Le fil du texte.

[ginny2002]

Bonjour chers tous ! Je lance aujourd'hui un nouveau sujet, qui se nomme Le fil du Texte. Le but de ce sujet est d'écrire un texte ensemble, au fur et à mesure. Je commence l'intrigue, puis quelqu'un d'autre continue, et un autre et ainsi de suite. Les règles sont simples: Vous m'envoyez un message pour participer, puis vous pouvez écrire. Je demanderai tous les mois à ce qu'on m'envoie un message pour s'inscrire, sinon c'est hyper compliqué Je vous envois un message environ 5 jours avant et vous publiez votre texte la date indiqué. Le rythme sera environ une partie de texte tous les 2 jours, et si vous savez que vous allez participez n'hésitez pas à taper votre texte à l'avance ^^ Quelques points avant de commencer :
-Pas d'insultes,
-Pas de propos racistes, blessants, homophobe, discriminants.
-Respect de l'histoire antérieur,
-Et bonne humeur !
Vous avez le droit de rajouter un personnage de temps en temps, mais pas à chaque fois, ou l'on s'y perd
Voilà, ciao les mouchachos ! Tout de suite le début du texte ^^



Liste des inscrits :

-Mathildelmy
-Asterix2006
-Laurence53
-Livresaddict
-Atzue

[ginny2002]

Anita déambulait dans la rue à peine éclairée. Sa silhouette robuste projetait une ombre sur le bitume frais qui semblait scintiller sous la lumière grésillante du réverbère. Sa sacoche en cuir lui lacérait l'épaule, mais il fallait qu'elle continue. Elle arriva devant une porte défraîchie, peinte d'une couleur douteuse. Anita sortit rapidement ses clés, puis les tourna dans la serrure rouillée. Elle monta péniblement les marches de l'escalier en colimaçon, et, arrivée au palier du quatrième étage, respira un bon coup. Elle tourna la poignée de bronze, rentra dans l'appartement sur la pointe des pieds, et...
-Anita !
La jeune fille se retourna, et distingua, à son plus grand déplaisir, sa mère. Certains pourraient sauter dans les bras de leur "mater", mais pas Anita. Sa "manman" la traitait toujours comme si elle avait 5 ans, alors qu'Anita en avait dix-neuf. Mme Sanchez portait une hideuse robe de chambre verte, avec des bigoudis violets qui juraient affreusement avec se chevelure auburn. Ses pieds, empaquetés dans des espèces de chaussons roses, semblaient squelettiques et boursoufflés. Mais Anita s'abstint de tout commentaire. Elle enleva sa veste en jean, ses baskets et ramena les quelques cheveux épars dans sa queue de cheval.
-Bonsoir maman, fit-elle d'un sourire mielleux à souhait.
Encore une belle discussion allait commencer...

[livresaddict]

Anita fixa le mur en crépis derrière elle. Elle le sentait mal avec sa mère

-Ton père a appelé, il m'a demander de tes nouvelles. En disant cela, elle avait une mine de dégout profond envers mon paternel, Tu dois le rappeler au plus vite.
-Oui maman.
-Ton repas est prêt, il se trouve sur la table, mange vite avant que ça ne refroidisse trop !

Je m'éclipse vite dans la cuisine, en effet sur la vieille table en bois se trouve une assiette de pâtes et saumon fumante. Purée c'est adorable mais je suis assez grande pour me réchauffer une assiette !
Je la prends, traverse le vieux couloir et me dirige vers la chambre, le chat à mes trousses, à cause du saumon. Évidement, maman est encore passée dans ma chambre, le lit est fait, mon bureau rangé, le linge plié dans l'armoire,les poils de Tigrou ont disparu de ma couette et ça sent bon l’encens !
Je l'aime ma maman, mais parfois c'est étouffant.

Maussade, je m'assois sur mon bureau et commence à manger en ouvrant mon ordinateur, le sourire me reviens de suite quand je vois l'auteur de mon dernier commentaire Facebook.

[asterix2006]

De Josseline :
Si tu veux on ira avec ta mamie-jojo faire du shopping tu sais le rouge à lèvre…et de la crème. On se retrouve chez Yves Rocher et c’est moi qui offre !

Je souris en répondant : Mamie Jojo ne manque pas de surprise ! Une fois, elle m’a offert un livre pour mes sept ans. Dégoûtée, je l’ai quand même lu… et j’ai adoré ! Elle savait ce qui me plaisait, et j’adorais. Elle m’emmenait au Mac do, au ciné, au centre commercial… Bref, je l’adore. Je referme mon ordi, me lave les dents longuement, puis recrache tout dans le lavabo. Je me mets au lit, et le sommeil me tombe dessus comme une masse. Je sombre dans des rêves mystérieux… Toc ! Toc ! Toc ! Je vois dans mon rêve une porte… Je l’ouvre. Et…
-AAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRGGGGGH !
Un mec super canon, aux joues métis et à la crinière crépue et noire, se tient sur mon lit. Un sourire vient éclairer ses traits fins. Il porte une chemise blanche, un jean noir et une veste en cuir.
-Euh, bonjour, je murmure, ébahi par la présence d’un mannequin sur ma couette.
-Salut. Je m’appelle Mike, et je suis ton génie.
Oh. My. God…