3.Des secrets dévoilés !
Le réveil sonne 6h30, je m’étends et pendant un instant j’oublie où je me trouve. Une odeurs de pain perdu vient titillé mes narines. Jack prépare le petit-déjeuner ?! Nan ça doit être quelqu’un qui le fait pour lui. Je sors de ma chambre et le surprends torse nu entrains de faire à manger. Je m’avance vers le bar, tout un assortiments de nourriture est posé sur la table, sans oublier la bonne odeur de café.
L – Waouh pincez-moi, je dois encore être entrains de dormir.
Il se retourne un sourire illumine son visage.
J – Bien le bonjour madame. J’ai préparé quelques truc vite fait si tu as faim.
L – Quelques trucs ?! Tu as préparé un petit-déjeuner pour 10 personnes au moins ! dis-je stupéfaite
J – Ce qu’on mangera pas, on les emportera pour le centre d’accueil des sens abris.
Je le regarde surprise un bout de croissant dans la bouche.
J – Oui m’dame, je suis aussi très généreux, mais ça on l’a pas dit dans sur internet. Dit-il un soupçon de moquerie dans la voix. J’ai une faim d’ogre ! Bon appétit !
L – A toi aussi. Dis-je en souriant.
J – AAAh je savais que tu devais avoir un magnifique sourire.
Je me sens rougir. Personne ne m’a jamais complimentée…
Nous mangeons, tout en discutant de tout et de rien.
J – Bon ! Lea. Qui es-tu ?
L – Je dégluti en manquant d’avaler de travers. Comment ça ? Qui je suis ?
J – Oui je t’ai googlé, mais j’ai rien trouvée sur toi.
L – Pardon ? tu m’as quoi ?
Il éclate de rire.
J – Oui, tu m’as dit que tu avais fait des recherches pour savoir qui j’étais. J’ai passé ma nuit à chercher des informations sur toi, mais rien ! Même pas un réseau social !
L – C’est normal, j’utilise des pseudos… Dis-je en rigolant.
J – Malin ! mais pourquoi ? tu n’es pas une célébrité si ?
L – Non pas du tout, je suis personne…
Il arrête de sourire et me fixe.
J – Faut que tu arrêtes de dire des choses comme ça ! Faut que tu arrêtes de te rabaisser face aux autres ! Dit-il sur un ton qui me fait sursautée
Je me lève et m’excuse, puis disparait dans la salle de bain. Je voulais pas qu’il me voit encore pleurer. Mon corps tremble… J’en peux plus d’avoir peur à chaque fois !! Je tape mon poing dans le miroir celui-ci éclate et me coupe.
( MERDE MAIS C’EST PAS POSSIBLE !!!)
J’entends Jack essayer d’entrer, mais j’ai fermé la porte à clé.
J – Lea, Excuse-moi, je voulais pas te gueuler dessus… Je suis un crétin…
Je m’avance vers la porte et l’ouvre.
L – Désoler pour ton miroir, j’ai pas contrôler ma force…
J – Il m’attrape le bras et me tire dans le fond de la salle de bain. Il attrape une trousse de secourt et en sort de l’alcool et un bandage. Il me soigne et se lève. Stop arrête de t’excuser. C’est que du matériel. Prend ta douche. Je vais me préparer et je file au boulot. J’ai déjà demander à Edward d’avancé la voiture. Je prendrais la mienne aujourd’hui. Il quitte la pièce. Je me lave, me prépare et quitte l’appartement. J’arrive au boulot à l’heure, je descends de la grosse berline, tous les yeux se tournent vers moi. Je me sens intimidé, je baisse la tête et fonce dans l’immeuble. 20e étage, je rejoins mon bureau et m’assois. Juste le temps de sortir mon dossier.
- Molina Lea, on t’attends pour ta présentation .
Un petit frisson parcourt mon corps, c’est l’heure ! Je respire un grand coup et m’avance vers la salle de réunion. J’entre et pose mon dossier sur la table. 3 hommes et 2 femmes sont assis, Jack est en bout de table, il porte des lunettes qui lui donne un côté sexy. Je sens mes joues rougir, il me fait un petit sourire en coin.
J – On vous écoute mademoiselle, dit-il sur un ton professionnel.
Mon exposé dure une bonne heure, s’il y a bien une chose que j’aime c’est mon travail, la dessus personne peut me perturbé. Au moment de finir, l’une des femmes me pose une question.
F – Pourquoi avoir choisi de GamingShow industrie ?
Jack se redresse sur sa chaise, il a l’air attentif à ce que je vais dire .
L – C’est facile, je suis fan de jeux vidéo depuis toujours.
D’un air étonné, il prend la parole ce qui a l’air de surprendre tout le monde.
J – Intéressant, ce qui veut dire, que votre exposé n’a pas été trop dur pour vous ? Vous avez créé un personnage de A à Z et il est plus que très bien détaillé. Vous convoité l’un des siège de créateurs ou le siège de directeur?
Tout le monde se retourne vers lui. L’un des hommes un peu plus âgé l’interrompt.
H – Pardon Monsieur Bariston, mais on a pas parler de la place de directeur, c’est au-dessus des compétences des stagiaires.
Jack lève un sourcil et sourit.
J – Monsieur Black, notre superviseur est parti, enfin je l’ai viré hier matin. Il me faut donc quelqu’un de compétent, qui sache de quoi il parle quand il parle de jeux vidéo, quelqu’un qui serait représenté l’entreprise et qui sait parler devant du monde. Il me semble que Mademoiselle Molina a réussi à faire d’un exposer ennuyant, quelque chose d’amusant et qui donnait pas envie de dormir, elle m’a captivé !
Tous les yeux reviennent sur moi. La femme qui se tient à la gauche de Jack me lance un regard glacial. Elle pose sa main sur celle de Jack
Jf – Tu n’es pas sérieux ? c’est juste une stagiaire. Moi je peux devenir ta directrice de projet.
Il retire sa main et se lève, sans faire attention à ce qu’elle vient de dire, il me rejoint et attrape ma main.
J – Lea, tu te sentirais capable de travailler avec moi ?
Sa main me fais frémir.
L – Je, je… Si vous pensez que j’en suis capable, je veux bien essayer.
J – Tout le monde dehors.
Ils sortent tous, sauf la jeune femme brune. Il se retourne et la fusil du regard
J – Rachelle dehors !
Elle se lève et fini par claquée la porte. Il me lâche la main et m’invite à m’assoir.
J – Je suis vraiment sérieux pour le poste de directrice. Tu m’as impressionner.
L – J’aime ce que je fais, alors j’y mets tout mon cœur, mais je n’ai que 20 ans ! Je suis beaucoup trop jeune pour un tel poste.
J – Sais-tu quel âge j’ai ?
Je réfléchie et j’avoue que c’est quelque chose qu’on ne sait pas sur lui. Il fait jeune, mais les apparence sont parfois trompeuses.
L – Aucune idée. Pour être honnête je sais juste que vous êtes l’un des plus jeune PDG de notre génération, mais ça veut pas dire grand-chose.
J – J’ai exactement 27 ans. J’ai monté ma boite à 23 ans et voilà où j’en suis aujourd’hui. Grâce à mon équipe et à mon tout premier jeux que j’ai mis 6 ans à crée . L’âge c’est qu’un chiffre. Alors oui tu as des choses à apprendre, mais je suis sûr qu’on pourrait faire de grande chose ensemble.
C’est la premier fois qu’on croit en moi.
L – D’accord, mais on fait un essais et si ça fonctionne pas je passerais dans l’équipe de créateur comme c’était prévu ?! Je veux vraiment travailler pour cette entreprise !
Il tends sa main. Je la serre dans la mienne.
J – Marché conclu, quoi qu’il arrive tu signera un contrat de travail chez nous !
On se lève et il m’invite à sortir de la salle. Il fait signe aux autres de revenir pour reprendre les exposés. Je me dirige vers mon bureau, Marie m’attends assise sur ma chaise.
M – Aloooors ? Tu as réussi ?
L – Evidemment, tu l’as dit toi-même, je suis l’une des meilleures ici . Dis-je en lui faisant un clin d’œil.
M - Elle pouffe de rire. Mais pas autant que moi.
Je lui sourit et la laisse parler. La journée à continuer normalement. Je suis occupée à faire des retouche sur mon personnage de jeux, quand une main se pose sur mon épaule.
J – Tout le monde est déjà parti, qu’est-ce que tu fais encore ici ?
L – Et bien, honnêtement j’ai pas fait attention. J’étais plongée dans mes pensées tout en écoutant la musique.
J – Aller viens on va rentrer ensemble.
L – Tu n’es pas obliger de me raccompagné, je suis sûr que tu as des choses surement plus amusantes que de trainer avec moi.
Au moment où je me redresse il me pousse doucement contre le mur. Son torse me fais face, il lève mon visage vers lui et me sourit.
J – Je ne sais pas ce qu’on t’as fait pour te détruire autant, mais va falloir retrouver confiance en toi. Son autre main remonte lentement le long de mon bras.
Mon corps frissonne sous ses doigts. Je le pousse légèrement. Il s’arrête et se dirige vers les ascenseurs. Je le suis machinalement. Nous quittons le bâtiment ensemble et nous nous retrouvons devant une voiture de sport rouge. Il m’invite à monter.
Je prends place dans la luxueuse voiture. Il me rejoins et démarre le bolide. Quelques minutes plus tard il s’arrête devant une pizzeria.
J – J’espère que tu aimes manger italien.
Il coupe le contacte et descend de la voiture. Surprise je descends à mon tour et le suit à l’intérieur. Il salue le serveur qui nous indique une table. On s’installe. Je prends place face à lui et me surprend à le dévisager.
J – Quoi ? tu préfères manger chinois ?!
L – Oh non pardon, je voulais pas te dévisager…
J – Tu sais quoi on va instaurer une règle. Chaque fois que tu t’excuseras, tu me devras une faveur.
L – Pardon ?! Dis-je étonner.
Il éclate de rire, puis d’un air sérieux.
J – Première faveur ! On va jouer à mon petit jeu.
J’hausse les épaules.
L – D’accord et c’est quoi ton petit jeu ? Dis-je intriguée.
J – C’est simple chacun notre tour on pose une question et l’autre doit être totalement honnête.
Hum, ça sent la douille à 100km, mais bon, ça peut-être amusant.
J – 1e Question simple. D’où viens-tu ?
L – Paris, enfin je suis née en Italien, mais j’ai grandie en France.
J – Oh bien ! mais du coup tu as quitté la France pour vivre en Suisse !?
L – Une question on a dit. Dit-je amusée. Je bois mon verre de vin cul sec. A moi. Es-tu en couple ?
J – Il pouffe de rire . C’est évident que non. Son regard devient plus sérieux. Que t’est-t-il arrivée ?
Je dégluti.
L – Bon ok, je vais te raconter mon histoire. Je bois une gorgée pour me donner du courage. Sache d’abord que ça remonte très loin. Je devais avoir 14 ou 15 ans quand le harcèlement moral et physique à commencer. J’ai été placée en internat pour mes études, mes parents étant des gens avec beaucoup de moyens, mais pas beaucoup d’amour, m’ont mise dans un lycée mixe privé. Je rentrais jamais chez moi, je crois que je suis la seule à avoir vécu 4 ans non-stop dans mon internat…
Bref quand je suis arrivée j’étais en surpoids et différente des autres filles de mon âge. Pendant qu’elles rêvaient de quel mec elles allaient mettre dans leur lit, moi je dessinais mes personnage de jeux vidéo préféré. Pendant qu’elles jouaient les femmes, moi je passaient mes soirée sur des jeux vidéo. Bref j’étais un ovnis pour eux. En vrai si j’avais pu passer mes années lycée dans ma chambre je l’aurai fait, mais malheureusement la vie est pas si simple.
Au début c’était des insulte « regardez la grosse elle a encore passer sa nuit sur ses stupides jeux vidéo. Et gros boudin, tu devrais aller te suicidée toute façon ici personne t’aime, tes parents t’ont abandonnés parce que tu sers à rien »
Jack me regarde peiné mais ne dit rien.
Comme je répondais pas aux insultes, ils ont commencés à me pousser dans les couloirs, dans les escalier. Une année les filles du dortoir, mon coupé les cheveux pendant que je dormais… J’ai dû rasé ma tête. Les garçons eux me plaquaient contre les murs et me forçaient à les touchés… Un soir je devais avoir 15 ans, les filles m’ont entrainées dans la salle de bain et m’ont déshabillées, puis elles sont parties, me laissant seule avec 3 grand de 17 ans…
Ma voix ce mets a tremblée, mais je n’arrête pas mon histoire. Ils m’ont violés à tour de rôle et quand ils en ont eu finis avec moi, l’un d’eux m’a cracher au visage et m’a dit que maintenant aucun homme ne voudrait d’une pute dans sa vie, que je pouvais simplement aller me suicidée…
Jack serre le poing.
J – C’est bon Léa, désolé, je n’aurais pas dut te posé cette question stupide.
L – A mes 17 ans j’ai eu mon diplôme et je suis partie de cet enfer pour tomber dans un autre…
Il pose sa main sur la mienne et me la caresse.
J – Mange, ça va être froid.
Je lui souris tristement et prend un bout de pizza, en réalité je n’ai plus faim, ses souvenirs m’ont coupé l’appétit.
Après avoir forcé un peu, on a changé de discussion.
L – Merci beaucoup pour le restaurant et la soirée.
Jack fait signe au serveur pour payer, il laisse un billet de cinq euros et nous quittons la pizzeria. Une fois de retour à son hôtel, j’ai un peu trop bu et manque de trébucher sur lui. J’éclate de rire.
L – T’as vue, je t’avais dit que j’étais maladroite.
J – Tu as surtout trop bu de vin, je vais t’aider à entrer dans l’ascenseur.
Il passe son bras autour de ma taille et m’aide à traverser le hall d’entrer. Une fois l’ascenseur ouvert il m’aide, il pose son dos contre le miroir et ma tête sur son torse . Je peux sentir ses muscles à travers sa chemise. Une de ses mains caresse machinalement mes cheveux. L’ascenseur s’arrête brusquement et me fais sursauté.
J – Aller ma belle on est à notre étage. Sa voix me fait frémir. Tu as froid ?
L – Pfff nan, ta voix est tellement sexy, tu me fais frissonnée.
Il laisse échapper un rire, d’une main il ouvre la porte de l’appartement et de l’autre il me soulève pour m’aider à aller m’assoir dans le canapé.
Je ferme les yeux un instant…
Je me sens comme flottée dans les airs, j’ouvre légèrement les yeux, je vois Jack me porter jusque dans ma chambre et me mettre sous les draps. J’entends un murmure Bonne nuit Lea. Une porte ce ferme, puis le trou noir…
J’ai du mal à ouvrir les yeux, un mal de crâne me happe au réveil que je meugle comme un agneau qui vient de naître. Je peine à m’assoir, puis regard mon téléphone qui indique 11h20
( OH BORDEL, JE VAIS ME FAIRE TUER !!)
Je reprends le portable et soupir de soulagement ( On est samedi !) une fois les yeux en face des trous, je me tourne vers la table de nuit, un verre d’eau et une boite de comprimer sont posés avec un petit mot. « le réveil va être brutal ! alors je te conseil de les prendres
»
D’accord !
J’en attrape deux et les fait glisser avec l’eau.
Une fois en dehors de ma chambre, je peux sentir l’odeur du café et il a laissé des pains aux chocolats sur la table.
( Comment se fait-il qu’il soit toujours célibataire ! )
Je me sers un café et attrape l’assiette puis me dirige vers le canapé. J’allume la télé sur les dessins animés et commence à manger. La matinée est vite passer en même temps quand on se lève à plus de onze heure du matin c’est pas étonnant. J’ai pris ma douche et ranger ma chambre. Je commence à tourner en rond quand je me rappelle qu’il avait parlé d’une salle de jeux. Je me dirige vers la dite pièce en passant devant la fameuse porte rouge. Qu’est qu’il peut bien y avoir là-dedans ? une partie de moi me dit d’ouvrir alors que mon bon sens me dit de rester tranquille. J’abandonne et ouvre la salle de jeux.
Un écran géant trône sur un mur et tout autour a été posée soigneusement toutes sortes de consoles de jeux, de toutes années confondue. Une énorme bibliothèque avec les jeux vidéo fait les quatre murs de la pièce et au centre un divan, on peut voir dans un coin un mini bar.
( CET ENDROIT EST DINGUE !!!)
J’allume la Nitendo 360 et insère mario le jeux de mon enfance. Une fois installé, je ne vois plus le temps passer…
Un bruit de porte ce fait entendre. Jack est de retour et avec lui une autre voix d’homme ce fait entendre.
J – Léa ? tu es là ?
- Oui j’arrive.
J’éteins la console et sort de la pièce et me dirige vers la cuisine. Un homme aussi jeune que lui est assis au bar, son regard se pose sur moi, il me sourit. Il a un style différent que celui de Jack. Jeans délavé, chemise en soie rose. Les cheveux délavé et un piercing sur la lèvre inférieure.
J – Ah tu étais passée où ?
L – Dans ta salle de jeux. Dis-je sans détacher mon regard de son ami.
J – Je te présente Jeremy. Mon frère jumeaux.
J – Enchanté. Dit-il en souriant.
- Enchanté. Dis-je en lui serrant la main. Je me disais bien qu’il y avait une ressemblance.
Il éclate de rire. Même son rire est différent. Un petit je ne sais quoi d’enfantin.
J – Oui, enfin sauf que moi je me suis décoloré les cheveux et que je suis plus excentrique que mon frère.
L – Je te trouve particulièrement canon. Sans vouloir te manquer de respect Jack, mais ton frère est stylé !
J – Voilà frangin ! elle me plait !
Il pose un baiser sur ma main et je me sens rougir.
J – Bon ça suffit tous les deux. Dit-il en jetant l’essuie qu’il a dans ses mains à son frère. Un petit sourire en coin. Si j’ai invité Jérémy c’est pour qu’il t’aide.
L – Je tourne mon regard vers Jack. Pardon ? m’aider à quoi ?
J – C’est évident darling ! Tu as besoin d’un relooking express et d’une bonne dose de confiance en toi ! et TADA c’est mon métier. Je suis coach en bien-être et styliste.
L – Sérieusement ? Dis-je en rigolant
Les garçons s’installent en face de moi, Jack me tends un verre de rosé.
J – Jérémy est le meilleur dans sa catégorie et j’ai une totale confiance en lui. Lundi tu intègres ton siège de directrice. Tu dois avoir les tenues et l’allure qui va avec.
L – Je suis pas assez bien habillé d’habitude ?
J – Ce que tu portes en dehors du bureau est très bien, mais pour sortir. Pour ce qui est du travail, tu dois être parfaite.
J – Tout comme lui, Léa, Jack n’aime pas du tout les costumes 3 pièces, mais quand on représente une société, on doit avoir l’allure qui va avec.
L – Je comprends, mais j’ai jamais rien porter d’autre que des jeans et des pull large pour cacher mon corps…
Jérémy ce lève et s’approche de moi.
J – Lèves-toi et retire ton pull.
J’obéis, maladroitement je retire mon gros pull. En dessous je porte un croque-top. Il tourne autour de moi, je me sens mal à l’aise et croise mes bras sur ma poitrine. Il retire mes bras et continue à me regarder.
Jérémy ce retourne vers Jack qui était occuper à me regarder les joues rougies.
J – Elle est PARFAITE ! il repose ses yeux dans les miens et attrape une de mes mains. Dit moi darling, ça fait combien de temps que tu n’as pas vue ton corps ? Je veux dire, tu es dans le dénis depuis combien de temps ?
Je le dévisage, je ne comprends pas sa question, alors Jack ce rapproche de moi.
J – Ce que te demande mon frère, maladroitement, c’est à tu conscience de ton apparence ?
L – Comme je t’ai expliquer au restaurant… On m’a toujours rabaissée et insulté de grosse…
Jérémy pose sa main sur sa bouche.
J – Mon dieu, mais qui peut-être aussi pourri pour détruire une personne de la sorte.
Il me tire par la main et m’emmène dans la chambre de Jack. Dans celle-ci se trouve un énorme miroir. Il me pose devant et tien mes bras le long de mon corps.
J – Ma belle, je dis rarement ce genre de chose à une femme, mais tu es magnifique. Ton corps est magnifique. Tu as une cambrure exceptionnelle. Putain mais t’es bien gaulé meuf ! je pourrai être jaloux de ton cul !
Jack explose de rire.
J – Oui au faite t’inquiète pas Jérémy est gay, alors il est assez à l’aise avec les femmes.
Je me sens soulagée, alors que même s’il avait pas été gay, ses paroles m’ont touchées.
Des larmes coules sur mes joues, personnes n’as jamais été aussi gentil que lui. Il me tourne vers lui et me sert dans ses bras.
J – Je vais faire de toi une bombe. Plus jamais personnes ne pourra te rabaisser ! tu m’entends ?
Je fais oui de la tête. Il me lâche et se dirige vers Jack. Il lui chuchote quelque chose puis disparait de la chambre et fini par quitté l’appartement. Je remets mon pull, Jack est accoudé à la porte, son regard ne m’a pas lâcher. Je me sens de nouveau rougir et baisse la tête. Il s’avance et la relève.
J – Première leçon, tu ne baisse plus JAMAIS les yeux pour personnes. Ok ?
L – O…Ok !
J – Jérémy nous donne rendez-vous demain matin dans son atelier. J’ai commandé chinois. Puis on ira ce coucher la journée va être longue.
Nous mangeons devant un reportage qui parle de jeux vidéo, tout en discutant. Une fois fini nous sommes partis nous couché.