La fin d'un monde

[Lypemanie]

Hello ! Je commence tout juste l'écriture, et je souhaiterais des avis constructifs, des conseils, etc, pour pouvoir avancer de mon mieux dans mon histoire.

Il y aura sûrement des fautes d'orthographes, j'utilise pour le moment un correcteur en ligne et c'est sûrement pas ce qu'il y a de plus fiable.

J'espère que ça vous plaira !

IMG_20200819_210153.png (907.44 Kio) Consulté 231 fois

Prologue

Je m'appelle Théa, nous sommes le 25 août 2025, et ça fait cinq ans jour pour jour que Sarah et Arthur m'ont sauvé la vie. Ils m'avaient retrouvé au milieu des ruines d'un supermarché. Apparemment, un drone aurait essayé de m'exploser.

Il est impossible de sortir la journée à cause des drones, on est obligé d'attendre la tombée de la nuit pour se déplacer. C'est moins risqué, mais ça reste dangereux. Sarah est fille de militaire, elle a appris dès son plus jeune âge à se défendre et à rester discrète. Son père lui disait en permanence, je cite "Une guerre ne tient qu'à un seul homme. Reste toujours en alerte." Il avait raison. Sauf que ce n'est pas une guerre qui a déclenché cette apocalypse, mais un virus.

Ça a commencé en Chine en décembre 2019, et début 2020, le reste du monde était touché. Au début, ils disaient que ce n'était pas "trop" grave, que les meilleurs scientifiques du monde étaient sur le coup pour trouver un remède efficace. Un vaccin. Quelques mois après, ils nous ont dit que c'étaient "un peu" plus dangereux que prévu, que le mieux était de rester chez soi de ne sortir qu'en cas de nécessité, de porter des gants, un masque et de garder un maximum de distance avec les autres. Ensuite, c'est devenu de pire en pire. Des patrouilles de militaires dans chaque rue. On ne pouvait sortir que pour aller chercher de quoi subvenir à nos besoins. Tous les magasins étaient sous surveillance de drone, c'est d'ailleurs à ce moment-là qu'ils ont commencé à les utiliser. Après ça, ils nous ont carrément coupé le courant, sans donner de raison. Et pour finir, ils ont lâché les drones 2.0 absolument partout, et le premier qui sortait de chez lui se faisait exploser. À l'heure actuelle, on ne sait toujours pas qui est derrière tout ça, mais on compte bien le découvrir.

[Lypemanie]

Mission ravitaillement

Théa

- Hey, Théa, tu viens avec nous pour le ravitaillement de ce soir ? me demande Simon.
- En effet, pourquoi ?
- Lise veut venir aussi. Je me suis dit... Que tu pourrais la convaincre de rester ici... Elle n'est vraiment pas prête, tu sais, mais Sarah est d'accord...

Lise, c'est une ado de 16 ans qu'on a recueillie dans le groupe il y a quelques mois. Quant à Simon, nous l'avons rencontré quelques semaines après mon sauvetage. Je l'ai connu, il avait à peine 14 ans. De ce que je sais, ses parents se seraient fait tuer par des drones alors qu'ils essayaient d'aller chercher de l'eau et de la nourriture pour lui et sa petite sœur. Quand Lise est arrivée, il a très vite noué un lien avec elle, ce qu'il n'avait jamais fait avant.

- Écoute Simon, Lise est un très bon élément, elle nous sera très utile. Je sais que tu as...
- Okay, c'est bon, j'ai compris. Tu parles comme Sarah.
Il s'en va, fâché visiblement.
- Attends, Simon !
Trop tard, il a claqué la porte.

Ce soir, nous sommes six à partir en mission. Sarah, Arthur, Simon, Lise, Noah et moi. Excepté Lise, nous sommes tous des habitués, mais elle s'est beaucoup entraînée pour pouvoir partir avec nous. Sarah est sûre qu'elle est prête, moi, j'ai du mal avec le fait de mettre en danger une gosse. Sarah devrait comprendre le point de vue de Simon, quand elle m'a sauvée et remise sur pied, elle a eu du mal à accepter ma première sortie.

Quand on a compris que le plus grand danger à l'extérieur était les drones, qui larguaient des bombes sur tout ce qui bouge, on a commencé des entraînement. D'abord, on devait travailler notre discrétion et notre sens de l'observation. Ensuite, on s'entraînait au tir, on visait des cibles mouvantes. On avait trouvé une vieille usine, déjà abandonnée avant même le début de l'épidémie, on en avait fait notre QG. C'était suffisamment grand pour s'entraîner et pouvoir manger et se reposer.

Sarah, c'est le premier visage que j'ai vu quand j'ai ouvert les yeux. Des traits fins, de grands yeux verts, et de magnifiques cheveux roux. Elle m'a souri, et si je n'avais pas été dans un état aussi pitoyable, je l'aurais sans doute embrassée. Un lien s'est très vite créé entre nous, on est devenue très proches en très peu de temps, et on a fini ensemble. Ça paraît dingue de se dire que s'est encore possible de trouver l'amour dans un monde totalement ravagé.

Quelqu'un frappe à la porte ;

- Entrez !
C'est Sarah, avec nos sacs à dos.
- J'ai fini de préparer nos affaires pour ce soir. Simon est venu me voir tout à l'heure...
Tout comme moi, je sais que ça lui fait de la peine d'avoir dit non à Simon.
- Je sais, il m'a dit que tu étais d'accord pour Lise. Il voulait que je la convainque de ne pas venir avec nous. Je lui ai dit qu'elle était un bon élément et qu'on avait besoin d'elle. Il l'a très mal pris.
Elle me prend la main, m'attire pour me prendre dans ses bras et commence à me parler d'une voix douce.
- Je sais que tu penses qu'elle est trop jeune. Et je sais que c'est pour moi que tu as refusé de le faire. Elle s'éloigne un peu, pose ses mains de chaque côté de mon visage, plante son regard dans le mien et poursuit. Mais c'est fini le temps où les ados étaient seulement des ados. Tu sais comment c'est dehors, tu sais que si elle ne commence pas maintenant, elle n'y arrivera jamais.

Je m'éloigne un peu, je sais qu'elle a raison, je sais que tout a changé, que le monde qu'on a connu n'existe plus. Je sais que ce virus, a emporté pas mal de monde sur son passage, et que les drones nous laisseront jamais tranquille. Mais je déteste l'idée que des gosses se mettent en danger.
- Sarah...
- Je sais, on en a déjà parlé mon cœur. Elle me regarde, avec un faible sourire. Je te laisse les sacs, je vais voir où en sont les autres. On démarre dans moins de deux heures.
Elle m'embrasse sur le front et sort de la pièce.

[Lypemanie]

Mission ravitaillement (suite)

Simon

Je sors de la pièce en claquant la porte, j'en reviens pas qu'elles acceptent d'embarquer Lise. Elle n'est pas prête ! Je le sais ! Je me dirige vers ma chambre quand je la vois, elle discute avec Arthur. Elle se demande sûrement comment on va procéder.

On squatte un hôpital depuis quelque temps. On a beaucoup bougé durant ses dernières années. Chaque fois qu'on trouvait un endroit convenable, il finissait en cendre à cause de ses maudits drones. On a perdu pas mal de monde à cause de ça. C'est comme si on n'avait pas le droit de secourir des gens.

Avant l'hôpital, on créchait dans une petite villa, mais vu le nombre de personnes qu'on a ramassées et qui ne sont pas encore mortes, il nous fallait un truc plus grand. Depuis que le monde est parti en couille à cause de ce putain de virus et des drones, 85% des bâtiments sont partis en fumer. L'hôpital est bien amoché, il suffirait d'un rien pour que le reste s'écroule, mais on n'a pas pu trouver mieux pour le moment. Quand on part en ravitaillement, on jette toujours un coup d'œil aux immeubles qui nous entourent. On sait jamais, qu'un truc tient encore la route.

Je rentre dans ma piaule, mon sac est prêt depuis hier. Je vais m'allonger un peu avant de partir, il faut que je sois en forme. Pour elle.

- Simon, ils vont où maman et papa ?
Elle me regarde avec ses grands yeux bleus, elle ne comprend pas encore très bien ce qui se passe du haut de ses 6 ans.
D'un coup, on entend une explosion, je fais signe à Margaux de ne pas bouger et me dirige vers la fenêtre.

- NAAAAN !
Je regarde autour de moi, c'était encore ce putain de cauchemar ! Merde !
- Moon ? Ça va ?
C'est Lise qui vient d'entrer, elle a dû m'entendre.
- Heu... ouais, t'inquiètes. C'est l'heure ?

Je vois le doute dans ses yeux, mais elle sait qu'elle ne doit pas me poser de questions. Je lui ai jamais parlé de ce qui était arrivé à ma famille. Je parle jamais d'eux. Les seuls qui savent plus ou moins ce qu'il s'est passé, c'est le trio qui m'a recueilli y a cinq ans de ça, Sarah, Arthur et Lise. Et encore, ils ne savent rien de ma petite sœur. Ca, j'ai jamais voulu en parler. Je fais deux sortes de cauchemar, celui où je vois mes parents en morceaux et celui où je vois le visage de ma petite sœur avant qu'elle ne meure.

Lise me sort de mes pensées.

- Hey, Moon ! Oui, c'est l'heure, tout le monde est prêt, je venais te chercher quand...
- Ouais, c'est rien, aller, let's go !
Je prends mon sac, je glisse mon couteau dans son étui, je passe mon M16 en bandoulière et attrape Lise par le bras pour l'emmener avec moi. Dans le fond du couloir, le reste de l'équipe nous attend.
- Moon... Je me retourne, je m'étais pas rendu compte que je la tenais toujours. Tu me fais un peu mal là. Je la lâche.
- Déso... J'avais pas fait gaffe.
Elle m'attrape le bras et m'oblige à la regarder.
- Pourquoi tu n'as pas confiance en moi ? Sérieux, t'as vu les progrès que j'ai faits en si peu de temps ! Des fois, j'te comprends vraiment pas.
Elle me lâche et se dirige vers le groupe, je la suis. Arrivée à leur auteur, Sarah prend la parole.
- Bon, vous connaissez la tactique, ce n'est pas la première fois qu'on le fait, à l'exception de Lise. Elle jette un coup d’œil en direction de l'"exception" et poursuit. Arthur lui a expliqué comment on fonctionne, tu resteras toujours avec Simon, compris ? Lise me regarde un instant et fait un petit signe de la tête. Très bien, dans ce cas, on peut y aller !

[elenwe]

Bonjour,

Après lecture de prologue, j'ai quelques conseils :
Il faut que la narration dans ton prologue reste cohérente. C'est à dire que soit tu écrits tout sous forme de journal, soit tu écrits tout sous forme de narration. C'est trop court pour que tu te permettes de switcher comme ça. En plus un prologue c'est supposé être quelque chose qui reste dans la même continuité. Toi tu as accumulé le changement de narration plus un bon dans le temps de 5 ans.

Ensuite ton dialogue est très confus, il n'y a aucune incise et aucune description, on ne sait ni qui parle, ni où ça se passe, bref c'est un peu trop brouillon :/

J'ai lu la suite "mission de ravitaillement".
Déjà petite règle, les incises c'est sans majuscule. (Et au passage, il faut un tiret cadratin)
ex : " — Hey, Théa, tu viens avec nous pour le ravitaillement de ce soir ? me demande Simon."

Théa elle est arrivée dans le groupe tout juste 1 mois et 20 jours en gros après l'interdiction de sortir sous peine d'être tué, donc le groupe qui l'a recueilli ne peut pas être beaucoup plus vieux que ça. Quand elle fait référence au passé de Simon, on dirait qu'il vivait déjà à la dure depuis hyper longtemps avant qu'il la secoure, ça fait un peu bizarre.

Ici :
" - Attends, Simon ! Il est déjà trop tard, il a claqué la porte."
--> Tout ce qui est souligné tu dois le mettre à la ligne ou alors rajouter un verbe d'incise, par exemple : "— Attends, Simon ! dis-je dans le vent, car il a déjà claqué la porte."

Aussi tant que j'y pense, les chiffres il faut les écrire en toutes lettres
Pareil pour la mise en forme le * toc toc toc* il faut que tu l'écrives : "quelqu'un frappa à la porte me sortant de mes pensées, je l'invitais à entrer."

Je ne comprends pas trop toute la partie où Sarah arrive, parce que juste avant Théa se dit qu'elle est d'accord pour que Lise sorte et là Sarah en rajoute une couche comme si elle voulait la convaincre. Si elle dit tout ça à voix haute pour se rassurer il faut que tu le dises dans la narration, sinon on ne comprend pas où tu veux en venir, car le passage ne nous apporte pas de nouveaux éléments.

"- NAAAAN ! Je regarde autour de moi, c'était encore ce putain de cauchemar ! Merde !"
--> Pareil a partie soulignée il faut la mettre à la ligne. Sinon ça rend ton tiret confus (pareil sur plusieurs tirets d'après ce passage aussi )

Bon maintenant que j'ai fini de t'enquiquiner avec mes remarques, je peux te dire que c'est prometteurs. On voit que tu as des idées, tu manques juste un peu de pratique pour les mettre en scène correctement
Il faut que tu essaies un peu plus de te mettre à la place de celui qui te lit, c'est très pauvre en description, c'est dur de visualise, pense à donner des détails sur ce qu'ils voient, l'ambiance, les odeurs, les bruits...

Bon courage pour l'écriture de la suite

[Lypemanie]

Bonjour,

Après lecture de prologue, j'ai quelques conseils :
Il faut que la narration dans ton prologue reste cohérente. C'est à dire que soit tu écrits tout sous forme de journal, soit tu écrits tout sous forme de narration. C'est trop court pour que tu te permettes de switcher comme ça. En plus un prologue c'est supposé être quelque chose qui reste dans la même continuité. Toi tu as accumulé le changement de narration plus un bon dans le temps de 5 ans.

Ensuite ton dialogue est très confus, il n'y a aucune incise et aucune description, on ne sait ni qui parle, ni où ça se passe, bref c'est un peu trop brouillon :/

J'ai lu la suite "mission de ravitaillement".
Déjà petite règle, les incises c'est sans majuscule. (Et au passage, il faut un tiret cadratin)
ex : " — Hey, Théa, tu viens avec nous pour le ravitaillement de ce soir ? me demande Simon."

Théa elle est arrivée dans le groupe tout juste 1 mois et 20 jours en gros après l'interdiction de sortir sous peine d'être tué, donc le groupe qui l'a recueilli ne peut pas être beaucoup plus vieux que ça. Quand elle fait référence au passé de Simon, on dirait qu'il vivait déjà à la dure depuis hyper longtemps avant qu'il la secoure, ça fait un peu bizarre.

Ici :
" - Attends, Simon ! Il est déjà trop tard, il a claqué la porte."
--> Tout ce qui est souligné tu dois le mettre à la ligne ou alors rajouter un verbe d'incise, par exemple : "— Attends, Simon ! dis-je dans le vent, car il a déjà claqué la porte."

Aussi tant que j'y pense, les chiffres il faut les écrire en toutes lettres
Pareil pour la mise en forme le * toc toc toc* il faut que tu l'écrives : "quelqu'un frappa à la porte me sortant de mes pensées, je l'invitais à entrer."

Je ne comprends pas trop toute la partie où Sarah arrive, parce que juste avant Théa se dit qu'elle est d'accord pour que Lise sorte et là Sarah en rajoute une couche comme si elle voulait la convaincre. Si elle dit tout ça à voix haute pour se rassurer il faut que tu le dises dans la narration, sinon on ne comprend pas où tu veux en venir, car le passage ne nous apporte pas de nouveaux éléments.

"- NAAAAN ! Je regarde autour de moi, c'était encore ce putain de cauchemar ! Merde !"
--> Pareil a partie soulignée il faut la mettre à la ligne. Sinon ça rend ton tiret confus (pareil sur plusieurs tirets d'après ce passage aussi )

Bon maintenant que j'ai fini de t'enquiquiner avec mes remarques, je peux te dire que c'est prometteurs. On voit que tu as des idées, tu manques juste un peu de pratique pour les mettre en scène correctement
Il faut que tu essaies un peu plus de te mettre à la place de celui qui te lit, c'est très pauvre en description, c'est dur de visualise, pense à donner des détails sur ce qu'ils voient, l'ambiance, les odeurs, les bruits...

Bon courage pour l'écriture de la suite

Merci énormément pour tout c'est précieux conseils ! J'en avais vraiment besoin.

Merci aussi d'avoir pris le temps de lire et d'avoir donné ton avis.

Je vais prendre note de tout ça et à l'aide d'autre conseils que j'ai eu, je vais retravailler tout ça avant d'écrire la suite !

J'espère pouvoir compter sur toi pour la suite

[elenwe]

Coucou

Je viendrai lire tu n'auras qu'à me prévenir

[Lypemanie]

Lise

Nous sortons de l'hôpital, dehors, c'est la nuit noir, on ne voit absolument rien à un kilomètre à la ronde. Le temps est doux, il y a un peu de vent, ça fait du bien. Arthur m'a donné un couteau de chasse et un petit pistolet, il m'a dit que j'en aurais sûrement pas besoin, mais que, au cas où, j'étais équipé. Nous longeons les murs encore debout et faisons attention à ne pas être dans la lumière d'un drone. Je haïs ses engins.

Il y a quelques mois, j'étais encore avec mon père, nous squattions une maison abandonnée qui n'avais pas été touché par les bombes. Un soir, on est sortie pour aller chercher de la nourriture, arrivé dans un petit magasin, nous nous sommes séparé pour faire chaque rayon. Mon père était du côté de la baie vitré quand un drone l'a repéré, pour ne pas que le drone largue la bombe sur le magasin, il est parti dehors en courant. Le drone a lâché la bombe et mon père à volé en éclats.

Je n'ai pas osé quitter le magasin après ça, je suis restée seule quelques jours avant que Sarah et Théa me trouve. Ce n'était pas très loin de l'hôpital, du coup, elles ont préféré sortir seules. J'étais encore sous le choc, roulée en boule dans un coin, loin de la baie vitrée. Quand je les ai entendues, j'ai pas bougé, je suis restée en position fétus jusqu'à ce qu'elle me voient. Elles ont été super ce soir-là, elles ont attendu, assise prés de moi, après m'avoir expliqué tout ce que je devais savoir, que je sois prête à me lever et sortir.

Je regarde autour de nous, c'est étrange, on aurait déjà dû croiser des drones. Simon me regarde suspicieux, lui non plus ne trouve pas ça normal. Soudain, on entend un bruit au loin, on dirait des gens qui discutent. Sarah nous fait signe de nous arrêter.

On se rapproche les uns des autres et elle prend la parole.

- Je vais aller jeter un coup d'œil avec Arthur, vous quatre, vous ne bougez pas.
- Mais vous êtes pas bien ! S'ils ne ce sont pas encore fait bombarder par les drones, c'est qu'il y a une bonne raison. Intervient Noah.
- Et c'est justement pour ça qu'on n'y va qu'à deux. Répond Arthur.
Il y un bref moment de silence entre nous, puis Simon décide de prendre la parole au moment ou Sarah et Arthur s'apprête à partir.
- On ne peut pas rester sur place, dehors. On n'a pas encore croisé de drone, mais ça peut encore arriver. On doit se mettre à l'abri avant de décider d'aller voir ce qu'il se passe.
- Okay, vous allez vous mettre à l'abri, et nous, on va voir. Dit Sarah.

Je regarde Théa, que je n'ai pas encore entendue, et je vois qu'elle fixe Sarah. Elle n'a pas envie qu'elle parte sans elle, mais elle n'ose pas lui dire. Simon hoche la tête, Sarah et Arthur s'en vont en direction des voix, et nous, dans le sens inverse à la recherche d'un bâtiments pour nous abriter.

[elenwe]

Coucou

Lise

Nous sortons de l'hôpital, dehors, c'est la nuit noire, on ne voit absolument rien à un kilomètre à la ronde (c'est énorme un kilomètre à la ronde, je ne suis pas certaine que c'est le rendu que tu voulais) . Le temps est doux, il y a un peu de vent, ça fait du bien. Arthur m'a donné un couteau de chasse et un petit pistolet, il m'a dit que je n'en aurais sûrement pas besoin, mais que, au cas où, j'étais équipée. Nous longeons les murs encore debout et faisons attention à ne pas être dans la lumière d'un drone. Je haïs ces engins.

Il y a quelques mois, j'étais encore avec mon père, nous squattions une maison abandonnée qui n'avais pas été touchée par les bombes. Un soir, on est sortis pour aller chercher de la nourriture, arrivé dans un petit magasin, nous nous sommes séparés pour faire chaque rayon. Mon père était du côté de la baie vitrée quand un drone l'a repéré, pour ne pas que le drone largue la bombe sur le magasin, il est parti dehors en courant. Le drone a lâché la bombe et mon père à volé en éclats. (Fait attention, tu as tendance à beaucoup utiliser les mêmes mots : partir, sortir, lâcher. Trouve des synonymes ou bien essaies d'autres tournures )

Je n'ai pas osé quitter le magasin après ça, je suis restée seule quelques jours avant que Sarah et Théa me trouvent. Ce n'était pas très loin de l'hôpital, du coup, elles ont préféré sortir seules. J'étais encore sous le choc, roulée en boule dans un coin, loin de la baie vitrée. Quand je les ai entendues, je n'ai pas bougé, je suis restée en position fœtale jusqu'à ce qu'elles me voient. Elles ont été super ce soir-là, elles ont attendu, assises prés de moi, après m'avoir expliqué tout ce que je devais savoir, que je sois prête à me lever et sortir.

Je regarde autour de nous, c'est étrange, on aurait déjà dû croiser des drones. Simon me regarde suspicieux, lui non plus ne trouve pas ça normal. Soudain, on entend un bruit au loin, on dirait des gens qui discutent. Sarah nous fait signe de nous arrêter.

On se rapproche les uns des autres et elle prend la parole.

- Je vais aller jeter un coup d'œil avec Arthur, vous quatre, vous ne bougez pas.
- Mais vous êtes pas bien ! S'ils ne ce sont pas encore fait bombarder par les drones, c'est qu'il y a une bonne raison, intervient Noah.
- Et c'est justement pour ça qu'on n'y va qu'à deux, répond Arthur.
Il y un bref moment de silence entre nous, puis Simon décide de prendre la parole au moment ou Sarah et Arthur s'apprêtent à partir.
- On ne peut pas rester sur place, dehors. On n'a pas encore croisé de drone, mais ça peut encore arriver. On doit se mettre à l'abri avant de décider d'aller voir ce qu'il se passe.
- Okay, vous allez vous mettre à l'abri, et nous, on va voir, dit Sarah.

Je regarde Théa, que je n'ai pas encore entendue, et je vois qu'elle fixe Sarah. Elle n'a pas envie qu'elle parte sans elle, mais elle n'ose pas lui dire. Simon hoche la tête, Sarah et Arthur s'en vont en direction des voix, et nous, dans le sens inverse à la recherche d'un bâtiments pour nous abriter.

Il faudrait que tu essaies de mettre des "nous" au lieu des "on", le langage parlé c'est bien, c'est plus vivant, mais il vaut mieux mettre les négations complètes et "nous" au lieu de "on". Il n'y a que dans les dialogues où on peut les retirer
Si j'ai souligné des mots c'est pour te montrer les répétitions

Attention tu as encore mis les incises de tes dialogues avec des majuscules, il ne faut jamais de point avant et même après un point d'exclamation ou d'interrogation, c'est sans majuscule

Pense à rajouter des descriptions, les odeurs et tout ça, ça manque pas mal.
Après c'est pas mal, je sens que tu as des idées
J'ai pas tout corrigé, hein, juste ce qui m'a sauté aux yeux

Bon courage pour la suite

[Lypemanie]

Coucou

Lise

Nous sortons de l'hôpital, dehors, c'est la nuit noire, on ne voit absolument rien à un kilomètre à la ronde (c'est énorme un kilomètre à la ronde, je ne suis pas certaine que c'est le rendu que tu voulais) . Le temps est doux, il y a un peu de vent, ça fait du bien. Arthur m'a donné un couteau de chasse et un petit pistolet, il m'a dit que je n'en aurais sûrement pas besoin, mais que, au cas où, j'étais équipée. Nous longeons les murs encore debout et faisons attention à ne pas être dans la lumière d'un drone. Je haïs ces engins.

Il y a quelques mois, j'étais encore avec mon père, nous squattions une maison abandonnée qui n'avais pas été touchée par les bombes. Un soir, on est sortis pour aller chercher de la nourriture, arrivé dans un petit magasin, nous nous sommes séparés pour faire chaque rayon. Mon père était du côté de la baie vitrée quand un drone l'a repéré, pour ne pas que le drone largue la bombe sur le magasin, il est parti dehors en courant. Le drone a lâché la bombe et mon père à volé en éclats. (Fait attention, tu as tendance à beaucoup utiliser les mêmes mots : partir, sortir, lâcher. Trouve des synonymes ou bien essaies d'autres tournures )

Je n'ai pas osé quitter le magasin après ça, je suis restée seule quelques jours avant que Sarah et Théa me trouvent. Ce n'était pas très loin de l'hôpital, du coup, elles ont préféré sortir seules. J'étais encore sous le choc, roulée en boule dans un coin, loin de la baie vitrée. Quand je les ai entendues, je n'ai pas bougé, je suis restée en position fœtale jusqu'à ce qu'elles me voient. Elles ont été super ce soir-là, elles ont attendu, assises prés de moi, après m'avoir expliqué tout ce que je devais savoir, que je sois prête à me lever et sortir.

Je regarde autour de nous, c'est étrange, on aurait déjà dû croiser des drones. Simon me regarde suspicieux, lui non plus ne trouve pas ça normal. Soudain, on entend un bruit au loin, on dirait des gens qui discutent. Sarah nous fait signe de nous arrêter.

On se rapproche les uns des autres et elle prend la parole.

- Je vais aller jeter un coup d'œil avec Arthur, vous quatre, vous ne bougez pas.
- Mais vous êtes pas bien ! S'ils ne ce sont pas encore fait bombarder par les drones, c'est qu'il y a une bonne raison, intervient Noah.
- Et c'est justement pour ça qu'on n'y va qu'à deux, répond Arthur.
Il y un bref moment de silence entre nous, puis Simon décide de prendre la parole au moment ou Sarah et Arthur s'apprêtent à partir.
- On ne peut pas rester sur place, dehors. On n'a pas encore croisé de drone, mais ça peut encore arriver. On doit se mettre à l'abri avant de décider d'aller voir ce qu'il se passe.
- Okay, vous allez vous mettre à l'abri, et nous, on va voir, dit Sarah.

Je regarde Théa, que je n'ai pas encore entendue, et je vois qu'elle fixe Sarah. Elle n'a pas envie qu'elle parte sans elle, mais elle n'ose pas lui dire. Simon hoche la tête, Sarah et Arthur s'en vont en direction des voix, et nous, dans le sens inverse à la recherche d'un bâtiments pour nous abriter.

Il faudrait que tu essaies de mettre des "nous" au lieu des "on", le langage parlé c'est bien, c'est plus vivant, mais il vaut mieux mettre les négations complètes et "nous" au lieu de "on". Il n'y a que dans les dialogues où on peut les retirer
Si j'ai souligné des mots c'est pour te montrer les répétitions

Attention tu as encore mis les incises de tes dialogues avec des majuscules, il ne faut jamais de point avant et même après un point d'exclamation ou d'interrogation, c'est sans majuscule

Pense à rajouter des descriptions, les odeurs et tout ça, ça manque pas mal.
Après c'est pas mal, je sens que tu as des idées
J'ai pas tout corrigé, hein, juste ce qui m'a sauté aux yeux

Bon courage pour la suite

Je vais finir par retenir la leçon pour les majuscule

J'utilise un correcteur en ligne, c'est pas tip top mais c'est déjà mieux que moi

Merci pour tes nouveaux et anciens conseils répétés, (tu vas sûrement me les répéter un million de fois )

Je ne sais pas si tu as vu, mais j'ai réécrit les précédents paragraphes, chapitre, je sais pas comment les appeler... Mais c'est vrai qu'il faudrait que je rajoute des détails, mais j'ai peur de trop en faire.

Je sais pas te prévenir quand je poste quelque chose, car apparemment, je n'ai pas assez de points pour envoyer des msg ou écrire sur le mur des autre