J'ai décidée de publier une nouvelle histoire a plusieurs avec un thème à respecter, car je trouve qu'on s'éparpille toujours sans thèmes. Bon, tout le monde connait le but de l'histoire à plusieurs, on te donneun début et tu continue l'histoire ! Ici c'est pareil, avec quelques règles à respecter :
Je préfère vous prévenir directement. Pour toutes personnes ne respectant pas les règles, je m'accorderais le droit de la mettre sur blacklist et de lui interdire l'accès au topic suivant la faute.
Règles :
Ici, on s'exprime en français, je ne veux pas voir de langage sms et le moins de fautes possible, relisez-vous avant de poster ! -Et oui je comprends, tout le monde fait des fautes, mais quand je vois certains qui faut autant de fautes qu'il y a de mots...-
Je veux que vos messages commencent par le numéro de la partie (c'est à dire, le combientième message -je sais, ce mot n'existe pas-), et un titre si possible, écris en 150, gras et centrés, et que si il y a des dialogues, qu'ils soient en couleurs et qu'ils commencent par un tiret. -Je sais que ça va en énervez pas mal mais c'est pour une meilleures lectures et compréhension de la compositions du texte-
Pas de HS, mais vraiment pas. Pour discuter, vous avez le chat, vos murs et les messages personnel à votre disposition.
Les relations sont basées sur le respect, alors, pas d'insulte, on ne rabaisse pas son voisin. Pour moi, c'est vraiment important, donc faite le.
Pas trop de grossiertés, et quand vous en mettez, écrivez-le comme ça : "M*rde".
Je m'appelle Alaska. Je suis née sur le continent dont je porte le prénom. J'ai à ce jour 21 ans, et je suis un Ange venue de la Confrérie des Larmes. Je suis dangeureuse et sadique. Les livres de religion vous disent que nous sommes bons et gentil, nous les Anges, mais c'est faux. Tout ce qui est blanc n'est pas forcément bon comme tout ce qui est noir n'est pas forcément mauvais. Le Diable ne viendra pas te chercher la faux à la main ou déguiser en squelette. Non, il se masquera. Je suis ce Diable là, je suis masquée. Je suis brune au yeux bleu, mes cheveux évoque les ténèbres, mes yeux la lumière. Je suis faite de contraste. Mon teint est clair mais je m'habille de couleurs sombres. Je sûre de moi, provocatrice et hautaine. Et surtout, je suis une collectionneuse d'homme.
Voilà plusieurs jours que l'hiver est installé. Je devrais être habituée, moi qui suis née en Alaska, mais non, j'ai toujours froid. J'ai l'impression de ne pas être à ma place. Et vous voulez que je vous dise, je ne le suis pas. Mon nom est Alaska et je suis un ange de la confréries des larmes. C'est une information que mes parents m'ont donné il y a... trois heures. Oui, trois heures. Avant ça, j'étais une jeune femme tout ce qu'il y a de normale. J'allais à la fac, au bar et rentrais au p'tit matin chez moi. Normale.
Tout a changé quand je suis revenue un weekend chez mes parents. Chose que je fais une fois par moi, depuis que j'ai quitté le cocon familiale pour la vie étudiante. Je me demande si cela se serait passé autrement, si je serais restée dans mon p'tit appart ? Peut-être que oui.
Mon arrivée s'est passée comme à chaque fois. Les grandes retrouvailles avec mes parents, et le partage des dernières nouvelles de chaque côté. Ils ont gardé leur routine, rien de très interessant est arrivée dans ce petit village. Quand à moi, je leur ai dit que les cours se passe bien, les exams approchent, j'ai des amis et tout le tralala habituelle.
L'événement s'est déroulé dans ma chambre, pendant que je défaisais mon sac sur le lit. Une action banale. En fait, ce n'est pas l'action qu'il faut retenir, mais le jour, c'est le vingts-et-unième anniversaire. C'est à 15h32, l'heure exacte de ma naissance que ça s'est déclenché.
Une douleur immense, intenable apparaît dans mon dos, dans ma tête. J'ai hurlé de toute ma puissante, je me suis effondrée au sol car mes jambes ne pouvaient me supporter. J'ai eu l'impression qu'on m'arrachait la colonne vertébrale, qu'on me tripotait le cerveau.
Des flashs me submergeaient. Des hommes avec des ailes, une personne morte autour, et une femme qui me regarde. Elle s'approchait de moi de plus en plus, image après image. Et quand elle fut devant, elle murmurait.
- Tu es un ange.
L'instant d'après, la peau sur mon dos craquait pour laisser deux ailes sortir. Deux grandes ailes aux plumes blanches. Ma mère et mon père me regardaient comme si j'étais un monstre prêt à les tuer. Et ils fondirent en larmes.
Après qu'ils avouaient qu'ils m'avait adopté. La femme m'avait donné en laissant des conditions. Un, m'appeler Alaska, deux, me dire la vérité quand mes ailes s'ouvriront. La vérité, était que j'étais la fille d'un ange du clan de la confrérie des armes. Ils avaient pour but de guider les âmes au paradis ou en enfer. Cool, ma mère était une passeuse d'âme, et j'allais devoir en faire de même.
Avec mes ailes dans le dos, je ne pouvais que y croire, mais je n'avais pas dit que j'accepté. Ailes que je compris au bout de 20 minutes qu'elles pouvaient complètement rentrer. Cela allait me prendre du temps à les contrôler. Alors après la discussin, j'ai remercié mes parents de m'avoir tout dit, me suis levée, ai pris ma veste, et suis partie.
Ave ma voiture, j'ai rejoint rapidement la ville, et me suis arrêtée devant le premier bar. J'avais besoin de boire.
Je salue le barman et commande une vodka pure, avant de m'asseoir au bout du comptoir, sur l'un des p'tit tabouret au rembourage rouge. Attendant mon verre, je posais ma tête sur mes mains. La nouvelle adu mal à passer, bon sang j'ai l'impressin de m'être pris un coup de masse sur la tête.
Avec ma vodka, deux verres glissaient sous mes yeux. Le barman, un grand chauve bien costaud, me designe un homme à l'autre bout du comptoir. Celui-ci, me salue avec sonverre aussitôt que je le regarde.
Il était jeune, les cheveux bruns tombant sur les épaules, pas trop maigre laissant apercevoir un peu de muscle. D'ici, il semble bel homme. Je lui souris et lui renvoie son salut avec celui qu'il m'a offert. Une façon de dire que j'accepte d'échanger avec toi.
Malgré mes nouvelles ailes, je suis loin d'en être un. Je suis ce que l'on peut dire, une croqueuse d'homme. J'ai toujours faim d'homme dans mon lit. Et celui qui se ramène, pourrait très bien se retrouver dans le mien. Mes problèmes peuvent attendre, ce soir je m'amuse, et me fait plaisir.
Voilà pour ce premier chapitre, qui place juste la situation. J'espère que ça inspirera quelqu'un.
Géniale. J'ai lancé un topic dans le même style mais cette histoire me fascine. Je me lance pour le trois. Je compte faire attention aux fautes d'orthographe mais si quelques une fuite, s'il vous plait ne m'en tenez pas rigueur.
A crocs ou accrod ?
Je me dirige langoureusement vers le jeune homme et me glisse sur ses genoux. Je vous avez dit que j'étais provocatrice. Ses mèches qui au premier abord me semblait brune étaient finalement noir de jais et le contraste était saisissant avec ses yeux vert presque aussi pale que la couche blanche qui me faisait constamment grelotter. Ses magnifique main chaude et puissante se pose sur ma taille et je devine que nous marchons dans la même voie. Je recommande un verre au barman qui me regarde amusé. Depuis le temps que je viens ici, il commence à être habitué, surtout que plus d'une fois c'est lui qui à récupérer mes proies à la petite cuillère. Que voulez vous on ne m'avais pas dit que je devais me comporter comme un ange. Un ange, c'est ca je suis un ange. L'alcool commence a me faire oublier la gravité de la situation et celle ci m'apparaît dorénavant comme comique et iréel. Sans crier gare je me mets à rire, mais à rire à ne plus pouvoir m'arrêter. J'aurai imaginer que le beau brun n'aurait pas voulu d'une folle comme moi, mais il a dû se douter que je n'étais pas à manquer car il me garde sur ses genoux et m'embrasse fougueusement comme pour aspirer mes éclats de rire. Sa langue douce au goût poivré joue avec la mienne dans cette lutte acharner. Ses mains soulève mon débardeur noir tandis que les miennes commencent à déboutonner sa chemise blanche. Je me perds dans ce tourbillon de saveurs quand une grosse patte se pose sur ma frêle épaule. Je me retourne vivement, excéder, et tombe nez à torse avec le barman qui me regarde impétueusement. Je sais ce que se regard signifie"pas dans mon établissement". Agacé je prends la main de mon amant et sors du bâtiment. Je monte dans ma porche noire et appuie sur l'accélérateur pour arriver dans mon appartement tandis qu'il continue ses douces caresses.
Je le jette sur le lit et me mets à califourchon sur ses hanches et tandis que sa langue à retrouver sa place dans ma bouche, mes mains recommence leurs périple sur sa chemise. Je défaits lentement ses boutons en acajous. Me mains arrivent à la bosse de son pantalon; le bouton saute. Je souris. Mes lèvres rougis par ses baisers ardents glissent sur son torse musclée. Il m'enlève mon tee-shirt. Je m'écarte de lui et enlève mon pantalon. Ma culotte en dentelle noire est la seule chose qui recouvre encore mon corps et elle disparait. Je regarde l'étalon qui est allongé au milieu de mes draps noirs. Je reviens sur lui et ses mains caressent ma taille en même temps qu'il embrassent mes seins. Je m'abandonne à ses caresses quand une douleur lancinante me déchire le dos. Deux ailes blanches apparaissent derrière moi, leurs racines est légèrement recouverte de sang et un liquide moite coule le long de ma colonne vertébrale. Curieusement je ne ressent plus aucune douleur mais mes sens son si aiguisé qu'un mal de crane lancinant survient. Je suis à genoux, la tête renversé, sur le parquet et j'imagine l'homme que j'ai ramener apeuré ou intrigué mais j'entends un éclat de rire et des immenses ailes de corbeaux viennent m’entourait. Des crocs se posent sur ma carotide. Je me demande ce qu'il est. Il lèchent les coulées rougeâtre dans mon dos et j'en veut plus. C'est un plaisir si intense. Il me prend délicatement sur ses genoux et me mort violemment dans le cou. Je me cambre. J'en veux plus, beaucoup plus... Mais déjà cette étrange créature s'éloigne de moi et m'annonce d'une voix rauque:
- Je suis un ange de la Confrérie de la Nuit. Si on va plus loin, ça nous détruira tous les deux.
Sur ce il se rhabille et m'abandonne là, sanguinolente et incrédule.
Voilà j'espére que ça vous plaira. Si il y a des fautes dites le moi, je corrigerai.
Je me lance dans le chapitre 4 alors ! Vous m'excuserez pour mes mots très cru ! Et je crains que vous ayez oublié qu'Alaska n'est pas une gentille, mais une méchante, une très méchante..
Fête foraine entre amis.. Ou pas !
Je reste au sol une bonne dizaine de minutes, choquée. Qui aurait cru que ma vie d'adulte commencerait comme ça ? Pas moi !
Je me relève tandis que mes immenses ailes se rétractent. Je me dirige vers ma salle de bain, me déshabille en vitesse et glisse sous la douche. Les minutes passent tandis que l'eau tape contre mon dos, sourde à mes douleurs. Je soupire, lave mes longs cheveux et me frotte avec le savon pendant un bon moment. Après une heure passée sous l'eau, je m'extirpe de la douche et m'enroule dans une serviette et sors, laissant la porte ouverte pour évacuer la buée.
J'entre dans ma chambre et me place en face de mon miroir, laissant tomber la serviette à mes pieds. Je me tourne, et observe mon dos dans le miroir. Une longue marque parcourt mon dos, encore boursouflée et sanguinolente. J'attrape la boite à pharmacie dans le tiroir de ma table de chevet et prends une bande et des compresses, ainsi que de l'alcool à 90°. J'imbibe les compresses d'alcool et les appliquent sur ma blessure. La douleur me fouette et irradie dans tout mon corps et je me mords la langue sous le coup de la douleur.
-Aïe ! Put*in de m*rde !
Je sers les dents et m'enroule dans la bande, les compresses appuyées contre ma peau. Une fois ça fait, je m'habille de ma One Piece grise et rouge, de mes baskets compensées noir et de ma parka marron. Je sors et appelle mon amie Margo et mon ex, Luan.
"-Hey ! C'est Alaska ! Ça vous dit une soirée fête foraine ?
-Ouais, carrément ! A dix-huit heure devant le grand 8 ?
-OK, a toute à l'heure !"
A dix-huit heure, je suis assise sur le banc en compagnie de Margo. Luan arrive avec ça nouvelle p*te, Chloé. Je sais, c'est pas super, cool, mais je sais qu'il est avec elle juste parce qu'elle a un bon cul et elle est avec lui parce qu'elle en a marre de se doigter. Bref, on commence à faire la queue pour l grand 8. Lorsque les voitures arrivent, Luan monte avec moi et Chloé avec Margo.
-Mais va avec ta meuf !
-Je te gêne p't'être ?
-Nan, mais elle va mal le prendre, non ?
-Non non.
On démarre et je me tais. Et c'est partis pour un tour ! Je cris, hurle ma joie alors qu'à côté de moi, Luan est totalement crispé, quel tafiole ! Arrivé tout en haut, une douleur dure et froide me déchire le dos. Et m*rde. Je gémis et me crispe moi aussi, alors que je glisse au dessus du harnais. Et voilà que je m'envole. Luan me regarde, les yeux exorbités alors que moi je me mets à crier, flippée au possible. J'essaye de me diriger mais vais m'écraser contre le panneau publicitaire de McDonald's. Je l frappe de pleins fouet. Sonnée, je plane et vais atterrir. Allongée au sol, je reprends doucement mes esprits...
Hey ! J'aime beaucoup le concept
C'est pourquoi je me lance pour la suite !
La nouvelle tombée du ciel
Ch. 5
Je reviens peu à peu à la vie, déboussolée de ce qu'il vient de m'arriver. Et m*rde ! Si c'est ça être un ange, qu'est-ce que c'est qu'être un démon ?
La douleur fulgurante est encore présente dans mon dos. Je ne comprends plus... Trois fois en seulement quelques heures. Trois fois, et cette dernière était la fois de trop.
Je reste quelques minutes encore allongée comme ça, près des poubelles du Mc Donald's. Je me relève ensuite, puis dégage les quelques mèches de mes cheveux qui parsèment mon front.
Désormais, j'ai chaud, et je transpire. Il faut à tout prix que je parte d'ici.
Je quitte les lieux rapidement. Mes ailes se sont rentrées, je me sens affaiblie et je suis en colère. Soudain, j'ai une folle envie de tuer ma génitrice. De tuer mes prédécesseurs qui m'ont donné ce soi-disant pouvoir.
D'envoyer le reste du monde balader. Je veux vivre une vie normale, avec les mecs, le bar, la drague, la baise, c'est tout. Pas d'histoire féérique.
Je suis bien comme je suis.
* * *
A force d'avancer, je sens le sang couler le long de mon dos. Je décide d'accélérer le pas, pour ne pas attirer de regards indiscrets sur le rouge qui tâche mes vêtements.
Aussitôt, j'arrive devant le point de rendez-vous que moi et mes amis nous étions donné. J'entre dans ma voiture, la douleur me lancinant comme pas possible au crâne. Tant pis pour mes amis, ils se débrouilleront. Tant pis pour moi.
Je démarre le moteur et me dépêche de rentrer chez moi.
* * *
Une fois dans ma salle de bain, j'enlève les compresses tachés de sang et en met d'autres propres, imbibés de désinfectant. Je n'en peux déjà plus. Et je sais pertinemment que bientôt, mes ailes repousseront.
Histoire d'oublier un peu ces histoires, je me rue sur mon lit et je prend mon portable. J'envoie une texto à Luan dans lequel je dis que tout va bien, que j'ai atterri sur des poubelles et que celles-ci ont amorties ma chute. J'ajoute, pour paraître plus réaliste, que je me rend à l'hopital pour qu'on soigne mes dégâts. Après quelques secondes de réflexion, je met aussi qu'il faut que je lui parle.
J'appuie sur "envoyer".
Comment Luan réagira-t-il quand il verra que je suis finalement inhumaine ? Que je suis un "ange" ? Que je ne suis pas faite pour vivre sur terre ? Gardera-t-il le secret ? J'en doute fort..
Mais je n'ai pas le temps de me poser toutes ces questions qu'aussitôt, un craquement bruyant me fait pousser un cri.
* * *
Je me décale aussitôt, venant de comprendre ce qu'il vient de se produire. Mon toit s'effondre !
Horrifiée, je regarde sans bouger la poussière et les débris tomber, provoquant un nuage de fumée marron qui s'imprime sur toute ma chambre. De là tombe une masse noire, plus grosse que le reste.
La masse tombe légèrement, avec un toussotement. Puis je la vois se redresser. Je peux à présent distinguer une silhouette grande d'homme.
Les débris arrêtent de tomber. Au dessus, je peux voir un immense trou qui perce le plafond. Bravo.
— Et c'est une façon d'entrer chez les gens, ça ?! je grogne en avançant.
L'homme ne répond pas. Au fur et à mesure que j'avance, la peur me noue le ventre. Comment celui-là a-t-il fait pour résister à l'effondrement ? Pourquoi a-t-il atterri chez moi ?
Il ne me suffit de quelques pas pour trouver la réponse. Cet homme devant moi, est entièrement habillé de noire. Sa peau brune se confond avec, ses yeux verts émeraudes éclatants ressortent. Il a les cheveux noirs, et une carrure musclée. Et surtout, le plus importants, il porte deux immenses ailes noires imposantes.
L'homme doit avoir à peine deux ans de plus que moi. Je devine directement qu'il s'agit d'un démon. Mais que fait-il ici ?
La première pensée qui me vient à l'esprit est que si c'était un humain, il n'aurait pas tardé à retrouver mon lit.
— Qui es-tu ?
— On a pas le temps Alaska. Bouge-toi.
J'hausse les sourcils.
— Mais...
L'homme a l'air pressé, énervé. Ses traits se durcissent, lui donnant un air encore plus terrifiant.
— Me dis pas qu'on t'as rien dit !
— Euh...
— Bon, s'il te plait, ne pose pas trop de questions. Je déteste les gens curieux. Laisse-moi t'expliquer... Je m'appelle Eedaw, je suis un démon. Je te connait car je sais que tu es un ange et que tu t'occupes d'envoyer les gens au paradis ou en enfer. Tu as le même job que moi. Mais laisse-moi te dire une chose.
— Attends ! Comment tu peux débarquer chez moi comme ça, en balançant des c*nneries pareilles ?
Le dénommé Eedaw haussa un sourcil.
— Je me suis trompé d'Alaska on dirait, non ?
— J'aimerai bien.
— Bon, alors écoutes... On doit à tout pris rejoindre le Purgatoire. C'est important.
— Mais.. Attend, j'ai une vie moi aussi !
— Peut-être, mais ta place n'est pas ici, reprit Eedaw avec son air grave. Dépêches toi. Là-bas, il se passe quelque chose de pas net. Quelque chose de grave.
Ici, on s'exprime en français, je ne veux pas voir de langage sms et le moins de fautes possible, relisez-vous avant de poster ! -Et oui je comprends, tout le monde fait des fautes, mais quand je vois certains qui faut autant de fautes qu'il y a de mots...-
