la maison imaginaire

[queenOFpaper]

Bonjour je vous propose de faire un petit jeux la règle est simple une personne décrit un lieu dans une maison est donne la pièce que la personnes suivante devras décrire

exemple chambre : la chambre est situé a l'aile droite de la maison .
Elles est peint en jaune et noire , dans le coin se trouve un minuscule lit .

prochaine piece le salon

[Anaya85]

Le salon se trouve tout près de l'entrée de la maison.

Les murs sont de couleur crème pour pouvoir faire entrer le plus de lumière dans la pièce, avec un magnifique plancher noisette.

À la droite de l'entrée de la pièce, un petit buffet en bois décore la pièce, exposant les photos de famille des propriétaires de la demeure. Face à celui-ci, un home cinéma est installé, permettant d'apprécier à sa juste valeur le grand écran plat noir lors des visionnages de films et séries. En face de ce dernier un canapé en tissus marron attend les invités, tout comme de simples fauteuils de la même couleurs. Le tout encadrant une table basse en verre où un petit bouquet de coquelicot décore dans un vase bleuté.
Le salon dispose aussi d'un mini-bar au fond de la pièce, près de la télévision. Derrière le canapé se trouve des œuvres d'art montrant pour certaines des paysages, de la chasse, ou encore des portraits de personnes. L'une d'elles, cependant, ressort du lot de par la noirceur qu'elle dégage, exposant un mélange de couleurs sombres dont la signification change selon le sens que lui accorde ceux qui la regarde.

Une baie vitrée d'un blanc immaculé au milieu du mur du fond permet de rejoindre la terrasse, pour prendre un bol d'air frais. Cette même baie vitrée est encerclée des deux côtés par des fenêtres, toutes deux blanches, ornées de rideaux fins de couleur crème.

prochaine pièce le hall d'entrée

[elohane]

Le hall d'entrée est trés majestueux; son plafond est trés haut et décorés par des mosaîques.
La piéce est ronde, les murs sont rouges orangés, et un lustre moderne pennd au plafond.
Un tapis vert un peu usé est déroulé par terre sur le carrelage en marbre blanc, et un portemanteaux se trouve a notre gauche.
Une porte en bois verni ouvre sur un couloir menant au reste de la maison.
La véranda

[queenOFpaper]

La véranda est magnifique elle donne sur unimense jardin . Le carrelage au sol est bleu turquoise et les rideaux marron.Des fauteuils sont éparpillés dans la pièce et des guéridons sont disposé dans les coins . Une somptueuse table trône au milieu de la pièce dessu quelques vases sont remplis avec des tulipes.

Prochaine pièce : Le garage

[elohane]

Le garage est lugubre et le sol est jonché de babioles, d'outils et d'attirail...
D'un côté du garage se trouve une ferrari peinte en bleu.
A gauche se tient le range-outil, comme le surnomme papa. Pleins de choses qu'il m'interdit d'approcher...
Et le panier du chat, mon chat Gonflé. Il s'appelle vraiment Gonflé.
La chambre du petit frère

[AntoniaFrancinne]

La chambre du petit frère est couverte d'un tapis de jouets hétéroclites et désuets! La jungle de vieilles voitures en métal, éparpillées sur les lames du parquet lumineux, entraîne vers l'immense fenêtre, grande ouverte sur la canopee du grand tilleul parfumé. Les branches fleuries investissent l'espace. Le vent qui chahute le lin des rideaux, révèle que cette cabane secrète, est le repère perché d'un Gavroche au pistolet d'eau, la tour des rêves d'un Petit Prince. Ici, le rire du petit frère répond le chant du merle et du moineau... Où se cache t'il cette fois-ci? Sans doute dans le vieil atelier du grand père....

[charly09]

Tic, tac, Tic, tac... une horloge ancienne bat la mesure, au fond de l'atelier, qui semble comme figé dans le temps. Là, un vieil établi, patiné par l'usage, et des outils bien rangés, alignés sur le mur. Un bon marteau, un gros tournevis y sont posés, formés à la main de grand-père. A côté sa tasse en faïence, avec un fond de café qui colle un peu. Une petite chaise en bois, cassée, sert dans un coin de porte-tout. un chapeau cabossé, une boîte à onglet sciée, une écharpe de laine tricotée autrefois par grand-mère encore jeune... derrière, une étagère chargée de bocaux; des conserves de petits pois, de haricots; de la sauce, des confitures et serré dans une petite commode branlante, un grand pot de cerises à l'eau-de vie! sans doute le dernier. La fenêtre a un carreau cassé, soutenu par un carré de carton bien calé. Le vent y souffle quand il vient du nord. Le sol est bardé de grosses planches irrégulières où perce encore le sol de terre battue, et ça et là un clou tombé semble couché, coincé entre les lattes. Grand-père travaille souvent la porte ouverte, pour profiter du jour. Elle grince quand on l'ouvre, tenue par un gros morceau de corde effilochée qu'on attache au crochet. Elle se ferme à l'envers, avec la grosse clef toute usée en fer forgé. Celle qui pend derrière la porte de la cuisine...

[AntoniaFrancinne]

Dans la cuisine, flotte cette odeur sucrée de la tarte tatin du dimanche, ce subtil mélange de parfum de caramel, de café et de beurre fondu, qui imprègne et habite les portes du mobilier. Car, si la maîtresse de maison a voulu une certaine modernité dans les salons, elle n'a pas résisté au délicieux souvenir de la cuisine de son enfance. La cuisine rassemblait ainsi de vieux meubles de famille, dont un buffet surmonté d'un garde manger deux fois centenaires, en bois massif, qui trônait majestueux le long du mur. Ces coins limes par le temps, avaient été piqués par quelques insectes xylophages. Le vaisselier laissait percer le jour, entre les lames de bois disjointes, du brun sombre d'un vieux noyer dont on l'avait fabriqué. L'allure chancelante, le crissement des gonds rouillés, et les portes austères marquées d'une inévitable pointe de diamant sur le bas du buffet, et d'un relief en volute en partie haute, couronné d'une rosace en marguerite rayonnait dans cette cuisine. Il toisait de ces ans, l'hôte de passage comme une matrone ombrageuse. Le reste de la cuisine sans caractère particulier, etait presque effacé, d'une horizontalité moderne d'une table de travail longée d'une ardoise lisse acceuillant les éclaboussures solaires iradiant de la fenêtre qui la surplombait sur toute sa longueur. Cette lame de pierre striee noire avait pour pendant, une longue et large table massive, sans doute aussi ancienne que l'antique vaisselier. Si la cafetière murmurait toujours l'appel à la flânerie, à la paresse et à la convivialité, une fois attablé et assis sur le banc vénérable, le point de vue changeait. On redécouvrait alors, la vieille cheminée ouverte, flanquée de ses bancs à coffre, arcs boutant d'une solide cheminée de pierre, sobre et massive. C'était sans doute la pièce la plus ancienne de la maison, dont les rajouts successifs ont concédé à la modernité le luxe et le confort. Mais une fois assis, après avoir succombé aux quelques madeleines accompagnant le café, et à la vieille prune du grand père, le vieux vaisselier imposant et antique revenait à la charge de sa toute puissance. Lui qui était si large et qui contraignait le visiteur à serrer pour éviter le banc, voilà que le vaisselier miroitait sa massive silhouette dans le bol de café. Lequel était le plus sombre, le café ou le vaisselier? Lequel était le plus impénétrable? Tout à coup, une surprise, invisible depuis l'entrée de la cuisine... une inscription en lettres anciennes souvent de travers, dans un sabir mêlant patois et latin, associés à quelques signes kabbalistiques indéchiffrables, ressemblant vaguement à des caractères runiques.... que cela peut il signifier? Au bout, une date, 1791, si ma memoire est bonne. Le grand père m'avait dit que ces écrits évoquait une protection magique pour la maison. Mais qu'en était il vraiment? Un seul moyen de le savoir, il faut aller creuser dans la bibliothèque, à côté du salon de musique...

[charly09]

Un salon de musique dans cette demeure un peu rustique, voilà qui ne manquait jamais de surprendre le visiteur ! un caprice féminin sans doute, témoignage d'une mésalliance ancienne qui fondait pourtant la famille... des rideaux fanés, des tapis épais qui réchauffait la pièce ronde un peu surannée ; tout autour des chaises tapissées aux couleurs d'autrefois, au milieu un clavecin désaccordé ; mais aussi des moulures antiques qui s'effritaient un peu et ornaient les murs comme le plafond. Des peintures écaillées d'un autre âge comme autant de camés représentaient des angelots musiciens qui donnaient le ton au cabinet délicat, anti-chambre de l'imposante bibliothèque où des recueils vieillis voisinaient avec des ouvrages plus modernes, des curiosités rapportées de voyages exotiques avec des bibelots contemporains.

[Beille]

La bibliothèque était un lieu confortable et où on ressentait toujours le réconfort. Plusieurs grandes étagères étaient alignées le long des murs. Au milieu on retrouvait de petites tables avec de gros fauteuil confortable où l'on pouvait s'installer avec un bon livre. Grand-mère s'installait parfois ici avec son tricot ou son fil et ses aiguilles à coudre. Des chandelles étaient souvent allumées sur les tables pour créer une atmosphère très chaleureuse. C'est une bonne pièce pour passer les journées de pluie ou les tempêtes de neige. À côté ce trouvait le bureau de maman.

[queenOFpaper]

Le bureau de maman est une vaste chambre transformée en cabinet de curiosités. Il est encombré de nombreux meubles : des chaises , une commode et un bureau tailler dans un bois très sombre . Des tableaux sont accrochés au mur , ils donnent une cote auster à la pièce . Plusieurs chandeliers prennent la poussière sur des guéridons . De précieux biblots rapportés de différents voyages sont déposés de-ci de-là : un éléphant en bois d'Afrique , une poupée russe rapportée de Moscou et une petite tour Eiffel acheter à Paris . Une bibliothèque est posée en face d'une immense cheminer ou brule un feu et des braises ardentes .

Le petit salon

[queenOFpaper]

Coucou ! j'ai rassembler toute les pieces pour mieux s'y retrouver

Le salon
Le salon se trouve tout près de l'entrée de la maison.

Les murs sont de couleur crème pour pouvoir faire entrer le plus de lumière dans la pièce, avec un magnifique plancher noisette.

À la droite de l'entrée de la pièce, un petit buffet en bois décore la pièce, exposant les photos de famille des propriétaires de la demeure. Face à celui-ci, un home cinéma est installé, permettant d'apprécier à sa juste valeur le grand écran plat noir lors des visionnages de films et séries. En face de ce dernier un canapé en tissus marron attend les invités, tout comme de simples fauteuils de la même couleurs. Le tout encadrant une table basse en verre où un petit bouquet de coquelicot décore dans un vase bleuté.
Le salon dispose aussi d'un mini-bar au fond de la pièce, près de la télévision. Derrière le canapé se trouve des œuvres d'art montrant pour certaines des paysages, de la chasse, ou encore des portraits de personnes. L'une d'elles, cependant, ressort du lot de par la noirceur qu'elle dégage, exposant un mélange de couleurs sombres dont la signification change selon le sens que lui accorde ceux qui la regarde.

Une baie vitrée d'un blanc immaculé au milieu du mur du fond permet de rejoindre la terrasse, pour prendre un bol d'air frais. Cette même baie vitrée est encerclée des deux côtés par des fenêtres, toutes deux blanches, ornées de rideaux fins de couleur crème.

Le hall d'entrée
Le hall d'entrée est trés majestueux; son plafond est trés haut et décorés par des mosaîques.
La piéce est ronde, les murs sont rouges orangés, et un lustre moderne pennd au plafond.
Un tapis vert un peu usé est déroulé par terre sur le carrelage en marbre blanc, et un portemanteaux se trouve a notre gauche.
Une porte en bois verni ouvre sur un couloir menant au reste de la maison.

La véranda
La véranda est magnifique elle donne sur unimense jardin . Le carrelage au sol est bleu turquoise et les rideaux marron.Des fauteuils sont éparpillés dans la pièce et des guéridons sont disposé dans les coins . Une somptueuse table trône au milieu de la pièce dessu quelques vases sont remplis avec des tulipes.

Le garage
Le garage est lugubre et le sol est jonché de babioles, d'outils et d'attirail...
D'un côté du garage se trouve une ferrari peinte en bleu.
A gauche se tient le range-outil, comme le surnomme papa. Pleins de choses qu'il m'interdit d'approcher...
Et le panier du chat, mon chat Gonflé. Il s'appelle vraiment Gonflé.

La chambre du petit frère
La chambre du petit frère est couverte d'un tapis de jouets hétéroclites et désuets! La jungle de vieilles voitures en métal, éparpillées sur les lames du parquet lumineux, entraîne vers l'immense fenêtre, grande ouverte sur la canopee du grand tilleul parfumé. Les branches fleuries investissent l'espace. Le vent qui chahute le lin des rideaux, révèle que cette cabane secrète, est le repère perché d'un Gavroche au pistolet d'eau, la tour des rêves d'un Petit Prince. Ici, le rire du petit frère répond le chant du merle et du moineau... Où se cache t'il cette fois-ci? Sans doute dans le vieil atelier du grand père....

le vieil atelier du grand père
Tic, tac, Tic, tac... une horloge ancienne bat la mesure, au fond de l'atelier, qui semble comme figé dans le temps. Là, un vieil établi, patiné par l'usage, et des outils bien rangés, alignés sur le mur. Un bon marteau, un gros tournevis y sont posés, formés à la main de grand-père. A côté sa tasse en faïence, avec un fond de café qui colle un peu. Une petite chaise en bois, cassée, sert dans un coin de porte-tout. un chapeau cabossé, une boîte à onglet sciée, une écharpe de laine tricotée autrefois par grand-mère encore jeune... derrière, une étagère chargée de bocaux; des conserves de petits pois, de haricots; de la sauce, des confitures et serré dans une petite commode branlante, un grand pot de cerises à l'eau-de vie! sans doute le dernier. La fenêtre a un carreau cassé, soutenu par un carré de carton bien calé. Le vent y souffle quand il vient du nord. Le sol est bardé de grosses planches irrégulières où perce encore le sol de terre battue, et ça et là un clou tombé semble couché, coincé entre les lattes. Grand-père travaille souvent la porte ouverte, pour profiter du jour. Elle grince quand on l'ouvre, tenue par un gros morceau de corde effilochée qu'on attache au crochet. Elle se ferme à l'envers, avec la grosse clef toute usée en fer forgé. Celle qui pend derrière la porte de la cuisine...

La cuisine
Dans la cuisine, flotte cette odeur sucrée de la tarte tatin du dimanche, ce subtil mélange de parfum de caramel, de café et de beurre fondu, qui imprègne et habite les portes du mobilier. Car, si la maîtresse de maison a voulu une certaine modernité dans les salons, elle n'a pas résisté au délicieux souvenir de la cuisine de son enfance. La cuisine rassemblait ainsi de vieux meubles de famille, dont un buffet surmonté d'un garde manger deux fois centenaires, en bois massif, qui trônait majestueux le long du mur. Ces coins limes par le temps, avaient été piqués par quelques insectes xylophages. Le vaisselier laissait percer le jour, entre les lames de bois disjointes, du brun sombre d'un vieux noyer dont on l'avait fabriqué. L'allure chancelante, le crissement des gonds rouillés, et les portes austères marquées d'une inévitable pointe de diamant sur le bas du buffet, et d'un relief en volute en partie haute, couronné d'une rosace en marguerite rayonnait dans cette cuisine. Il toisait de ces ans, l'hôte de passage comme une matrone ombrageuse. Le reste de la cuisine sans caractère particulier, etait presque effacé, d'une horizontalité moderne d'une table de travail longée d'une ardoise lisse acceuillant les éclaboussures solaires iradiant de la fenêtre qui la surplombait sur toute sa longueur. Cette lame de pierre striee noire avait pour pendant, une longue et large table massive, sans doute aussi ancienne que l'antique vaisselier. Si la cafetière murmurait toujours l'appel à la flânerie, à la paresse et à la convivialité, une fois attablé et assis sur le banc vénérable, le point de vue changeait. On redécouvrait alors, la vieille cheminée ouverte, flanquée de ses bancs à coffre, arcs boutant d'une solide cheminée de pierre, sobre et massive. C'était sans doute la pièce la plus ancienne de la maison, dont les rajouts successifs ont concédé à la modernité le luxe et le confort. Mais une fois assis, après avoir succombé aux quelques madeleines accompagnant le café, et à la vieille prune du grand père, le vieux vaisselier imposant et antique revenait à la charge de sa toute puissance. Lui qui était si large et qui contraignait le visiteur à serrer pour éviter le banc, voilà que le vaisselier miroitait sa massive silhouette dans le bol de café. Lequel était le plus sombre, le café ou le vaisselier? Lequel était le plus impénétrable? Tout à coup, une surprise, invisible depuis l'entrée de la cuisine... une inscription en lettres anciennes souvent de travers, dans un sabir mêlant patois et latin, associés à quelques signes kabbalistiques indéchiffrables, ressemblant vaguement à des caractères runiques.... que cela peut il signifier? Au bout, une date, 1791, si ma memoire est bonne. Le grand père m'avait dit que ces écrits évoquait une protection magique pour la maison. Mais qu'en était il vraiment? Un seul moyen de le savoir, il faut aller creuser dans la bibliothèque, à côté du salon de musique...

Le salon de musique
Un salon de musique dans cette demeure un peu rustique, voilà qui ne manquait jamais de surprendre le visiteur ! un caprice féminin sans doute, témoignage d'une mésalliance ancienne qui fondait pourtant la famille... des rideaux fanés, des tapis épais qui réchauffait la pièce ronde un peu surannée ; tout autour des chaises tapissées aux couleurs d'autrefois, au milieu un clavecin désaccordé ; mais aussi des moulures antiques qui s'effritaient un peu et ornaient les murs comme le plafond. Des peintures écaillées d'un autre âge comme autant de camés représentaient des angelots musiciens qui donnaient le ton au cabinet délicat, anti-chambre de l'imposante bibliothèque où des recueils vieillis voisinaient avec des ouvrages plus modernes, des curiosités rapportées de voyages exotiques avec des bibelots contemporains.

La bibliothèque
La bibliothèque était un lieu confortable et où on ressentait toujours le réconfort. Plusieurs grandes étagères étaient alignées le long des murs. Au milieu on retrouvait de petites tables avec de gros fauteuil confortable où l'on pouvait s'installer avec un bon livre. Grand-mère s'installait parfois ici avec son tricot ou son fil et ses aiguilles à coudre. Des chandelles étaient souvent allumées sur les tables pour créer une atmosphère très chaleureuse. C'est une bonne pièce pour passer les journées de pluie ou les tempêtes de neige. À côté ce trouvait le bureau de maman.

Le bureau de maman
Le bureau de maman est une vaste chambre transformée en cabinet de curiosités. Il est encombré de nombreux meubles : des chaises , une commode et un bureau tailler dans un bois très sombre . Des tableaux sont accrochés au mur , ils donnent une cote auster à la pièce . Plusieurs chandeliers prennent la poussière sur des guéridons . De précieux biblots rapportés de différents voyages sont déposés de-ci de-là : un éléphant en bois d'Afrique , une poupée russe rapportée de Moscou et une petite tour Eiffel acheter à Paris . Une bibliothèque est posée en face d'une immense cheminer ou brule un feu et des braises ardentes .

Prochaine pièce : Le petit salon

[Beille]

Le petit salon
Le petit salon est bien décoré. Des tableaux représentant la nature sont placés ça et là sur les murs peint d'un vert foncé. Des fauteuils et des poufs sont placés contre les murs de la petite pièce circulaire qui est situé au dessus de la chambre des parents. Une table basse traîne au milieu de la pièce avec quelques vases de fleurs jaunes, blanches et rouges qui sont posées surs la table. Quelques chandeliers sont placés près de la table afin d'éclairer la pièce en la mettant dans un ambiance chaleureuse et confortable.