Inspiré du RPG de Kyoto
Claude Tillier
Au départ, les plus riches vivaient dans une partie de la ville et les plus pauvres, ceux venant de l’extérieur, dans une autre. Il existait déjà de grosses inégalités entre les deux parties de la ville, des inégalités que le gouvernement n’était pas prêt de combler. Au contraire, petit à petit, la séparation géographique devenait de plus en plus en claire. On séparait les pauvres des riches en trouvant des explications plus ou moins acceptables, comme des besoins différents, une culture différente.
Finalement, il y a 300 ans, un dirigeant prit le pouvoir dans la Cité de Meynoras et décida, soi-disant pour le bien de tous, de construire un mur entre les riches et les pauvres. La métropole fut séparée en deux, d’un côté une partie où résidait les plus riches et où continuait de fleurir la technologie, qui fut nommée Evaya, et de l’autre une partie où étaient relégués les plus pauvres et les rejetés, qui fut nommée Errydor.
Le mur permit à Evaya de se développer avec encore plus d’aisance, les criminels, les rebuts et les malfrats étant tous jetés du côté d’Errydor, qui fut peu à peu délaissée par le gouvernement en place. Tous ceux qui ne gagnaient pas suffisamment pour s’offrir la vie, excessivement chère, du côté d’Evaya, étaient relégués de l’autre côté du mur, où ils atterrissaient dans la crasse et la pauvreté. Il en allait de même, évidemment, pour les détracteurs du dirigeant, pour ceux qui tentaient de s’opposer au régime ou pour ceux qui voyaient le mur d’un mauvais œil… Si bien qu’en quelques années à peine, il semblait que rien ne puisse troubler la tranquillité d’Evaya et, si opposants il y avait encore, ils savaient se faire assez discrets pour qu’on ne les surprenne pas.
Le côté riche de la ville regorge de ressources abondantes : les habitants qui y vivent ne manquent de rien, grâce aux technologies qui effectuent toutes les basses besognes. Du nettoyage de la ville à l’agriculture, en passant par l’entretien des domiciles, tout est automatisé. Pour l’agriculture, de grands champs souterrains, éclairés artificiellement, permettent de nourrir toute la population d’Evaya et même plus, et il en va de même pour les usines, où tous les objets sont créés. Les voitures n’existent presque plus ou sont réservés à l’élite mais un tramway ultramoderne, qui ne connait ni retard ni accident, traverse toute cette partie de la ville et permet aux habitants de se déplacer sans effort.
Mais, le plus important, c’est la longévité que les progrès de la médecine ont permis d’avoir. La mort n’est plus vraiment une perspective pour ceux qui peuvent s’offrir la cure miracle qui permet de ralentir le vieillissement cellulaire. On suit cette cure de la grand hôpital d’Evaya, un bâtiment immense, blanc étincelant, où tous les soins nécessaires sont apportés aux Evayens. Évidemment, cette cure n’est pas accessible à tous, mais certains triment toute leur vie pour espérer acquérir cet élixir de jouvence qui permet une jeunesse presque éternelle. Pourtant, cette cure a certains détracteurs : on dit qu’elle touche certaines zones du cerveau liées à l’empathie, mais le gouvernement nie cette information.
Cependant, cette vie de richesse a un coût : les Evayens se doivent de conserver leur richesse, la perfection est de mise et la pression sociale peut sembler insoutenable pour certains, mais rien au monde ne pourrait les pousser à déroger à la norme. Et ceux qui le font, ceux qui osent sortir du rang, qui perdent leur richesse ou qui critiquent seulement le gouvernement, sont bien vite envoyés du côté d’Errydor. De la même façon et comme les habitants ne meurent plus autant que par le passé, les couples qui souhaitent avoir des enfants doivent appuyer leur demande auprès du gouvernement avant de décider de procréer. Tout enfant né dans l’illégalité sera envoyé du côté d’Errydor et tout couple qui, malgré l’acceptation de leur dossier, se verrait dans l’incapacité de prendre en charge financièrement leur enfant, le verrait aussi passer du côté d’Errydor. Dans tous les cas, même une fois le dossier accepté, un seul enfant par famille est autorisé et tous les suivants seraient considérés comme illégaux.
Évidemment, toutes ces règles sont faites pour que la sécurité de tous soit conservée et c’est le seul moyen pour que les moitiés de ville comme Evaya continuent à prospérer. Ceux qui les refusent ou contredisent le gouvernement sont dangereux et considérés comme des criminels. Ils sont alors automatiquement envoyés à Errydor.
Le centre de recherche
Après être passé par l’université, une grande partie des étudiants commencent à travailler au centre de recherche. C’est le lieu de travail des ingénieurs de la ville et de quelques grands inventeurs. On y fait de nombreux tests sur les futurs objets qui doivent sortir au grand jour et on y développe toutes les nouveautés technologiques.
Les habitations
Il y a deux types d’habitations à Evaya, de petits appartements assez simples, peu spacieux mais fonctionnels et équipés de technologie dernier cri, comme le reste de la ville, et de grands appartements, voir quelques maisons, des habitations plus luxueuses, où vivent généralement les habitants les plus aisés. Les deux types d’habitations sont séparés, les petits appartements se trouvent dans une partie de la ville appelée “quartier populaire” et les habitations plus grandes et plus chères se trouvent au niveau du “quartier des élites”. Bien sûr, tous rêvent de gagner assez pour habiter dans ce dernier, mais les places sont chères comme tout à Evaya.
Le palais du dirigeant
Le palais du dirigeant est un endroit inaccessible et seuls les membres du conseil y ont parfois accès. Il est immense, majestueux et témoigne de la richesse de ce grand homme, qui est décrit comme le bienfaiteur qui a lavé la ville de sa souillure. Il y a longtemps qu’il ne se présente plus au public, mais on raconte que malgré ses 300 ans, il ressemble encore à un homme d’une soixantaine d’années et témoigne ainsi des bienfaits de la cure miraculeuse.
Le quartier des affaires
Ce quartier est le lieu de travail de nombreux Evayens. Il s’agit de grands immeubles avec des open space, où se retrouvent tous ceux qui travaillent dans les affaires commerciales, dans la finance, mais également dans tout ce qui touche à la logistique de la ville.
Le siège du gouvernement
Le siège du gouvernement est le lieu où toutes les décisions sont prises pour l’ensemble de la cité, bien que le cas d’Errydor soit rarement évoqué. On y trouve une salle où se réunissent les membres du conseil et le dirigeant et dont l’accès est strictement interdit à quiconque ne fait pas parti de ces membres. L’immeuble comporte également de nombreux bureaux, où secrétaires et assistants s’occupent des formalités administratives.
La zone commerciale
La zone commerciale d’Evaya est gigantesque et on y retrouve un immense centre commercial avec toutes les boutiques les plus prisées. C’est un lieu incontournable, que ce soit pour faire de simples achats du quotidien ou pour passer un après-midi entier à faire les boutiques. La zone commerciale est également une zone culturelle : on y trouve une scène qui accueille concerts et pièces de théâtre, mais également un stade pour les représentations sportives. Un grand cinéma se trouve à l’intérieur du centre commercial et un casino permet aux Evayens de se divertir après une longue journée de travail. Mais gare à ne pas s’y ruiner, les dettes sont très mal acceptées dans cette partie de la ville.
Si Evaya est une sorte de paradis où la mort et la maladie sont éloignées des esprits, Errydor est son contraire le plus total. Là-bas, la majorité de la population meurt de faim et, si une partie de ces membres parvient à vivre dans de grands immeubles miteux, la plupart ont construit eux-mêmes leur logement, si bien que cette partie de la ville ressemble surtout à bidonville géant. Si, au départ, on y trouvait surtout les habitants les plus pauvres de la cité de Meynoras, aujourd’hui, la ville a également hérité des rebuts d’Evaya, criminels en tout genre, personnes en situation de handicap et enfants rejetés. Tous se retrouvent de ce côté mal famé de la ville.
Ici, la technologie est bien moins avancée qu’à Evaya et on en trouve seulement dans l’immense décharge d’Errydor. Là-bas, on retrouve tous les déchets rejetés par le côté riche de la ville, y compris de vieux objets utiles, comme des ordinateurs, des robots et autres objets récupérables par les Errydiens. En dehors de cet endroit, on ne trouve presque aucune technologie avancée à Errydor. Même l’électricité n’est pas distribuée partout et, surtout, vous pouvez oublier l’idée d’en trouver en journée, à moins de savoir en créer avec une énergie mécanique.
Les ressources sont très restreintes : le gouvernement d’Evaya envoie les restes de nourriture à Errydor, par l’intermédiaire de caissons de ravitaillement, mais ces ressources ne sont pas suffisantes pour nourrir l’ensemble de la population. Si bien que beaucoup d’Errydiens ont appris à récupérer les graines de certains fruits et légumes et tentent tant bien que mal d’en faire pousser. Les plantes qui réussissent à pousser sont peu nombreuses, mais elles permettent aux marchands de tenir des petits stands sur le marché. Les Errydiens sont végétariens, tout comme la plupart des Evayens, la viande et le poisson étant un luxe que seuls les plus riches Evayens peuvent s’offrir.
Mais même pour se payer les fruits et légumes du marché, il faut des ressources, de l’argent ou autre chose. En effet, le troc est la monnaie la plus courante, mais encore faut-il avoir quelque chose à échanger. Le gouvernement distribue cependant des sortes de cartes bancaires très archaïques aux habitants qui travaillent dans les champs et les usines. Ce sont des lieux souterrains qui s’étendent sous toute la cité y compris sous Evaya, mais aucun citoyens d’Evaya ne se doutent que ce sont les Errydiens qui y travaillent. Ce travail est très valorisé, car il représente la seule véritable source de revenus possible. Pourtant, c’est un travail éreintant, qui leur prend toute la journée, avec des pauses ridicules. Les travailleurs sont surveillés par une milice d’androïdes, et gare à ceux qui tenteraient de voler quelque chose, car les robots sont incorruptibles. Malgré ces difficultés, la perspective d’obtenir une carte, et donc quelques ressources, est suffisamment alléchante pour convaincre la majorité des Errydiens de travailler aux champs ou dans les usines.
Bien sûr, il ne s’agit pas du seul espoir des habitants d’Errydor, qui espèrent tous un jour une vie meilleure. Si les moins bons citoyens d’Evaya atterrissent facilement à Errydor, l’inverse n’est pas vrai. Il n’existe presque aucun moyen de passer d’Errydor à Evaya. Presque, car cela arrive, rarement, mais suffisamment souvent pour que l’espoir subsiste chez certains des Errydiens. En effet, il arrive parfois que des esprits talentueux soient repérés parmi les rebuts d’Errydor, et ils obtiennent alors l’immense honneur de passer du côté lumineux de la ville. Pour cela, ils quittent famille et amis sans espoir de les revoir un jour. Il n’existe aucun autre moyen d’entrer à Evaya, et ceux qui s’y essaient n’en reviennent jamais.
On peut les comprendre, néanmoins, car, dans cette partie de la ville, tout n’est que terreur et mort. Il n’y a pas de règles et c’est la loi du plus fort qui prime. Ceux qui peuvent opprimer oppriment et les autres s’écrasent bien rapidement. La famine et la maladie sont des fléaux du quotidien, mais le vrai danger réside dans les gangs armés, qui se font sans cesse la guerre pour obtenir davantage de territoire. Pour beaucoup, surtout à Evaya, Errydor ressemble à l’Enfer auquel ils espèrent échapper, et c’est la menace qui plane sur ceux qui ne sont pas assez bons pour rester du côté des élus.
Pourtant, certains essaient de rendre cet enfer meilleur et ce chaque jour qui passe. Des citoyens d’Errydor ont monté un groupe nommé les Sentinelles. Ils luttent contre les inégalités et tentent d’aider leur prochain avec le peu qu’ils ont. Et bien qu’ils ne soient pas armés, ils ont réussi à récupérer un territoire d’Errydor. Là-bas, ils ont reprise l’orphelinat et accueillent désormais les enfatns rejetés d’Evaya et les nourrissons d’Errydor. Cependant, malgré toute leur bonne volonté ils ne peuvent pas prendre soin de tous les enfants et certains se retrouvent à la rue. Leur but est pacifique, ils veulent rendre leur monde meilleur, mais, pour certains, rendre le monde meilleur, c’est forcément réparer l’injustice. Jusqu’à présent, ce groupe s’est contenté de petites actions, mais la colère gronde chez certains membres, qui sait alors ce qu’il deviendra...
L’Arène de combat
Elle se trouve également sur le territoire des Phalènes et elle permet aux Errydiens de se divertir. L’Arène n’en est pas vraiment une, il s’agit plus d’une sorte de place où il a été décrété que les combats auraient lieu. C’est le seul endroit où certaines règles sont imposés, les combats peuvent se faire armés, mais à condition que les deux combattants le soient et le plus souvent il s’agit de combattre à mains nues. Les Hommes ne sont pas les seuls à s’y battre, on y envoie également des Androïds, spécialement reprogrammés pour ça et les combats entre robots sont en général les plus appréciés. Les hommes et les femmes qui combattent dans l’Arène sont souvent payés par ceux qui parient sur chaque combattants et les champions arrivent parfois à se faire un petit pactole. Les perdants en revanche… certains ne se relèvent jamais des combats dans l’Arène, surtout ceux à mains armées, il faut donc être sûr de soi avant de s’engager dans une carrière de combattant.
La décharge/bidonville
La décharge d’Errydor est immense, car elle comporte non seulement les déchets des Errydiens, mais également ceux des Evayens. L’odeur qui y règne est nauséabonde, mais peu s’en soucient, l’odeur d’Errydor n’est de toute façon pas très agréable et la plupart des habitants ne s’en rendent plus compte. Ceux qui ne peuvent pas se payer un logement sont bien obligés d’y vivre, mais, étant donné leur nombre, des abris de fortune se sont peu à peu créés avec les années et, aujourd’hui, c’est un véritable bidonville qui occupe une place importante à côté de la décharge. Là-bas, les mesures d’hygiène sont si déplorables, que beaucoup meurent avant d’avoir atteint les 30 ans. Le seul avantage, c’est que les gangs y viennent rarement, ils ont à faire dans les autres parties d’Errydor et savent qu’ils ne trouveront pas grand-chose dans le bidonville. C’est à la décharge que la plupart des Errydiens trouvent leurs ressources, c’est là qu’ils récupèrent tout et n’importe quoi et certains se débrouillent assez bien pour revendre leurs trouvailles rafistolées au marché. Si la décharge n’appartient à aucun gang, c’est, de fait, un lieu de tension permanente où aucune trouvaille n’est acquise et où il vaut mieux éviter de crier trop fort quand on trouve quelque chose d’intéressant.
L’Extase
Il s’agit du club de strip-tease, qui est considéré comme le cœur d’Errydor. C’est un lieu incontournable et, surtout, le seul endroit où l’on peut oublier le quotidien difficile et la famine. Par on ne sait quel miracle, le club est toujours illuminé, constamment fourni en électricité, si bien que beaucoup pensent qu’il a sa propre source d’énergie. Pourquoi alors personne ne tente de s’en emparer ? Parce qu’il est tenu par le gang des Phalènes, le gang le plus influent d’Errydor depuis plusieurs générations et que, s’en prendre à eux, c’est risquer une mort particulièrement douloureuse. Aussi, tout le monde préfère se contenter de faire partie de la clientèle et profiter du spectacle, de la boisson, mais surtout des strip-teaseurs. Tout le monde sait qu’ils ne sont pas vraiment là de leur plein gré, mais, à dire vrai, peu les plaignent, ils sont nourris et logés et beaucoup donneraient cher pour avoir la même chance… D’ailleurs, nombre d’entre eux sont arrivés là-bas poussés par la faim et le besoin d’un toit.
Le métro
Le métro constituait, il y a 300 ans, le moyen de transport le plus évolué de la ville. Cependant, depuis la construction du mur, les tunnels ont été condamnés et le métro a été abandonné à Evaya au profit du tramway. Du côté d’Errydor, les tunnels sont encore en partie accessibles et certains y trouvent refuge lors des intempéries, mais le métro ne passe plus et les vieux wagons ont tous été désossés depuis bien longtemps. La plupart sont tombés en ruine depuis des dizaines d’années.
Territoires des gangs
Une grande partie de la ville est contrôlée et disputée par les gangs. Il s’agit surtout pour eux de contrôler un maximum d’immeubles et de vieux bâtiments, car ils les louent ensuite au reste de la population et obtiennent ainsi de nombreuses ressources qu’ils peuvent aller dépenser, notamment au Club de strip-tease. Les immeubles sont miteux, nombre d’entre eux tombent en ruines et les appartements sont si petits, que la plupart des familles se marchent dessus. Mais c’est le mieux que l’on puisse espérer de ce côté de la ville, alors beaucoup sont prêts à mettre le prix pour pouvoir y loger.
Aujourd’hui, les peuples des deux côtés subissent une certaine oppression. Si, du côté d’Errydor, elle est claire et particulièrement ressentie, les citoyens d’Evaya vivent dans la crainte constante d’un échec, qui aboutirait forcément à une déchéance et à leur expulsion du côté d’Errydor. La famine et la mort d’un côté et la peur d’atterrir en Enfer de l’autre conduisent les citoyens de toute la cité à ressentir une sorte de désespoir. La situation est inchangée depuis 300 ans et tous ceux qui ont essayé d’apporter un changement ont été expulsés au-delà des murs, dans la nature hostile et mortelle. Pourtant, de chaque côté, l’injustice est ressentie et on entend des chuchotements et des critiques du gouvernement, qui se font dans la plus grande discrétion du côté d’Evaya et plus vivement du côté d’Errydor. La colère finira-t-elle par gronder de chaque côté du mur ? Ou bien les peuples opprimés le resteront-ils encore pour des centaines d’années ?
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- Pour les rps vous n’êtes pas autorisé à bouger ou à faire réagir le personnage d’un autre joueur sans son accord.
Il vous est possible d’incarner différents personnages de la cité de Meynoras et notamment :
Du côté d’Evaya :
- Un membres du conseil : les conseillers sont au nombre de 7 et ont chacun une fonction. Leur rôle est d’aider le dirigeant à gouverner. Parmi les fonctions, on trouve : Chef de la sécurité, Dirigeant technologique, Diplomate, Directeur de la santé publique, Gérant des ressources agro-alimentaires, Responsable de l’éducation, Attaché à la communication et à la culture. Les conseillers doivent également respecter quelques détails qui seront donnés par les MJs.
- Un fonctionnaire du gouvernement : secrétaires, assistants, policier, etc.
- Un membre de l’élite d’Evaya : stars (chanteurs, acteurs, sportifs de haut niveau, haut ingénieur...), PDG en tout genre.
- Un simple Evayen : vendeurs, salariés, commerçants, ingénieurs, médecins, etc.
- Une Sentinelles : Ils veillent sur la population d'Errydor et viennent en aide à leurs concitoyens. ils sont nombreux et tous différents. Certains sont pacifistes, mais tous ne le sont pas. Au contraire, la plupart des membres cherchent la justice. Il n’y a pas de restriction concernant les Sentinelles, mais, si à un moment ils sont trop nombreux, nous stopperons les inscriptions pour ces rôles.
- Un membre d’un gang : vous pouvez aussi bien créer votre propre gang, être un chef ou un simple membre, au choix.
- Un.e strip-teaser.seuse : ils appartiennent au club, ils sont donc contraints d’y rester et y vivent. Il y a des filles et des garçons, vous pouvez jouer l’un ou l’autre sans problème, et votre personnage peut être venu de son plein gré ou non.
- Un Errydien de la classe moyenne : il s’agit d’Errydiens qui parviennent à obtenir suffisamment de ressources pour se payer un logement.
- Un Errydien de la classe pauvre : il s’agit des Errydiens qui vivent dans le bidonville.
Nom :
Prénom :
Age :
Citoyenneté (Evayens ou Errydiens) :
Gang (si vous êtes Errydien et que vous appartenez à un gang) :
Histoire :
Caractère :
Physique :
Si vous souhaitez créer un gang et en devenir le.a chef.fe, il faudra en faire une courte description dans votre fiche (lui trouver un nom, indiquer s'il est pacifiste, quels sont ses objectifs, ses spécificités...).