Hello !
Je viens updater à nouveau
mon challenge !
- Finir une saga commencée en 2022 - en anglais ! :
Harry Potter de J. K. Rowling (mode exterminateur)
Harry Potter and the Half-Blood Prince
C’est le tome pour lequel j’ai toujours moins facile à me souvenir de l’histoire. Je crois que c’est peut-être juste parce que nos héros sont plus passifs, tout au long de l’année. Le tome 1 était axé sur l’intrigue de la pierre philosophale et la découverte du monde des sorciers, le tome 2 sur la Chambre des secrets, mais Harry, Ron et Hermione ne restent pas bras croisés, le tome 3 sur Sirius Black dont on savait qu’il était en liberté et les Dementors faisaient qu’il y avait une ombre menaçante qui planait sur l’école. Le tome 4 était rempli d’action grâce au Tournoi des Trois Sorciers – le tome 5 est le moment où j’ai eu l’impression que le rythme a ralenti, mais par à coup, car, ça commence fort, Umbridge est là comme adversaire omniprésente et ça finit fort aussi, et entretemps, il y avait également tout l’esprit de rébellion de la DA. Le tome 6, on a vraiment cette impression qu’Harry peine à se faire entendre de qui que ce soit, que peu de choses sont faites. Le meilleur étant les passages où Dumbledore montre des souvenirs à Harry, pour mieux le préparer à son affrontement futur contre Voldemort. Mais, malgré qu’il soit plus court que le tome précédent, il semble très lent. Je n’aurais pas été contre plus d’ « actions », ou d’actes. Ah et Ron est un sombre crétin insupportable dans ce tome, j’ai l’impression de le répéter tout le temps depuis le 3e tome, rien à faire, je déteste les personnes comme lui, il a un fond méchant, égoïste et prétentieux. Et personne ne m’ôtera ça de la tête. Harry et Hermione ont aussi bien sûr des défauts, mais ceux de Ron me tapent sur le système – je ne suis pas sortie de l’auberge, vu ce qui m’attend au prochain tome. ^^ Le final est le plus triste de toute la série, qu’est-ce que j’ai pleuré…
- Finir une saga d'un auteur de nationalité belge :
Bob et Bobette de Willy Vandersteen (mode updateur)
- Bob et Bobette n°201 : Le méchant machin
- Bob et Bobette n°202 : Panique sur "l'Amsterdam"
- Bob et Bobette n°203 : La pluie acide
- Bob et Bobette n°204 : La mignonne Millirem
- Bob et Bobette n°205 : Le chat teigne
- Bob et Bobette n°206 : Les barbus baraqués
- Bob et Bobette n°207 : Le glacier glissant
- Bob et Bobette n°208 : Les chiens de l'enfer
- Bob et Bobette n°209 : Les furax furieux
- Bob et Bobette n°210 : La jeune fille joyeuse
- Bob et Bobette n°211 : Les guêpes fougueuses
- Bob et Bobette n°212 : La perle du lotus
- Bob et Bobette n°213 : Les elfes enchantés
- Bob et Bobette n°214 : La licorne solitaire
- Bob et Bobette n°216 : L'outre volante
Bob et Bobette n°201 : Le méchant machin
Le cadre de ce tome est pas fou-fou, mais l’histoire de Nello et de Patrache est touchante – et ça m’a rendu curieuse sur l’histoire du livre original
Un chien de Flandres écrite par Marie Louise de la Ramée (pseudonyme : Ouida). C’est une anglaise (elle a des origines françaises, du côté de son père) qui a écrit beaucoup de romans, de nouvelles et aussi des livres pour enfants. Apparemment, ce livre a eu énormément de succès au Japon, en Corée, en Ukraine et ailleurs (considéré comme un classique de la littérature jeunesse). Ce qui explique pourquoi dans Bob et Bobette, la jeune fille qui essaye de reconstruire l’histoire de Nello pour sauver sa sœur est japonaise. Ce qui est dingue, c’est que ça se passe en Belgique, à Anvers et qu’honnêtement, on n’en a guère entendu parler de ce livre… J’imagine que maintenant il existe des traductions du livre de Ouida en français et en néerlandais – apparemment, c’est seulement à partir des années 80 que le tourisme belge s’est aperçu du phénomène et a créé des statues en l’honneur des personnages du livre. Dans l’histoire, Nello le jeune garçon, orphelin qui vit avec son grand-père très pauvre, est subjugué par un tableau de Rubens dans la cathédrale d’Anvers et veut lui-même devenir peintre. Un jour, il trouve avec son un chien battu Patrache, il s’occupe de lui et ils deviennent amis. Et je n’en dis pas plus, car peut-être que ce bref résumé vous donnera envie d’aller trouver l’histoire originale, comme pour moi. C’est chouette de se dire qu’un tome de Suske en Wiske a révélé à son public, une belle histoire qui sinon n’aurait peut-être pas eu du tout de reconnaissance dans le pays qui l’a inspiré.
Bob et Bobette n°202 : Panique sur "l'Amsterdam"
Une BD qui aurait pu être très bien, mais bof, non. « L’Amsterdam » est ici un bateau, qui fut réel, et qui a réellement fait naufrage. Apparemment, la vente de ce tome devait servir à récolter des fonds pour faire des fouilles, mais finalement, ils ont été utilisés à la construction d’une réplique du bateau d’époque. Je ne suis pas sûr pour l’heure actuelle, mais avant, on pouvait visiter l’épave et beaucoup de fouilles eurent lieu. Je crois que « l’Amsterdam » se trouve toujours au large d’Hastings, où il a sombré en 1749 avec son premier voyage. Je trouve ça dommage qu’avec un si intéressant bout d’histoire, on en arrive à un tome allant encore dans tous les sens, sans faire sens réellement. D’ailleurs ça finit encore avec une histoire d’amour idiote entre
un pilleur d’épaves magicien et une dame blanche...
Bob et Bobette n°203 : La pluie acide
J’aime beaucoup ce tome, dans lequel Lambique en crise, en perte de repères qui font sens, part avec ses amis dans le passé, pour vivre des aventures à la Robin des bois. Le côté moralisant n’est pas étouffant, et rien qu’avec le titre, on sait qu’il sera question de pollution. Il y a aussi, au début, une mini histoire, qui fera sens plus tard dans l’histoire, où Sidonie, Bob et Bobette trouve un oiseau blessé et le soigne, et l’appelle Isabelle, d’ailleurs. Ça a dû beaucoup m’influencer, car je me souviens avoir trouvé un gros oiseau à l’aile blessée quand j’étais plus jeune, et nous l’avons soigné chez ma grand-mère avant de le relâcher – et je l’avais appelé Isabelle (ça me semblait logique).
Bob et Bobette n°204 : La mignonne Millirem
BD plutôt pro-centrale nucléaire, oui, vous avez bien lu : nos protagonistes en visitent une de manière un peu méfiante quand Jérôme y trouve un travail… et Lambique laisse échapper un corps radioactif, Millirem. Celle-ci tout au long du tome veut intervenir dans une petite guerre, mais répète qu’elle a peur que son intervention soit mal interprétée. Finalement, à la toute fin, elle détruit les soldats de plomb de l’armée ennemie. Et à la fin, elle dit qu’elle n’est pas dangereuse, que ce sont les gens et la manière dont on se sert d’elle qui sont dangereux. Ouais, cette BD a mal vieilli à ce niveau-là. Et l’autre partie de l’histoire : un général et son acolyte attaquent Mathilde, une vieille dame et son magasin de porcelaine parce qu’elle ne veut pas l’épouser. Va bene, mais toujours dans ces cas-là, la fin est horripilante
oui, elle finit par accepter de l’épouser parce qu’il revient à de bons sentiments… Eurk
Bob et Bobette n°205 : Le chat teigne
Cette BD va un peu dans tous les sens, et y’a des trucs qui ne font pas sens, mais elle est fun. Je me souviens que je l’avais beaucoup aimée petite, sans doute, en grande partie grâce aux chats. C’est un peu bizarre que le lion du parc Bellewaerde prenne vie, mais comme ça amène de drôles de gags, ça passe ! Ah et le début où Lambique s’entraîne à traverser la manche à la nage est très chouette aussi.
Bob et Bobette n°206 : Les barbus baraqués
Un tome plutôt sympathique avec une histoire d’Atlantide du Nord perdue. On retrouve d’anciens personnages aussi dans la BD, plutôt bien amenés. Ici l’histoire est inspiré d’un air « Tous ceux qui veulent prendre la mer… », mais impossible de retrouver la chanson, perdue dans la traduction, j’imagine, en français.
Bob et Bobette n°207 : Le glacier glissant
J’adore les 10 premières pages, d’une ambiance bon enfant, au ski, et le périple jusqu’au glacier glissant est sympathique. La rivalité entre Jérôme et Lambique dès qu’une belle jeune femme entre en jeu (et qu’il faut la sauver) est fatigante. Surtout qu’on sait comment ça se finit, à chaque fois.
Bob et Bobette n°208 : Les chiens de l'enfer
Une des plus chouettes lues récemment, car elle suit un fil : l’arrière-grand-père de Barabas qui kidnappe Lambique et ses amis doivent alors partir dans le Rupel des années 1900, où il ne faisait pas bon vivre, pour retrouver Lambique. Pour mener l’enquête, ils essaient de s’intégrer à la population, de trouver un travail – on a alors une illustration de plusieurs métiers de dans le temps, mais aussi des dégâts liés à la révolution industrielle.
Bob et Bobette n°209 : Les furax furieux
Ce tome ne me laissera pas un souvenir impérissable. Première fois qu’on revoit Crimson depuis le tome 200 dans lequel il s’était repenti. Mais avec un tel nom, ce n’est pas étonnant qu’il revienne en tant que vilain. Je crois que c’est la première fois par contre qu’on le voit avec ses problèmes de médicamentations données par son domestique (Achille ?). C’est un des gags qui me plaisait le plus. Le reste : l’expédition, les extraterrestres portés sur le jugement appelés Furax est au mieux inintéressant et au pire frustrant. On a une magnifique pleine page dans la jungle amazonienne, ça fait rêver.
Bob et Bobette n°210 : La jeune fille joyeuse
Cette BD mélange folklore d’une dame sans tête (une dame blanche ?), champignon qui parle, Sidonie qui cherche (encore une fois) à être belle et Lambique qui se prend pour Cyrano de Bergerac. Malgré ce bazar, c’est une histoire plutôt sympathique, dans laquelle malheureusement, on dirait que l’auteur manquait d’inspiration pour le final… et où encore une fois Jérôme intervient en deus ex-machina
il a une sorte de pouvoir, apparemment, maintenant ? Vraiment la fin, c’est du grand n’importe quoi !
Bob et Bobette n°211 : Les guêpes fougueuses
Encore un tome où ça va dans tous les sens : Bob et Bobette multiplient les bêtises dans la « Westland », Lambique et Jérôme incarnent Sherlock Holmes et Watson, allez savoir pourquoi et un ancien méchant revient. Et si je ne l’avais pas vu venir, c’est parce qu’il ne m’a pas fait une grande impression… Même si on voit sa tête, faire revenir un méchant lambda d’il y a quelques tomes ne fonctionne pas, si on ne s’en souvient pas.
Bob et Bobette n°212 : La perle du lotus
Une histoire un peu bizarre, dans laquelle Sidonie fait une crise tragique, prête à mourir, à moins qu’on lui offre la plus belle chose au monde. Et ça tombe bien puisqu’apparemment un oracle dit que Bobette est la perle du lotus, du coup, de manière tout à fait logique, ils s’embarquent au Népal pour trouver la plus belle chose au monde. Bref, ça part dans tous les sens, ça tient à peine debout. Et on voit le dénouement venir à des kilomètres à la ronde.
La plus belle chose au monde, c’est l’amitié qu’on se porte les uns aux autres, ce qu’elle a en elle depuis le début
Bob et Bobette n°213 : Les elfes enchantés
Une histoire plus centrée sur Bob, mais qui ne se comporte pas terriblement bien, par rapport à Bobette, qui lui rend bien. Le seul passage qui sort un peu de l’ordinaire est quand Jérôme perd toute sa force en devenant elfe, ainsi il doit penser autrement pour arriver à ses fins. Histoire sympathique mais sans plus.
Bob et Bobette n°214 : La licorne solitaire
Chouette petit tome, où Sidonie, suite à un rêve induit par un champignon pas très net, se trouve projetée dans une autre dimension, et a du mal à convaincre qui que ce soit de la réalité de celui-ci. Elle y retourne par d’autres moyens, et nos héros, sont bien obligés de la rejoindre. On sait comment ça va se passer, rien qu’à regarder la couverture… mais la toute fin offre une mini surprise, bienvenue.
Bob et Bobette n°216 : L'outre volante
Chouette petite aventure, vite lue, il y a des années, car je ne me souvenais de rien du tout. Ce qui est dingue aussi, c’est qu’une partie de l’aventure se passe à Jerash, une cité antique en Jordanie que j’ai visitée il y a quelques années, maintenant, et jamais je n’ai fait le rapprochement – d’ailleurs, dans un précédent, on y était déjà passé. Les points sympathiques sont le chameau Bobosse – adorable et le scoutisme – un peu d’histoire, mais aussi, des choses intéressantes comme compétences à acquérir qui sont disséminées peu subtilement à travers le tome.
- Finir une saga (commencée) piochée au hasard dans votre PAL :
La dynastie Donald Duck de Carl Barks (mode exterminateur)
J'ai changé de mode, car j'ai décidé d'acheter les livres qui me manquaient
La dynastie Donald Duck t°11 : Le peuple du cratère en péril et autres histoires
Le 11e tome était encore très riches en bonnes histoires : l'histoire longue "La fontaine de jeunesse" était originale par rapport au traitement du sujet et à la fin, cela m'a rappelé le dessin animé, il y avait les planches de Barks sur le Noël d'Oncle Picsou qui préfigure le Noël de Mickey, inspiré d'un
Chant de Noël de Dickens - les illustrations très travaillées sont magnifiques.
La dynastie Donald Duck t°12 : Un sou dans le trou et autres histoires
Le 12e tome recèle aussi de bonnes surprises avec l'arrivée de Miss Tick, la sorcière, mais aussi et c'est plus personnel, de l'histoire : "Le Roi de la fourrière" mettant en scène Donald capturant tous les chiens sans collier et qui s'en occupe très bien, mais qui fait de l'excès de zèle comme d'habitude - je suis sûre de l'avoir déjà lue dans un Picsou magazine ou autre !