Après ma confrontation avec l'ange pro-humain, j'était resté dans mon coin à observer les gens qui se réveiller et qui parler entre eux. Et j'ai commencé a faire une liste de ceux que je pense humain, par autre d'importance au vu de leurs qualité physique extérieure. Il semblerait que nous sommes les seuls habitants de cette planète, du coup ma meilleure source de nourriture est aussi ma favorite. Je ne peux pas tous les éliminés en une fois, d'abord ça me ferait beaucoup trop à manger, et puis ils peuvent être un minimum utile avant de finir en quatre heure. Sauf s'ils meurt de fin d'abord. Ça résiste bien à la faim les humains ? Au vu de ceux qui ont commencé à râler d'avoir faim quand le soleil a commencé à décliner, il semblerait que non. Combien de fois mange-t-il dans la journée ? Combien de tonne de déchet produisent-ils à chaque fois ? Combien finissent dans ma mer et mon océan à tué mon peuple ? Ma colère naissance laisse place à la tristesse quand je pense à mon peuple. Les chances qu'il y ai une sirène ici sont rares, et concrètement ses chances d'être stériles sont importantes. Je suis donc le dernier de ma race. J'espère qu'ils arriveront à survivre sur terre.. Si on est venus, peut être que l'on pourra repartir. Et si on repart j'aurais encore une chance de faire des enfants qui continuerons de perpétré notre race.
Le ciel avait revêtit ses étoiles et les deux lunes dans le ciel éclairer la clairière. Elles ne sont pas encore pleine, mais leurs lumière est déjà importante. Soudain la végétation s'éclaire, comme les méduses de chez moi. Les animaux sortent, tous aussi lumineux. Il semblerait que les cycles soient inversés. La où sur terre la vie était sous le soleil, ici elle est sous la lune. Enfin, les lunes. Pour l'instant l'on ne voit que quelques insectes, et l'on entends le chant des oiseaux. Mais il y a fort à parier que notre présence ne passera pas inaperçu, que d'ici peut les prédateurs de toutes sortes vont sortir pour goûter à leurs nouveaux gibiers. Je me demande si j'ai le gout d'humain mélangé à celui de l'eau.
L'un des non-humains, un gars qui arrive à voler de ce que j'ai vu, propose de faire du feu. Il a raison ça tiendra les potentiels prédateurs à l'écart, ses notions de survie sont bonnes. Et tant que je ne sais pas si elle possède une quelconque ouïe, mieux vaut éviter qu'elle m'attaque. Même si j'espère ne pas être le seul à avoir un pouvoir d'attaque. Tant qu'à faire s'ils ont en vie, qu'ils servent à quelque chose.
Je me dit que je devrais répondre au non-humain, même si mes jambes ne sont pas dans leurs meilleurs états, pour ramasser des morceaux de bois je devrais toujours pouvoir aider. Et puis pourquoi pas aussi tenter de pousser les gens a parler d'eux autours du dit feu, ça me permettra de mettre à jour ma liste de futur repas. Je me lève et parle sur le même ton que lui, suffisamment fort pour que les autres, et spécialement ces égoïstes d'humains m'entendent.
- C'est une bonne idée, ça tiendra à l'écart de potentiel prédateur.
En quelque pas hésitant, et sans tomber je me suis rapproché de lui.
- Je n'ai jamais fait de feu, je n'en ai jamais eu besoin, et mes jambes ne sont pas dans le meilleur état, mais mes bras sont bons, je t'aiderais dit moi juste ce dont tu as besoin.
Je tente un sourire, pas carnassier, histoire d'éviter de me mettre a dos tous les non-humains. Avec un peu de chance celui-ci partage ma haine de ses pollueurs..
Glam': Dit moi le bois mort, il est toujours fluorescent ou il est normal ?
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KimTae ; Médecin ; Survivant suicidaire
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On avait bien parlé avec Jesaïa qui avait fini par me dire son prénom. La logique voudrait que l'on ne viennent pas du même monde. Ou mon labyrinthe est un projet top secret dont personne n'as jamais entendu parlé. Les deux sont possibles. Mais en observant les autres je me dis que la possibilité de différent univers est.. plausible.
- Une fois l'impossible écarté, aussi terrifiant sois le reste il ne peux s’agir que de la vérité. Ou l'on t'as menti dans les faits écartés. Ou ils t'en manquent.
Le soir est entrain de tomber, et au crépuscule tu m'apparais plus facilement. Je me suis dit que la rencontre entre le soleil et la lune devrait aussi rendre notre rencontre plus facile. Mais la nuit tombe est rien n'est bon pour passer la nuit. Heureusement le ciel est dégage, et il fait plutôt bon, mais la faim me tiraille. Je connais certaines herbes et plantes qui peuvent se manger, on pourrait en faire une soupe.. Soudain, la forêt s'illumine, et un putain de moustique viens sur moi. C'est bestiole on toujours adorer mon sang, parait que c'est parce qu'il est trop chaud. Mais sur cette planète, ils sont fluorescents ! Ton règne de terreur s’arrête ici ! Je me prépare et pendant un instant je me prends pour un chat, même si je n'en ai jamais vu. Je me prépare et..
- YEAH !
Je l'ai ! Me rendez compte que j'ai crié, je redeviens rouge comme le sang, et je commence à bafouiller.
- C'est euh, le moustique.. Je l'ai eu.
Mais heureusement pour moi, personne ne m'écoute, tout monde observe la forêt entrain de s'éveiller. Cette foret est comme les griffeurs. La nuit ils se réveillent. Oh bordel, j'espère qu'il n'y en a pas ici. Parce que là, sans les murs du labyrinthe, on est mort avant le levé du soleil. Un garçon propose de faire un feu, il a l'ai gentil il me rappel un Lucas qui avait les mêmes cheveux que lui. Et l'homme poisson se propose de l'aider. D'un côté ça me rends triste de dénaturer ce magnifique paysage, mais en même temps.. On as pas besoin de lumière, mais une sorte de chaleur supplémentaire ne sera pas de refus, et il faut monter le campement. On aurez dut penser à ça avant que le soleil ne tombe.. Enfin, on y vois toujours.
Kim Tae a sorti une tirade complète pour me parler de sa mémoire, et de mes yeux. C'est là, que j'ai compris. Que mes yeux maintenant sans doute ils t'appartenaient. Que c'était ton visage à toi que je devais me remémorer pour l'éternité. Que ça serait le seul à compter. J'ai haussé les épaules quand il m'a demandé si j'avais pleuré, on aurait dû s'en inquiéter quand j'étais gamine, à la limite. Et je suis partie. Et dans la forêt j'ai continué à chercher, je te jure j'ai pas arrêté, j'ai attrapé une branche, je m'en suis servie pour avancer, un peu humiliée c'est vrai. J'ai vérifié que personne me suivait, mais pour tout te dire je pouvais pas en être certaine, non tout ce que je pouvais faire c'est tendre l'oreille. Mais j'ai rien trouvé. Je te jure, y'avait que dalle. Sauf une rivière, que j'ai rejoint et où j'en ai profité pour boire, ouais je mourrais de soif. Et après j'ai plongé ma tête dans l'eau. Je pensais qu'à mes yeux. Je me suis dit que ça leur ferait peut-être du bien. C'était sur le coup, t'sais, comme ça. J'ai bu la tasse, et toi tu te serais foutu de ma gueule, comme tu l'as toujours fait quand tu voulais m'emmener me baigner et que je te disais mais non je sais pas plonger sans me boucher le nez. Depuis toi, j'avais toujours eu le reflex de respirer, je pouvais pas juste m'arrêter. L'eau a enlevé les dernières traces de sang sous mes ongles, et en même temps, j'ai regretté les traces de peinture qui m'accompagnaient tout le temps, là sur mes mains, une preuve de ce que j'étais. Douée. ça m'a fait percuté, d'un coup. Les yeux, ça faisait pas tout. Moi ma force, surtout, je l'avais là, au creux de la paume, dans le bout des doigts. Mon talent il émanait surtout là, tu crois pas ? Et tant que j'avais mes mains, j'étais toujours moi, Jesaïa. Seulement, fallait que je m'en serve autrement, mieux, plus délicatement. Quand je suis sortie de l'eau, j'avais froid. J'ai reniflé, les cheveux et les genoux trempés : je m'étais agenouillée puis penchée. Tout à coup je me suis rendue compte que y'avait moins de lumière sur les extrémités, et dans toutes ces tâches là tout partout, et que sans doute la nuit elle était tombée. Alors je sais pas comment, mais j'ai rejoint la clairière, toute tremblotante. Peut-être que le froid m'a fait délirer, parce que j'ai cru entendre un oiseau, comme un de ceux que j'aimais tant écouter, fenêtre ouverte, vue sur le quai. Mais ici y'en avait pas d'oiseau, j'avais eu toute la journée pour le constater. Les genoux qui s'entrechoquaient et les dents qui claquaient, je me suis demandée si ça faisait ça, la mort. Si tu l'avais sentie, le froid t'engloutir, t'enlever la vie. Si ça t'avais paralysé. Si t'avais eu peur. Toi je t'avais jamais vu avoir peur. T'étais toujours là, à imposer le respect n'importe où tu allais, même quand on savait même pas qui t'étais. Ouais, y'a des gens qui ont pas eu cette chance.
Mais après l'oiseau, j'ai entendu un autre bourdonnement, là tout près de mon oreille, un de ceux bien agaçant, qui me faisait gueuler à l'hôtel "putain mais t'as pas mis la moustiquaire ?" et à toi de répondre "bordel mais je t'avais demandé à toi de le faire" parce que t'avais la flemme de te bouger. L'espèce d'un instant j'ai encore senti la chaleur de ton corps sur le mien qui m'écrasait, et j'ai eu l'impression de pouvoir t'enlacer. Mais tout ce que j'ai embrassé, ça a été du vide, et brusquement je suis revenue à la réalité.
Peut-être que d'un seul coup ça a été le matin, parce que la lumière est revenue, mais la lumière était bizarre, comme je l'avais jamais vu. Elle avait un aspect trop brillant, trop éclatant, jusqu'à ce que je me rende compte que c'était rien d'autre que du phosphorescent. J'aurai aimé profiter pleinement du spectacle, et j'ai envié tous ces gens autour de moi qui pouvaient le voir. J'ai compris que y'avait des animaux, c'est comme si on les entendait dans les buissons. Et comme par magie la faim elle s'est réveillée. Rien avalée depuis ce matin. Ça m'arrivait souvent, faut dire. Mais là j'avais pas vraiment eu le choix. D'habitude c'est que j'étais trop imprégnée par le monde autour de moi, et par toi. Passer toute une matinée à te faire l'amour sans penser à déjeuner, ça souvent je le faisais, je pouvais le faire comme si y'a que toi qui était nécessaire. Et tu l'étais, nécessaire. Mais là, mon estomac il était tendu, rétracté, et ça en devenait douloureux de pas manger. Je me suis dis putain, finalement ça peut se transformer en festin. Je préférais de loin dépecer un animal que de bouffer des feuilles.
Je sais pas qui j'ai bousculé. Mais il est pas très grand. Je le sens à mon épaule qui tape dans une autre épaule, même hauteur, à peine plus haute. Il doit faire ma taille, 1m75. Pas besoin de lever la tête inutilement, au moins. Je tends la main. Je te l'ai dit, m'en veux pas, mais maintenant tout mon être réside dans mes doigts. C'est la bouche que je viens toucher en premier, comme ça, pas fait exprès, vraiment.
-Ah merde, désolée. Très douces, ces lèvres.
Je dis parce que c'est la vérité. Première fois que j'agis comme ça, je sais pas trop comment procéder. On peut pas vraiment être timide, quand on a pas d'autre choix que de se rapprocher. Je parcours son nez, ses sourcils, ses cheveux aussi, comme si c'était une putain de sculpture de Michel Ange que je touchais. Tu me diras, pour une fois j'ignore la musculature.
-Tu m'en voudras pas, mais je préfère savoir à qui je parle. Et au moins, je sais que t'es pas chinois.Enfin, je crois pas. J'en ai croisé un. Mais t'sais, moi, j'aime bien la diversité. Ton nom ?
Primordial, le nom.
Je tourne un peu la tête, et je la bouge encore jusqu'à ce que je le vois légèrement sous un angle étrange. Il est mignon, c'est tout ce que j'arrive à voir, grain de beauté au dessus du sourcil, regard enfantin. Un peu trop enfantin. Je sais pas si un jour même j'ai eu ce regard là. A 7 ans déjà je me perdais dans l'espérance des grands. L'enfance pour moi c'était qu'une liste d'attente. Ennuyante.
-Ok, alors je sais pas toi mais j'ai un petit peu la dalle et j'ai comme l'impression que y'a pas de room service ici. Je suppose que tu le vois, mais si on doit chasser, je vais pas trop pouvoir viser toute seule.
Je fais de grands yeux, pour attirer son attention sur eux.
-Du coup, si ça te tente, tu les remplace, et je m'occupe du reste.
Parce que je peux pas juste rester assise, là. Je refuse de devenir une putain d'handicapé à cause de ce que tu m'as fait.
Je me souviens tout à coup de ton corps sur le lit, de la scie, et de mon envie de vomir. Je sais pas tant si c'est l'idée qui me révulsait, ou le fait que ça toi. Je sais pas si ça me fera pareil avec un animal. Je sais pas. Honnêtement j'ignore comment il faut s'y prendre pour le faire, mais si on trouve de quoi couper, deux trois coups pour enlever la peau et le tour est joué, pas vrai ?
-Ah tiens !
Je lui tends le bâton que j'ai traîné avec moi tout du long.
-Si on le taille, ça peut faire une lance.
Je dis au cas où ça serait pas évident.
Quelqu'un propose de faire du feu, et comme j'ignore réellement d'où proviens la voix, je me retourne même pas.
-Bonne idée, le feu.
Pour se réchauffer comme pour la cuisson, mais je me propose pas d'aller l'aider pour autant. Ramasser des branches, pas trop mon truc, pas trop ma tasse de thé, comme tu dirais.
-Je pense que je risque de me casser la gueule en cours de route, tu t'en doutes, alors si y'a une grosse bête, je peux toujours servir d'appât.
Dernière modification par z-laurine7 le sam. 23 mai, 2020 6:33 pm, modifié 1 fois.
Wave n'a pas vu la transformation de Nami, il dormais encore
Un type pâle, bien bâti, aux cheveux blancs et au regard franc (t'as vu, ça rime !) approuve mon idée (bon à la base c'était surtout histoire de pas avoir froid mais il a raison ça se trouve il y a des prédateurs et tout... Pas cool.)
Il se rapproche. Et me propose de m'aider. Yes ! J'ai eu peur de me retrouver comme un con tout seul. Il n'a jamais fais de feu, normal, je sais que c'est pas une occupation super habituelle, surtout dans les pays européens.
Par contre cette histoire avec ses jambes m'intrigue. Peut-être il a eu un accident. Je décide de ne pas creuser, ça se trouve c'est un sujet sensible.
"Merci man c'est cool. Il faut du bois sec, des petites branches pour le début, et puis des plus grosses quand ça prendra. Par contre chez moi j'utilise genre de la fibre de cocotier pour la première flamme... Je ne sais pas si y en a ici."
Je regarde les alentours. Pas à première vue, mais qui sait...
"On devrait commencer aux abords de la clairière et pas trop s'enfoncer."
Ce n'est vraiment pas le moment de se perdre. Et en plus j'ai la flemme de marcher loin. Et il a des problèmes de jambes. Trois bons arguments pour rester dans les alentours ! Et les autres pourront se joindre à nous si on reste en vue. Bim, quatre arguments.
"D'ailleurs, je dis en souriant au type sympa, et je lui tends la main, je suis Wave"
Daim : Tout ce qui est vivant est phosphorescent (sauf vous). Quand un organisme meurt, il conserve un temps sa luminosité avant de progressivement s'éteindre. Ainsi, si le bois est mort depuis longtemps, il ne brillera pas !
Zen : Il pensera juste que pour toi c'est normal xD Laurine : C'est qui que t'as percuté ? Octa & Elodie ( c'est bien Elodie je me suis pas trompée, je suis nulle avec les prénoms ..): J'ai KimTae de libre aussi pour RP ^^
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Nami ; Triton ; 20 ans ; Satiété : 20/20
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Je hoche la tête avec un sourire de courtoisie en regardant la main qu'il me tends. Il attends quoi de moi là ? Ca doit être la politesse chez lui, je te tends la main pour te saluer .. Etrange. Mais je ne peux pas tous connaitre des autres peuples non humains. Je lui tends la main à mon tour, sans la toucher.
- Nami. Enchanté.
Je m'écarte aussi sec, à la recherche de ceux qu'il m'as demandé. Du bois sec. Mmh mmh. J'ai toujours vu que du bois mouillé, mais en toute logique il y a un bien un moment où il doit être sec. Je l'observe de loin voir ce qu'il ramasse, et prends des choses similaires. Si l'on m'avait dit il y a 24 h que je me retrouverait à devoir faire du feu.. Quel occupation humaine. Mais bon nous ne sommes plus vraiment dans un cadre humain. J'ai senti l'eau du lac plus loin dans le forêt, il faudra que je vois ce que ça donne sur moi. Je pense que j'irais dans la nuit. Et si personne n'arrive à chasser, je pourrais tomber tuer quoi que ce sois qui sera venu boire au lac. Au moins les humains ne mourrons pas immédiatement de faim, et peut-être même que ça me suffira pour que je ne les bouffes pas tous.
Mon corps en mode automatique, je remarque que mes bras sont pleins de petites brindilles et de diverse feuilles sèches. Je me rapproche du centre de la clairière, où le pose au sol mon butin. Je ne connais pas grand chose au feu, juste que ça m'assèche et qu'il me faudra de l'eau en abondance si je ne veux pas finir à la vapeur, et que c'est dangereux. Il me faudrait un grand récipient d'eau, en partie pour moi et partie pour éteindre le feu si celui-ci prends trop d’ampleur. Je peux contrôler l'eau sous ma forme de triton, je pourrais aller au lac et ramener une bulle d'eau importante, a condition de trouver dans quoi la mettre après.. Je vais rejoindre Waves pour lui soumettre l'idée.
- As tu une idée pour contenir de l'eau ? Au cas où le feu devient trop important, je ne voudrais pas brûler la forêt et puis je ne voudrais pas devenir du poisson séché aussi. Il en faudrait au moins assez pour que je puisse patauger dedans.. Ça devrait aussi suffire pour éteindre le feu je pense.
Daim: J'aime qu'on s'enfonce de plus en plus dans les malentendus, mais avec la dernière réplique de Nami il va falloir que la vérité éclate
Wave - 23 ans - incorrigible nonchalant optimiste
Nami. C'est cool comme prénom. Je le reprends dans ma tête, mais c'est assez facile à retenir en fait. Nami Nami Nami est mon ami ami ami. Bien qu'il ne m'est pas serré la main, mais bon peut-être que c'est pas un type tactile. Il n'a pas l'air d'un type tactile. Il en impose, je me dis que ce serait sans doute fatal de l'avoir pour ennemi. Mais on est bien parti pour devenir bros je pense.
On se sépare un peu pour ramasser du bois morts. C'est bien sec, vu qu'il n'a pas plu. Je trouve même un arbre dont l'écorce se rapproche un peu de la fibre de coco. J'en arrache et en fourre une bonne quantité dans ma poche, avec deux petites branches qui me serviront à créer le premier frottement pour le feu.
Nami est effectif, malgré sa démarche un peu étrange. Il a raison, il a de bons bras. Il est malgré tout plus rapide que moi, et a déjà fait un aller retour vers le centre de la clairière.
Je m'apprête a y aller à mon tour avec mon chargement quand il m'adresse de nouveau la parole. Son discours m'étonne. De l'eau dans des contenants, ok, c'est une idée intelligente. Mais poisson grillé et patauger dedans?? Je suis déconcerté. Il va falloir jouer franc jeu parce que là je comprends plus.
"Je sais pas pour un contenant... Chez moi on utilise des demi noix de coco. Ou des calebasses vides. Je n'ai rien trouvé de tel ici... Mais... sans vouloir être indiscret hein, excuse man, j'ai dû manquer un épisode,- je me gratte la tête- tu as besoin de patauger? "
Dernière modification par Zenlen le sam. 23 mai, 2020 8:06 pm, modifié 1 fois.
Octasecret a écrit :Hey, est ce que quelqu'un veut RP avec San?
On peut tenter avec Raven si tu veux ^^
Daim2 a écrit :Octa & Elodie ( c'est bien Elodie je me suis pas trompée, je suis nulle avec les prénoms ..): J'ai KimTae de libre aussi pour RP ^^
Ça peux peux être vous aider à savoir mais San va surement partir chasser (je préfère prévenir pour Raven, San risque de se changer en animal ) donc je sais pas si vos personnages comptent faire ça aussi ou non
KimTae n'ira pas chasser, il est trop trouillard pour ça, il préfère attendre pour soigner ceux au retour ou à la limite découper la viande.. Je suis pour un rp avec Kasper si t'es ok, il sera content de trouver quelqu'un qui peut avoir vraiment beaucoup besoin de lui ^^
Zen : Oui c'est sur, mais tant que Nami le prends pour un non humain il est tranquille ^^ Puis avec un peu de chance il vont devenir pote avant qu'il capte et ça le ferra peut-être changé d'avis sur les humains (peut-être).
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Nami ; Triton ; 20 ans ; Satiété : 20/20
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Il a pas vu ma transformation de t'as l'heure ? Ou c'est tellement banal chez lui qu'il ne l'as même pas retenu. Oui c'est sûrement ça. Après tout ça serait logique.
- Le triton de t'as l'heure, c'était moi. Et habituellement j'habite à environ 10.000 m sous la mer, je fait parti des requins des profondeurs, pas des alligators des marais, n'y des saumons des rivières.. En même temps ce serait surprenant que j'en fasse partie, ces végétariens là... Mais bon, j'ai jamais était proche d'un feu mais je ne suis pas sûre que mes écailles sois très d'accord avec la chaleur. Je préfère prévenir que me retrouver fumée.
Je pare mon visage d'une moue un peu gêner, je ne connais pas toute les espèces de non humains, même si je connais les principales, je ne peux pas attendre d'un non humain dont je n'ai pas trouver l'espèce de tous connaître de ma race.
- Sous ma forme triton je peux manipuler l'eau, je pourrais ramener des poissons dans une bulle d'eau je pense.. Je n'ai jamais essayé mais je devrais pouvoir me déplacer dans la bulle d'eau que je manipule... Sinon ramener toute l'eau à la main risque d'être long..
Il faudra quand même trouver un récipient, un gros cailloux qui aurait été creusé par les pluies ou un arbre fendu en deux dont les extrémités serait boucher par je ne sais quel miracle. Même si je préfère le caillou, pour se poser c'est plus confortables que l'écorce. Ils doivent bien avoir des cailloux géants.
- Un gros cailloux qui aurait était creusé par les pluies serait parfait.. Ou deux caillots cote à cote pour crée une vasque.. Ça tiens l'eau ? Quel idée d'avoir autant d'air.
Daim: J'aime bien ton "peut-être" pour le moment je suis contente qu'il ne le mange pas
Wave - 23 ans - incorrigible nonchalant optimiste
Un triton. J'ouvre grand mes yeux, ahuri. Je connais d'outremonde d'autres personnes avec des pouvoirs, comme ma lévitation, l'invisibilité, la force surhumaine...
Mais là c'est carrément une autre espèce !!! Mes pensées fusent. Un triton c'est comme une sirène-garçon. Donc il vit dans la mer. Un requin il a dit ? Il a énumèré un tas de trucs. Pas végétarien. Un prédateur du coup. Il doit aimer le poisson comme moi. Et la mer du coup. Puisqu'il y vit. Un triton quoi !
L'ahurissement laisse place à de l'admiration totale dans mes yeux.
"Un triton !"
J'essaie de contenir mon excitation, en vain... je calme ma voix mais je sens bien que mon visage est en mode adoration maximale.
"Wow man c'est super cool! Genre tu vis dans les profondeurs et tout. Tu te transforme, tu manies l'eau... J'adore la mer, je la vénère tu sais, c'est ma deuxième maison. Mais toi c'est ta maison!"
Oups Wave, trop enthousiaste. Reste cooool. Je reprends mon souffle et j'ajoute, en essayant de retrouver ma nonchalance:
"Désolé mais ce n'est pas commun de part chez moi les tritons...
Un caillou ou un tronc creux alors. Ok. Ou alors si on trouve pas, on creuse un genre de trou? Si le sol est propice il retiendra l'eau un moment. Comme un puit naturel"
Proche de la mer mais sans sirène, n'y triton.. C'est toujours possible qu'il fasse partie d'une espèce qui n'en à juste jamais entendu parler. En même temps les rares personnes proches de la mer qui nous ont vu et sont encore capable d'en témoigner sont les survivants de nos attaques, et ils sont vraiment très peu nombreux. En général après coup il reste éloigné de la mer. Une fois qu'on y a goûter l'envie de finir le repas est toujours présente. Et même l'homme le plus chanceux du monde ne voudra pas tester deux fois sa chance fasse à un requin.
Il propose un trou si jamais on trouve rien pour contenir l'eau, ça peut marcher, voir même creuser directement un tunnel depuis le lac, ça serait plus rapide pour moi pour rejoindre les deux et j'aurais de l'eau en abondance. Enfin, à moins que l'un ne contrôle la terre, le tunnel ne serra pas pour ce soir. Mais je garde l'idée dans un coin de ma tête.
- Oui ça peut marcher, maintenant il faut que j'arrive a déplacer de l'eau alors que je suis dedans, et le tout dans l'air.. C'est peut être une entreprise un peu trop périlleuse pour ce soir, le lac est proche mais il n'est pas non plus à coté d'ici, le temps nécessaire à l'aller retour et a installation alors qu'on est même pas sur que ça sois efficace.. Installons d'abord un feu et un espace sécuritaire autour, si jamais je me tiendrais à l'écart du feu.
Non vraiment, je suis pas l'aise sur terre. Je n'ai aucune arme et ce n'est pas comme si j'étais l'ultime prédateur ici. J'ai vraiment pas envie de me retrouver en tête à tête avec un ours ou un loup alors que je peux à peine marcher correctement. Le jour il n'y aucun animaux, il est plus sage de faire une installation aussi complexe à ce moment là.
- Je n'ai pas confiance en la nuit et en met jambe pour lancer une aussi grosse expédition, surtout avec autant de si. Il vaut mieux faire ça de jour, quand les animaux dormirons.
J'ai les yeux perdu dans la forêt mystérieuse et éclairée d'une lumière si froide. D'une certaine manière ça me rappel chez moi, sous l'eau on est aussi éclairé que par la bioluminescence.
Daim: Après ce rp je dois filer, peut être que je reviendrai tard ce soir ou alors demain. En tout cas ce fût un plaisir
Wave - 23 ans - incorrigible nonchalant optimiste
Je hoche la tête après sa suggestion.
"Tu as raison demain ce sera plus relax. Et puis on y verra mieux. Cette lumière de nuit n'est quand même pas comparable au soleil"
Entre temps j'ai amassé pas mal de branches, également quelques grosses qu'on va pouvoir empiler pour avoir un feu d'une bonne taille.
"Pour le début ça ira, il faudra aller en chercher plus quand ça brûlera je pense...
Tu penses que tu peux quand même réussir à nous avoir du poisson? Quoique peut-être quelqu'un est déjà parti chasser..."
Différents petit groupes discutent. Il nous faudrait un plan commun. Comme dans une communauté. Chacun ses tâches. Mais je sens quelques regards méfiants. Ça va pas être hyper facile de réunir tout le monde dans la "good vibe"...
Je m'agenouille avec mes ustensiles provisoires. Vu que l'herbe brille, j'arrive à bien y voir, et j'ai de la chance, après seulement quelques essais, la flamme surgit.
Je souris à Nami, tandis que le feu s'étends lentement aux autres branches empilées.
"Et voilà !"
Je crie au reste des gens éparses "On a un feu ! Si vous voulez venez, il fait bon. Et puis on discuteras !! Ce sera cool"
Je gesticule avec mes bras.
Ensuite, je m'assied a bonne distance du feu et me perds dans la contemplation des flammes. Je suis épuisé.
Kasper je l'aime. Beaucoup trop d'ailleurs, ça fait à peine quelques heures qu'on se connait. Mais c'est irrationnel l'amour, j'ai jamais cherché à comprendre comment il fonctionne. C'est peut-être mieux pour moi, je me serais perdu en cours de réflexion. Qu'est-ce que je sais sur Kasper ? En vrai pas grand chose, son prénom, qui est trop trop cool, et qu'il est aussi nul que moi en géographie. Je ne lui ai même pas demandé son âge ! Qu'est-ce que je peux être bête des fois, c'est pourtant une question classique. Bonjour, comment tu vas, comment tu t'appelles, quel âge as-tu, tu viens d'où ? C'est ce genre d'échange qu'on a au début non ? Ah mais oui c'est ma faute j'ai pris le protocole standard n'importe comment. Je lui ai dit bonjour ? Non je crois pas, j'ai dit allô. Qu'est-ce qui m'a pris de lui dire allô sérieux, mes idées tournent pas rond là-haut. Heureusement il a pas fui, merci le ciel les étoiles. C'est mon ami maintenant, et pour toujours ! Après avoir couru comme des dératés pour atteindre le lac, on s'est rendu compte que la fille qui a crié était pas en danger. C'était bizarre comme discussion, ils étaient trempés et nous tout secs. Kasper a été très bavard avec eux, presque comme moi, ça m'a fait sourire. Faut croire que je commence à déteindre sur lui, c'est pas ça l'amitié ? Les tics des autres deviennent un peu nos nouvelles habitudes. Bon quand je me suis retrouvé à nouveau seul avec Kasper, il a repris son langage normal, je sais pas trop quoi en penser. Je crois que je vais juste ne pas y penser parce que je ne saurais pas quoi en conclure. Penser à ne pas penser, c'est drôle comme concept non ? Bref toute la journée avec Kasper on a parcouru la forêt. On était de vrais explorateurs ! Enfin surtout lui, il avançait vite entre les arbres, moi j'avais l'air ridicule à lever les genoux trop hauts pour pas tomber. Mais Kasper a rien dit sur ma façon de marcher, parce que c'est un gentil vous voyez. Il a pas cherché à me mettre mal à l'aise avec une remarque piquante. C'est pour ça que j'ai raison de l'aimer, hein ? Hein ? Vous êtes pas d'accord ? J'ignore comment les gens font pour ne pas l'aimer comme je le fais. Y a-t-il seulement quelqu'un qui ne l'aime pas ? C'est pas possible, je veux pas y croire. J'aurais eu du papier et un stylo, j'aurais entouré son prénom d'un cœur. Mais j'ai pas ça sous la main, alors mes délires artistiques attendront. On a rien trouvé dans les bois, c'était triste à en mourir. Les pirates ne partent pas en mer s'il n'y a pas de trésor à trouver. Bah nous il y avait ni pirate ni or, c'était frustrant. On est revenu à la clairière les bras vides et les jambes flageolantes. Les autres étaient réveillés, ouf ils étaient pas morts. Je les avais un peu oubliés, j'ai trop pensé à Kasper et au trésor. J'en ai aussi oublié ma faim mais elle commence sérieusement à se faire ressentir. Mon estomac fait des bruits de monstres, il réclame de la nourriture. A part manger de l'herbe je vois pas trop ce que je pourrais faire. Kasper a dit que c'était pas une bonne idée, alors je l'ai pas fait. Il s'y connait plus que moi en survie, je l'ai aveuglément cru. J'avoue, il a pas été très dur de me convaincre, j'avais pas vraiment envie de goûter à de l'herbe. Lessivé, je me suis allongé par terre et j'ai contemplé le ciel. De tout bleu il est devenu tout orange et puis tout noir, c'était magnifique. Les premières étoiles sont apparues, je leurs ai donné des noms. Malia et Sevan, ce dernier étant de nouveau libre d'utilisation parce que Kasper bah il s'appelle Kasper et non Sevan. J'ai fixé les deux lunes avec une telle insistance que je me suis cramé les rétines. J'ai cru que je voyais plus net parce que soudainement tout ce qui était sombre s'est illuminé. Les arbres, l'herbe, les feuilles, tout est devenu lumière. Soit c'était ma vue qui déconnait soit c'était mon cerveau. Certainement les deux car ma folie m'a fait entendre des bruits, des sons, des respirations. Le silence n'était plus qu'un souvenir. J'ai regardé autour de moi comme un dingue, j'ai crié de joie, j'ai couru, on était pas tous seuls ! Je suis tombé comme un con, pas grave je me suis relevé et j'ai recommencé à courir. Dans mon élan j'ai percuté quelqu'un, oups c'était pas Kasper. J'ai regardé qui était le malheureux que j'avais touché, c'était une malheureuse. Une nouvelle amie ? J'aimerais bien, j'espère bien, en tout cas elle est jolie. Et très grande, elle fait ma taille. Ou bien c'est moi qui suis petit ? Maman disait que j'étais un grand garçon, c'est elle qui droit être grande aussi. Entre personnes grandes on ne peut que s'entendre ! Elle a tendu la main et puis elle a touché mes lèvres. Elle s'est excusée avant de me complimenter sur leur douceur. Je savais pas que j'avais les lèvres douces. C'est la première fois qu'on me le dit. C'est agréable de l'entendre alors j'ai souri. Elle a continué son inspection sur mon visage, j'ai pas pipé un mot, je me suis dit que c'était un de ses trucs à elle qui lui appartient. Moi je fais des accroches trop longues et bizarres, elle, elle touche les gens. Pourquoi pas, j'aime beaucoup sa méthode. Elle m'a demandé mon prénom mais j'ai pas eu le temps de répondre parce qu'elle a enchaîné avec autre chose. Je l'ai écouté avec une attention immense, mon sourire est jamais parti. Je dois être chanceux dans la vie, après Kasper je suis tombé sur une fille qui parle autant que moi. Je vais croire que c'est mon âme-sœur et que si je l'ai percuté ce n'était que l'œuvre du destin. Elle a fait de grands gestes sur ses yeux alors je me suis noyé dedans. Il m'a fallu un certain temps avant de comprendre que les siens ne marchaient pas bien. Elle m'a tendu un bâton, je l'ai pris. Elle veut qu'on le taille pour aller chasser avec. C'est pas une bonne idée, pas avec moi. C'est pour ça que j'ai secoué la tête.Moi aussi j'ai faim mais chasser je sais pas faire. Je suis pas doué pour tout un tas de choses, désolé. Par contre on peut essayer d'aller chercher des fruits, pourquoi pas des légumes et cueillir des baies. On vérifiera qu'elles soient pas empoisonnées avant de les manger par contre, je voudrais pas que tu meurs bêtement. Regarde j'ai un bonnet là, on pourra mettre notre récolte dedans. Je lui ai mis ledit bonnet sur la tête, comme ça elle sait où il est et puis elle aura moins froid.Viens on y va. J'ai pris sa main et je l'ai emmené à l'orée de la forêt. Sur le chemin je me suis rappelé qu'elle m'avait demandé mon nom alors je lui ai répondu. Tu peux m'appeler cuicui, c'est un peu devenu mon nom à moi. Le tien c'est quoi ?
Dernière modification par glamour123 le sam. 23 mai, 2020 10:57 pm, modifié 1 fois.
Je devrais pouvoir quand même attraper du poisson mais je me sens vraiment pas de traverser la forêt de nuit sans armes et sans moyen de fuir. Décidément, passer d'une vitesse de pointe qui sème quasiment tous les bateaux, aux dents tranchantes et de notre chant mortel, à et bien.. rien. Ne même pas être capable de courir correctement, ne pas savoir se battre, ne pas pouvoir se défendre. C'est un enfer sans nom. Je m'assois un peu éloigné du feu, caché dans l'ombre de Wave histoire de ne pas avoir la chaleur directement sur moi.
Chacun est dans son coin, chacun discute a droite et a gauche.. J'aimerais bien pouvoir faire connaissance avec tous, et être certain de ma liste de non humain.. J’essaierais la nuit prochaine de chasser, j'irais directement à la rivière, je veux dire il doit bien avoir une biche ou quoique ce soit avec des oreilles qui voudras venir dire bonjour à mes dents. Et puis je me ne sentirais plus aussi inutile, ça me ferra du bien.
Sans parler, je continue d'observer les gens autour, rempli de la nostalgie de mon banc..
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KimTae ; Médecin ; Survivant suicidaire
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Pendant que deux garçons, assez drôle d'ailleurs l'opposé de couleur entre eux, ont crées du feu, j'ai ramassé de la mousse au pied de différents arbres, pour ce soir ça pourra servir de matelas d'appoint. Et sur le long terme ça peut aussi servir de pansement hémorragique. Même si j'espère que personne ne ferra d'hémorragie. Mais bon la mousse meurt vite quand même.. Je me souviens des premières habitations qu'avait fait les gars dans le labyrinthe. Demain, avec le soleil j'essaierais de refaire deux ou trois lieux de vie ainsi que d’aménager une nouvelle infirmerie. Il va falloir refaire des stocks, même si j'espère que d'ici un mois on aura comme par magie une caisse pleine de provision qui va arriver. Comme avant dans le labyrinthe. Tout le monde est dans la clairière mais tout le monde semble plus ou moins sur ses gardes avec les autres. Je m'assois proche du feu.
- Il faudrait faire quelque chose pour que les gens se parlent.. Et puis il serait bien de savoir si des gens ont des problèmes de santé au quel tu devrais faire plus attentions que d'autre.
Tu as raisons, comme toujours.. Je toussote pour une tentative de m'éclaircir la voix, avant de hausser la voix, en espérant que d'autres suivent.
- Je pense que ça serait bien de tous nous présenter. On as peut être quelque chose en commun qui expliquerait notre présence.. Quoi qu'il en soit ça serait bien que l'on sache qui l'on est.
Les yeux perdus dans le feu, j’enchaîne après une légère pause, conscient que personne ne veut être le premier à ce livrer.
- Je m'appel KimTae, je suis médecin et amnésique. Je ne me souviens que des quatre dernières années de ma vie. Je me suis réveillé dans un labyrinthe géant, le centre était notre maison mais le reste.. Les murs changeaient de place et la nuit des monstres tenter de rentrer au centre pour nous tuer. Mais les entrées du labyrinthe se ferment la nuit. Chaque mois ont avait des livraisons de vivre, de vêtement, de matériel de base et d'autre plus spécifique parfois. On avait tous des rôles et ça marchais bien, je n'ai jamais était bon en agriculture, n'y en construction, et trop lent pour explorer le labyrinthe, mais j'ai toujours su comme soigner. C'est instinctif. Je pense que ça doit appartenir à mon ancienne vie. Et je sais utiliser un alambic pour l'alcool et les médicaments. Mais sans la matière pour en construire un, c'est délicat.. Bien sûr si l'un d'entre vous à un problème de santé qu'il veut me confier je serais ravi de l'écouter de l'aider, si je le peux..
Je regardait la terre à mes pieds en me demandant si j'avais bien fait de me livrer comme ça.. En même temps j'ai rien a me reprocher.. Je ne leurs ai pas dit que j'ai abandonné les derniers survivants du labyrinthe en laissant juste un mot avant de m'enfoncer dans le labyrinthe dans le but de me suicider. N'y que j'ai toujours envie de mettre fin à mes jours pour retrouver mon fantôme.
@Daim2 : j'essaie de te faire Kasper rapidement, mais il y a de fortes chances qu'il arrive demain
MikoAsuna a écrit :j'ai Ash et Raphaël de disponible si quelqu'un veut !
@Clem : Vu qu'ils ont déjà ramassé du bois et que Raven est pas du style à aller chasser, si ça te tente on peut RP' ensemble ^^ Avec celui que tu préfères, Raven est pas sur un mood difficile là ^^
Désolée du temps de réponse, j'ai du mal à m'organiser en ce moment...
18 ans
Hydrokinésiste
Imbus de lui-même
Tout d'un coup, deux nouveaux humains approchent. Un d'eux demande comment l'eau est et s'ils dérangent. Je ne prend pas la peine de m'abaisser à leur répondre. L'eau est comme elle est je m'en fiche un peu de ce qu'ils viennent faire là. La fille devant moi me demande de m'excuser pour l'avoir enlevée. Je t'ai pas enlevée, j'avais besoin d'eau et il fallait être deux donc je t'ai sauvée aussi.
Elle devrait me remercie au lieu de me crier dessus la gamine.
J'y crois pas ! En plus elle ose me demander mon nom. Qu'est-ce ça peut te foutre de comment je m'appelle.
Je lui fais une grimace avant de replonger dans l'eau avec une bulle autour de la tête. Je prend soin de m'éloigner du bord cette fois. En espérant qu'elle ne vienne pas me déranger une seconde fois.
Lumione : Pas de soucis, bon retour parmi nous Je ne sais pas si tu as vu mais un événement a été lancé hier et il y a de ce fait eu une ellipse. Voici le lien direct vers l'event.
Lumione tu peux les faire revenir à la clairière près du feu, il y a Wave et peut être d'autres connectés.
En attendant je réponds a KimTae, c'est l'heure des présentations
Wave - 23 ans - incorrigible nonchalant optimiste
Un gars typé asiatique se présente. Ah ouais c'est une bonne idée de faire le premier pas. Il n'a pas le charisme d'un leader super sûr de lui, mais sa voix est claire et forte.
Son histoire est très bizarre. Un labyrinthe qui change tout les jours de forme... Bon en même temps je suis assis à côté d'un p*tain de vrai triton (je n'en reviens toujours pas !).
KimTae me fait un peu de peine parce qu'il est amnésique. Ma mère m'a toujours dit qu'il est important de savoir d'où l'on vient, et où l'on va. Visiblement personne ne semble savoir où est-ce qu'on va, dans ce monde étrange, alors si en plus on ne peux pas se raccrocher à ses racines...
Je fais un grand sourire à Nami derrière moi, puis je me lève d'un léger bond.
"Je suis Wave, j'ai 23ans et je viens de Nouvelle-Calédonie. C'est sur la terre. Le monde normal quoi."
(je suppose que y a pas tout le monde qui vient de la terre normale. Vu que je connais maintenant un triton. Qui vit sous l'eau.)
"Il y a 2mois je me suis réveillé dans un monde différent du mien. Genre comme nous tous maintenant. Ça s'appelait l'Outremonde. Il a fallu qu'on se réunisse et s'entraide pour survivre. Je pense comme KimTae - je lui sourit - qu'il faut qu'on s'organise. Perso je sais faire du feu, et je suis un manuel, je sais travailler le bois et construire, et je m'y connaît aussi en jardinage, ce genre de choses... Ah et je sais léviter un peu, aussi, depuis Outremonde"
Je pense faire une démonstration mais je me retient au dernier moment. Imagine je m'écrase devant tout le monde. La honte. Du coup je reste planté avec un sourire que je veux engageant.
Un humain commence à se présenter. Tant mieux, voici qui m'aidera à savoir qui es digne d’intérêt et qui ne l'es pas. Un médecin donc, mais il semblerait tout ce qu'il y a de plus humain. Mais une personne ayant des connaissances dans les corps n'est jamais de trop, mieux vaut la garder, et puis si ses connaissances lui reviennent arbitrairement, il a fort à parier qu'il en sache plus que ce qui le dit. Ou plutôt, de ce qu'il se rappel. Wave enchaîne, alors comme ça c'est un humain, enfin à l'origine. Je pense qu'il est toujours comestible mais il s'est déjà retrouvé téléporter sur un monde étranger et puis maintenant il n'est plus vraiment humain.. Je pense que je devrais me présenter à mon tour, même si pour le moment je vais éviter quelques détails.. Genre le meurtre de sang froid d'une gamine et la joie que sa chair m'as procurer. Mais je ne suis pas non plus en gentil poisson rouge, mieux vaut que tout le monde le sache. Et si les humains ont peur de moi et qu'ils restent éloigné, ça m'arrange concrètement.
- Mon nom est Nami, premier fils du banc Carcharhinus signatus, dit les Requins de Nuit. Comme vous avez put le remarquer, j'appartiens au peuple de l'océan. Je ne suis pas l'aise sur terre, et je suis un piètre bipède généralement. Mais dans l'eau, je suis le prédateur ultime.. Malgré ça, mon peuple est en voie d'extinction, à cause des hommes et de leurs pollutions.. J'avais était envoyé dans une école de non humain, dans le but de former des alliances... C'est en chemin vers cette école que je me suis retrouvé ici.. Si j'avais le moyen d'amener mon peuple entier ici, on aurait une chance de recommencer sans le poison de l'homme moderne.
Je souffle le regard perdu dans le vide, à l'opposé du feu. Je me suis assis avec les genoux en tailleur, en train de jouer avec deux pierres. Je suis toujours surpris de ma voix, les sirènes communiquent par la pensée, et nos voix ne sont que pour le chant. Mais ma voix parlé, elle est grave et profonde. Enfin, ce n'est pas le moyen de communication que je préfère. Il permet le mensonge et la manipulation, et comment être sur du ton qu'emploi la personne ? Au moins les pensées c'est clair, et impossible de mentir. Demain j'irais chasser, je n'ai pas encore faim, mais il vaudrait mieux qu'ils se tiennent éloigné du rivage quand même..
Il a prit ma main. Je l'ai vite retirée, comme si le contact m'avait brûlé, je te promets. A la place j'ai attrapé son poignet, et je l'ai tenu comme ça, parce que c'est tout ce dont j'avais le droit. Toi, t'avais horreur qu'on pose les mains sur moi. Même les yeux, t'aimais pas. Y'a pas un seul de tes amis qui soutenaient mon regard, ils étaient tous là, à dire bonjour du bout des lèvres, à regarder par terre. Moi je t'engueulais toujours de faire ça, les intimider, dire "elle est à moi", tu sais, pour le principe, la forme : c'est pas normal, t'as pas confiance, ou quoi ? Mais dans le fond, tu peux pas t'imaginer à quel point ça me plaisait. Ça me faisait sentir intouchable, inaccessible, désirée et protégée. J'avais l'impression que j'étais un de ces trésors qu'on convoite mais avec subtilité, par peur de l'effleurer. Un trésor qu'on envie au capitaine, mais qu'on ose jamais lui dérober. C'était bon. Terriblement bon. T'as toujours été le seul qui aurait pu m'emprisonner pour l'éternité, parce qu'avec toi, rien qu'avec toi, je vivais. Et ça te donnait tous les droits. Sauf celui de me tromper, tu t'en douteras.
Avant ça, il a souri. Et il a pas arrêté de sourire une seule fois. Je l'ai vu du coin de mon œil, et après je l'ai imaginé, facile, il avait pas un mauvais sourire. Il m'a écoute sans un mot, un peu longue à la détente, je crois, et j'ai failli lui taper sur la tempe entre deux phrases pour dire "eh oh, y'a quelqu'un là-dedans ? Tu m'entends ?". Mais finalement il a regardé ce que je lui ai montré, prit ce que je lui tendais. Ça m'a plu. J'aurai voulu essayer de dire "jette toi dans le vide" pour voir s'il l'aurait fait, mais y'avait pas de falaise à proximité, alors je me suis résignée.
Pourtant il a refusé d'aller chasser, il a même secoué la tête, et j'ai fait un pas en arrière.
-Chasser ça s'apprend.
J'ai dit quand il a dit qu'il savait pas faire. C'est vrai, avant je savais pas aimer, mais tu vois j'ai appris, alors rien n'est impossible.
Il m'a parlé de baies, et de légumes, mais moi c'était de la viande que je voulais manger. Pourtant j'ai pas bronché. Parce que les baies, si je les écrasais, peut-être que ça pouvait faire de la peinture. Parce que si on allait quand même dans la forêt, peut-être qu'on croiserait des bêtes, et que là je pourrais improviser. C'est vrai, l'instinct de survie on en démord pas, on l'a. S'il se sentait en danger, il aurait pas vraiment le choix, de chasser. Sur le coup, je me suis même pas inquiétée de cette lance qu'on avait pas taillé.
-D'accord, tu les goûteras en premier alors.
J'ai lâché quand il m'a parlé de baies empoisonnées. Il avait raison, fallait pas que je meurs comme ça. Lui en revanche, je le connaissais pas. Et rien que pour ça, ça suffisait pour que ça soit lui qui s'y risque et pas moi. Fallait bien goûter, savoir, être fixé. A toi l'honneur, j'ai pensé.
Il a mit un bonnet sur ma tête, ça m'a un peu réchauffé parce que j'avais les cheveux mouillés, alors j'ai quand même dit "merci", parce que tu vois, ça empêche pas que moi je suis polie. Maman elle m'a quand même bien élevée, quand j'étais petite.
-Donner c'est donner, reprendre c'est voler.
De dire ça, j'ai pas pu m'en empêcher. Un bonnet, ça pouvait toujours être utile. Et quand même, j'ai souri. C'était pas une blague, bien sûr que non, mais ouais, il était gentil, alors j'ai souri.
Après il a dit s'appeler Cuicui, ça m'a fait froncer les sourcils. C'est un nom ça, Cuicui ? J'aurai plus dit un bruit. Ça avait le don d'être unique, je te le fait pas dire. Mais il a dit "c'est un peu devenu" et "un peu" c'était pas beaucoup, et devenu ça voulait dire que ça l'était pas depuis toujours. Moi j'étais née en étant Jesaïa. Maman elle s'amusait même à dire que j'étais venue au monde avec un pinceau entre les doigts. Papa il faisait des blagues, l'air de dire "ouais les médecins en croyaient pas leurs yeux, la première fois qu'ils avaient vu ça". Alors oui, c'était Jesaïa, pas même Jes, pas même Jessi, juste Jesaïa.
-Donc c'est pas ton vrai nom ? C'est quoi, ton vrai nom, Cuicui ?
Cuicui ça sonnait bizarre dans ma bouche. Sept par contre ça m'avait jamais fait me poser de questions.
-Moi, je me présente, c'est Jesaïa.
Et comme toujours y'a eu ce petit éclair de fierté dans ma voix.
Dernière modification par z-laurine7 le mar. 26 mai, 2020 11:15 pm, modifié 1 fois.
