Petit jeu d'écriture

[Jundow]

Alors, voici le principe: on met une petite phrase pour commencer et les participant doivent écrire un petit texte ou un poëme a partir de cette phrase.
Ce petit jeu permet de travailler l'imagination et de s'entainer a l'écriture.
Si cela vous tente, commencons.

Voici la phrase:

Le jeune homme attendait depuis une heure déja.

[Jundow]

La jeune femme attendait depuis une heure déjà

Je crois que tu n'as pas bien compris le principe
Il faut écrire un petit texte ou un poëme a partir de la phrase donnée; pas changer légèrement la phrase.

[Myok]

"Le jeune homme attendait depuis une heure déjà." Les ongles de sa main droite, rongés car victimes de sa nervosité; contrastaient avec ceux parfaitement manucurés de sa main gauche. Son visage était également asymétrique, à cause de sa cicatrice sur la joue gauche et de son hétérochromie. En effet, les iris de ses yeux en amandes étaient de couleurs différentes : l'un vert et l'autre noisette. Il était d'ailleurs là par leur faute. Depuis quelques temps, une étrange brume brouillait son regard et on lui avait souvent répété que sa différence était source de malheur.
Persuadé que ses yeux vairons étaient la cause de ce brouillard, il avait demandé un rendez-vous avec son ophtalmologue. Rendez-vous qui devait se dérouler aux environs de 15h30. Il serait bientôt 17h...
<<Mr. Garo ! Quel plaisir de vous voir, votre père se porte-t-il bien ?
-Ma foi, mieux que moi en tout cas ! répliqua-t-il.
-Ahem. Bien. Rentrez je vous prie, désolé pour l'attente, s'excusa l'ophtalmologue refroidi.>>
Le Dr. Richman avait des traits anguleux, des cheuveux poivre et sel, des yeux bleus et un charisme incroyable. Petit, il avait toujours voulu faire de la politique mais la mort prématurée de son père l'avait contraint à reprendre l'affaire familiale. [...]

Voili-Voilou ! Je m'arrête là, manque d'inspi je suppose. ^^

Suivant : "Ses cheveux de feu brillaient dans l'éclat de la lune sauvage."

[Stella_44]

" Ses cheveux de feu brillaient dans l'éclat de la lune sauvage. Elle était là, face à lui, plus belle que jamais. Le coeur du jeune homme fit un bon dans sa poitrine et des milliers de papillions lui massacrer le ventre. Pourtant, cette sensation n'était pas désagréable, elle avait un charme particulier, si on peut dire qu'une sensation ait un charme.
La femme s'avança, sûre d'elle. Elle faisait claquer ses talons sur le bitume. Elle s'arrêta à quelques centimètres à peine du jeune homme, le coeur battant.
Il faisait nuit depuis longtemps déjà et c'est au coup de minuit que les deux amants c'était donné rendez vous au clair de lune. Le vent soufflait légèrement et la forêt proche apportait toutes sorte de bruits effrayant.
La femme posa sa main sur le torse du garçon et se mit légèrement sur la pointe des pieds. C'est alors, que le jeune homme, fou d'amour, embrassa sa belle."

Voila !

Prochaine phrase : "Au fin fond de l'océan, une terrible bête s'éveilla"

[Nadia974]

Bonjour à tous,

Le sujet est déplacé dans le sous-forum "Section imagination et création" dans "Vos essais et créations".

[lecture4reveur]

"Le jeune homme attendait depuis une heure déjà." Les ongles de sa main droite, rongés car victimes de sa nervosité; contrastaient avec ceux parfaitement manucurés de sa main gauche. Son visage était également asymétrique, à cause de sa cicatrice sur la joue gauche et de son hétérochromie. En effet, les iris de ses yeux en amandes étaient de couleurs différentes : l'un vert et l'autre noisette. Il était d'ailleurs là par leur faute. Depuis quelques temps, une étrange brume brouillait son regard et on lui avait souvent répété que sa différence était source de malheur.
Persuadé que ses yeux vairons étaient la cause de ce brouillard, il avait demandé un rendez-vous avec son ophtalmologue. Rendez-vous qui devait se dérouler aux environs de 15h30. Il serait bientôt 17h...
<<Mr. Garo ! Quel plaisir de vous voir, votre père se porte-t-il bien ?
-Ma foi, mieux que moi en tout cas ! répliqua-t-il.
-Ahem. Bien. Rentrez je vous prie, désolé pour l'attente, s'excusa l'ophtalmologue refroidi.>>
Le Dr. Richman avait des traits anguleux, des cheuveux poivre et sel, des yeux bleus et un charisme incroyable. Petit, il avait toujours voulu faire de la politique mais la mort prématurée de son père l'avait contraint à reprendre l'affaire familiale. [...]

Voili-Voilou ! Je m'arrête là, manque d'inspi je suppose. ^^

Suivant : "Ses cheveux de feu brillaient dans l'éclat de la lune sauvage."

Je trouve ce texte super, tout comme le principe de petit exercice !
J'aimerai bien participer, mais je ne suis pas trop inspirée alors... Peut-être avec une autre phrase!

[Nihal_Oksa]

"Le jeune homme attendait depuis une heure déjà " .. Derrière son sourire , se cachait de la tristesse . Depuis une heure il attendait. Elle n'était pas là. Il avait peur,et si elle ne venais pas ?! Il fallait qu'elle vienne ! C'étais inévitable ! Non,non ! pas de panique ! Elle viendrais . Il en était persuadé à présent .Bientôt,sa peur se métamorphosa en silence. Un silence bien trop long à son goût.Il se mit à pleuvoir et il lui en fallut peu pour être tout mouiller. Il s'abrita sous sous un arbre en espérant que sa belle arriverais bientôt. Quand il lui avait envoyé une lettre lui disant de venir à 15:00 à la clairière de leur première rencontre,elle ne lui avais pas répondu .Et si il lui était arrivé malheur ?!Il n'osait même pas y penser! Cela faisait une heure qu'il attendait.

[Nihal_Oksa]

j'ai oublié la phrase ! : 0
la voici : " ne régnait qu'à présent de l’amertume dans sont regard cynique "

[Jundow]

Bonjour à tous,

Le sujet est déplacé dans le sous-forum "Section imagination et création" dans "Vos essais et créations".

ah ok, je me demandais ou il était passé

[I-chan]

" Ses cheveux de feu brillaient dans l'éclat de la lune sauvage. Elle était là, face à lui, plus belle que jamais. Le coeur du jeune homme fit un bon dans sa poitrine et des milliers de papillions lui massacrer le ventre. Pourtant, cette sensation n'était pas désagréable, elle avait un charme particulier, si on peut dire qu'une sensation ait un charme.
La femme s'avança, sûre d'elle. Elle faisait claquer ses talons sur le bitume. Elle s'arrêta à quelques centimètres à peine du jeune homme, le coeur battant.
Il faisait nuit depuis longtemps déjà et c'est au coup de minuit que les deux amants c'était donné rendez vous au clair de lune. Le vent soufflait légèrement et la forêt proche apportait toutes sorte de bruits effrayant.
La femme posa sa main sur le torse du garçon et se mit légèrement sur la pointe des pieds. C'est alors, que le jeune homme, fou d'amour, embrassa sa belle."

Voila !

Prochaine phrase : "Au fin fond de l'océan, une terrible bête s'éveilla"

"Au fin fond de l'océan une terrible bête s'éveilla

Ses yeux brillaient d'un éclat couleur sang dans les profondeurs abyssales d'où elle était issue. Aucun mortel ne pouvait l'atteindre pourtant c'était l'un d'eux qui l'avait réveillée. Sa voix résonnait encore en lui, brisant son rêve millénaire. Le temps était venu.
La bête étira son corps puissant, ses membres recouverts d'écailles d'un bleu profond s'agitant dans l'eau sombre. Ses puissantes griffes s'enfoncèrent dans la roche et arrachèrent un des pans de la grotte dans laquelle elle était retenue prisonnière. La montagne ne l'empêcherait pas de répondre à l'appel.
Un bruit sec, comme un claquement de tonnerre résonna quand elle se libéra. Son cri de victoire fit trembler les fonds marins et sa soif de sang teinta de peur les alentours. En deux mouvements de reptation elle trouva une proie naïve et l'eau devint sombre autour d'elle. Sa faim, ancrée en elle depuis des siècles, la poussait à chercher toujours plus de chair mais son esprit n'entendait que l'appel. La bête allait le trouver et lui faire regretter de l'avoir réveillée. Rien n'y personne ne pourrait l'arrêter lorsque ses mâchoires se refermeraient sur le coup du magicien imprudent qui avait briser le cercle et contraint à lui répondre. Personne n'invoquait le Leviathan sans en assumer les conséquences...

Voilà ^^

Phrase suivante : "La forêt se nimba d'or et de lumière lorsqu'il arriva devant l'Arbre ancêtre."

[Myok]

Je trouve ce texte super, tout comme le principe de petit exercice !
J'aimerai bien participer, mais je ne suis pas trop inspirée alors... Peut-être avec une autre phrase!

Merci beaucoup ! Aller, encouragé comme ça, j'en refais un.

"Au fin fond de l'océan, une terrible bête s'éveilla." Elle portait le nom le plus terrible : la Peur. Au début elle était le prédateur pour la proie. Puis les hommes sont apparus et elle est devenue la nuit et l'obscurité. Quand les hommes ont eu leurs premiers rêves, elle est devenue cauchemars. Lorsque l'homme, dans sa soif du progrès a voulu dominé les océans...
"Au fin fond de l'océan, une terrible bête s'éveilla." Elle était la plus terrible de toutes les créatures. Elle était la Peur. Et, son sommeil troublée, elle n'était pas contente. Du tout.



Voilà... ^^"
Comme j'ai été devancé (doublement) pendant que j'écrivais, je ne fais pas de phrase suivante !

[Jundow]

j'ai oublié la phrase ! : 0
la voici : " ne régnait qu'à présent de l’amertume dans sont regard cynique "

voilà le genre de phrase que j'aime

Ne régnait qu'à présent de l’amertume dans sont regard cynique. Amertume pour cette femme qu'il avait toujours aimée et qui ne vivait désormais que dans son coeur et son esprit. La mort les avait séparés et rien ne pourrait plus la ramenée désormais.
Il avait été un brave représentant de la loi jadis et maintenant, il fuyait ses anciens compagnons de travail car il était recherché dans tout les états d'amérique pour meurtre en série.
Car il en avait tués des hommes depuis cette journée tragique mais n'avait toujours pas retrouvés le coupable.
Son regard cynique se déposa sur sa dernière victime: l'une de ces petites frappes qui tuerais sa propre mère pour 1 dollard.
Il cessa de s'interesser a sa victime et reprit son chemin; il n'avait pas terminé son oeuvre de déstruction et comptai bien aller jusqu'au bout...

Prochaine phrase:

Je vis cet homme qui m'avait toujours remplie d'éffroi.

[Jundow]

Je vois qu'il y a plusieurs phrases qui ont été donné en même temps du au fait que plusieurs personne ont répondu en même temps.

Il y a donc:

"La forêt se nimba d'or et de lumière lorsqu'il arriva devant l'Arbre ancêtre."
et aussi
"Je vis cet homme qui m'avait toujours remplie d'éffroi."

Prenez celle qui vous inspire le plus

[Adria]

Bonjour à tous,

Le sujet est déplacé dans le sous-forum "Section imagination et création" dans "Vos essais et créations".

Petite question idiote : C'est où le sous-forum ???

[Myok]

"La forêt se nimba d'or et de lumière lorsqu'il arriva devant l'Arbre ancêtre."Les racines millénaires dépassaient du sol tel les immenses tentacules d'un monstre sous-marin. Les feuilles vénérables projetaient une ombre rafraîchissante sur son visage marqué. Pourtant une douce lumière émanait de l'Arbre. Rassurante. Enfin, il était arrivé.
Tant de jours à souffrir, à marcher, à se cacher. Tant de jours durant lesquels il avait dû chasser des animaux trois fois plus gros que lui. Mais tout restait à faire. Comment arriverait-il, lui, à appeler les esprits des anciens par l'intermédiaire de cette immense porte qu'était l'Arbre ?
Alors qu'il se posait ces questions douloureuses, le sol ondula sous ses pieds, sa vue se troubla et il dû s'agenouiller pour ne pas s'effondrer. Alors il entendit ce qu'aucun homme n'avait entendu avant lui. La voix de l'Arbre ancêtre : <<Bienvenue, jeune chaman.>>

Bon. A nouveau, je ne fais pas de phrase suivante (cf : post de Jundow)! ^^

PS : Adria : Toutes les sections de booknode>Le Forum>Vos Essais et créations>Section imagination et création !

[Jundow]

tu ne manque pas d'imagination Myok

Alors la phrase pour le prochain participant est:


"Je vis cet homme qui m'avait toujours remplie d'éffroi."

[lecture4reveur]

Bon, je me lance! ; )


"Je vis cet homme qui m'avait toujours remplie d'effroi." Effroi, oui c'était le mot. Peut-être un peu excessif, mais bon, je ne trouvais pas d'intermédiaire. Ou avais la flemme d'en chercher un, ce que revient un peu au même. Néanmoins, quand je parle d'effroi, je ne veux pas dire que j'avais la chair de poule chaque fois que je le voyais. Que j'avais envie de changer de trottoir ou de me réfugier dans un lieu public chaque fois qu'il était sur mon chemin. Non, ce n'est rien de tout ça. En fait, il s'agit plutôt d'un sentiment étrange qui s'empare de moi chaque fois que mes yeux rencontrent les siens. A vrai dire, ils sont plutôt normaux et pas spécialement beaux, juste d'un marron terne. Par contre, c'est son regard et la chaleur qui s'en dégage qui me font peur. Ouais, c'est ça. Il a l'air si heureux, si joyeux... On sent qu'il donne naturellement sa confiance aux gens, au risque qu'ils la trahissent. On voit qu'il n'a pas peur de donner et de partager avec les autres, sans ne rien attendre en retour. Voici ce que dit ces yeux. D'un seul regard, on voit tout le bonheur qu'il a et est à donner. Qu'il est prêt à me donner. Et oui, ça me fait peur. Parce que je ne suis pas sûre de le mériter...

[Jundow]

Bon, je me lance! ; )


"Je vis cet homme qui m'avait toujours remplie d'effroi." Effroi, oui c'était le mot. Peut-être un peu excessif, mais bon, je ne trouvais pas d'intermédiaire. Ou avais la flemme d'en chercher un, ce que revient un peu au même. Néanmoins, quand je parle d'effroi, je ne veux pas dire que j'avais la chair de poule chaque fois que je le voyais. Que j'avais envie de changer de trottoir ou de me réfugier dans un lieu public chaque fois qu'il était sur mon chemin. Non, ce n'est rien de tout ça. En fait, il s'agit plutôt d'un sentiment étrange qui s'empare de moi chaque fois que mes yeux rencontrent les siens. A vrai dire, ils sont plutôt normaux et pas spécialement beaux, juste d'un marron terne. Par contre, c'est son regard et la chaleur qui s'en dégage qui me font peur. Ouais, c'est ça. Il a l'air si heureux, si joyeux... On sent qu'il donne naturellement sa confiance aux gens, au risque qu'ils la trahissent. On voit qu'il n'a pas peur de donner et de partager avec les autres, sans ne rien attendre en retour. Voici ce que dit ces yeux. D'un seul regard, on voit tout le bonheur qu'il a et est à donner. Qu'il est prêt à me donner. Et oui, ça me fait peur. Parce que je ne suis pas sûre de le mériter...

C'est très beau ça

Tu ne propose pas de nouvelles phrases?

[Jundow]

Bon, je vais en remettre une dans ce cas:

Je regardais avec émerveillement ce paysage magnifique.

[Myok]

"Je regardais avec émerveillement ce paysage magnifique." Je tentais de compter le nombre de fleurs puis j'abandonnais, il y en avait trop. Certaines en forme de cœur, d'autres en forme de soleil. Je respirais l'air odorant comme si je sortais d'une longue apnée. Je courais dans les champs en riant comme un enfant candide et adorable (ahah)...
J'ouvrais enfin les yeux. Bon sang ! Je n'avais jamais eu de rêves aussi niais ! La journée s'annonçait mal. Depuis quelques temps je ne cessais de chanter en faisant des pas-chassés ridicules. Je restais sous la pluie en citant du Shakespeare ou en fredonnant "I'm singing in the rain", je dansais tout seul sur des musiques imaginaires...
L'horrible conclusion, fourbe et vicieuse, s'insinua dans mon esprit. Est-ce que...Non. Impossible. Je n'étais quand même pas amoureux, Si ?

Phrase suivante : "J'ouvrais la porte de la librairie..." ! ^^

[Jundow]

"Je regardais avec émerveillement ce paysage magnifique." Je tentais de compter le nombre de fleurs puis j'abandonnais, il y en avait trop. Certaines en forme de cœur, d'autres en forme de soleil. Je respirais l'air odorant comme si je sortais d'une longue apnée. Je courais dans les champs en riant comme un enfant candide et adorable (ahah)...
J'ouvrais enfin les yeux. Bon sang ! Je n'avais jamais eu de rêves aussi niais ! La journée s'annonçait mal. Depuis quelques temps je ne cessais de chanter en faisant des pas-chassés ridicules. Je restais sous la pluie en citant du Shakespeare ou en fredonnant "I'm singing in the rain", je dansais tout seul sur des musiques imaginaires...
L'horrible conclusion, fourbe et vicieuse, s'insinua dans mon esprit. Est-ce que...Non. Impossible. Je n'étais quand même pas amoureux, Si ?

Phrase suivante : "J'ouvrais la porte de la librairie..." ! ^^

Belle représentation des éffets de l'amour

[Jundow]

J'ouvrais la porte de la librairie... Une grande librairie, des dizaines et des dizaines des rayons remplis de livres de toutes sortes.
Je me dirigeait vers mon rayon préfèrés: celui de la parapsychologie.
C'est là que je la vis: cette femme qui hantait mes rêves depuis des mois alors que je ne l'avait jamais vue. Elle était superbe dans son ensemble en jean, ses long cheveux noir légèrement frisés, ses yeux un peu en amandes d'un bleu très clair.
Ses yeux là me fixait avec tendresse et la jolie femme me fit un sourire qui m'alla droit au coeur.
J'en avait rêvé et je la rencontrait en vrai maintenant.
Je lui rendit son sourire un peu timidement et elle me dit d'une voix douce et chaleureuse:
-Il y a longtemps que je t'attend tu sais.

prochaine phrase:

Je descendit du train et resta sans voix...

[lecture4reveur]

Bon, je me lance! ; )


"Je vis cet homme qui m'avait toujours remplie d'effroi." Effroi, oui c'était le mot. Peut-être un peu excessif, mais bon, je ne trouvais pas d'intermédiaire. Ou avais la flemme d'en chercher un, ce que revient un peu au même. Néanmoins, quand je parle d'effroi, je ne veux pas dire que j'avais la chair de poule chaque fois que je le voyais. Que j'avais envie de changer de trottoir ou de me réfugier dans un lieu public chaque fois qu'il était sur mon chemin. Non, ce n'est rien de tout ça. En fait, il s'agit plutôt d'un sentiment étrange qui s'empare de moi chaque fois que mes yeux rencontrent les siens. A vrai dire, ils sont plutôt normaux et pas spécialement beaux, juste d'un marron terne. Par contre, c'est son regard et la chaleur qui s'en dégage qui me font peur. Ouais, c'est ça. Il a l'air si heureux, si joyeux... On sent qu'il donne naturellement sa confiance aux gens, au risque qu'ils la trahissent. On voit qu'il n'a pas peur de donner et de partager avec les autres, sans ne rien attendre en retour. Voici ce que dit ces yeux. D'un seul regard, on voit tout le bonheur qu'il a et est à donner. Qu'il est prêt à me donner. Et oui, ça me fait peur. Parce que je ne suis pas sûre de le mériter...

C'est très beau ça

Tu ne propose pas de nouvelles phrases?

Oh oui, mince!
Merci pour le compliment! = )

Bon, il n'est jamais trop tard, alors:
"Caroline me poussa du coude et me sortit de mes rêveries par la même occasion."

[Malau-book]

Caroline me poussa du coude et me sortit de mes rêveries par la même occasion. Ma soeur, Caroline était grande, fine et si belle dans sa robe en soie rouge, ses longs cheveux bruns remontés en chignon et ses beaux yeux noisettes aux reflets verts. Malheureusement, je n'étais que le triste reflet de ma soeur. J'étais petite plutôt ronde, mes yeux bleus globuleux n'étaient pas bien séduisant, quant à mes cheveux bruns frisés et toujours en broussailles. Je dois avouer que ce soir ma robe noir en dentelle était très jolie. Je dois aussi avouer que ce n'est que pour un soir. Et cette soirée est finit.

Phrase suivante :
"Désormais, je ne pourrais plus jamais sourire..."

[Nihal_Oksa]

"Caroline me poussa du coude et me sortit de mes rêveries par la même occasion."
- Réveille toi ! Coucou la dedans ! Allez dépêche toi ou on va être en retard !
C'est vrai,caroline avait raison il faisait tard,et la nuit commençait à tombé peu à peu à l’horizon.
- Oui, excuse moi je réfléchissais à quelque chose.. A peine eu t-il fini sa phrase qu'il sentit une main l'agripper par son col.
- Et toi jeune homme ! Alors on essaye de m'échapper ?! c'était M.Flignon.son professeur de littérature. Mais pourquoi lui dire ça ? Il n'avait pourtant rien fait de mal. Il se souvint. Guillaume,son pire ennemi l'avait accusé d'avoir mis une punaise sur le siège de M.Flignon alors qu'il n'avait strictement rien fait ! Il lui avait dit alors de venir à 14:45 avec lui chez le directeur de l'Académie. Avec la fête organisé par Caroline ça lui avait complètement sortit de la tête !

[Nihal_Oksa]

ma phrase :
" Quand l'aube fera sont entrer tu iras voir le grand mage "

[Myok]

Aller, je vais essayer d'utiliser les phrases de lecture4reveur et de Jundow. ^^

Je descendis du train et resta sans voix. Sur le quai, une troupe de saltimbanques jouaient de la musique tout en jonglant de manière gracieuse. Ils étaient vêtus de costume dignes d'arlequin; certains étaient tellement colorés qu'ils faisaient presque mal aux yeux, d'autres étaient en noir et blanc. Ils devaient être au moins une dizaine ! A quelques mètres seulement coulait une eau paisible et un pont se dressait un peu plus loin.
Je restais hébété. Caroline me poussa du coude et me sortit de mes rêveries par la même occasion. Je refermais ma bouche, qui s'était ouverte à mon insu. Je me tournais vers elle et ne pus m'empêcher de sourire. Venise, nous voilà, pensais-je alors.

Encore une fois, je me suis fait doubler !

[Nihal_Oksa]

"Désormais, je ne pourrais plus jamais sourire..."Oui,Chris était partit,et pour de bon cette fois ! Comment avait elle pu laisser passer ça ! Son coeur s'affola de plus belle. Pour la première fois de sa vie, Irina avait peur.

La phrase :
" SA main n'était désormais que poussière "

[Vavi]

Nate baissa alors les yeux et une expression horrifiée apparut sur son visage. "Sa main désormais n'était que poussière."

Jouer avec les limites de la magie n'est pas anodin, et on le lui avait toujours répété. Pourtant, le jeune mage, entêté et ambitieux, pensait pouvoir dompter ce pouvoir qui avait entraîné la perte d'un bon nombre de ses prédécesseurs. Il était brillant, incroyablement doué pour son âge, alors après tout, pourquoi n'essayerait-il pas ?
Des mois durant, il avait passé ses nuits à la confection de ce sortilège. Il l'avait tissé avec application, veillant minutieusement au moindre détail.
Rien ne doit être laissé au hasard.
Les jours passant, son visage se creusait, son regard se faisait plus dur. Mais Nate ne semblait pas avoir conscience des effets qu'avaient la préparation de ce rituel sur lui. Il ne pensait plus qu'à cela et son regard avait une lueur étrange, celle d'un homme dont la conscience cède peu à peu à la folie.
Ce soir-là, son heure était enfin venue. La lune était pleine, les étoiles favorables, toutes les conditions étaient réunies.
Nate s'était enfermé dans la tour, et avait tout d'abord tracé un immense pentacle sur le sol. Il avait disposé le matériel qui serait nécessaire, et allumé les bougies. Puis il L'avait appelée.

La Grande Magie grogna. Du fond de son éternité, Elle était dérangée par un homme. Mais le rituel ne lui laissait pas le choix : Elle était appelée.

Il y avait eut comme un grand froid. Nate avait alors découvert qu'il n'est pas plus terrible que ce silence-là : le silence de l'attente.
Mais Elle vint. Il La sentit le traverser, pour arriver au-dessus du récipient, juste là où il La voulait. Il avait besoin de son action pour terminer le sortilège, et il suffirait qu'Elle verse un peu de son pouvoir dans la coup, et il accèderait au rêve le plus terrible de l'homme : l'immortalité.
Ce qui était advenu par la suite était brouillé dans son esprit. Il se rappelait seulement de beaucoup de bruit, d'une lumière, et d'une odeur étrange.

Voilà comment lui, Nate Hawtorn, eut entre ses mains l'illusion absolue, le rêve d'immortalité, la chimère la plus humaine peut-être. Il tremblait, et fit un mouvement brusque qui envoya en l'air quelques gouttelettes du précieux liquide. Il les sentit retomber sur sa main, et eut un hurlement. La coupe lui échappa des mains et le liquide se renversa sur son corps. Nate baissa les yeux et une expression horrifiée apparut sur son visage. "Sa main désormais n'était que poussière." Et la sensation de brûlure atroce qui se répandait dans son corps lui fit comprendre quelle serait sa fin.

Au petit matin, quand le soleil déversa sa clarté aveuglante dans la pièce, il ne restait plus qu'un tas de poussière au sol.




Un petit essai sur cette phrase qui m'avait intriguée... Je ne suis pas entièrement satisfaite de ce texte mais je me suis attachée à l'idée, alors voilà :]
Nouvelle phrase ? "Et ses mots sonnaient comme une promesse."