Je viens mettre à jour ma progression dans le Challenge.
J'ai trouvé les balais de l'équipe de Gryffondor grâce à "L'épée de l'ancillaire" d'Ann Leckie. (il y a un vaisseau spatial sur la couverture)
Un second tome beaucoup trop bavard à mon goût. C'est en effet difficile à suivre, même si il y a de bonnes idées. L'intrigue n'avance pas et l'autrice digresse beaucoup trop sur le fonctionnement de l'univers. Je n'arrive vraiment pas à m'attacher au personnage de Breq et les autres personnages ne sont pas développés. Bref, je pense que je vais m'arrêter là car cette série ne me correspond pas.
Pour en finir avec les objets, j'ai attrapé quelques Lutins de Cornouailles avec le sixième tome de Sauveur et fils de Marie-Aude Murail et sa belle couverture bleue.
Même s'il met un peu plus de temps à se mettre en place que les précédents, ce sixième tome n'a rien à leur envier. Marie-Aude Murail aborde des thématiques variées par le biais de personnages si humains et attachants, qu'on finit par croire qu'ils existent vraiment. Cette saga est juste, vibrante et pleine d'humanité et c'est pour cela que c'est une de mes préférées. Vivement le tome 7 !
Pour concocter le Polynectar, j'ai obtenu l'extrait d'un Gryffondor grâce à Fièvre d'ombres de Karen Marie Moning. (trouvé dans la bibliothèque d'Adèle)
Ce cinquième tome clôture une série qui m'a vraiment bien plu dans l'ensemble. Pour autant, j'avoue avoir été déçue par ce dernier volume. Pour cause, je l'ai trouvé vraiment très long.
En voyant les 600 pages de ma version ebook et les 800 pages de la version papier, je me doutais bien qu'il y aurait des passages à vide. Mais peut-être pas autant. Par moment, j'ai trouvé la narration vraiment très brouillonne. Sans parler des questionnements stériles et redondants au possible de Mac qui n'ont cessé de me faire lever les yeux au ciel. Ce tome est lent, lourd et infidèle à la fluidité des précédents.
Au moins, ce tome remplit ses fonctions de dernier tome en répondant à toutes nos questions. Les révélations ne sont pas non plu tonitruantes, mais c'est déjà ça. J'ai beaucoup aimé le fait que certains personnages tels que V'Lane et Dani se dévoilent, mais j'aurais aimé en apprendre plus sur Barrons. Au final, même si on en apprend un peu plus sur ses motivations ici, on en sait pas plus que dans le tome 4.
Autre point, je tiens à souligner que le terme "bipolaire est mal employé ici. La bipolarité est une maladie mentale qui ne correspond pas du tout à l'héroïne. J'aurais plus dit qu'elle est paradoxale ou qu'elle a une double personnalité. Bref, c'est un détail, mais je me permet de noter cette maladresse.
Pour finir, même si ce dernier tome ne m'a pas tout à fait convaincue, je garde une bonne impression de cette saga de bit-lit plutôt sympathique avec une héroïne qui subit une belle évolution et une histoire d'amour présente sans effacer l'intérêt l'histoire.
Mon Polynectar est enfin fini avec la Peau de serpent d'arbres du Cap, obtenue grâce à Mille soleils de Nicolas Delesalle. L'histoire se déroule dans un désert en Argentine.
Bien que je ne sois pas une grande lectrice de littérature contemporaine pour adultes, le synopsis de Mille soleils m'a tout de suite intriguée. Malheureusement, je n'ai pas su apprécier ce livre à sa juste valeur et j'en suis désolée.
On fait la rencontre de 4 scientifiques qui après plusieurs semaines de travail en Argentine, s'apprêtent à rentrer dans leurs pays d'origine. Alors qu'ils sont sur la route de l'aéroport, en une seconde, leur vie bascule. Ils ont entre 30 et 60 ans et viennent de vivre le drame de leur vie.
Une chose est sûre : Nicolas Delesalle a vraiment une plume particulière et au début, je la trouvais assez plaisante. Cela change un peu de ce que j'ai l'habitude de lire. C'est un style alambiqué avec des tournures de phrases déroutantes et beaucoup de figures de style. De plus, j'ai plutôt bien apprécié la manière dont l'auteur a réussi à donner une profondeur à ses différents personnages.
Mais, plus on avançait dans l'histoire, plus mon intérêt pour l'histoire diminuait. Entre autre à cause de la surenchère dans les descriptions. J'ai l'impression qu'il y en avait beaucoup pour pas grand chose finalement. À titre personnel, j'ai trouvé que l'auteur insistait trop sur les aspects sordides de l'évènement. On a bien compris que c'était quelque chose de grave, un ou deux détails auraient suffit. Je regrette aussi que le fait que l'histoire se déroule en Argentine n'ai pas été plus exploité. Je m'attendais à en apprendre un peu plus sur la culture d'Amérique Latine, je reste un peu sur ma faim.
En résumé, alors que je partais plutôt convaincue, j'ai été déçue par cette lecture et très vite lassée par les introspections des personnages et les descriptions incessantes. Au moins, cela m'aura permis de sortir un peu de ma zone de confort et de me rendre compte que ce genre de roman n'est probablement pas fait pour moi.
Mon récap