Mes poèmes personnels
Publié : jeu. 05 sept., 2019 3:37 am
Bonjour à vous cher lecteurs/lectrices,
j'écris des poèmes de puis quel que temps et j'aimerais vous les partager, si possible avoir un avis et savoir comment m'améliorer!
Bon, le poème ci-dessous est plus un essai qu'autre chose, mais je le met tout de même.
Le grand cheval noir
Fougueux est le grand cheval noir
qui court dans les plaines du matin au soir
mais le jour funeste est venu
où sa liberté fut révolu.
Sauvage est le grand cheval noir
qui se cabre et se bat avec espoir
il ne se laisse point toucher
alors les hommes l'on harnaché.
Furieux est le grand cheval noir
mais il se dit: de l'espérance je dois avoir
et ils ont fait de lui leur cheval de guerre
l'utilisant pour réquisitionner leur terre.
Victorieux fut le grand cheval noir
qui pense à ses belles plaines avec désespoir
s'il est devenu beaucoup plus sage
il lui manque encore ses contrées sauvages.
Honoré fut le grand cheval noir
mais c'est ses steppes qu'il a espérance de revoir
et bien heureusement pour le remercier
de ses services rendu les hommes l'ont libéré.
Heureux fut le grand cheval noir
qui court dans les plaines du matin au soir
mais le jour funeste est venu
où sa vie bien remplie fut révolu...
Souvenir d'un soldat
Elle avance dans la nuit
sans un bruit, sans un cri
dans les ruelles sombres
elle n'est qu'une ombre.
Rien ne lui fait peur pas même un fusil
il ne faut point écouté ce qu'elle dit
et quand tremblent ta voix
tu comprend elle est devant toi.
C'est dans le plus grand silence elle creuse
et découvre en toi cette peur silencieuse
le temps semble s'arrêter indéfiniment
Et tu soufre de ton éternel isolement.
Quand tu la regardes enfin de face
tu lis dans ses yeux des menaces
tu a beau te dire que tu ne la craint
rien n'y fait tu ne peux te reprendre en mains.
Comme on le dit souvent la mort tue
et si par malheur elle te prend en chasse tu es perdu
c'est là mon cher que tu tombes
mêlé par erreur à cet hécatombe.
Menaçant est ce retour au silence
car sans l'entendre tu sens la souffrance
ton rêve de vengeance ne fut qu'un malaise muet
témoin de ce que ton avenir sans la guerre serait.
Heureusement ses souvenirs sont vieux
et si tu l'aurais voulu tu aurais pu les brûler dans le feu
mais la peur n'a pas sa place, car c'est ce que tu as autre fois vécu
et tu sais depuis longtemps que se sont des années révolu.
Elle avance dans la nuit
sans un bruit, sans un cri
dans les ruelles sombre
elle n'est qu'une ombre.
Et pour finir, voici un petit poème plutôt court sur le thème de la quête de Thorïn et Bilbo dans le livre "Bilbo le Hobbit".
La montagne solitaire
Splendide sommet immortel à l'aspect mystérieux
Se dressant telle une épée pointant vers les cieux
Plus vénérable et plus imposant que les arbres du passé
À la haute porte de pierres finement sculptées
Passage révélant de grandioses galeries surplombant
Maints amoncellements dorés et miroitants
Jadis âtre du ténébreux et pernicieux cracheur de feu
Aujourd'hui domicile des nains marchands de précieux
Lieu où magie et fantaisie sont intemporelles
Sorti d'un esprit imaginatif et solennel
Forgé par l'homme à la plume allègre et malicieuse
Ayant créé cette haute cime de neige rocailleuse
À jamais semble-t-il dans toute sa noblesse elle demeure
Dominant l'horizon entre ciel et terre de toute sa hauteur
Gravée dans les glorieuses légendes de son ère
Nommée comme étant La montagne solitaire
P.-S. : Je suis désolé pour les fautes d’orthographe, j'essais de les corriger le plus possible, mais bon la plus part m’échappe tout de même. Si quelqu’un veut me corriger sur la syntaxe et les fautes d’orthographes, il n'y a aucun problème.
j'écris des poèmes de puis quel que temps et j'aimerais vous les partager, si possible avoir un avis et savoir comment m'améliorer!
Bon, le poème ci-dessous est plus un essai qu'autre chose, mais je le met tout de même.
Le grand cheval noir
Fougueux est le grand cheval noir
qui court dans les plaines du matin au soir
mais le jour funeste est venu
où sa liberté fut révolu.
Sauvage est le grand cheval noir
qui se cabre et se bat avec espoir
il ne se laisse point toucher
alors les hommes l'on harnaché.
Furieux est le grand cheval noir
mais il se dit: de l'espérance je dois avoir
et ils ont fait de lui leur cheval de guerre
l'utilisant pour réquisitionner leur terre.
Victorieux fut le grand cheval noir
qui pense à ses belles plaines avec désespoir
s'il est devenu beaucoup plus sage
il lui manque encore ses contrées sauvages.
Honoré fut le grand cheval noir
mais c'est ses steppes qu'il a espérance de revoir
et bien heureusement pour le remercier
de ses services rendu les hommes l'ont libéré.
Heureux fut le grand cheval noir
qui court dans les plaines du matin au soir
mais le jour funeste est venu
où sa vie bien remplie fut révolu...
Souvenir d'un soldat
Elle avance dans la nuit
sans un bruit, sans un cri
dans les ruelles sombres
elle n'est qu'une ombre.
Rien ne lui fait peur pas même un fusil
il ne faut point écouté ce qu'elle dit
et quand tremblent ta voix
tu comprend elle est devant toi.
C'est dans le plus grand silence elle creuse
et découvre en toi cette peur silencieuse
le temps semble s'arrêter indéfiniment
Et tu soufre de ton éternel isolement.
Quand tu la regardes enfin de face
tu lis dans ses yeux des menaces
tu a beau te dire que tu ne la craint
rien n'y fait tu ne peux te reprendre en mains.
Comme on le dit souvent la mort tue
et si par malheur elle te prend en chasse tu es perdu
c'est là mon cher que tu tombes
mêlé par erreur à cet hécatombe.
Menaçant est ce retour au silence
car sans l'entendre tu sens la souffrance
ton rêve de vengeance ne fut qu'un malaise muet
témoin de ce que ton avenir sans la guerre serait.
Heureusement ses souvenirs sont vieux
et si tu l'aurais voulu tu aurais pu les brûler dans le feu
mais la peur n'a pas sa place, car c'est ce que tu as autre fois vécu
et tu sais depuis longtemps que se sont des années révolu.
Elle avance dans la nuit
sans un bruit, sans un cri
dans les ruelles sombre
elle n'est qu'une ombre.
Et pour finir, voici un petit poème plutôt court sur le thème de la quête de Thorïn et Bilbo dans le livre "Bilbo le Hobbit".
La montagne solitaire
Splendide sommet immortel à l'aspect mystérieux
Se dressant telle une épée pointant vers les cieux
Plus vénérable et plus imposant que les arbres du passé
À la haute porte de pierres finement sculptées
Passage révélant de grandioses galeries surplombant
Maints amoncellements dorés et miroitants
Jadis âtre du ténébreux et pernicieux cracheur de feu
Aujourd'hui domicile des nains marchands de précieux
Lieu où magie et fantaisie sont intemporelles
Sorti d'un esprit imaginatif et solennel
Forgé par l'homme à la plume allègre et malicieuse
Ayant créé cette haute cime de neige rocailleuse
À jamais semble-t-il dans toute sa noblesse elle demeure
Dominant l'horizon entre ciel et terre de toute sa hauteur
Gravée dans les glorieuses légendes de son ère
Nommée comme étant La montagne solitaire
P.-S. : Je suis désolé pour les fautes d’orthographe, j'essais de les corriger le plus possible, mais bon la plus part m’échappe tout de même. Si quelqu’un veut me corriger sur la syntaxe et les fautes d’orthographes, il n'y a aucun problème.