment on peut faire ça un petit bambin?
Il vient à peine de naître qu'on le fait déjà souffrir.
Déjà que la vie est fait de beaucoup de souffrance, il faut déjà qu'on lui gâche son enfance.
On lui arrache ses ailes... Ouh, ça doit faire vraiment mal.
Pauvre bébé...
Ça serait vraiment cool, que tu fasses tes chapitres dans l'ordres comme ça on pourrait réussir à discerner ton histoire.
Gros bisous,
Ayat qui essaye de comprendre.
Dis ça à Somlaris! Je rêve les bouts d'histoires! Comme j'aimerais pouvoir les mettre correctement dans l'ordre! En plus, je sais qu'il va falloir que je les corrige et les retravaille! Une chance que ce n'est qu'un premier jet...
Ce premier acte de barbarie sur sa personne, je crois que c'est ce qui va forger son caractère... ainsi que ceux qui suivront. Elle est très spéciale, ma Somlaris. Bientôt, si la tendance se maintient, je devrais être capable de mettre quelques chapitres en ordre dans la section appropriée. Ce sera plus facile à suivre.
Pour l'instant, tu fais comme moi: tu découvres son histoire par bouts tronqués et tu demandes ce qui se passe! Tu sais quoi? Je me dis qu'elle sait ce qu'elle fait...
J'ai vraiment bien aimé Assaut vengeur, tellement de détails "croustillants" quand elle lui plante l'épée. C'est si bien écrit ... Quelle fluidité ! Dommage que cet extrait ne soit pas plus long ...
"Il faut dire qu'une fleur dans un tapis, une craque de trottoir et voilà les catastrophes se mettent à pleuvoir!" tu es sur que l'expression "craque de trottoir" existe?.
C'est ce qui t'es arrivé, pour de vrai?!
J'aime bien le prologue, cependant, j'aurai un peu plus décris la pièce
N'oublie pas Coucou20 que nos expressions québécoises sont différentes de celles des français!
Si tu veux remplacer le mot ''craque'', je crois que celui qui est le plus approprié serait une fissure dans le trottoir... A ta question à savoir si la blessure et points de suture, les fissures du trottoir et tout le tintouin m'est arrivé, je dois malheureusement répondre OUI. C'est de cela qu'est fait mon quotidien! Des tonnes et des tonnes de petites catastrophes mises une à la suite de l'autre!
Pour Assaut Vengeur, c'est vrai que le texte est court. Mais comme il fait partie de l'histoire de Somlaris, il est a retravaillé avant que je mette l'histoire dans le bon ordre dans la section appropriées du forum.
Pour la description de la pièce, j'en prends bien note. Cependant, un prologue est habituellement court... et celui-ci, je le trouve particulièrement long. Je verrai ce que je peux faire.
Comme je le disais à Ayat, dans le précédent message, elle m'envoie des images la nuit et je les écris au matin. Je dois donc suivre ce qu'elle me donne, sans essayer de combler les trous. Les nids de poules (genre d'énormes trous plus ou moins profonds dans la chaussée), les espaces vacants qu'elle laisse entre chaque écrit, seront remplis d'eux-même avec le temps.
Bonjour
Je vois que tu produis beaucoup, que tu as pas mal de visites sur ton sujet.. et aucun commentaire! Alors je vais me permettre de pallier ce manque. J'aime beaucoup certains de tes textes (les caractères, la surdité) d'autres me semblent plus banals, plus convenus (ici je vise essentiellement ceux sur l'amour ou l'amitié). J'ai quand même majoritairement du plaisir à te lire. Je suppose que je ne suis pas la seule. Alors... Continue!
Dernière modification par plaisyrdelire le lun. 26 mai, 2014 12:07 pm, modifié 1 fois.
Pour toi, Ayat qui rigole de mes maladresses... Une page d'histoire dans la vie d'Amberia...
Hier, c'était la première fois que je devais laver ma plaie, donc par le fait même changer le pansement. Déjà que je n'aime pas les blessures ouvertes, je sentais que cela allait être un plaisir incommensurabe de me tripatouiller le pouce
Je regarde le pansement avec des traces de sang. Ben oui, il a fallu que ça saigne ce machin! Ca allait être collé... Et je sais, comme tout le monde, qu'il ne faut pas tirer sur le pansement pour ne pas arracher les points.
Je me suis dit: "Un petit bout à la fois et ça va bien aller."
Un petit bout à la fois... Juste pour décoller le diachylon, ça a pris une bonne vingtaine de minutes dépassées, et là, le pire arrive. Retirer le pansement collé! Ah puis, merdouille, je vais laissé tremper le tout jusqu'è ça décolle tout seul! Bon, j'ai juste ajouté un petit cinq à dix minutes de trempette de pouce.
Yessss, le pansement a décollé! Mon pouce ressemble a une araignée anorexique, la plaie est affreuse (mais sans infection), elle semble vouloir se refermer, sans l'être. Bordelus Pitécus, il faut que je recommence ça tous les soirs pendant dix jours... "Je vais être malade", a été ma première pensée! Tout en délicatesse, j'ai lavé ma plaie et refait mon pansement.
Juste penser qu'il faut que je recommence ce soir, ça ne me tente pas! Mais si je veux guérir, est-ce que j'ai le choix? Non! Alors à la guerre comme à la guerre: je vais aller changer mon mautadine de pansement!
Le pouce transformé en araignée anorexique.
Ahhhhhhh, Le sang. C'est horrible, je peux pas, je me sens faible juste d'en parler. Heureusement, que je suis pas un vampire.
Je te souhaite Un GRAND bonne chance, pour relavé ta plaie.
Les changements de pansements vont bien. Au lieu du 30 minutes de lundi, j'ai mis juste 8 minutes hier à le faire! Je vais devenir une vraie professionnelle du pansement!
Ayat, je t'ai promis un truc de Princesse, de Chevalier, de gouttière, de créatures mythiques... Eh bien, voilà!
Rosalind, jeune fille choyée, était continuellement enfermée dans sa chambre. Elle aimait lire et écrire, écouter de la musique. Elle aimait aussi un garçon qui n'avait pas l'approbation du Cerbère maternel, et encore moins celle du Dragon paternel.
La pauvrette enviait son frère d'avoir toute la liberté qu'il désirait. Celui-ci pouvait sortir quand bon lui semblait, tant et aussi longtemps qu'il respectait le couvre-feu. La seule chose qui lui était interdite: emmener des amis à la maison. Il fallait protéger la petite princesse!
Un soir, assise à sa fenêtre, la douce Rosalind entendit une douce musique provenir du jardin luxuriant, et immense, de ses parents. Une harmonie de cordes et d'instruments à vent lui provenait comme une caresse emplit de tendresse. D'un buisson frémissait, une silhouette sortit, une guitare à la main. C'était Trevor, le garçon qu'elle aimait qui lui jouait la sérénade avec quelques-uns de ses copains. La jeune fille s'installa confortablement pour écouter la douce mélodie.
Quand celle-ci se tut, des bruissements retentirent dans la roseraie, et plusieurs silhouettes s'éloignèrent. Les amis quittaient vers leurs propres occupations. Certains vers leur demeure pour faire leurs devoirs, d'autres pour rejoindre amis ou amoureuses...
Trevor alla cacher sa guitare dans un buisson près du mur de pierre recouvert de vigne de lierre et de roses sauvages et se dirigea vers la porte.
Il frappa et celle-ci s'ouvrit sur le Cerbère. C'était une dame d'un certain âge, mais encore très belle. Lorsqu'on la regardait, on reconnaissait les même yeux dorés et cheveux noirs de la douce Rosalind.
La dame regarda le jeune homme et le détailla de la tête aux pieds, puis son regard fit inversement le voyage
- Je vous ai dit et répété des millions de fois que vous ne la verriez pas! Vous n'êtes pas assez bien pour elle!
- Mais Madame, vous ne pouvez pas empêcher un coeur d'aimer!
Un homme, court et massif, apparut derrière la dame et lui posa délicatement la main sur l'épaule et regarda le jeune homme
- C'est ce que tu penses, hein? Tu n'arriveras jamais à la hauteur de ma fille, toi pauvre roturier! Vas donc embêter une autre fille que la mienne! A ton âge, aimer tu ne peux pas savoir ce que c'est!
Puis, le couple referma, ou plutôt, claqua la porte au nez du jeune Trevor.
Cétait tous les jours la même chose depuis des mois et des mois. A l'école, les amoureux se tenaient par la main, même le frère de Rosalind préservait leur secret. Ils se sentaient libre d'exprimer leur amour. Puis, au retour à la maison, c'était l'emprisonnement: pas d'amis, pas de sorties, pas de visites. Rosalind avait beau se plaindre que son frère pouvait, on lui répondait toujours que c'était plus facile de veiller sur un garçon que sur une fille. Que les garçons attirait les abeilles et que s'il fait une ânerie, il serait responsable. Mais Rosalind, elle, est une abeille seule avec une tonne de bourdons tournoyant autour d'elle. Cela faisait que la jeune fille devait être protéger de tous les garçons.
Trevor en avait assez de ce scénario. Il regarda la façade du manoir de pierres. Il voyait qu'il pouvait avoir de bonnes prises pour monter jusqu'à la chambre de sa douce princesse. Cependant, il risquerait de se blesser sur les épines des rosiers sauvages.
- Non, ils ne m'empêcheront plus de te voir, ma douce, marmonnait-il.
Rosalind le vit s'approcher du mur et se pencha sur le rebord de la fenêtre pour voir ce que le jeune homme faisait. Lentement mais sûrement, il entreprit de gravir la façade avec l'aide des prises sur les pierres et les vignes montant vers la gouttière près de la fenêtre de sa bien-aimée.
Quand il arriva, il entra dans la chambre et lui offrit le plus beau sourire qui soit
- Un Dragon et un Cerbère ne peuvent séparer deux coeurs qui s'aiment. Je suis près à recommencer tous les soirs s'il le faut... ou nous pouvons quitter dès maintenant et ne jamais revenir! A toi de choisir, ma douce
C'est maintenant à Rosalind de choisir entre la liberté avec son amoureux ou le voir prendre le risque de se casser le cou à chaque soir pour venir la rejoindre...
Je veux pas qu'il se casse le cou!
Le pauvre... Les pauvres.
Ses parents veulent la protéger, mais ils la couvent trop.
La jeune fille est folle amoureuse du garçon car ses parents ne veulent pas de leur union.
C'est vrais que les garçons ont plus de droit, ils peuvent aller où il veulent sans se faire surveiller, pendant que nous on a un garde du corps.
Mais aussi ça se comprend car le monde est dangereux.
Et les parents veulent le meilleur pour leurs enfants.
Il y a un pour et un contre. Il faut parfois écouter les enfants, et toujours écouter les parents, car ils nous veulent du bien et non le contraire.
Merci, ma petite Amberia pour ce merveilleux texte qui m'a fait drôlement plaisir.
coucou20 a écrit :Vas-tu faire une suite de ce texte, car ce serait horrible que tu t'arrêtes ici!! J'aimerai bien connaitre la suite ...
j'aurai un peu plus décrit le jardin, mais après c'est comme tu veux..
Je me demande à quelle époque on est?!
Là, je ne m'attendais pas à ce qu'on me demande une suite! Ce n'est pas tout à fait le genre dans lequel je me sens à l'aise!
Coucou20, je ne dis pas non. Peut-être y aura-t-il une suite... un second jet. Hum... dans ce cas, il est possible que les noms changent... Donc, je ne garantis rien, mais je pense à cette possibilité!
L'époque médiévo-contemporaine, ça existe?! Mon Chevalier grimpe quand même à la gouttière!
@Ayat: Ma chouette, tu aimerais une suite? Je sais déjà qu'elle sera ta réponse, mais il n'y a pas de mal à demander! En écrivant, je n'avais pas vu cette morale tellement évidente! L'amour nous pousse à faire bien des choses pour votre sécurité, pour votre bien. Certes, il est possible que nous poussions le bouchon trop loin! Nous ne voulons pas aliéner votre liberté, mais juste vous protéger de tout mal. Merci d'avoir soulever cette morale!
@Allastraela: Ohhh non! Pas toi aussi! Tu veux une suite à un truc qu'Ayat m'avait proposé dans ma section poésie! Je ne garantis rien, ma petite soeur... Peut-être que Phoceus a trouvé sa troisième fille? Jusqu'à maintenant, il a Somlaris et Anubia...
Pour vous trois qui avaez lu les péripéties d'Anubia avec sa transformation (un des deux romans commencés) et celles de Somlaris (l'autre roman commencé), j'ai une question pour vous.
Pour l'histoire de Rosalind et de Trevor (les noms risquent de changer), désirez-vous que l'histoire reste dans l'époque actuelle, comme c'est le cas actuellement, ou désireriez-vous qu'elle soit replacée dans la même époque, ou presque, que les deux autres? Donnez-moi vos avis...
Oui, Une suite!
C'est juste super chouette!
Je suis trop contente!
Continue à la même époque, c'est cool.
Continue comme ça et ne change pas les nom ils sont bien.
Sauf si tu veux appeler la princesse Ayat!
Je suis trop impatiente que tu écrives cette nouvelle préviens-moi!
Bisou,
Ayat, la fille toujours impatiente de tous et toujours excité à propos de n'importe quoi.
Bonsoir,
Merci de m'avoir prévenue. J'avoue qu'un récit médiéval me tente bien
Et surtout la suite me tente bien, j'aimerais bien savoir quel est son choix ...
Bon, mes trois lectrices assidues me demandent une suite à mon texte sur le Chevalier...
Donc, primeur: Il y en aura une! Je dois retravailler le texte du premier et trouver le filon pour la suite. Donnez-moi un peu de temps et je vous reviens avec un texte qui s'écrira, peut-être, cette fois, lentement d'un seul coup sans trop se mélanger...
Texte du jour: (Hommage à mon chat)
Je te regarde dormir, toi mon ange gardien. Depuis ma blessure, tu restes toujours près de moi, t'inquiétant de la douleur que je pourrais ressentir. Tu t'étires et caresse mes oreilles de tes petites pattes dégriffées. Tu me ronronnes une belle symphonie à tous les soirs.
Tu t'inquiètes car tu sens que je ne vais pas bien. Tu sais, Céleste, ta maman ne va pas mourrir, elle ne te quittera pas. Ce n'est qu'une petite blessure insignifiante qui, déjà, est presque guérie. Le pouce araignée disparaîtra très bientôt.
Tu restes près de moi, attendant je ne sais quoi. Tes caresses et tes chansons ronronnantes m'ont réconfortés. Ta présence silencieuse, à part les prrrrrr, m'ont aidé à traverser cette épreuve. Je ne minimise pas l'aide des gens qui m'ont entourés mais toi, tu étais constamment là, ne demandant rien d'autres qu'un peu d'amour et retour de celui que tu me donnais
Moi, j'ai une chatte qui s'appelle Bella, elle est juste trop mignonne!
Ils nous soutiennent, nous réconfortent. Je suis juste super contente de l'avoir!
Petit pouce, tu m'énerves! L'araignée, j'ai hâte de la voir se faire enlever! Ca pique, ça démange! J'ai envie de me gratter et je ne peux même pas le faire! J'ai pas envie d'arracher mes points quand même! Je te regarde et je me demande comment j'ai pu être aussi crétine pour aller embrasser le plancher des vaches!
Oui, il faisait noir et il n'y a aucune lumière dans la rue... A cause de son obscurité, on pourrait la comparer à une ruelle, très passante, mais une ruelle quand même. J'étais fatiguée. Normale après une longue soirée et fastidieuse soirée de travail. J'avais pas beaucoup dormie dans la semaine à cause de mauvaises nouvelles... N'empêche que je demeure à cet endroit depuis 15 ans! Donc, oui, je suis une vraie crétine de ne pas être capable de me lever les pieds à une certaine hauteur à 2 heures du matin!
Ca pique, ça démange! Je ne pense qu'à ça! Laver la blessure est devenu un moment amusant de la journée. Je suis folle à lier, il faut croire! La blessure prend de l'air depuis quelques jours. Céleste ne veut plus jouer avec les points... Grrr, ça va arrêter de piquer?! J'ai hâte de pouvoir plier mon doigt. J'ai hâte de me servir correctement de ma main. J'ai hâte de me servir d'un crayon pour écrire et non de mon téléphone... mais j'ai hâte que ce soit lisible quand je vais écrire.
Encore une journée à endurer les démangeaisons, les picotements, les gratouilles désagréables des points sur ma peau. Encore une journée à chialer après le désagrément du pouce araignée. Demain soir, je me fais enlever les points. Alleluia! Vendredi, retour au boulot... supposément. J'ai hâte d'être débarrasser ces gratouilles, tiraillements et autres désagréments de tout acabit. Malheureusement, les souvenirs désagréables de la blessures, eux, vont rester. N'empêche que cela aura eu du bon: l'inspiration m'est revenue. J'écris de plus en plus! Les idées vont et viennent et trouvent leur place sur papier... et je me suis faite de nouvelles amies, des lectrices, sur ce forum.
Alors, merci à toi coucou20, toi Ayat et à toi, ma soeur de coeur Allastraela, d'être là. Durant cette épreuve, vous avez été là et ça m'a aidé! Je continuerai à écrire et à essayer de mettre un texte par jour, sauf le week-end (texte ou poème: il faudra aller regarder dans les deux catégories)
Les méandres de mon coeur sont remplis de peine et de désespoir. Je ne vois pas le bout de ce mal qui lentement me ronge. Mal d'amour, mal d'aimer sans retour... mal d'une blessure qui suinte et ne veut pas se refermer.
J'ai mal d'aimer un homme qui ne respecte pas ses voeux de mariage. J'ai mal d'aimer quelqu'un qui me ment en plein visage jour après jour. Bizarrement, lentement, un genre de haine-amour semble vouloir s'installer. Dans le genre, tu me fais mal, je te fais mal... Tu m'aimes, je t'aime...
Ce n'est pas une vie d'aimer-détester tout à la fois...
J'ai mal d'aimer en secret un coeur peureux qui m'aime en retour. J'ai peur de voir cette personne s'éloigner de moi et de perdre tout repère.
J'ai mal de trop aimer, de trop donner et de rien recevoir en retour. J'ai mal à ce coeur immense qui ne veut que faire le bien sur cette planète en perdition. L'amour inconditionnel fait mal... on aurait dû me le dire avant que j'embrasse la voie de la sorcellerie... On aurait du me dire que l'amour et le bien ne gagnait jamais... Que le mal et la haine, les soeurs maléfiques, étaient toujours plus fortes...
Je m'appelle Ysaline Danaelle Proudmore, sorcière de mon état, amoureuse de la vie qui me la rend à coups de poings, à coup de haine et à force de coups bas. Malgré le mal triomphant, je continuerai à endurer les coups pour démontrer que la persévérance et l'endurance, ainsi que la patience, peuvent avoir raison du mal le plus tenace...
Rebisous Ayat, la maladroite.
