| Dix-huit ans | Démon rebelle de sexe | Heartbreaker | Boule de haine |
J'entends des pas précipités derrière moi, ils résonnent dans la pièce et me cassent les oreilles. Je lance un regard derrière mon épaule pour vérifier qui vient d'entrer de cette manière. Mon Dieu j'hallucine c'est encore elle. Je lâche un grognement, jusqu'où devrais-je aller pour qu'elle comprenne que je ne souhaite pas lui parler ? J'ai besoin d'être seul, surtout en ce moment où je retrouve mes démons laissés temporairement au placard. Je longe les couloirs, monte les escaliers, prends tout de suite à droite, je connais le chemin par cœur tant je l'ai détesté. Le vacarme ambulant me suit, elle est complétement décidée à me faire chier. Vu ma première opinion d'elle, je ne suis même pas certain qu'elle le fasse exprès. Elle doit simplement être une idiote. Pas le moindre du monde décontenancée par ma précédente réponse et mon manque d'intérêt pour ce qu'elle représente, elle poursuit son interrogatoire par des questions toutes aussi personnelles que les autres. Je ne comprends pas pourquoi elle s'acharne autant. Face un manque de considération, la plupart des gens laissent tomber après avoir insisté légèrement or elle, au contraire, elle ne perd pas son souffle. Pire, on dirait que j'ai attisé sa curiosité et qu'elle est intéressée par ce qu'elle pourrait découvrir de ma vie. Que c'est agaçant. Je n'aime pas les filles compliquées, et j'ai bien l'impression que c'est un cas. Faut-il que je le hurle, que je m'égosille, que je me déchire les cordes vocales pour qu'ils le comprennent ? Je ne suis plus en vie. Je suis mort. Mort, archi mort. Je ne suis plus rien, sinon un cadavre ambulant qui se drogue et qui baise qui il veut quand il le désire. On ne doit pas me trouver intriguant. Il n'y a rien à gratter sur un déchet qu'on a jeté à la poubelle. -Les filles qui ne me prennent pas la tête.
Mon ton n'est déjà plus le même, je suis sur les nerfs, près du vide et prêt à sauter. Putain ! Je dois me calmer. C'est à cause de cet Institut de merde, cela ne va pas faire dix minutes que je suis ici que j'étouffe. Je laisse tomber la blonde, claque la porte de ma chambre derrière moi et balance ma valise sans me soucier des dégâts que je pourrai causer. J'examine la pièce, elle me donne envie de gerber. Je fouille dans mes affaires et attrape à la va-vite mon maillot de bain. Le temps presse, ce n'est jamais très beau à voir quand je délaisse mon dernier masque. J'ouvre la porte de la main gauche tout en fermant les yeux. Si l'autre est encore là, elle va amèrement le regretter. Je le rappelle, je ne suis pas violent, je règle les problèmes par mes propres moyens. Seulement, ces derniers ne sont pas tout le temps gentillets.
La réponse à ma question sur son genre de fille est directe mais je crois qu'il m'a mal compris. J'ai comme l'impression qu'il a cru que je flashais sur lui, parce que si je voulais savoir son genre de fille, c'était pour savoir s'il y avait un risque qu'il s'approche de mes amies. Puis-je compter Tenessy comme mon amie encore ? Même s'il a les mêmes goûts que Chochotte pour le péché de la luxure, il ne lui ressemble pas du tout. Il est déjà plus agréable de ne pas le voir me draguer comme Jespen, même si je pense qu'il a capté qu'il ne se passera jamais rien entre nous et que nous somme de bons amis désormais. Mais j'aime bien flirter avec lui de temps en temps pour le délire. Enfin bref, tout ça pour dire, que je ne m'intéresse pas à lui de cette manière, et ça ne le sera jamais. JAMAIS ! Au moins, c'est déjà bien qu'il est répondu à cette question. Je me demande si c'est mon flux de réponses qui l'empêche de répondre à toutes mes questions ou juste l'hypothèse qu'il soit asocial. Dur dilemme.
A Nashville, j'en ai vu des vertes et des pas mûres. Des gars trop c*ns pour savoir ce que c'est un dictionnaire me balançant toutes sortes de surnoms allant de dégradant de la femme à dégradant de l'humanité, des dragueurs à deux balles qui retourne la veste en apprenant à me connaître, et même des pestes qui me fuient comme la peste. Ha ! Mais jamais on ne ne m'avait claqué la porte comme ça ! Une première. J'applaudis son geste pour le féliciter d'être le premier. J'avais bien saisis que ma présence pouvais le déranger, j'ai très vite appris à lire l'atmosphère dans ma vie et je gène tout le temps, donc je ne m'arrête pas malgré ça, sinon, on ne vit pas. Mais ce type, au mieux de courir vers sa chambre à me balancer deux réponses comme ça, aurait pu mieux agir pour me le faire comprendre. Une bouche ça sert à parler, à communiquer. Peut-être qu'on ne lui a pas appris, et qu'il faut le lui dire. Pauvre petite chose inculte. Lui, je vais le surnommé "Fuyard". Le type qui fuit la queue entre les jambes au mieux de dire tout haut ce qu'il pense. Pfff, les gars ne sont rien d'autre que des êtres qui ne possèdent que virilité et rien d'autre. Ils ne savent pas faire face aux problèmes. D'ailleurs, je me demande comment il fait pour avoir des filles dans son lit s'il se comporte comme ça. Voyant mon magazine sortir, je le sors et l'enroule sur lui-même, avant de frapper le vide. Il mérite bien un coup ce gars-là, peut-être qu'après il saura user de sa bouche autrement que pour le sexe.
Maintenant, deux choix s'offrent à moi, frapper pour lui rappeler le fonctionnement de la communication, ou attendre qu'il ressort. Je n'ai pas à réfléchir bien longtemps que la porte rouvre et le vois avec les yeux fermés. Je hausse les épaules en grimaçant devant ce comportement enfantin. Les hommes sont désespérants.
Je lève mon bras tenant le magasine et le pose sur son torse, comme le prenant en joue avec une arme. Hé ! Si t'as des co*illes, ouvre les yeux et parle-moi franchement au mieux de prendre tes jambes au cou. Et à preuve du contraire, l'herpès n'empêche pas de parler.
Je finis par hausser les sourcils en attendant que Fuyard décide de jouer aux gars une bonne fois pour toute. Je suis catholique, je suis féminine, mais je suis un vrai garçon manqué à l'intérieur et je n'ai jamais eu peur de frapper. Les gens de Nashville le savent très bien et ce n'est pas pour rien que j'étais une sacrée bonne joueuse au hockey sur glace.
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C'était trop beau pour être vrai. Je n'ai nullement besoin d'ouvrir les yeux pour sentir sa présence près de moi. Décidément, je ne la comprends pas, et je n'ai même pas envie d'essayer de le faire. Il vaudrait mieux arrêter tout ça avant que ça ne dégénère. Je n'ai plus qu'à l'esquiver définitivement et le tour sera joué. Elle est peut-être idiote mais pas à ce point conne, en tout cas j'espère pour elle.
Seulement, alors que je partais sur cette dernière résolution, je sens un poids contre mon torse. Qu'est-ce qu'elle est encore allée faire celle-là ? Elle n'en finit jamais avec son excentricité ? Son discours ne m'étonne même plus. Il n'a ni queue ni tête tant elle ne me connait pas. Est-ce que quelqu'un peut me dire où est-ce qu'elle a trouvé son histoire d'herpès ? Lui faut-il obligatoirement une explication scientifique pour qu'elle comprenne que je ne désire pas lui parler et encore moins passer du temps en sa compagnie ? Si j'ai des couilles ? Oui j'en ai, et j'aurais pu te les montrer si je n'étais pas autant lassé et énervé. Étrange symbiose quand on y pense. J'ouvre les yeux, je regrette déjà de quitter la noirceur qui m'englobait. La lumière me parait cruelle, d'autant plus qu'elle me permet de voir le magazine enroulé et posé sur moi. C'était donc ça. Mon Dieu c'est une vraie fille jusqu'aux bouts des ongles. Je ne sais pas ce qu'elle a voulu faire avec son truc mais c'est comme si elle me provoquait. C'est surement ça d'ailleurs. Il faut qu'elle fasse tout pour se faire remarquer, pauvre petite chose. Elle réalisera rapidement qu'on ne joue pas avec moi, sauf si c'est moi qui défie la personne, dans quel cas elle doit sérieusement m'intéresser pour que je dédaigne lui accorder de mon temps.
Toujours la grosse tête, je n'ai pas changé. -Désolé chérie mais j'ai autre chose à faire que de jouer à la nounou avec des enfants qui deviennent capricieux quand ils n'obtiennent pas ce qu'ils veulent. Tu ne m'intéresses pas. Je ne souhaite pas sociabiliser avec les petits nouveaux. Je ne veux même pas de ta bonne humeur trop collante. Maintenant que tu as obtenu de la sincère venant de ma part je me casse d'ici, et tu ne me suis pas.
Je repousse sa revue et me décale afin de pouvoir passer sans la percuter. Une bonne chose de faite. Mon maillot de bain à la main, je dévale les escaliers et effectue le trajet inverse pour sortir du bâtiment. L'air frais me fait du bien mais ce qui va véritablement m'aider à oublier les désagréments de cette journée, c'est la piscine. En soi, blondinette ne semble pas méchante. Elle m'a juste rencontré au mauvais moment, c'est pas de chance pour elle, et surtout pour moi. Néanmoins je n'irai pas m'excuser auprès d'elle, ça ne vaut pas le coup de décrocher la lune juste pour ça.
Je hais cet Institut.
Le chlore vient chatouiller mes narines, j'en suis tout excité. Les vestiaires sont déserts, le calme est agréable. J'enfile mon maillot de bain avec vivacité pour ne pas perdre inutilement du temps. L'eau est chaude à souhait et m’accueille comme si je lui avais manqué.
Jesse peut toujours le suivre mais je ne garantis rien concernant la réaction de Samaël
Glam en voyant ton post je me suis rappelée que j'avais toujours pas lu ta fiche. x)
J'aurais normalement plus de temps demain soir et après donc si en milieu de semaine t'as pas de nouvelles hésite pas à me le rappeler. On sait jamais. XD
Désolée de me lenteur. x)
Je lui demande d'être franc, d'avoir un peu plus de co**illes, désolée pour le mot Seigneur, et le voilà en train de tout dire. C'était pas bien compliqué de me dire d'aller voir ailleurs. Cependant, il faudrait qu'il m'explique son truc sur " Tu m'intéresses pas. " J'ai rien demandé, ce n'est pas comme si je coulais sortir avec lui, mais juste être son amie. Et il a osé me dire que j'étais capricieuse en plus. Et par-dessus le marché, il se casse sans me laisser le temps de répondre. Mais c'est qui ce type qui ne sait vraiment dialoguer. Je plisse des yeux tandis qu'il s'éloigne dans le couloir. Je pourrais le suivre pour justement lui dire mes quatre vérités, mais je n'ai pas envie de trimballer mes valises partout dans l'institut, surtout à ma piscine, si c'est là où il va, vu ses affaires qu'il a prit. Il doit connaître l'école pour savoir qu'il y a une piscine ou il a lu la brochure. Ils ont des brochures déjà ? Parce que je n'en ai pas eu, et comme ils semblent faire dans la discrétion pour ne pas attirer l'attention des humains, je vois mal une brochure de Quaoar dans la salle d'attente du dentiste. S'ils l'ont fait ils pourraient tout à fait bien mettre une pancarte sur l'école disant " On est là, dilapidez-nous.".
Je décide d'aller dans ma chambre poser mes affaires alors que je ne vois même plus la silhouette de... c'est quoi son nom déjà ? Il me l'a dit au moins ?
Allongée sur mon lit pour me remettre du voyage, la discussion avec ce type tourne en rond dans ma tête, avec bon nombre de choses que j'aurais pu répondre. Et comme ça me prend le chou et que je ne veux pas que ça me ruine encore plus la journée comme ça, je quitte ma chambre pour aller le voir. Je vais partager ma sincérité avec lui aussi. Je le retrouve déjà dans l'eau. Je longe le bassin pour être à sa hauteur afin qu'il entende ce que j'ai à dire. Hé ! Toi ! C'est bien d'avoir parlé mais laisse les autres répondre. Y'a plusieurs points sur lesquels je veux revenir. Un, je ne suis pas une enfant gâtée qui fait un caprice quand elle n'a pas ce qu'elle veut. J'aime juste que les choses soit claires et les personnes franches, chose que tu n'es pas, et pour la politesse, le minimum de savoir vivre on repassera mon cher. Deux, je suis contente de ne pas t'intéresser car tu ne m'intéresses pas du tout non plus, mais alors pas du tout, t'es loin d'être mon type, mais j'ai voulu t'accueillir comme il se doit ici et peut-être devenir ami avec toi, ce qui ne semble pas prêt d'arriver. Trois et dernier point, tu ne me donnes pas d'ordre et mon humeur n'est pas collante, elle est juste débordante, c'est tout. Je terminerais sur le fait que la communication est un bon moyen pour se comprendre, alors utilise-là.
Je lâche un gros soupir une fois fini et réfléchis un instant afin de savoir si j'ai tout dit. Et je reste là si tu as quelque chose à répondre, car j'ai du savoir vivre.
Seigneur, j'ai fait preuve d'une grande gentillesse pour le coup, je pense. Je n'aime pas qu'on me prenne de haut, car on est tous égaux et que seul le Seigneur tout puissant nous domine, et qu'on file la queue entre les jambes une fois qu'on a tout dit.
Coucou - me revoilà 0,0 - euh, bref voilà, désormais j'ai beaucoup plus du temps libre et c'est en lisant vos rp's que je me suis souvenu comme j'aimais rp' ici.
Alors je me demandai si c'était possible que je puisse revenir?
Et si possible, créer une prof? Ça ne me dérange pas qu'elle soit un personnage secondaire...
Bah en fait pour tout t'avouer je sais toujours pas non plus ce que je vais faire de Quaoar. Le rpg coule et je perds la motivation donc je ne pense pas que ça soit très judicieux que tu te casse la tête à revenir ici et créer un personnage. Je ne suis pas encore sûre de ce que je vais faire de ce rpg. ^^'
Si jamais j'ai une idée ou un élan de motivation pour le reprendre correctement en main je te dis mais j'en suis pas certaine. :/
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Mon esprit flotte, bulle d'air dans cet océan d'eau chlorée. La sensation mécanique de mes bras tranchant l'eau est grisante. J'ouvre les yeux, tout est bleu, limpide et onctueux. Le silence est assourdissant. Mes pensées et ma rancœur disparaissent comme si elles n'avaient jamais existé. A cet instant, je suis loin de tout, de l'institut, des métamorphoses, des visages gris. Je suis au plus près de moi-même, dans la forme la plus véridique. L'eau est la seule chose qui peut me mettre entièrement nu, corps et esprit. Je ressens ses particules sur ma peau, sa fermeté, sa résistance, et je regrette de ne pas pouvoir me désintégrer pour ne faire qu'un avec elle. Seulement l'oxygène vient à manquer, mes poumons n'ont plus de réserve, ils meurent lentement, je reviens à la surface de l'eau.
Tout s'arrête.
Un visage, des courbes féminines, des cheveux blonds, de grands yeux. Je redécouvre celle qui m'a suivi depuis mon arrivée à l'Institut. Sortant de ma transition, à demi-conscient, je n'éprouve plus rien à son égard, c'est le vide sidéral. Ni de colère, ni de haine, juste un grand rien et une mémoire floue. Je fixe ses lèvres, elles bougent, c'est à peine si je comprends ce qu'elle dit. Le début de sa tirade ne m'intéresse pas, le milieu est faux et uniquement la dernière partie m'intrigue. Humeur débordante. C'est très fort comme expression je trouve. Elle me plait. Aussi, elle me décrit bien, non ? Sauf que contrairement à elle, ce n'est pas de joie et d’enthousiasme que je déborde mais de rage, de haine et de luxure. Mélange beaucoup plus dramatique. J'ai l'impression d'être drogué, je ne me ressemble pas. Je devrais l'envoyer chier afin de pouvoir retourner rapidement sous l'eau mais cette dernière a un effet dévastateur sur moi, elle me métamorphose pour quelques instants.
Dans l'eau, je me sens bien, et ce n'en est que bouleversant. -Je suis le type de tout le monde, la corrigé-je. Mais tu en doutes car tu ne m'as vu que sous un mauvais angle.
En y repensant c'est curieux qu'elle ait vu ce morceau de ma personnalité, colérique et dédaigneux. La plupart du temps, parce que je suis las d'être entre ces murs, je ne montre aucun sentiment, qu'ils soient négatifs ou positifs. Les Marqués ont souvent tendance à me décrire telle une coquille vide ou une ombre furtive. Le personnel de l'Institut qui connait ma véritable identité n'ose pas.
Je souffle sur l'eau, observe la réaction de celle-ci et souhaite retrouver ce havre de paix. Néanmoins il me faudra attendre encore un peu, le temps que je puisse retrouver ma liberté quand Blondinette sera partie. Je ne plonge jamais quand je ne suis pas seul, il est hors de question que je dévoile ma fragilité. Elle en a déjà assez vu comme ça.
Il ne sort qu'une seule phrase, enfin non deux, pour me dire qu'il est le type de tout le monde. J'ai la sensation d'avoir un deuxième Jespen devant moi. Je reste quelques instants ébahie par sa confiance en lui avant de lâcher un "o.k.". Je ne doute pas qu'il s'est tapé pas mal de filles, mais, je suis sûre qu'il y a des filles qui ne voudraient pas de lui, et j'en fais partie, car les hommes c'est pas mon truc. Jespen n'a pas réussi à me mettre dans son lit, c'est pas lui qui va arriver. Il n'y a eu qu'un seul gars et je le regrette terriblement. Je pose les mains sur mes hanches en me redressant. Ecoute, je pourrais te voir sous tous les angles, tu ne sauras jamais à mon goût. On pourrait se retrouver dans un lit nu, qu'il ne se passera rien. Alors quand je dis que t'es pas mon type, c'est que t'es PAS mon type. Comprende ? Le maximum que tu peux avoir avec moi, c'est une amitié, et c'est mal parti pour le moment mais y'a encore des chances pour ce statut. Mais va falloir que tu te mettes en tête que tout ça, je désigne mon corps de mes index. Ne sera jamais souillés par tes sales pattes.
Faut savoir mettre les choses au clair, et qu'il ravale son égo. Au moins j'ai avancé d'un pas avec lui, on peut discuter calmement sans lui courir après. Bon après peut-être que c'est parce qu'il est dans l'eau et qu'il ne souhaite pas sortir pour x raison, ou qu'il attend que je lui laisse en paix, et je ne le ferais que quand on sera sur un pied d'égalité. J'ai bien l'intention de lui faire redescendre de son piédestal. Mais je t'autorise à fantasmer dans tes rêves car je ne peux les contrôler, c'est gratuit.
Je viens annoncer ici officiellement, puisque certaines le savent déjà, mais je vais fermer Quaoar. Ce rpg me tient à coeur mais je n'aurais plus le temps de m'en occuper et je n'ai pas envie de le laisser à l'abandon. J'ai plus de choses que je ne le pensais à gérer en dehors des rpg alors je n'ai plus vraiment le courage de me creuser la tête pour de nouvelles idées sur le forum, la gérance n'est plus trop ce dont j'ai envie en ce moment. C'est pas mal de boulot à gérer ici, je préfère donc le fermer et le laisser dans son état actuel.
J'ai été ravie de faire évoluer ce rpg ici en tout cas et désolée encore si certaines voulaient que je le garde ouvert sur BN mais très honnêtement après discussions avec plusieurs personnes mieux vaut le fermer.
J'ai cru comprendre que pour qu'il ne soit pas supprimer il fallait lui faire une vraie fin. Alors je vais essayer d'y réfléchir pour qu'on puisse quand même profiter du sujet et relire certains passages. Je sais que certains aiment bien, donc je vais essayer de pondre une fin dans les deux semaines qui viennent, si vous avez des idées n'hésitez pas et libre à vous de conclure un rp avec votre propre perso. Après je dois reprendre les cours alors j'aurais un peu moins de temps.
Hida je sais que ça fait pas longtemps que je suis sur ce rpg et que forcément j'y suis moins attachée que d'autres, mais en tous cas je voulais te remercier d'avoir créer ce super rpg et d'avoir accepter mon inscription même tardive
Pour ma part je comprends parfaitement que tu puisses être prise ailleurs donc j'ai juste hâte de voir la fin que tu vas faire ^^ et bon courage pour ton travail qui a l'air de te prendre du temps
La vie à l'Institut a repris son cours après l'attaque. En laissant certains traumatisés ou d'autres déterminés à se battre pour l'égalité et le respect de leur nature. De nouveaux élèves ont fait leur entrée pour apprendre à leur tour à maîtriser leurs animaux. D'autres sont partis. Ainsi continue la vie à l'Institut comme elle l'a toujours fait. La tranquillité de ce lieu n'est plus à prouver et c'est donc en toute sérénité que les élèves peuvent continuer à vaquer à leurs occupations.
