fetnat a écrit :cl<3 : Dans l'entreprise ou je suis allée il n'y avait pas de comité de lecture comme ce n'est pas une grosse maison d'édition. C'est seulement la directrice éditoriale qui les lis puis ensuite toute l'équipe si cela vaut le coût. Et comme c'est une édition jeunesse elle demande à ces stagiaires de lire les manuscrits qui ont retenus son attention pour savoir se qu'on en pense. Qu'es ce qui te choque dans cette pratique ?
Ce qui me choque : il y a plusieurs critères pour être retenu... Maintenant, si cette maison travaille comme ça, cela veut dire qu'elle s'y retrouve.
Il est vrai qu'il est mieux d'être lu par des stagiaires que pas du tout... J'ai rencontré des auteures (puisque c'était un salon féminin !) pour lesquelles leur manuscrit leur est revenu sans être ouvert, l'enveloppe toujours fermée, et sur laquelle il était inscrit : ne correspond pas à nos attentes !
J'ai discuté avec une secrétaire d'une grosse édition (je ne me souviens plus de laquelle) à qui l'on demandait de retourner les manuscrits sans être lus... Cela veut dire, sans avoir un nom ou une certaine "classe" (journaliste, métier des lettres...), notre manuscrit n'est automatiquement pas retenu !
C'est dommage de ne pas "offrir" une chance à ces nouveaux auteurs d'être au moins lu !
Alors, ne le prend pas mal si mon point de vue te choque, mais je pense qu'un comité de lecture est là aussi pour déterminé certains critères, cela reste un métier, je ne pense pas que ce soit le rôle d'un stagiaire, même si l'édition deviendra son métier.
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