L'Etat à prit le pouvoir. Plus rien n'est comme avant. Ce monde est privé de la chose que le peuple idolâtrait. La chose qui permettait l'évasion, le bonheur, la liberté.
A présent il n'y a plus d'imagination.
I) Histoire
Nous voici en 3096. La Terre a subi de nombreuses guerres, des continents ont été rayé de la carte, à présent il n'y a plus que l'Aseurope et l'Amérique du Sud. Mais surtout l’imagination a été proscrite. Pourquoi ? Parce que toutes ces guerres ont été causées par quelqu’un doté d’une trop grande imagination. A présent les livres, les poésies, les films, la musique… Tout ce qui provient de l’imagination a été éradiqué.
Les livres, les poésies, les films...
L'Aseurope est le siège de l'Etat.
La vie est devenue morne, les gens vivent comme des automates, ils ne pensent pas. Dès qu’un individu a ne serait-ce qu’une once d’idée, il est éliminé. L’Etat a pris le dessus. Si vous voulez vivre, vous devez vous plier aux règles. Nous sommes dans un monde nommé Révélant.
Là-bas les règles sont assez strictes :
-Les mariages sont décidés par l'Etat, personne ne se marie sans un accord écrit. Et donc les relations amoureuses non approuvées par l’Etat sont vouées à l’échec.
-Personne ne doit s'embrasser avant l'âge de 21 ans au risque d'une punition physique public.
-Les voitures ne doivent être utilisées qu'en cas d’extrême urgence. Les bus n'existent plus et les avions et bateaux coûtent extrêmement cher.
-Un ordinateur par maison et surtout il ne doit servir qu'à des fins éducatives ou pour le travail.
-Rêver est impossible (il n'y a plus de stimulus pour l'inconscient) et si l'Etat vient à apprendre que vous en avez la capacité il vous fera exécuter.
-Le couvre-feu est à 22 heure. Quiconque traîne dans les rues après cette heure risque sa vie.
-Surtout ne jamais insulter un représentant de l'ordre et encore moins en frapper un. Risque encouru : la mort.
Ce ne sont que les plus importantes. Mais l'Etat est très minutieux. Tout ce qui pourrait vous amener à vouloir penser de vous-même, à faire vos propres choix, à imaginer... est interdit.
II) L'ennemi et vous
Les militaires sont les personnes qui sont au service de La Femme (voir V) et qui traquent les citoyens (vous). Ce sont des personnes sans imagination, des personnes logiques et qui obéissent aux ordres sans poser de question. Ils ne commettent pas d'infraction et ont tous suivit un entraînement rigoureux aussi bien intellectuel que physique. Si vous tombez sur l'un d'eux :
Les citoyens normaux (vous) sont les personnes "normales". Ils ont un travail ou vont à l'école (jusqu'à 18 ans). Ils vivent obligatoirement avec leur famille (une maison par famille). Ils ne sont pas riches et vivent toujours dans la faim sans jamais mourir. Ils ne reçoivent pas de formation particulière et ne savent pas se battre, ils sont faibles. Ils se tiennent à leur place pour ne pas se faire remarquer (la plupart n’ont pas envie de mourir x)). Ils peuvent être en colère et haïr l’Etat, c’est d’ailleurs souvent le cas, mais ne le disent pas.
III) Le commencement du RPG
Tout ce passe en Aseurope (pour ceux qui n'auraient pas compris c'est l'Asie et l'Europe d'aujourd'hui )
Au départ vous serez sur votre ordinateur. Vous recevrez un lien avec écrit "Téléchargement", cliquerez dessus et regarderez un film (celui que vous voudrez). Vous ne savez pas ce qu'est un téléchargement ni même un film. Vous ne savez donc pas que c'est interdit.
Pourtant, au milieu du film un message apparaîtra sur votre pc :
"Vous Téléchargez, vous êtes un Ennemi de la Communauté, vous serez Éliminé."
Après ça un deuxième message apparaîtra disant qu'il faut vous rendre à une adresse pour être en sécurité (l'adresse du centre des réfugiés).
A partir de là vous comprendrez que vous devez fuir et quitterez votre foyer dans la minute. Vous devrez rejoindre le centre des réfugiés (les parias) qui se trouve à 50 kilomètres de la ville. Bien sûr le seul moyen de transport est votre corps.
IV) Le but
Le but principal est le suivant : la seule chose qui soit dur dans ce monde c'est le fait de ne rien pouvoir inventer, imaginer. Tout ce qu'il faut c'est renverser le gouvernement et libérer le peuple d'Aseurope de l'oppression qu'exerce l'Etat. Pour cela vous devrez vous rendre sur l'autre continent, l'Amérique. La Femme ne vous suivra probablement pas là-bas, l'Etat est beaucoup moins présent. Une fois sur cette immense île vous pourrez organiser l'offensive et détruire l'Etat.
V) La Femme
Elle symbolise l'Etat. Elle est l'ordre. La Femme est grande, mince, a des cheveux noirs comme les ténèbres, de longs doigts crochus, la peau d’un blanc cadavérique et des yeux d’un bleu glacial. Elle n’est ni gentille, ni compatissante, tout ce qu’elle aime est la souffrance des autres. Elle est dangereuse, méchante, logique, rapide, forte, sans pitié. Elle est chargée de tuer toute personne ayant Téléchargé un film. Un travail qui paye, mais surtout qui lui plait. Nul ne connait son nom, les gens ont peur d’elle et l’évitent.
Sa voiture
Et elle sera jouée par moi-même
VI) Chef des réfugiés
C'est un homme nommé Philippe Welem, dit Phil. Il est âgé de 26 ans et il vous racontera sa vie si ça lui chante. Mais en général il est sympa, patient et blagueur. Il a aussi une particularité (et c'est pourquoi il est le chef des réfugiés) : il invente, il créé. Il vous accueillera à bras ouverts. Il vous aidera probablement, si vous vous montrez digne de votre demande (rejoindre le continent Américain, il y a plus de réfugiés là-bas et l'Etat arrêtera probablement de vous suivre). Il vous aidera également à comprendre ce qu'il vous arrive si vous rêver.
Il n’apparaîtra donc que lorsque vos personnages auront atteint le centre des réfugiés. Il sera joué par moi-même également
VII) Les réfugiés
Ils sont des personnes pourvues d'imagination. Des personnes traquées par l'Etat, ils se sont cachés ici, sous la protection de Phil. Ce dernier les encourage à inventer de nouvelles choses, des histoires, des poésies, des chansons... Il stimule leur esprit grâce à sa propre imagination pour les pousser à rêver. Ce groupe d’individu s’entraîne au combat sans relâche. Ils veulent faire tomber l’Etat. Ils ont aussi quelque chose que les citoyens n’ont pas : de la nourriture, ils sont nourris de manière normale, ce qui augmente leur force. Leur groupe est composé d’environ 75 personnes.
Entré du centre (qui est souterrain)
Cuisine
Réfectoire
Douches
Dortoir
Salle d'entraînement
Je sais ce n'est pas le grand luxe mais n'oubliez pas qu'ils sont dans un bunker !
VIII) L'agent double
Il s'agit d'un personnage unique. Il sera la personne qui sera dans le groupe de citoyens mais qui travaillera pour La Femme. Bien sûr il ne faudra pas révéler que c'est lui et donc si vous voulez prendre ce personnage vous devrez me le demandez par Mp. Surtout ne le mettez pas en réponse à ce sujet. Evidemment le personnage devra parfois se retrouver seul pour communiquer avec La Femme, le joueur qui l’interprétera devra donc parfois l’isoler tout en trouvant de bonnes excuses pour les autres. Son rôle au départ ne sera pas très marqué mais à la fin il sera une personne très importante.
IX) Petites précisions
*A la télé il n'est diffusé que les informations sur ce qui se passe sur les continents. Rien d'autre. *Les portables sont réservés aux personnes de l'Etat, et encore tout le monde n'en a pas, seulement les hauts placés. Donc vos personnages n'en possèdent pas. *Les véhicules de transports sont réservés aux personnes de l'Etat. Seule quelques-unes sont dans les camps des réfugiés (ils les ont volés). Sinon il n'y a qu'une voiture par famille, et elle ne sert presque jamais. *Dans ce monde les gens vivent en famille, une maison par famille. Il y a toutes les générations dedans. Donc personne n'a vécu seul ou abandonné. *Pour ceux qui veulent vraiment que leur histoire soit compliquée, alors il peuvent être orphelin et avoir vécu à l’orphelinat. Mais dans ce cas ça devient leur seule habitation et ils n'ont pas de maison à eux seul. *L'école est obligatoire, donc pas de délinquant *Les anniversaires ne sont pas souhaités, ce n'est pas considéré comme important, c'est donc un jour aussi banal que les autres. *Noël n'existe pas non-plus et il n'y a aucun jour férié. *Les congés n'existent pas, ni même les vacances (oui je sais la vie est dure x)).
X) Les règles
-Pas de disputes entre les joueurs svp.
-Prévenez en cas d'absence.
-Pour toute insulte mettez une étoile (ex : m*rde).
-Mettez le prénom de votre personnage en gros et en couleur au début de chaque rp.
-Essayez d'être présent un minimum (plus d'une fois par semaine).
-Essayez d’être réaliste.
-Interdiction de faire un "événement" ou de faire quelque chose qui pourrait changer l'histoire sans mon accord.
-Amusez-vous !
XI) Fiche d’inscription
Nom :
Prénom :
Âge : (entre 15 et 25 ans) Description/Photo : (pas de manga svp) Histoire : (Minimum 10 lignes, vous pouvez aussi dire que votre personnage a déjà rêvé (même si c'est presque impossible et interdit) mais il l'aura caché au reste de sa famille, ces personnes sont très rares et surtout une fois qu'elles ont rêvé elles ont peur, elles ne comprennent pas ce qui leur arrive) Caractère :
Qualité/Défaut :
LSGI a écrit :Merci de me l'avoir dit, j'avais pas remarqué. J'ai réussis à en remettre quelques unes mais certaines ne marchent simplement pas
Je suis d'accord avec Pauline, les images qui ne passent pas gênent l'envie de s'inscrire à ton rpg qui a l'air vraiment intéressant.
Si les images ne passent pas, essaie de les enregistrer et de les faire passer en pièce jointe. Normalement, ça devrais marcher.
La nature crée des différences, la société en fait des inégalités
Mon nom de famille c'est Home. Mon prénom, François.
J'ai dorénavant eu 16 ans depuis trois mois et cinq jours. Au-faites, je suis enfant unique.
Je suis né dans un État qui dirige sur tout. Non, pas complètement sur tout, il y a des limites quand même... mais ouais, pratiquement sur tout. Elle nous privent de libertés et de bonheurs. Deux choses que j'ai mis de côté, il y a bien longtemps...
Nous sommes en 3096 et les seuls pays qui existent encore... sont l'Aseurope ( une nouvelle nation ) et l'Amérique du Sud. Les autres... ont été détruites par la guerre.
La vie est triste désormais. En tout cas, moi je trouve qu'elle est ennuyeuse à mourir. Nous devons toujours obéir sur tout. Et ça commence à m'agacer sérieusement.
Avant, quand j'étais un jeune garçon de 12 ans. J'obéissais aux consignes de mes parents, peu-importe ce qu'ils me demandaient, je le faisais. Mais enfaîtes, ils m'enseignaient une réelle leçon: Respecter l'État. Suivre la lois. Ne pas désobéir...
Depuis que j'ai débarqué à l'école et que j'ai rencontré Daniel... ma perceptive des choses à changé. Je ne voyais plus le monde en noir et blanc. Mais plutôt avec de la couleur vivante.
Nous sommes devenus des bons amis. Ensuite, des meilleurs amis. Puis au final, on est devenu si proche, qu'ont désobéissaient énormément à la lois de l'État.
Imaginé s'ils découvrent une fille et un garçon, ayant moins de 21 ans, qui s'embrassent publiquement sur la rue.
Imaginé maintenant qu'ils découvrent deux garçons, qui s'embrassent publiquement et sans gêne..?
Ça serait l'horreur, oui, et les conséquences seraient catastrophiques.
Bref... où en étais-je ? AH oui, Daniel et moi...
Nous avons commencé à nous voir en cachette dans un parc public, plus précisément, dans un coin tranquille regorgeant de buissons et presque impossible à apercevoir deux garçons se tenant la main, avec passion.
Pour commencer, nous ne savions pas, ce que nous éprouvions l'un pour l'autre. C'était un véritable mystère pour nous deux.
Oui, nous savions ce qu'était l'amour... mais dans nôtre cas... c'était inexplicable.
Deux garçons qui s'aiment ? Comment étais-ce possible ? Et surtout, étions-nous les seuls, à être... différents..?
Nous avions enfin échangé nôtre premier vrai baisé dans nôtre petit coin secret. Ça avait été savoureux. Et terriblement excitant.
Et Daniel en voulait plus... alors nous avons passer à l'acte 2. Nous avions sortis nos langues. Les touchants en s'embrassant.
Ça avait été la plus belle journée de toute ma vie. Mais... tout bascula...
Trois jours plus tard.
J’entraînai Daniel avec moi dans ma ruelle. La maison de mes parents étaient juste à côté.
Quand j'eu l'idée saugrenu, de plaquer celui-ci sur le mur de la maison, pour l'embrasser une fois de plus.
- François..?
Mon père débarqua dans la ruelle, revenant de faire les courses.
Je ne me rappelle pas de tout, mais je sais qu'il était dans une rage noir. Ce moment là, je le craignais le plus.
C'est ensuite, après deux jours terrifiant, qu'il informa à un militaire de me punir. Aux yeux de tous. Il n'avait rien dit au sujet de Daniel et moi, mais il inventa une histoire farfelu, que j'aurais supposément embrassé vitement la bouche d'une jeune fille.
Le jour du châtiment arriva enfin.
On m'enchaîna à un poteau, dans une salle ouvert, pour que tout le monde sache ce qui arrive quand on désobéit aux règles de l'État.
On me retira ma chemise, laissant mon dos à nu.
Puis, on me fouetta par vingt coups de fouets.
Daniel était là. Quelque part dans la foule. Et sa seule présence. Me donnait du courage pour endurer la douleur.
Les jours d'après. Défilèrent dans un calme bienfaiteur.
Mes blessures cicatrisèrent rapidement, pour laisser des marques affreuses et barbares sur mon dos. Mais c'était ma leçon. Et je devais l'accepter.
Daniel m'envoya un subtile mot à l'école, sans que personne ne le remarque. Me donnant rendez-vous dans nôtre petit coin secret.
Il avait préparé un pique-nique. Rien que tout les deux.
Je le désirais tellement, que j'en oublia les règles. Nous avions franchit une limite impardonnable. La ligne rouge littéralement.
Des jours passèrent. Puis finalement, j'appris pendant un cours. Que Daniel et sa famille, avaient été tués, comme des chiens, chez-eux.
Mon père voilà tout. Il s'était arrangé avec des militaires. Et j'en avais payé le prix...
J'ai des cheveux bruns courts. Une petite taille. Et je suis mince. Je ne suis pas spécialement musclé et je ne suis pas le garçon le plus beau du monde.
Mais pour Daniel... j'étais magnifique... à l'extérieur et à l'intérieur...
J'ai un caractère calme. Je suis parfois discret et j'aime rester dans mon coin. Je ne suis pas tellement social, mais j'essaye de changer...
Je porte souvent des jugements aux autres. Mais je ne suis pas le mieux placé pour juger une personne... j'en suis la preuve...
J'espère que François est accepté... ^^
Dernière modification par Aveeno le ven. 03 avr., 2015 8:00 pm, modifié 1 fois.
Issue d’une famille comme les autres, je n’ai rien de particulier. J’ai grandis dans la pauvreté, comme tout le monde.
Avant j'avais un frère mais lorsque j’ai eu 6 ans une femme est venue le chercher, il était seulement âgé de un an. Elle disait qu’il serait promit à un meilleur avenir. Elle l’a transformé en soldat de l’Etat. Je ne l’ai jamais revu. Mais depuis ce jour je hais cette femme qui m’a arrachée un membre de ma famille. Nous avions pleuré longtemps après son départ…
Ensuite j’ai vécu comme tout le monde, dans une maison avec mes parents, grands-parents, oncles, tantes, cousins… J’ai toujours eu faim, aussi loin que je m’en souvienne. Mais je ne me suis jamais plainte, à quoi ça aurait servi ? Du coup je suis maigre et pas vraiment attirante.
Je me suis toujours pliée aux règles, jamais je ne me suis fait punir d’une quelconque manière. Enfin si, une fois. Mais je n’avais pas fait de véritable faute, je voulais juste aider... Sur la grande place il y a une grande croix, les gardes avaient attaché quelqu’un dessus et arraché son tee-shirt. C’était un homme, je ne sais même pas ce qu’il avait fait. Je me souviens qu'il était dos à la croix, les poignets et les chevilles attachés, face au gens. L’un des gardes avait sorti un long couteau et s’était mis à tracer de longs traits de sang sur le tarse du malheureux. Je me souviens de ses cris déchirants. Ils m’avaient brisée, je ne pouvais pas rester plantée sur place et regarder. Alors je m’étais approchée. J’avais crié au soldat d’arrêter. Il s’était tourné vers moi et m’avait donné un coup de couteau dans le ventre, du dessous de mon sein droit au bas de mon ventre à gauche. Depuis ce jour je ne me suis plus approchée d’un garde. Aujourd’hui encore j’ai la cicatrice, cette horrible balafre qui me barre le ventre. Et je n’ai qu’une peur : que mon frère soit devenu comme eux. Ce qui est probablement le cas, malheureusement.
Il m’arrive parfois de repenser à ce jour et à cet homme dont je ne connaissais rien. Dans ces moments je reste immobile, assise ou allongée, perdue dans mes pensées. Attendant que le souvenir reparte et ma tristesse avec lui.
A présent j’espère juste vivre une vie dite normale. Je ne veux pas de problèmes.
Caractère :
Je dirais que je suis quelqu’un de gentil. Mais je suis aussi très timide et docile. Je n’ose pas dire certaines choses aux gens, de peur qu’ils se retournent contre moi. Je fais ce qu’on me dit, même si c’est une tâche pas forcément très plaisante. Je suis aussi très émotive, c’est d’ailleurs parfois un problème. A part ça j’accorde très vite ma confiance aux gens et ne les juge pas. Je me fiche de leur passé. Ma mère m’a toujours dit que c’était mon défaut : ma confiance que je donne trop vite, elle disait qu’un jour ça se retournerait contre moi. Mais je ne peux pas m’en empêcher.
Oh et je ris très facilement, il suffit de rien pour obtenir un sourire de ma part.
Qualité/Défaut :
Ma qualité doit être ma gentillesse et mon défaut je suppose que c’est ma naïveté (et ma confiance que j’accorde trop vite probablement).